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Devenir agent de renseignements

Profils - Agents de renseignements

Prenez le temps de lire ce que certains agents de renseignements ont à dire au sujet de leur carrière au SCRS.

(Veuillez prendre note que, pour protéger la vie privée de nos employés, les noms ont été changés) 

James : Faire bon usage de ses connaissances et de ses compétences

James, ingénieur bilingue dans la trentaine, travaille au Programme d'armes de destruction massive (ADM) de la Lutte contre la prolifération depuis environ deux ans.

Après avoir obtenu son diplôme de l'université, James a voyagé en Europe et en Asie pendant quelques mois avant de commencer à travailler comme conseiller scientifique pour le gouvernement. Il trouvait que son poste correspondait bien à ses études en génie environnemental, mais il aurait préféré un emploi qui soit davantage axé sur le volet international. Lorsque son intérêt pour l'actualité l'a amené à consulter le site Web du SCRS, il a été surpris de découvrir que l'organisation offrait des perspectives d'emploi aussi nombreuses et stimulantes. Il était conscient que, s'il travaillait pour le SCRS, son diplôme d'ingénieur pourrait ne plus lui servir, mais il a néanmoins décidé de poser sa candidature.

En moins d'un an, il avait réussi toutes les entrevues et le test polygraphique et était admis au Programme de formation des agents de renseignements. Il a ensuite été affecté au Programme des ADM à l'administration centrale du SCRS. « Ma crainte de renoncer à mon expertise en génie s'est vite évanouie », a-t-il dit. Il s'est vite rendu compte qu'un agent de renseignements est fréquemment appelé à résoudre une kyrielle de problèmes. « C'est un milieu où les activités se déroulent à un rythme rapide et où il faut constamment faire preuve de créativité. Ma formation d'ingénieur m'a non seulement aidé à résoudre des problèmes, mais à comprendre plus facilement des renseignements scientifiques complexes, a ajouté James. Comme le Programme des ADM nécessite des connaissances poussées en sciences, le fait que j'aie une formation scientifique est vraiment un atout aussi bien pour moi que pour l'organisation ».

James ressemble à un grand nombre d'agents de renseignements : leurs connaissances poussées les aident à être plus efficaces et à combler l'écart entre eux et les experts de divers domaines qui travaillent sur les dossiers. « Je suis content de pouvoir mettre mes compétences à profit pour résoudre des problèmes complexes qui peuvent avoir des répercussions importantes au Canada et, par extension, dans le reste du monde. Mon travail offre le meilleur des deux mondes : mes études en sciences et mon intérêt pour l'histoire et l'actualité », a-t-il expliqué.

Linda : Faire de notre monde un monde meilleur

Linda est entrée en fonction au SCRS en 1988; elle y a occupé divers postes dont celui d’adjointe à la recherche. En 1991, elle est devenue agente de renseignements.

Linda a vécu à l’étranger au cours de sa jeunesse et elle a beaucoup voyagé. Elle a donc été exposée très jeune à différentes cultures. Lorsque le temps fut venu de faire un choix professionnel, elle a opté pour le domaine du renseignement afin de satisfaire son grand intérêt pour les affaires mondiales, la politique et la culture.

« En tant qu’agente de renseignements, j’ai la possibilité de travailler dans diverses régions d’un océan à l’autre et à l’étranger. Pour réussir, il faut développer des capacités d’analyste du renseignement et aussi d’enquêteur sur place. »

Linda indique que le fait de travailler avec le public et de recueillir de l’information constitue le point culminant de sa carrière; elle compare cela au travail d’un reporteur. « Ce sont les gens que l’on rencontre et avec qui l’on fait affaire qui rendent notre travail intéressant. Le fait d'avoir une influence sur le cours des choses et de contribuer à la collectivité pour la rendre meilleure, c’est ça notre travail. »

Mark : Un changement de carrière qui en vaut la peine

Mark est entré en fonction au SCRS il y a huit ans, après avoir enseigné les lettres et les sciences humaines aux niveaux secondaire et collégial. Il a changé de carrière, car il avait besoin d’un défi intellectuel et il voulait jouir d’une plus grande mobilité.

Le Service est réputé pour ses normes élevées; c’est ce que Mark apprécie. « Le Service est reconnu comme le meilleur en son genre au monde. » Mark souligne aussi de nombreux avantages de travailler au SCRS : des emplois intéressants qui ont une grande incidence sur la sécurité du pays, des responsabilités particulières et d’excellents programmes de formation.

Mark fait savoir aux nouveaux venus qu’il est important de ne pas confondre le processus pénal et les procédures juridiques et judiciaires avec le mandat et la raison d’être du Service. « Le Service recueille et protège les renseignements. Le personnel fait des recherches et analyse l’information pouvant constituer une menace pour la sécurité du Canada, et il en informe le gouvernement fédéral. »

Poser sa candidature : oui ou non?

 


Date de modification : 2005-11-14

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