Agence de santé public du Canada / Public Health Agency of Canada
Skip first menu Skip all menus English Contactez-nous Aide Recherche Site du Canada
Accueil Centres et labs Publications Lignes dirctrices Index A-Z
Check the help on Web Accessibility features Santé - enfants Santé -adultes Santé aînés Surveillance Santé Canada
Agence de santé publique du Canada

 

 

Foire aux questions - pandémie d'influenza


Qu'est-ce qu'une pandémie de grippe?

Les gens sont exposés à différentes souches du virus de la grippe (ou «influenza») de nombreuses fois au cours de leur vie. Même si le virus change, le fait d'y avoir été exposé offre une certaine protection contre l'infection causée par une souche semblable du virus. Par contre, de trois à quatre fois par siècle, pour des raisons inconnues, un changement radical du virus grippal A peut survenir et causer l'éclosion d'une nouvelle souche.

Étant donné que les gens n'ont aucune protection contre la nouvelle souche, elle peut se répandre rapidement dans le monde entier et donner lieu à ce qu'on appelle une pandémie. Le virus de la grippe pandémique entraîne souvent de graves complications chez des personnes en santé, notamment la pneumonie ou la mort. Les trois dernières pandémies sont survenues en 1918-1919, en 1957-1958 et en 1968-1969.

début

Quand doit survenir la prochaine pandémie de grippe?

Nous savons que les pandémies sont récurrentes, mais elles sont imprévisibles. La dernière pandémie de grippe date déjà de 36 ans et, bien qu'il soit impossible de prédire avec certitude quand la prochaine frappera, les experts s'accordent pour dire qu'elle ne saurait tarder.

début

Que fait le gouvernement du Canada afin de nous protéger contre la prochaine pandémie?

L'Agence de santé publique du Canada, de concert avec d'autres ministères fédéraux et gouvernements provinciaux et territoriaux, a pris des mesures et continue d'en prendre à divers égards afin de protéger les Canadiens et les Canadiennes. Parmi ces mesures, on compte les suivantes :

