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![]() Volume 21, No 4 - 2000 |
![]() Compte rendu d’un atelier sur l’activité physique et la prévention du cancer Volume 21, No 4 - 2000
Résumé Action Cancer Ontario a tenu en mars 2000 un atelier qui visait à
évaluer les preuves concernant le rôle de l’activité
physique dans la prévention du cancer et à définir
un ordre de priorité, surtout en ce qui concerne la prévention
primaire du cancer. Un examen des preuves scientifiques a été
commandé et un groupe d’experts a été chargé
de se pencher sur le compte rendu de cet examen, et de faire des recommandations
dans les domaines de la recherche et de l’intervention en santé
publique. Le groupe a conclu que les preuves du rôle joué
par l’activité physique dans la prévention étaient
convaincantes dans le cas du cancer du côlon; probables dans le
cas du cancer du sein; possibles dans le cas du cancer de la prostate
et insuffisantes en ce qui concerne les autres types de cancer. Il a recommandé
que des messages préconisant au moins 30 à 45 minutes d’activité
physique modérée ou vigoureuse la plupart des jours de la
semaine fassent partie des mesures de prévention primaire du cancer.
Il a recommandé en outre que les futures recherches sur l’activité
physique englobent des évaluations complètes, notamment
des mesures des multiples aspects de l’activité physique et des
divers types d’activité physique; des mécanismes biologiques
qui entrent en jeu et des facteurs liés au comportement et à
la population. Action Cancer Ontario intégrera des messages de
promotion de l’activité physique dans ses programmes de prévention
primaire axés sur la nutrition et sur un poids-santé. Introduction Le cancer occupe le deuxième rang des causes de décès en Ontario, après les maladies cardiovasculaires. À moins d’une baisse marquée des taux de mortalité attribuable au cancer, comme celle enregistrée dans le cas des maladies cardiovasculaires, le cancer est sans doute appelé à devenir la première cause de décès d’ici quelques décennies1. Selon les estimations de l’Institut national du cancer du Canada, le cancer sera diagnostiqué chez 24 700 femmes et 25 200 hommes et entraînera le décès de 11 200 femmes et de 12 500 hommes en Ontario, en 20002. À mesure que la population avancera en âge et étant donné l’amélioration et l’application plus systématique des techniques de dépistage du cancer à un stade précoce, le nombre de personnes qui recevront un diagnostic de cancer ne cessera de croître. Le Bureau du cancer de Santé Canada estime que, si la tendance actuelle se maintient, le nombre de nouveaux cas de cancer augmentera de 40 % d’ici 20103. La tendance marquée à la hausse du nombre de cas de cancer entraînera une augmentation des besoins en services de traitement et pèsera lourd sur le système de santé de l’Ontario. D’après un rapport du médecin hygiéniste en chef de la province de l’Ontario, le seul traitement des personnes atteintes de cancer a occasionné des dépenses de l’ordre d’un milliard de dollars en 19944. Les coûts actuels sont certainement plus élevés étant donné que le nombre de cas a augmenté et que les coûts de certains nouveaux agents chimiothérapeutiques sont supérieurs à ceux des produits auparavant utilisés. Un cas diagnostiqué de cancer est lourd de conséquences pour l’individu sur le plan financier : manque à gagner, coût des médicaments utilisés pour combattre les symptômes de la maladie et coût des traitements. La lutte contre le cancer englobe la prévention, la détection précoce, le traitement, les soins de soutien, la recherche et l’éducation. Si l’on a enregistré des progrès étonnants dans le traitement de certains cancers, il s’est avéré jusqu’ici extrêmement difficile de traiter de manière efficace les quatre formes de cancer les plus répandues (soit les cancers du poumon, du sein, du côlon et de la prostate)5. Si l’on veut réduire sensiblement l’incidence du cancer ainsi que la morbidité et la mortalité imputables à cette maladie, il y a lieu de mettre davantage l’accent sur la prévention6. Des initiatives de prévention efficaces peuvent avoir pour effet de réduire l’incidence du cancer et la mortalité par cancer de 50 % ou plus7. Les taux de cancer du côlon, du sein et de la prostate fluctuent considérablement d’un pays à l’autre8. Ainsi, toutes ces formes de cancer sont plus répandues en Amérique du Nord qu’en Asie. Ces tendances, et le vaste corpus de recherches dans le domaine, font ressortir l’importance du rôle joué par les habitudes de vie dans l’étiologie de ces formes de cancer, et de beaucoup d’autres.
