Service Canadien du Renseignement de Sécurité, Gouvernement du Canada, Canadian Security Intelligence Service, Government of Canada
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Exemples d'activités d'espionnage

La méthode la plus courante pour recueillir des renseignements clandestins consiste à recruter une personne qui a accès à l'information recherchée (par exemple des employés, des entrepreneurs, des consultants, des étudiants, etc.). Il y a cependant d'autres méthodes, dont les introductions par effraction, l'ouverture subreptice de porte-documents, la photocopie, l'analyse de rebuts et l'interception de communications.

Voici quelques exemples d'activités d'espionnage :

  • Une entreprise canadienne qui espérait passer un contrat lucratif avec un gouvernement étranger a vu sa technologie compromise, lorsqu'elle a accepté qu'un ressortissant du pays en question participe à un projet de technologie de pointe dans un secteur sensible et que le gouvernement étranger a ensuite reproduit cette technologie en se fondant sur l'information obtenue directement par son ressortissant qui avait accès au projet.


  • Un service de renseignement aurait été chargé par son gouvernement d'obtenir de l'information précise. Pour ce faire, il s'est adressé à des pirates informatiques qui ont infiltré les bases de données de deux compagnies canadiennes, dont de nombreux systèmes informatiques, mots de passe, dossiers du personnel et fichiers de recherche ont été compromis.


  • Un scientifique étranger travaillant dans le secteur de la biotechnologie a volé des cultures de laboratoire et des manuels confidentiels dans une société canadienne qui aurait alors perdu de précieuses données de recherche et développement, ainsi que des bénéfices éventuels.


  • Un gouvernement hôte est soupçonné d'avoir intercepté des conversations téléphoniques entre un gestionnaire supérieur en voyage à l'étranger et le siège de son entreprise au Canada. Les deux cadres canadiens ont discuté en détail des négociations, notamment d'une offre minimale précise. Le lendemain, la société hôte a fait une contre-proposition correspondant à cette offre minimale.


  • Un cadre d'une entreprise canadienne, qui visitait à l'étranger une société avec laquelle il avait une entente commerciale, a fortement soupçonné que son porte-documents et son contenu avaient été compromis lorsqu'il les avait laissés « en sécurité » dans le bureau de la société étrangère.


 


Date de modification : 2005-11-14

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