  • La tenue à jour du Plan canadien de lutte contre la pandémie d'influenza, qui dresse les grandes lignes de l'intervention canadienne en cas d'éclosion. L'Agence continue de travailler sur ce plan selon les renseignements qu'elle reçoit. Le plan constitue également un modèle d'intervention contre les éclosions d'autres maladies infectieuses.
  • La passation d'un contrat pour la production d'un vaccin antigrippal pandémique. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a reconnu le Canada comme un chef de file en préparation pandémique et comme l'un des quelques pays au monde à avoir établi un contrat interne pour la production de vaccins contre la pandémie de grippe.
  • Le développement et le testage d'un prototype de vaccin contre la souche de grippe H5N1 afin d'accélérer la disponibilité d'un vaccin pandémique en cas de besoin.
  • La création d'une réserve nationale d'antiviraux pour utilisation contre la pandémie grippale. La réserve servira à traiter des groupes prioritaires qu'aura désignés un comité national d'experts.
  • La gestion d'une Réserve nationale de secours. Cette réserve comporte tout ce qu'on peut s'attendre à trouver dans un hôpital, à partir de lits et de couvertures jusqu'à un stock de produits pharmaceutiques, de même qu'une réserve de remèdes antiviraux.
  • Un leadership international en matière de préparation à une pandémie. Par exemple, le Canada collabore avec l‘OMS et d'autres pays et dirige, avec le Royaume-Uni, des discussions sur l'approvisionnement et l'emploi d'antiviraux dans le cadre du Groupe d'action mondial pour la sécurité sanitaire avec les pays du G7 et le Mexique.
  • Une assistance aux pays touchés par la souche H5N1 pour les aider à développer leur capacité d'intervention en cas d'éclosion de maladie infectieuse émergente. Le Laboratoire national de microbiologie (LNM) de l'Agence de santé publique travaille depuis un certain temps avec l'Institut national d'hygiène et d'épidémiologie (INHE) du Vietnam dans leur laboratoire principal à Hanoï en vue d'améliorer ses capacités de testage pour la grippe aviaire. Le personnel de l'Agence de santé publique a fourni une assistance sur le terrain dans divers pays de l'Asie du Sud-Est.
  • La réalisation de recherche visant à améliorer l'intervention mondiale en cas de pandémie de grippe. Le Laboratoire national de microbiologie travaille depuis un certain temps à accroître sa capacité de développement de vaccins et à contribuer aux connaissances sur la grippe pandémique et sur ce qui rend certaines souches particulièrement mortelles. Le LNM est également en train de développer sa capacité de créer une souche vaccinale au moyen de la technique de génétique inversée. Cela permettra au Canada de mettre au point un vaccin contre la grippe le plus rapidement possible en cas d'émergence d'une souche pandémique.
  • La gestion d'un système d'alerte en temps réel relativement aux infections respiratoires graves, dont le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), afin d'assurer la dissémination rapide de l'information aux provinces et territoires.
  • Le renforcement de la surveillance continue de la grippe tout au long de l'année par le biais du système national FluWatch.
  • La consolidation des liens avec les systèmes de surveillance de la grippe d'origine animale, en vue d'améliorer la capacité du Canada de détecter de façon précoce tout nouveau virus grippal capable d'infecter les êtres humains.
  • L'établissement d'un système de surveillance dans les hôpitaux en vue de déceler les cas et les grappes d'infections graves ou nouvelles ainsi que de prévenir et de circonscrire efficacement leur propagation dans les établissements de soins de courte durée.
  • La surveillance de la situation mondiale et la vérification de l'information reçue du système d'alerte du Réseau Mondial d'Intelligence Santé Publique (RMISP). Le RMISP fait le suivi de milliers d'articles des médias sur les questions de santé publique et permet à l'Agence de santé publique de rapidement cerner et d'observer les cas d'infections respiratoires aigues dans le monde.
  • La tenue et le soutien constants de Services de quarantaine aux aéroports internationaux de Toronto, de Vancouver, de Montréal (Pierre-Elliott-Trudeau), de Calgary, d'Edmonton, d'Halifax et d'Ottawa. Les agents de quarantaine procèdent à des évaluations de la santé des passagers des vols internationaux qui manifestent des symptômes de maladie.
  • L'accroissement de la sensibilisation du public à l'égard de la grippe et du virus de la grippe par le biais de la collaboration avec l'ACSP et le Programme canadien de promotion de la vaccination (Coalition canadienne pour la sensibilisation et la promotion de la vaccination).

début

Combien de personnes mourraient-elles s'il y avait une pandémie? Peut-on faire quoi que ce soit afin de réduire le nombre de décès?

Selon la gravité de la pandémie, nous estimons qu'un nouveau virus de la grippe pourrait faire de 11 000 à 58 000 morts au Canada. Ces nombres partent du postulat que le virus infecterait entre 15 et 35 p. 100 de la population.

De plus, le modèle servant au calcul de ces nombres ne tient pas compte de l'incidence potentielle d'un vaccin ou de remèdes antiviraux. Nous nous attendons à ce que ces mesures réduisent la maladie et les décès. Il est certain que le nombre de décès, tout comme lors de n'importe quelle saison grippale, dépend vraiment de la manière dont se comporte le virus, de la façon dont il se propage et de ce que nous pouvons faire pour limiter ces facteurs.

Il est très difficile de prédire l'incidence d'une pandémie. La grippe et ses complications font des victimes chaque année. Selon la gravité de la saison grippale, on peut attribuer quelque 8 000 décès à la grippe et à ses complications pendant une saison normale de grippe.

