Service Canadien du Renseignement de Sécurité, Gouvernement du Canada, Canadian Security Intelligence Service, Government of Canada
Éviter tous les menus * * * * *
* English * Contactez-nous * Aide * Recherche * Site du Canada
*
* Le SCRS * Priorités * Publications * Salle de presse * SPPCC
*
* Page d'accueil * FAQ * Index A à Z * Plan du site * Carrières
*
* Un monde de défis
*

Publications

*
VisualisationVisualisation

* *

Publications

Opinion des Canadiens concernant le SCRS — printemps 2005

(Note de la traductrice : le masculin a été employé pour alléger le texte.)

La Direction des communications a récemment chargé la firme Ekos de réaliser un sondage d’opinion auprès des Canadiens pour déterminer dans quelle mesure ils connaissent le SCRS et ce qu’ils en pensent. Ce sondage, été réalisé entre le 21 et le 28 avril 2005 auprès d’un échantillon de 1 003 Canadiens, présente une marge d’erreur de plus ou moins 3,1 %, dix-neuf fois sur vingt.

Voici un court résumé des résultats du sondage.

Connaissance générale 

  • Un pourcentage relativement élevé (69 %) de Canadiens ont entendu parler du SCRS (« précisément » dans 48 % des cas et « vaguement » dans 21 % des cas). 
  • Les membres des minorités visibles (56 %) connaissent moins le SCRS que les membres des minorités non visibles (72 %). 
  • Les résidents de la Colombie-Britannique sont ceux qui connaissent le mieux le SCRS (81 %) et les Québécois sont ceux qui le connaissent le moins (54 %)

Impressions

  • Le sentiment de la population envers le SCRS est plutôt positif. Beaucoup plus de répondants éprouvent un sentiment « positif » (44 %) à l’endroit du SCRS que « négatif » (21 %). Un grand nombre de Canadiens (32 %) se disent « neutres ». 
  • La Colombie-Britannique est incontestablement la province où le sentiment négatif est le plus élevé (36 %), bien qu’un plus grand nombre de gens de cette province perçoivent le Service de façon plus positive que négative. 
  • Il n’y a aucune différence notable dans l’opinion (positive ou négative) des membres des minorités visibles.
  • Aucune tendance claire ne permet d’expliquer pourquoi les Canadiens ont une opinion négative ou positive du SCRS. Les trois réponses les plus populaires sont : « je ne sais pas », « neutre » ou « aucun rapport négatif ». Les « erreurs passées » et « le SCRS ne remplit pas ses tâches de façon efficace » font partie des raisons avancées par les Canadiens pour justifier une opinion défavorable. « Le SCRS est nécessaire à la sécurité du Canada » et « le SCRS assure la sécurité du Canada » font partie des raisons avancées pour justifier une opinion favorable.

Connaissance 

  • Les Canadiens connaissent peu le rôle et le mandat du Service. 
  • Les hommes, les Canadiens qui touchent un revenu plus élevé et les citadins sont légèrement mieux informés.  
  • Deux Canadiens sur trois (67 %) pensent que le SCRS a le pouvoir d’arrêter ou de détenir des gens. 
  • Un pourcentage semblable (63 %) estime que le SCRS enquête sur n’importe quel groupe de protestation, qu’il soit jugé violent ou non. 
  • Environ un tiers de la population croit que les agents du SCRS transportent une arme de poing, un tiers pense qu’ils ne sont pas armés et un tiers n’en sait rien. 
  • Environ deux tiers des Canadiens (65 %) savent que le SCRS échange des informations avec d’autres services de sécurité étrangers.


Appui de la sécurité nationale 

  • La grande majorité des Canadiens (82 %) estime qu’il est important de pouvoir compter sur une organisation comme le SCRS pour enquêter sur les menaces qui pèsent sur la sécurité nationale.  
  • Trente-huit pour cent (38 %) des Canadiens reconnaissent « faire confiance au SCRS pour trouver le juste équilibre entre la sécurité et la liberté publique ». Vingt-huit pour cent (28 %) ne sont pas d’accord.  
  • Trente-neuf pour cent (39 %) des Canadiens conviennent que « le SCRS devrait jouir de pouvoirs accrus en vue d’assurer la sécurité nationale, même si, pour ce faire, les Canadiens doivent renoncer à une certaine protection de leur vie privée », tandis que 41 % s’y opposent.

John Dunn
Directeur général
Direction des communications

-30-

 


Date de modification : 2006-05-03

Haut

Avis importants