Au cours de l’automne 1999, la Division d’oncologie préventive d’Action Cancer Ontario (ACO) a instauré un processus en deux étapes devant permettre de trouver des moyens d’entreprendre des recherches et de mettre en oeuvre des politiques et des programmes d’activité physique et de prévention primaire du cancer. 1. Un expert en activité physique et en cancer a été chargé d’examiner, d’évaluer et de résumer les preuves, et 2. Des experts se sont réunis dans le cadre d’un atelier afin de se pencher sur l’examen des preuves et de s’entendre sur le degré de fiabilité des preuves et des mesures à prendre en priorité. ACO est un organisme provincial de lutte contre le cancer, chargé de dispenser de nombreux services clés dans le domaine et de superviser tous les aspects de la lutte contre le cancer en Ontario. La Division d’oncologie préventive est responsable de la prévention, du dépistage et de la surveillance du cancer, de la recherche en oncologie préventive et du programme de soins contre le cancer en milieu autochtone.
Dans un premier temps, ACO a confié à la Dre Christine Friedenreich de l’Alberta Cancer Board d’entreprendre une recension systématique de la littérature publiée sur le lien entre l’activité physique et le cancer9. La Dre Friedenreich fait autorité dans ce domaine et connaît bien le contexte opérationnel des organismes provinciaux de lutte contre le cancer. Son mandat consistait, d’une part, à évaluer la fréquence, l’intensité et la durée de l’activité physique associées à une réduction des risques et à résumer la recherche sur les interventions en matière d’activité physique et, d’autre part, à recommander des études à faire et des initiatives à adopter en santé publique. La Dre Friedenreich a évalué les données probantes établissant un lien entre l’activité physique et diverses formes de cancer à l’aide d’une version adaptée des critères décrits dans le rapport sur la nutrition et la prévention du cancer, publié par le World Cancer Research Fund/l’American Institute for Cancer Research (WCRF/AICR)10. Dans ce document, les preuves «convaincantes» désignent celles qui sont concluantes; les preuves «probables» désignent celles qui sont suffisamment solides pour permettre de conclure à la probabilité d’une relation de cause à effet; les preuves «possibles» révèlent l’existence possible d’un lien de causalité et les preuves «insuffisantes» indiquent que les preuves sont trop peu nombreuses pour que l’on puisse en tirer des conclusions plus définitives. Le tableau 1 offre une description plus détaillée des divers degrés de fiabilité des preuves10. |
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Le rapport de la Dre Friedenreich a été au centre des discussions des participants à l’atelier. On s’attendait toutefois à ce que les connaissances de ces derniers et leur point de vue sur la recherche publiée et en cours auraient pour effet d’enrichir, voire de modifier, les conclusions et les recommandations du rapport.
L’atelier sur l’activité physique et la prévention du cancer a été tenu à Toronto les 24 et 25 mars 2000. Il a réuni un groupe d’experts formé de onze scientifiques des milieux universitaire et gouvernemental et des organismes de lutte contre le cancer du Canada, des États-Unis et de la Norvège. Sept autres ont été invités en qualité d’observateurs. On trouvera à l’annexe 1 la liste des participants qui représentaient les secteurs de l’épidémiologie, de l’éducation physique et de la santé, des sciences de l’activité physique et des sciences du comportement. Objectif général et objectifs spécifiques L’atelier avait pour objectif général d’évaluer les preuves de l’existence d’un lien entre l’activité physique et la prévention du cancer. Il avait pour objectifs spécifiques de favoriser un consensus sur les points suivants :
Matériel, structure et programme de l’atelier Les participants ont reçu d’avance le programme de l’atelier, une liste des participants, une copie du rapport rédigé par la Dre Friedenreich9 et des études publiées par deux des participants sur les mécanismes biologiques11 et la recherche sur les interventions12. Au cours de l’atelier proprement dit, certains autres éléments d’information ont été distribués (p. ex., des données canadiennes sur le niveau d’activité physique de la population et un résumé des recommandations de divers organismes sur l’activité physique et la santé publique). Parmi les documents distribués avant l’atelier figurait un questionnaire destiné à mieux cerner le point de vue des participants sur l’état général des preuves (études épidémiologiques, biologiques et recherche sur les interventions) et les questions de santé publique et à dégager des recommandations en la matière. Les participants devaient remettre à l’animateur leur questionnaire dûment rempli avant la tenue de l’atelier pour que les réponses puissent être rassemblées et présentées au début de l’atelier. Une copie du questionnaire est annexée à ce document (annexe 2). Au cours de la première journée, les participants ont examiné et analysé les preuves et tenté d’établir l’amorce d’un consensus à ce sujet. La deuxième journée, plus courte, était réservée à l’établissement d’un consensus définitif et à l’élaboration de recommandations en santé publique, étayées par les preuves examinées. Analyse des preuves Les participants ont eu droit à une séance d’orientation
sur les besoins de la Division d’oncologie préventive d’Action
Cancer Ontario concernant la mise au point de stratégies sur l’activité
physique et la prévention du cancer. Cette séance a été
suivie de la présentation du rapport de la Dre Freidenreich
et des résultats du questionnaire distribué avant l’atelier.