Le gouvernement du Canada adopte diverses mesures en vue de protéger la santé des Canadiens et des Canadiennes. Lors d'une pandémie, l'une des choses les plus importantes que puisse faire le public afin de prévenir la propagation du virus et de réduire son incidence, c'est d'appliquer une «bonne éthique respiratoire». Cela signifie notamment qu'il faut se couvrir la bouche d'un mouchoir lorsque l'on tousse, rester chez soi quand on est malade et se laver les mains souvent, surtout après s'être touché la bouche, le nez, les yeux ou après avoir manipulé des mouchoirs souillés.

début

Le virus d'influenza H5N1 qui circule dans le Sud-Est de l'Asie et dans certaines parties de l'Europe a-t-il le potentiel de se propager à l'échelle de la planète?

Les scientifiques s'entendent pour dire que l'influenza aviaire H5N1 est la souche qui présente le risque le plus élevé d'entraîner une pandémie. Depuis 2003, on a signalé 100 cas de grippe aviaire chez l'humain et environ 60 décès. Selon les scientifiques, plus le nombre de personnes touchées par le virus aviaire est élevé, plus il y a de probabilité que le virus subisse une mutation et crée une nouvelle souche d'influenza à laquelle les êtres humains n'ont pas d'immunité. Si la nouvelle souche a la capacité de se transmettre de façon efficace d'une personne à l'autre, le virus pourrait se propager rapidement et causer une importante vague de maladie, de décès et de perturbation sociale.

début

Pourquoi avons-nous besoin d'un Plan canadien de lutte contre la pandémie d'influenza?

Ce plan national donne un aperçu des rôles et responsabilités des gouvernement afin d'assurer une intervention coordonnée pour protéger la santé de tous les Canadiens en cas de pandémie. Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux s'inspirent du Plan pour élaborer le leur propre.

La planification d'une pandémie exige un haut degré de coordination parmi et entre tous les ordres de gouvernement, le secteur de la santé et les services et organisations d'intervention d'urgence. La clarification des rôles et des responsabilités et la coordination des activités de planification et de préparation avec tous les intervenants et tous les ordres de gouvernement nous permettront de réaliser les objectifs du Plan - tout d'abord minimiser le nombre de personnes atteintes et de décès et deuxièmement, minimiser les perturbations sociales que peut provoquer une pandémie de grippe.

début

Quelle est la différence entre le vaccin et les antiviraux?

Les vaccins sont le principal moyen de prévenir la maladie et les décès causés par la grippe. Le vaccin provoque la production d'anticorps contre les composantes du virus grippal qu'il contient, immunisant ainsi contre le virus.

Les antiviraux sont des remèdes employés pour la prévention et le traitement précoce de la grippe. Administrés peu après (dans les 48 heures) l'apparition des premiers symptômes de la grippe, les antiviraux peuvent atténuer ces symptômes, réduire la durée de la maladie et potentiellement réduire les risques de complications graves de la grippe. Les antiviraux agissent en réduisant la capacité du virus de se reproduire, mais n'offrent aucune immunité contre lui.

début

Les fabricants de vaccin développent-ils un vaccin contre une pandémie?

Les fabricants de vaccins établissent les fondements de la démarche nécessaire en vue de développer un vaccin contre une pandémie, mais le vaccin lui-même ne peut être fabriqué tant que le virus ne s'est pas manifesté.

Certains fabricants de vaccins développent un vaccin H5N1 ou un vaccin pandémique expérimental. Il importe de ne pas oublier qu'un vaccin H5N1 n'est pas un vaccin pandémique. On ne sait pas exactement si le H5N1 évoluera pour devenir une souche pandémique, mais il est considéré comme un virus «de type pandémique», ce qui signifie qu'il s'est montré capable d'infecter les être humains et d'entraîner de graves maladies et des décès. L'OMS a encouragé les fabricants de vaccins du monde entier à expérimenter avec des souches vaccinales provenant de virus de grippe de type pandémique, comme le H5N1.

