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![]() Influenza aviaire A (H5N1) : Mise à jour de la situationMise à jour: 14 février 2006L'Agence de santé publique du Canada continue de surveiller de près et de faire état des cas d'influenza aviaire A (H5N1) ou « grippe aviaire » chez des oiseaux et des humains . D'autres pays confirment l'infection au virus H5N1 chez des oiseaux La Bulgarie, la Grèce, l'Italie et les Slovénie ont
officiellement informé l'Organisation mondiale de la santé animale
(OIE) de cas d'influenza aviaire H5N1 chez des oiseaux dans leur pays
respectif. Les rapports de notification officiels sont disponibles sur le site Web de l'OIE Ces pays n'ont pas signalé de cas humain d'influenza aviaire H5N1. Sommaire de la situation de l'influ enza aviaire (H5N1) chez les humains Jusqu'à maintenant, on a déclaré des cas d'influenza
aviaire A (H5N1) chez des humains au Vietnam, en Thaïlande, au Cambodge,
en Indonésie, en Chine, en Turquie et en Irak. Depuis la fin de décembre
2003, les cas d'infection chez les humains ont eu lieu au cours de
trois périodes ou vagues distinctes d'activité. La présente
vague d'activité est en cours depuis le 16 décembre
2004, et on continue de signaler des cas sporadiques dans les sept pays.
Pour connaître le nombre à jour des cas humains de H5N1, par
région et par période, prière de consulter la page
Web suivante (en anglais seulement) : Cumulative
Number of Confirmed Human Cases of Avian Influenza A/(H5N1) Reported to
WHO Sommaire de la situation de l'influenza aviaire (H5N1) chez les oiseaux Depuis la mi-décembre 2003, plusieurs pays d'Asie ont déclaré des flambées d'influenza aviaire A (H5N1) chez la volaille et les oiseaux sauvages. En juillet 2005, on a confirmé la présence du virus, qui jusque-là était confiné à l'Asie, chez des oiseaux dans un nombre croissant de pays d'Europe. Selon l'Organisation mondiale de la santé animale et d'après
les critères prescrits au Code sanitaire pour les animaux terrestres (2005),
d'importantes flambées d'infection H5N1 chez les oiseaux
persistent au Cambodge, en Chine, en Indonésie, en Thaïlande,
au Vietnam, en Russie, au Kazakhstan et en Mongolie. On a également
récemment confirmé la présence du virus chez des oiseaux
en Turquie, en Roumanie, en Croatie en Ukraine, en Irak, au Nigeria, en
Bulgarie, en Grèce, en Italie et en Slovénie. Pour obtenir
de plus amples renseignements sur le virus H5N1 et d'autres éclosions
d'influenza aviaire chez les animaux, consultez le site Web de l'Organisation
mondiale de la santé animale Source : Organisation mondiale de la santé (OMS), Organisation mondiale de la santé animale, EU-Europa Renseignements sur l'influenza aviaire A (H5N1) L'influenza aviaire A (H5N1) est une infection virale contagieuse qui peut, estime-t-on, affecter toutes les espèces d'oiseaux. Les humains, dans de rares cas, peuvent également contracter l'infection. C'est en 1997 que l'on a signalé les premiers cas humains d'infection au virus de l'influenza aviaire A (H5N1). L'éclosion s'est déclarée à Hong Kong, où 18 humains infectés par la souche H5N1 ont souffert de troubles respiratoires graves et 6 en sont décédés. L'infection chez les humains coïncidait avec une épidémie du virus H5N1 chez les populations de volaille domestique de Hong Kong. Les études des cas humains d'infection au virus H5N1 donnent à penser que le contact direct avec de la volaille infectée a été le principal moyen d'infection, sinon le seul. Toutefois, dans un petit nombre de cas il n'a pas été possible d'établir le contact direct avec de la volaille infectée. Dans quelques cas, il semblait y avoir eu transmission de personne à personne, mais ces cas impliquaient des contacts personnels très étroits et prolongés avec une personne infectée (comme donner des soins à un parent alité et malade) et aucune transmission ultérieure n'a eu lieu. Au Canada, plusieurs médicaments antiviraux sont disponibles pour la prévention et le traitement de l'influenza saisonnière. Bien qu'il n'existe aucune preuve que ces médicaments peuvent prévenir l'infection par le virus A (H5N1), des études réalisées par le biais du Global Influenza Surveillance Network (Réseau national de surveillance de l'influenza) de l'OMS ont démontré que l'antiviral Oseltamivir pourrait être efficace dans le traitement de la souche A (H5N1). Recommandations Par mesure de précaution, l'Agence de santé publique du Canada recommande aux voyageurs se rendant au Cambodge, en Chine, en Indonésie, en Thaïlande, au Vietnam, en Russie, au Kazakhstan, en Mongolie, en Turquie, en Roumanie, en Croatie, en Ukraine, en Irak, au Nigeria, en Bulgarie, en Grèce, en Italie et en Slovénie - là où l'on a signalé des éclosions d'influenza aviaire A (H5N1) chez la volaille ou chez des humains - de considérer les mesures suivantes : Faites-vous vacciner annuellement contre la grippe. Actuellement, il n'y a pas de vaccin offrant une protection contre le virus de l'influenza aviaire A (H5N1). Le vaccin