On trouvera au tableau 2 un résumé de
la recension de la littérature épidémiologique réalisée
par la Dre Freidenreich et de son évaluation de la solidité
des preuves.
Consensus au sujet des preuves Les participants à l’atelier étaient nombreux à souscrire aux conclusions concernant l’existence d’un lien entre l’activité physique et la prévention du cancer, présentées dans le rapport de la Dre Freidenreich. Le tableau 3 rend compte du consensus établi au sujet des degrés de fiabilité des preuves. |
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Recommandations en santé publique Le tableau 4 présente les recommandations
en santé publique concernant la réduction des risques de
cancer, sur lesquels se sont entendus les participants à l’atelier
et qu’ils ont présentées à Action Cancer Ontario.
Les participants ont admis avoir eu de la difficulté à tirer
des conclusions définitives de l’examen des preuves existantes
en vue de formuler des recommandations en santé publique. En effet,
la littérature scientifique n’apporte aucun élément
d’information précis sur le niveau d’activité associé
à des bienfaits optimaux (soit la durée, la fréquence,
l’intensité et l’âge). Malgré ces lacunes, les participants
ont jugé qu’ils disposaient de preuves suffisantes pour soumettre
des recommandations judicieuses qui s’accordent avec celles d’autres autorités
sanitaires. Des exemples de ces recommandations sont fournies au
tableau 5. De l’avis des participants, il y a lieu d’approfondir les recherches sur les effets de l’activité physique sur de nombreux types de cancer. Toutes les recommandations présentées au tableau 6, sauf une, s’appliquent aux études traitant de n’importe quelle forme de cancer. Comme les preuves de l’effet bénéfique de l’activité physique sur la prévention du cancer du côlon sont jugées «convaincantes», les participants ont conclu à la nécessité d’entreprendre des recherches sur les stratégies d’intervention susceptibles de réduire les risques de cancer du côlon (voir la quatrième recommandation). La première recommandation est présentée en caractères gras pour indiquer qu’il s’agit d’un domaine de recherche clé. |
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Analyse Comme le nombre de cas diagnostiqués de cancer chez les femmes et chez les hommes en Ontario (et partout au Canada) est en hausse, il faudra mener des recherches épidémiologiques, biologiques, comportementales et des études sur les interventions afin de faciliter l’adoption d’initiatives en santé publique axées sur les habitudes de vie qui peuvent être modifiées pour réduire les risques de cancer chez les individus. La démarche suivie lors de l’atelier a permis un débat approfondi sur les preuves existantes et fourni aux participants l’occasion de se pencher sur des recommandations et des priorités dans le domaine de la santé publique ainsi que sur des pistes de recherche à explorer. Action Cancer Ontario a déjà intégré ce résumé de l’évaluation des preuves dans son document intitulé «Stratégie de prévention du cancer en Ontario», paru en mai 200021. Cette stratégie désigne la lutte contre le tabagisme, la promotion d’une saine alimentation et l’activité physique comme les priorités de l’organisme en matière de prévention du cancer. ACO s’emploie actuellement à mettre au point un ensemble de stratégies de réduction des risques axées sur la nutrition, le poids-santé et l’activité physique. Les recommandations issues de cet atelier seront intégrées à diverses initiatives de prévention primaire d’ACO. L’organisme conçoit aussi des activités de surveillance des facteurs de risque afin de suivre les tendances observées dans la population en ce qui concerne le niveau d’activité physique recommandé, surtout dans l’optique des nouvelles stratégies ou des nouveaux programmes. Les recommandations découlant de cet atelier devraient être diffusées à grande échelle. Elles aideront les organismes et organisations qui s’intéressent à l’activité physique et à la condition physique, pas nécessairement dans l’optique du cancer, à justifier davantage leurs efforts en vue de promouvoir les effets bénéfiques de l’activité physique sur la santé. Elles peuvent aussi faire partie des arguments stratégiques invoqués par ACO, ses partenaires et d’autres organismes à l’appui de demandes de financement, de l’élaboration de programmes et de la défense de politiques.