Les National Institutes of Health (NIH) aux États-Unis ont produit un vaccin H5N1 qui a induit une réponse immunitaire dans des tests préliminaires. Toutefois, on a dû administrer aux patients une importante dose du vaccin pour obtenir cette réponse. Le Canada examinera les données préliminaires et finales des essais des États-Unis et se servira de ces résultats pour concevoir et tester un vaccin semblable au Canada. Le Canada doit réaliser ses propres essais dans ce domaine pour rehausser sa capacité d'intervention interne et pour contribuer à l'ensemble international des connaissances sur ce sujet.

début

Dans quel but fait-on des recherches avec un vaccin H5N1?

En 2005, le gouvernement fédéral a annoncé l'octroi de 34 millions de dollars pour le développement et le testage d'un vaccin de type pandémique. Le but visé en produisant et testant un vaccin contre le H5N1 est d'accélérer la disponibilité d'un vaccin pandémique en cas de besoin.

Les recherches avec le H5N1 devraient contribuer à cerner et à résoudre à l'avance les enjeux réglementaires ainsi qu'à déterminer la formulation vaccinale optimale afin d'immuniser autant de gens que possible, aussi rapidement que possible. Par exemple, on ne sait pas exactement combien de doses d'un vaccin contre une grippe pandémique chaque personne devra recevoir afin d'être protégée contre le virus. La connaissance du nombre de doses nécessaires en vue d'assurer une protection serait utile à la préparation et à la planification générales.

début

Dans la situation actuelle, combien de temps faudrait-il pour qu'un vaccin contre une pandémie devienne disponible? Dans quelle mesure les travaux avec le vaccin H5N1 peuvent-ils accélérer le processus?

En principe, il faudra de deux à trois mois afin d'isoler la souche et d'amorcer la fabrication du nouveau vaccin. Dans les 48 jours suivant la réception de la souche vaccinale, nous devrions avoir notre premier lot du nouveau vaccin aux fins de tests préliminaires sur la sécurité et la capacité du vaccin de stimuler la production d'anticorps. D'après notre capacité de production de 6 millions de doses par mois, il faudrait de 6 à 12 mois pour produire assez de vaccins afin de protéger tous les Canadiens et toutes les Canadiennes, selon le nombre de doses requis.

Les travaux sur le vaccin H5N1 pourraient accélérer le processus de 3 à 4 mois.
ID Biomedical, la compagnie récipiendaire du contrat du gouvernement pour le développement d'un vaccin pandémique, s'est procuré la souche vaccinale H5N1 et étudie le virus. Nous nous attendons à ce que la compagnie commence à produire le vaccin H5N1 au printemps 2006.

L'objet du contrat du Canada visant le vaccin pandémique est de produire suffisamment de vaccins afin de protéger tous les Canadiens et toutes les Canadiennes aussitôt que possible. Le Canada a été le premier pays au monde à planifier un approvisionnement sûr de vaccins au moyen de la passation d'un contrat avec un fournisseur interne. Le contrat fait en sorte que tout ce qui est nécessaire à la production d'un vaccin, y compris l'approvisionnement d'œufs et les installations d'entreposage, est prévu.

début

Les remèdes antiviraux font-ils partie de la stratégie de lutte contre une pandémie du Canada?

Oui. Le gouvernement fédéral a récemment versé 24 millions de dollars pour la création d'une réserve nationale d'antiviraux. Comprenant 16 millions de doses d'oseltamivir (TamifluMC), cette réserve servira à traiter les groupes prioritaires qu'aura désignés un comité consultatif d'experts sur la pandémie de grippe. Les groupes prioritaires comprennent, par exemple, les personnes hospitalisées pour la grippe et celles qui présentent un risque élevé de complications liées à la grippe, de même que les travailleurs de la santé et les fournisseurs de soins essentiels. Certaines provinces et certains territoires se sont procuré de leur côté une réserve additionnelle d'antiviraux.

En l'absence d'un vaccin, les antiviraux seront une partie importante de notre réponse a une pandémie.

début

Une étude parue dans Nature a indiqué que l'utilisation d'antiviraux pourrait ralentir la propagation d'une pandémie. Cela est-il réellement possible?

