![](/web/20061212065047im_/http://www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/html/gfx/Violencef/coverf.jpg)
proclame avec dynamisme la nouvelle campagne nationale
des radiotélédiffuseurs privés pour aider
à enrayer la violence dans notre société.
S'alliant de nouveau à des
ministères fédéraux, les radiotélédiffuseurs
privés poursuivent l'effort entrepris en 1994-1995 sur
le thème « La violence: Ne restons pas indifférents
» Au cours de cette campagne, qui a connu un énorme
succès, des centaines de stations de radio et de télévision
ont affecté plus de 10,6 millions de dollars, en temps
d'antenne, à la diffusion de messages. Ces messages visaient
à sensibiliser les Canadiens et Canadiennes au fait que
la violence nous rend tous victimes et que c'est à nous
qu'il appartient de trouver une solution.
La campagne 1996 s'articule autour d'une
nouvelle série de messages dramatisés pour la radio
et la télévision. Elle traite plus précisément
de la violence envers les femmes et les enfants et de la connaissance
des médias.
Des fiches où vous trouverez des «
conseils pratiques pour réagir à la violence »
en constituent un élément clé. Chaque message,
que se soit à la radio ou à la télévision,
offre une suggestion, que des fiches documentaires développent
en indiquant d'autres moyens de réagir. Ainsi, on y donne
des conseils sur la façon de contrôler sa colère,
d'aider les victimes de mauvais traitements, d'élaborer un
plan de sécurité, de réagir à la violence
en milieu familial et d'obtenir de l'aide. D'autres messages contribuent
à sensibiliser le public au rôle et à l'influence
des médias. Les radiotélédiffuseurs compléteront
ces conseils par des émissions spéciales et des activités
communautaires de leur cru.
« La violence : à vous de réagir
» est le plus récent des projets entrepris par les
radiotélédiffuseurs dans le cadre du
programme « En ondes pour le Canada
» de l'Association canadienne des radiodiffuseurs (ACR). Les
campagnes précédentes ont connu beaucoup de succès
et ont d'ailleurs été primées : la première
(1991) portait sur « L'harmonie raciale » et la deuxième
(1992) a servi de prélude au référendum sur
la Constitution, en rappelant aux Canadiens et Canadiennes que,
pour mieux s'entendre, « Il faut se parler ». Institué
en 1990, le programme « En ondes pour le Canada » est
fondé sur les 150 millions de dollars dont les radiotélédiffuseurs
privés font don chaque année sous forme de temps d'antenne
gratuit, et sur les 110 millions de dollars qu'ils recueillent au
profit de bonnes oeuvres.
Alliés contre
la
violence
« La violence : à vous de réagir
» est un projet auquel collaborent des centaines de stations
de radio et de télévision, qui se sont alliées
à des organes gouvernementaux, à diverses organisations
et au public pour combattre la violence.
La réalisation des messages qui seront
diffusés à la radio et à la télévision
a été financée par les ministères fédéraux
du Patrimoine canadien, de la Santé, de la Justice, du Développement
des ressources humaines et de la Défense nationale, ainsi
que par Condition féminine Canada et par la Gendarmerie royale
du Canada. Des spécialistes de ces ministère dans
le domaine de la violence ont aidé à formuler le concept
et les objectifs de la campagne.
CFMT-TV,
de Toronto et CJVB, Vancouver se sont chargées de produire
les messages dans d'autres langues que le françcais et
l'anglais. Le Réseau de télévision
CTV Ltée a transmis les messages télévisés
et leur version sous-titrée aux télédiffuseurs,
tandis que Nouvelles Télé Radio, Broadcast News
Limited et Pelmorex Radio Network ont assuré la distribution
des messages destinés à la radio. L'Association
canadienne des représentants en radiodiffusion a aidé
à dresser la strategie média, et Cossette Communication-marketing,
firme maintes fois primée, a investi des centaines d'heures
dans le projet. |
Activités
suggérées aux députés et sénateurs |
Les fiches documentaires ci-jointes donnent
plus de détails sur les conseils fournis dans le cadre de
la campagne « La violence : à vous de réagir
» et portent sur les thèmes de la violence envers les
femmes, la violence envers les enfants et la connaissance des médias.
Voici des moyens de participer à cette
campagne
- Photocopiez et faites circuler les fiches
documentaires sur les « conseils pratiques pour réagir
à la violence » parmi votre personnel et vos
électeurs.
- Demandez au personnel de votre bureau
de circonscription de dresser une liste des numéros de
téléphone des maisons d'hébergement pour
femmes, des sociétés de l'aide à l'enfance
et des services sociaux des municipalités pour pouvoir
les fournir rapidement aux personnes qui pourraient appeler pour
obtenir de l'aide.
