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Vidéo

Le Service correctionnel du Canada
Agit quant aux drogues en prison
Script de nouvelles vidéo

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AUDIO Transcription
Narration :

Visitez une prison fédérale et vous recevrez cet accueil type à la porte. Le Service correctionnel du Canada, l'organisme gouvernemental qui gère les pénitenciers fédéraux au Canada, est dur à l'égard de la contrebande.

Julie Keravel travaille au Service correctionnel du Canada.

Julie Keravel :

« Nous, au Service correctionnel du Canada, nous reconnaissons que 80 % de nos délinquants, quand ils arrivent chez-nous, ont des problèmes de toxicomanie. Leurs problèmes ne sont pas différents de ceux de la société. C'est de la marijuana, de la cocaïne, de l'héroïne, de l'alcool. Qu'est-ce qu'on fait pour faire face à ce défi ? On a vraiment une approche à deux volets. La première approche, c'est vraiment une interdiction pour faire face à l'approvisionnement de drogues en établissement et l'autre c'est d'offrir des programmes d'intervention. »

Narration :

Il y a littéralement des milliers de personnes qui entrent et sortent des prisons fédérales tous les jours. Pour réduire la contrebande de substances illégales dans les prisons, le Service correctionnel utilise des outils et des méthodes de détection de pointe, comme les numériseurs ioniques et les détecteurs de métal.. Les chiens détecteurs de drogues sont entraînés pour s'asseoir lorsqu'ils détectent des drogues. Larry Stebbins est directeur de l'établissement Joyceville en Ontario.

Larry Stebbins :

« Des drogues qui entrent en contrebande dans un établissement créent une situation dangereuse. Certains détenus partageront les aiguilles et cela peut augmenter le risque d'exposition à des maladies infectieuses, comme le VIH et l'hépatite. D'une perspective de sécurité, vous avez des contrevenants qui contrôlent l'échange de drogues. Ils utilisent l'intimidation, la bousculade. Ils agressent les détenus et ils forcent aussi les visiteurs à apporter des drogues dans l'établissement, ce qui est très problématique. »

Narration :

Toutefois, mettre fin à l'entrée de drogues dans les prisons fédérales ne constitue que la moitié de l'équation. Les programmes contre la toxicomanie, le traitement à la méthadone et les initiatives comme les unités de soutien intensif, jouent un rôle majeur pour aider les délinquants à briser cette habitude.

Julie Keravel :

« Nous avons des programmes en établissement qui offrent des outils à nos délinquants pour vaincre leurs dépendances. Ces programmes-là peuvent être des programmes de prévention de la toxicomanie qui sont offerts à tous nos hommes et femmes en établissement. Et ainsi, nous sommes en train de développer des programmes qui visent spécifiquement les autochtones. Nous offrons aussi des unités de soutien intensif où si un délinquant veut vivre dans un environnement sans alcool et drogue, on lui donne la chance. »

Narration :

Ennio Mike Stirpe est un détenu de l'établissement Joyceville qui participe au programme d'entretien à la méthadone.

Ennio Mike Stirpe :

« La méthadone fait partie de ma vie depuis 14 ans. Sans elle, je ne sais pas où j'en serais actuellement. Elle m'aide à mieux communiquer avec ma famille. Elle me donne une perspective des véritables dommages que les drogues peuvent faire. »

Narration :

Pour de plus amples renseignements sur le Service correctionnel du Canada et ses initiatives en matière de drogues, visitez le site web www.csc-scc.gc.ca.

Un reportage de Louise Philippe.

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