L'étude publiée dans le numéro du 4 août 2005 de Nature indiquait que, dans des conditions particulières, les antiviraux peuvent jouer un rôle dans la réponse globale en ralentissant ou en contenant la propagation d'un nouveau virus de grippe. L'étude recommandait en outre la création d'une réserve internationale d'antiviraux.

Il est important de se souvenir que cette sorte de stratégie antivirale dépendra de nombreuses autres considérations importantes, dont la capacité de détection précoce de l'émergence et de la propagation d'un nouveau virus de grippe dans le pays d'origine. Voilà pourquoi le renforcement des systèmes de surveillance dans les pays asiatiques constitue une priorité et est essentiel à l'endiguement précoce d'un nouveau virus grippal.

début

Qui élabore le Plan canadien de lutte contre la pandémie d'influenza?

Les membres du Comité de la grippe pandémique ont élaboré le Plan avec la contribution de nombreux experts qui ont élaboré les annexes techniques qui accompagnent le Plan. Celui-ci continue toujours d'évoluer au fil des nouvelles connaissances acquises sur les souches potentielles de grippe et sur les mesures pouvant être adoptées pour éventuellement influer sur les conséquences d'une pandémie de grippe.

Le Comité de la grippe pandémique est composé notamment d'experts en santé publique des provinces et territoires, d'autres spécialistes de la santé publique et de l'intervention d'urgence, d'un éthicien, ainsi que de représentants de l'Agence de santé publique du Canada. Les membres des groupes de travail qui ont conçu les annexes techniques représentent un large éventail d'expertise et d'expérience pertinentes pour la planification d'une pandémie. Toutes les provinces et tous les territoires ont actuellement une copie du Plan canadien de lutte contre la pandémie d'influenza et s'en sont inspirés pour leur propre planification provinciale. Le Plan est examiné et avalisé par le Conseil des sous-ministres.

début

Comment le plan a-t-il été élaboré?

Le plan se fonde sur les principes fondamentaux de la santé publique et de l'intervention d'urgence. Le Canada dispose d'un plan de lutte contre la pandémie depuis 1988, plan qui continue d'évoluer en fonction de nos recherches, de notre expérience et de l'expertise des autres pays qui connaissent des éclosions de maladie. Ce plan a été mis sur pied en collaboration avec les provinces et territoires par l'entremise du Comité de la grippe pandémique et en consultation avec plus de 200 experts.

début

Quel genre d'activités le plan prévoit-il?

Les objectifs de la préparation et de l'intervention contre la grippe pandémique sont d'atténuer les maladies graves, la mortalité et toute perturbation sociale au sein de la société canadienne par suite d'une telle pandémie. Il décrit, surtout, les activités de prévention et de préparation nécessaires avant que survienne une pandémie, dont les programmes de surveillance et de vaccination, les antiviraux, les services de santé, les services d'intervention d'urgence, les mesures de santé publique et les communications.

début

En quoi le Plan a-t-il changé depuis sa publication l'année dernière?

Depuis sa publication l'année dernière, nous continuons à déployer des efforts dans toutes les activités de préparation recommandées et les aspects non encore réglés décrits dans le Plan. Le Comité de la grippe pandémique est actuellement en train de mettre le Plan à jour afin que ce dernier reflète la nouvelle terminologie relative à la phase pandémique publiée par l'OMS au début de 2005. La mise à jour devrait être terminée d'ici décembre 2005 et elle paraîtra alors dans le site Web de l'ASPC. Trois annexes techniques additionnelles sont en voie de préparation aux fins de publication et font ressortir encore plus les activités de préparation nécessaires et les rôles des intervenants. D'autres annexes sont mises à jour à la lumière de l'expérience et des données plus récentes avec les éclosions de grippe. Ces documents et d'autres activités constantes de préparation continueront de constituer le cadre de la préparation à une pandémie au Canada.

Plan canadien de lutte contre la pandémie d'influenza >>

 

Mise à jour : 2005-10-31 haut de la page