- Incorporez certains des conseils dans
vos envois collectifs ou dans un article pour un journal communautaire.
- Collaborez avec les groupes communautaires
à l'organisation de rencontres publiques. Invitez les participants
à discuter le fonctionnement des médias, le genre
de messages qu'ils véhiculent et les effets qu'ils ont
sur nous tous comme consommateurs d'imprimés et de productions
vidéo et audio.
- Faites connaître la participation
du gouvernement fédéral à cette initiative
et appuyez les activités anti-violence.
Activités
suggérées aux organisations communautaires |
Les fiches documentaires ci-jointes donnent
plus de détails sur les conseils fournis dans le cadre de
la campagne « La violence : à vous de réagir
» et portent sur les thèmes de la violence envers les
femmes, la violence envers les enfants et la connaissance des médias.
Violence envers
les
femmes et
les enfants
- Photocopiez et distribuez les fiches
documentaires sur les « conseils pratiques pour réagir
à la violence » parmi votre personnel et les membres
du public.
- Dressez une liste, si vous n'en avez
pas déjà une, des numéros de téléphone
des maisons d'hébergement pour femmes, des sociétés
de l'aide à l'enfance et des services sociaux des municipalités.
Gardez-la à portée de la main pour pouvoir la consulter
rapidement lorsque des personnes appellent pour demander de l'aide.
- Incorporez certains des conseils dans
votre bulletin interne et dans votre bulletin aux clients.
- Encouragez les victimes de violence et
les agresseurs à lire les fiches documentaires afin de
pouvoir reconnaître facilement les signes d'agression et
obtenir de l'aide.
- Prenez d'autres initiatives qui pouffaient
être utiles aux victimes et aux agresseurs.
Connaissance
des
médias
- Parlez aux membres de votre organisation
et à vos clients de la documentation sur la connaissance
des médias.
- Reproduisez la fiche documentaire sur
la connaissance des médias et distribuez-la.
- Invitez des spécialistes des médias
à participer à des séminaires ou à
des ateliers sur le sujet.
- Collaborez avec d'autres groupes communautaires
à l'organisation de rencontres publiques. Invitez
les participants à discuter le fonctionnement des médias,
le genre de messages qu'ils véhiculent et les effets qu'ils
ont sur nous tous comme consommateurs d'imprimés et de
productions vidéo et audio.
- Placez la fiche documentaire sur la connaissance
des médias bien en vue dans votre aire de réception
à l'intention de votre personnel et des membres du public.
- Adressez-vous, ou référrez
les gens, aux organisations énumérées à
la fin de la documentation sur la connaissance des médias
pour obtenir lus de renseignements.
Les partenaires
de la campagne publicitaire «La violence : à
vous de réagir» tiennent à exprimer leur
reconnaissance aux organismes suivants pour leur appui et
leur aide dans la distribution de ce matériel au public
: l'Association canadienne des chefs de police, la Ligue pour
le bien-être de l'enfrance du Canada, l'Association
ontarienne des sociétés de l'aide à l'enfance,
le YWCA du Canada et le Réseau éducation-médias. |
Also available in English
![](/web/20061212065047im_/http://www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/html/gfx/Violencef/image02.jpg)
|
Les partenaires
suivants du gouvernement fédéral sont fiers de
participer à cette campagne : Patrimoine
canadien
Santé Canada
Ministère de la Justice Canada
Condition féminine Canada
Développement des ressources
humaines Canada
Défense nationale
Gendarmerie royale du Canada |
|
Pensez-vous
que votre mari/partenaire/
petit ami se
comporte de
façon Violente
avec vous?
Signes de violence ...
Est-ce que cette personne
€ vous frappe, vous gifle, vous donne
des coups ou vous bouscule?
€ vous fait du mal ou menace de vous
faire du mal d'une autre façon?
€ vous traite comme sa possession, et
non comme une personne?
€ vous force à avoir des relations
sexuelles contre votre gré?
€ vous humilie constamment, vous fait
sentir stupide et bonne à rien?
€ rend la possibilité de partir
difficile?
€ ne vous permet pas d'avoir vos propres
amis?
« Si
cela vous rappelle quelque chose, il est probable que vous
viviez une relation
abusive.
Demandez de l'aide.
»
Tiré de la
campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
Le premier pas est souvent le plus
dur. Si vous ne faites rien, la violence continuera, même
s'il vous dit qu'il vous aime et qu'il promet de ne plus jamais
recommencer.
Vous pouvez obtenir
de l'aide. |
Si
vous pensez avoir été victime
de violence ...