saisonnier actuel contre la grippe ne fournit pas de protection contre le virus H5N1; par contre, une telle immunisation pourrait être utile aux voyageurs se rendant dans des régions du monde où l'on a détecté des cas de H5N1 chez les humains. Les personnes immunisées avec le vaccin saisonnier sont moins susceptibles de contracter la grippe saisonnière. Cela réduit conséquemment la probabilité qu'une personne vaccinée soit infectée par les deux formes de l'influenza, humaine et aviaire, en même temps. Si une personne venait à être infectée en même temps par les deux virus, ces derniers pourraient se « mélanger » et muter en un nouveau virus qui pourrait se propager facilement et contre lequel les humains n'auraient aucune immunité . Évitez tout contact non nécessaire avec de la volaille domestique et des oiseaux sauvages . Cela comprend notamment les fermes avicoles et les marchés où l'on vend des animaux vivants et de boucherie, comme des poulets et des canards, car ces animaux peuvent être vecteurs du virus de l'influenza aviaire A (H5N1). Les recherches ont démontré que le risque d'infection est plus grand chez les personnes qui sont en contact direct avec de la volaille vivante ou morte, ainsi qu'avec les surfaces contaminées par leurs excréments ou sécrétions. Les voyageurs devraient savoir que le virus de l'influenza aviaire A (H5N1) peut adhérer aux cheveux et aux vêtements et peut être inhalé. Veillez à ce que la volaille préparée pour la consommation soit très bien cuite (jus de cuisson clairs et aucune chair rosée visible) afin d'éliminer le risque d'infection . La température interne pour un poulet entier et pour ses parties devrait atteindre de 82 ° C à 85 °C. Bien qu'on ne détienne à ce jour aucune preuve de transmission du virus par des aliments contaminés, il demeure toujours préférable d'éviter les plats de volaille insuffisamment cuits ou crus, y compris les œufs et les produits à base d'œufs. Suivez les précautions habituelles en ce qui concerne l'entreposage, la manipulation et la préparation des aliments . Les voyageurs devraient suivre de strictes mesures d'hygiène, notamment le lavage complet des mains, surtout après le contact avec des œufs ou avec des produits à base d'œufs et de volaille insuffisamment cuits, et pour prévenir la contamination croisée avec d'autres produits alimentaires. Puisque les microorganismes causant les maladies se retrouvent fréquemment sur les mains, le moyen le plus important de prévenir les infections demeure de bien se laver les mains avec de l'eau chaude et savonneuse pendant au moins 20 secondes. Les voyageurs peuvent aussi utiliser une solution antiseptique sans eau, à base d'alcool. Par contre, si les mains sont visiblement sales, il est préférable de les laver à l'eau et au savon avant d'utiliser de tels produits antiseptiques. S'il est impossible d'utiliser de l'eau et du savon, il faudrait nettoyer d'abord les mains avec des lingettes imprégnées de détergent afin d'enlever toute trace de terre. Voici les recommandations de l'Agence canadienne d'inspection des aliments afin de prévenir l'introduction du virus de l'influenza aviaire dans les populations animales du Canada :
À titre de rappel… L'Agence de santé publique du Canada recommande habituellement aux Canadiens se rendant à l'étranger, peu importe la destination, de consulter leur médecin de famille ou une clinique santé-voyage avant leur départ pour obtenir une évaluation personnelle des risques encourus et pour déterminer leurs besoins en matière d'immunisation ainsi que les médicaments prophylactiques et les mesures de protection personnelle nécessaires.
En outre, l 'Agence de santé publique du Canada recommande aux voyageurs qui tombent malades ou ne se sentent pas bien à leur retour au Canada de prendre rendez-vous avec leur médecin pour une évaluation de leur condition. Ces voyageurs doivent informer leur médecin, dès le début de l'entrevue, qu'ils ont voyagé ou ont vécu hors du Canada et préciser les endroits visités. Renseignements additionnels : Renseignements additionnels de l'Agence de santé publique du Canada sur l'influenza aviaire :
Renseignements de l'Agence de santé publique du Canada sur l'influenza :
Autres renseignements connexes de l'Agence de santé publique du Canada :
Sources externes de renseignements : On peut trouver d'autres renseignements de l'OMS sur l'influenza aviaire à la page
Web de l'OMS sur l'influenza aviaire A (H5N1) L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) publie un tableau à jour
du nombre de cas humains de H5N1 par région et par période
: Cumulative
Number of Confirmed Human Cases of Avian Influenza A/(H5N1) Reported to
WHO L'OMS publie également d es rapports internationaux sur l'influenza
au site
Web sur la grippe de l'OMS Les rapports internationaux sur les animaux infectés, par pays,
sont disponibles au site de l'Organisation
Mondiale de la Santé Animale
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Mise à jour : 2006-02-14 | ![]() |