Remerciements Cet atelier a été rendu possible grâce aux fonds octroyés par l’Unité de la prévention, Division d’oncologie préventive, Action Cancer Ontario. Nous tenons à remercier les onze scientifiques membres du groupe d’experts, dont la participation enthousiaste et généreuse à l’élaboration de recommandations aidera tous ceux qui s’occupent de prévention du cancer en Ontario. Nous sommes également reconnaissants envers les observateurs qui nous ont fait don de leur temps et de leur énergie, ont enrichi le débat de leurs idées et défini un cadre pour l’application continue des recommandations de l’atelier. Références 1. Groupe d’étude ontarien sur la prévention primaire du cancer. Recommandations sur la prévention primaire du cancer. Toronto: ministère de la Santé de l’Ontario, 1995. 2. Institut national du cancer du Canada. Statistiques canadiennes sur le cancer 2000. Toronto: INCC, 2000. 3. MacNeill I. Projections of mortality and hospital morbidity for leading causes. Rapport adressé au Bureau des opérations, de la planification et des politiques, Laboratoire de lutte contre la maladie, Santé Canada. avril 2000. 4. Médecin hygiéniste en chef. Échec au cancer. Toronto: ministère de la Santé de l’Ontario, 1994. 5. Bailar JC, Gornik H. Cancer undefeated. N Engl J Med 1997;336:1569-74. 6. Miller AB. Canadian contributions to cancer control. Can J Oncology 1994;4:238-42. 7. Harvard Center for Cancer Prevention. Causes of human cancer. Cancer Causes Control 1996;7(Suppl). 8. Parkin DM, Whelan SL, Ferlay J, Raymond L, Young J. Cancer incidence in five continents, Vol VII. IARC Scientific Publications No. 143. Lyon, France: IARC, 1997. 9. Friedenreich CM. Physical activity and cancer: review of the evidence for a preventive role. Report prepared for the Physical Activity and Cancer Prevention Workshop, Cancer Care Ontario; 2000 March 24–25; Toronto, Canada. 10. World Cancer Research Fund/American Institute for Cancer Research. Food, nutrition and the prevention of cancer: A global perspective. Washington DC: American Institute for Cancer Research, 1997. 11. Shephard RJ, Shek PN. Associations between physical activity and susceptibility to cancer: possible mechanisms. Sports Med 1998;26:293-315. 12. McTiernan A, Schwartz RS, Potter J, Bowen D. Exercise clinical trials in cancer prevention research: A call to action. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 1999;8:201-7. 13. Friedenreich CM. Physical activity and cancer prevention: from observational to intervention research. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. (sous presse) 14. Santé Canada. Guide canadien d’activité physique pour une vie active saine. Ottawa, 1998; no H39-429/1998 au catalogue. 15. Société canadienne du cancer. Les sept règles de santé. <www.cancer.ca/info/pubs/sevenf1.htm>. février 2000. 16. Harvard Center for Cancer Prevention. 7 ways to prevent cancer. <www.hsph.harvard.edu/Organizations/Canprevent/7ways.htm>. January 2000. 17. American Cancer Society. Guidelines on diet, nutrition and cancer prevention. May 1999. 18. U.S. Department of Health and Human Services. Healthy People 2000: National health promotion and disease prevention objectives. Washington, DC: U.S. Department of Health and Human Services, Public Health Service, 1990. DHHS Pub No. (PHS) 91-50212. 19. U.S. Department of Health and Human Services. Healthy People 2010. www.health.gov/healthypeople/Document/HTML/uih/uih_4.htm#physactiv). January 2000. 20. International Union against Cancer. UICC statement of diet, nutrition and cancer. <www.uicc.org/nutrition/nutristate.shtml>. July 1999. 21. Action Cancer Ontario. Stratégie de prévention du
cancer en Ontario : mieux vaut prévenir...Division d’oncologie
préventive, Action Cancer Ontario. mai 2000. <www.cancercare.on.ca/reports/blueprint/cover.html>. |
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Références
des auteurs
Loraine D Marrett, Division d’oncologie préventive, Action Cancer Ontario; et Département de sciences de la santé publique, Université de Toronto Beth Theis, Division d’oncologie préventive, Action Cancer Ontario Frederick D Ashbury, PICEPS Consultants, Inc.; Département d’oncologie, Université McGill; Faculté des sciences infirmières, Université du Manitoba; et Centre de promotion de la santé, Université de Toronto La liste des membres du groupe d’experts figure à l’annexe 1 Correspondance : Dre Loraine D Marrett, Division d’oncologie préventive, Action Cancer Ontario, 620 University Avenue, Toronto (Ontario) M5G 2L7; Téléphone : (416) 971-5100, poste 1214; Téléc. : (416) 971-6888; Courriel : loraine.marrett@cancercare.on.ca |
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Dernière mise à jour : 2002-10-02 | ![]() |