- Appelez un(e) ami(e)
ou un
membre de votre famille à
qui vous faites confiance. Assurez-vous que cette personne
comprenne que la violence n'est jamais acceptable ni justifiable,
que vous n'êtes pas responsable du comportement violent de
votre partenaire et que votre sécurité et celle de
vos enfants doivent primer. Si cette personne ne vous appuie pas,
cherchez jusqu'à ce que vous ayez trouvé quelqu'un
qui peut le faire.
- Appelez une maison d'hébergement
pour femmes ou un service d'écoute téléphonique.
(Les numéros se trouvent au début de
l'annuaire.) Une maison d'hébergement pour femmes peut
vous offrir sécurité et soutien et vous aider à
réorganiser votre vie. Vous pouvez obtenir de l'aide d'une
de ces maisons sans y résider. Vous pouvez parler à
un (e) responsable par téléphone. On peut vous aider
à faire les choix qui vous conviennent et à trouver
les ressources nécessaires.
- Appelez le service de
police.
(Les numéros se trouvent au début
de l'annuaire.) N'oubliez pas que tout acte de violence physique
ou sexuelle est illégal.
- Joignez-vous à
un groupe de soutien. Vous n'êtes pas
seule. Les groupes d'entraide, où les femmes victimes de
violence se rencontrent, sont extrêmement utiles pour aider
à trouver des moyens de se protéger et d'affronter
les bouleversements émotionnels, physiques et financiers.
Adressez-vous à la maison d'hébergement pour femmes
la plus près de chez vous ou à un service d'écoute
téléphonique pour vous renseigner sur les groupes
de soutien dans votre collectivité.
- Rencontrez un
conseiller. Trouvez un conseiller qui valorise votre
droit de vous libérer d'une relation de violence, qui travaillera
avec vous, qui vous croira et qui appuiera vos choix et vos décisions.
Photocopier à volonté |
Pensez-vous
être un
agresseur dans votre relation
de couple? Interrogez-vous
sur votre
comportement ...
En tant que mari/partenaire/
petit ami :
€ Voulez-vous toujours être celui
qui commande?
€ Croyez-vous qu'il est acceptable pour
vous d'agir d'une certaine façon, mais pas pour votre partenaire?
€ Avez-vous déjà forcé
ou contraint votre partenaire à agir contre son gré
pour obtenir ce que vous vouliez?
€ Blâmez-vous votre partenaire
pour tout ce qui va mal, l'insultez-vous ou l'humiliez-vous?
€ Êtes-vous jaloux au point d'empêcher
votre partenaire de sortir seule et de fréquenter des amis?
€ Avez-vous déjà poussé,
giflé ou frappé votre partenaire? Est-ce arrivé
plus d'une fois?
€ Vous a-t-on déjà dit
que vous traitez votre partenaire de manière abusive ou inacceptable?
Les comportements visant le contrôle
suscitent la peur et non l'amour chez votre
partenaire. Examinez votre comportement de plus près et
obtenez de l'aide.
« La violence
n'est pas une perte de contrôle, c'est une prise
de contrôle. »
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
|
La violence est un comportement acquis
- avec de l'aide, vous pouvez le modifier.
Il faut beaucoup d'efforts et de temps
pour changer un comportement violent, mais ça vaut la peine! |
Conseils
aux partenaires agresseurs ... Mesures
à prendre pour
cesser de contrôler
:
- Assumez la responsabilité
de vos actes. Vous êtes responsable de votre
propre comportement. Avec de l'aide vous pouvez le changer.
- Arrêtez de blâmer
votre partenaire, l'alcool, la drogue, le stress ou quoi que ce
soit d'autre. Blâmer les autres pour votre colère
et votre jalousie n'est qu'une façon d'éviter d'assumer
la responsabilité de vos actes. Le blâme permet d'éviter
de changer.
- Adoptez de nouvelles
façons de contrôler vos émotions.
Par exemple, prenez du recul pour réfléchir à
ce que vous faites. Retirez-vous et prenez le temps de vous calmer.
Lorsque vous abordez de nouveau la question, donnez le temps à
votre partenaire d'exprimer son point de vue.
- Consultez un professionnel.
Adressez vous à un conseiller ou joignez-vous à
un groupe pour conjoints agresseurs. Faites-le bien pour vous-même
et pas seulement pour ravoir votre partenaire. Le service d'écoute
téléphonique ou la maison d'hébergement pour
femmes de votre collectivité peut vous dire où vous
adresser.
Adaptation de Vis-à-vis (vol.
11, no 4), bulletin national sur la violence familiale
financé par Santé Canada.
