Gestion du risque évoluée
Gestion du risque intégrée – Constatations
- Les contrôles financiers sont en place, et les plafonds de dépenses sont respectés.
- Les gestionnaires veillent à ce que les lois soient respectées par l'adoption des systèmes, l'examen des rapports, la formation des employés et l'assurance de la qualité, des examens par des superviseurs, des examens permanents, ainsi que des mises à jour et des vérifications fréquentes.
- Les gestionnaires estiment que des mécanismes de contrôle ont été mis en place sans que le niveau de risque ait été évalué.
- Les activités du Ministère sont perçues comme étant limitées par des règlements et des lois.
- Les gestionnaires sont d'avis que les délégations de pouvoir ne sont pas régulièrement examinées.
- Les niveaux de pouvoir associés à un poste précis sont différents d'une direction générale à l'autre.
- Les structures de pouvoir sont perçues comme des instruments de contrôle et non comme des outils stratégiques.
- Les données et systèmes clés du Ministère ne sont pas totalement intégrés; ils ne permettent donc pas aux gestionnaires de déterminer les domaines qui présentent des problèmes et de prendre des décisions efficaces à cet effet.
- Les gestionnaires utilisent peu l'échantillonnage statistique axé sur les risques. Toutefois, les méthodologies de vérification adoptées demandent le recours à l'échantillonnage statistique et non statistique afin de vérifier la justesse des contrôles.
Occasions à saisir
- Le Ministère pourrait effectuer un examen pour déterminer l'importance de l'écart en ce qui a trait à la délégation de pouvoir aux postes et entre les directions générales.
- Le Ministère pourrait effectuer un examen des contrôles de gestion et des risques associés de façon à réduire le nombre de règles et de lois le régissant.
- Le Ministère pourrait mettre en œuvre des systèmes d'information intégrée qui fourniraient aux gestionnaires de l'information les aidant à prendre des décisions opérationnelles efficaces.
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Gestion du risque intégrée
Des mesures ont été instaurées pour cerner, évaluer, comprendre, régler et communiquer systématiquement et uniformément les risques.
Cote 2,50 |
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Aucune mesure officielle de gestion du risque n'existe. La notion de gestion du risque est mal comprise. |
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Des politiques et lignes directrices sont en place dans quelques services fonctionnels seulement. Le risque est évalué en profondeur au niveau opérationnel. La gestion du risque se fait principalement dans le cas de grandes initiatives comportant des ressources importantes. Des politiques ou lignes directrices n'existent pas pour l'ensemble du Ministère. Les problèmes touchant l'ensemble du Ministère sont réglés au fur à mesure qu'ils surviennent. Des fonds pour éventualités ou des réserves sont en place pour traiter des imprévus. Les lacunes éventuelles ont été identifiées et des stratégies ont été élaborées et mises en œuvre pour les gérer. L'organisation commence à utiliser un vocabulaire commun de la gestion du risque. |
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Un cadre intégré de gestion du risque a été adopté. Le Ministère tient un profil du risque ministériel. L'orientation de la direction en matière de gestion du risque et de la tolérance de l'organisation à l'égard du risque est communiquée, et les gestionnaires principaux se font les champions de la gestion du risque. Les principaux risques sont cernés et des plans sont élaborés pour gérer les risques. La gestion du risque est intégrée au processus décisionnel. Les gestionnaires reçoivent une formation à l'égard des principes, des techniques et des outils de gestion du risque et les appliquent. Un processus commun de gestion du risque est appliqué à tous les niveaux. Le même sens est donné à la gestion du risque. Les consultations avec les intervenants sont permanentes. Des mécanismes d'évaluation et de préparation de rapports sont en voie d'élaboration pour signaler le rendement par rapport au risque. |
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La gestion intégrée du risque fait partie intégrante de la stratégie générale du Ministère et modèle sa culture du risque. L'apprentissage continu en gestion du risque est encouragé. Les résultats de la gestion du risque sont intégrés aux politiques, plans et pratiques organisationnels. Les enseignements tirés de l'expérience sont valorisés et les enseignements sont partagés. Divers outils et méthodes sont utilisés pour gérer le risque (par exemple des cartes du risque, des outils de modélisation). Le Ministère examine périodiquement sa tolérance face au risque. Le partage des pratiques exemplaires et des expériences sert à augmenter les connaissances des gestionnaires. Des conseillers aident à intégrer une orientation ministérielle à la gestion du risque. |
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La gestion du risque appuie le changement culturel en faveur d'un effectif et d'un milieu avertis au risque. L'intégration de la gestion du risque au processus décisionnel est appuyée par une philosophie et une culture ministérielles selon lesquelles la gestion du risque est l'affaire de tous. Le Ministère préconise l'innovation et la prise de risques judicieux. Les résultats de la gestion du risque servent à appuyer l'innovation, l'apprentissage et l'amélioration continue. Le Ministère est considéré comme un chef de file de la gestion du risque. |
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Justification
Des politiques et des lignes directrices sur la gestion du risque sont en place dans des directions générales précises, et l'évaluation des risques est principalement effectuée du point de vue opérationnel pour chaque incident. Un cadre de gestion du risque intégré, qui présente en détail le processus d'élaboration d'un profil de gestion du risque intégrée, a été établi. Toutefois, la plupart des gestionnaires ne sont pas au courant de l'existence de ce document. La gestion du risque est mise en œuvre pour les principales initiatives qui touchent une quantité importante de ressources. Certaines directions générales intègrent la gestion du risque dans le processus de prise de décisions. Certains risques ont été déterminés, et des plans ont été élaborés pour en gérer quelques-uns.
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