Also available
in English |
![](/web/20061212065047im_/http://www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/html/gfx/Violencef/image02.jpg) |
En collaboration
avec: Patrimoine
canadien Santé
Canada Ministere
de la Justice Canada |
Condition
féminine Canada Développement
des ressources humaines Canada Défense
nationale Gendarmerie
royal du Canada |
|
« Ce qui commence
par de la
domination et des abus
d'ordre psychologique ou verbal, se termine souvent par des
actes de violence physique. »
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
Ce que
vous
pouvez faire
pour aider une
femme
victime de violence - que
ce
soit une amie,
une
parenté,
une collègue
de travail ou une
voisine.
- Adressez-lui des messages
clairs.
- La violence n'est jamais acceptable
ni justifiable.
- Sa sécurité et celle de ses
enfants doivent toujours primer.
- La violence conjugale est un acte criminel.
- Ce n'est pas elle qui provoque la violence.
- Elle n'est pas responsable du comportement
de son conjoint.
- Elle ne peut pas changer le comportement
de son conjoint.
- Les excuses et les promesses ne mettront
pas fin à la violence.
- Elle n'est pas seule.
- Elle n'a pas perdu la raison.
- La violence n'est pas une perte de contrôle,
c'est un moyen de contrôle. |
- Aidez-la à élaborer
un plan de sécurité.
- Parlez-lui d'établir un plan
pour sa sécurité et celle de ses enfants.
- Aidez-la à cerner une vaste gamme
de possibilités. H ne faut pas considérer que demeurer
avec son conjoint ou le quitter en permanence sont ses seuls choix.
- Encouragez-la et aidez-la à prendre
ses propres décisions.
- Ce dont il faut tenir compte dans
un plan de sécurité.
€ Prévoir ce qu'il faut
et où il faut aller en cas de danger. Si les enfants sont
assez grands pour comprendre, les mettre au courant du plan.
€ Garder de l'essence dans votre voiture
et cacher un deuxième jeu de clefs.
€ Cacher une somme d'argent pour l'utiliser
en cas de départ précipité.
€ Prévoir un endroit sûr
où se réfugier - chez un (e) ami(e), un(e) voisin(e)
ou un(e) parent(e) fiable, ou dans une maison d'hébergement
pour femmes.
€ Établir un code pour communiquer
par téléphone avec une personne de confiance en cas
de danger.
€ Prévoir certains articles à
emporter en cas de départ précipité : pièces
d'identité (certificats de naissance, cartes d'assurance-maladie
et d'assurance sociale, permis de conduire, certificats d'immigration
ou de citoyenneté, passeports), carnets de banque, cartes
de crédit, clefs de la maison et de la voiture, médicaments
essentiels, objets indispensables pour les enfants, y compris leur
couverture ou leur jouet préférés.
€ Garder les numéros d'urgence
(y compris celui du service de police) à portée de
la main, mais bien cachés.
Photocopier
à volonté |
« Prenez des
dispositions pour votre sécurité et demandez
de l'aide. »
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
- Renseignez-vous sur
les services offerts dans votre collectivité.
- Les numéros d'urgence (police,
lignes d'urgence et lignes d'écoute téléphonique,
maisons d'hébergement pour femmes) se trouvent au début
de votre annuaire.
- Dressez une liste des noms et des
numéros des services d'urgence dans votre collectivité
pour les donner, au besoin, à une femme victime de violence.
Une femme victime de violence a besoin
de votre aide et de votre encouragement pour faire les choix qui lui
conviennent. Toutefois, il y a certains conseils à éviter
car ils sont inutiles et possiblement dangereux pour elle.
Évitez de :
- Lui dire quoi faire, quand partir ou
quand rester.
- Lui conseiller de retourner chez elle
et de redoubler d'effort.
- Tenter de lui trouver des solutions faciles.
- Lui proposer de parler vous-même
à son conjoint pour arranger les choses.
- Lui conseiller de rester pour le bien
des enfants.
Also available
in English |
Ce
que VOUS
pouvez faire
dans votre collectivité
pour
changer
les choses
- Vous renseigner sur la violence envers
les femmes et ses répercussions sur elles : lire des articles,
écouter des émissions de radio, regarder des documentaires
à la télévision, assister à des activités
communautaires concernant la violence faite aux femmes.
- Travailler à titre de bénévole
dans un organisme consacré à aider et à appuyer
les femmes victimes de violence. Fournir du transport, recueillir
des fonds, faire don de vêtements et de votre temps.
- Entretenir et encourager des relations
de respect, de collaboration et d'égalité dans les
familles. Dénoncer les relations qui reposent sur le pouvoir
et sur le contrôle imposés aux femmes et aux enfants.
- Collaborer avec d'autres à mettre
en oeuvre des services plus nombreux et plus efficaces destinés
aux femmes victimes de violence et à leurs enfants groupes
de soutien, lignes d'urgence, abris d'urgence.
Documentation préparée par Denham
Gillespie Associates, Social Work Consultants. |
![](/web/20061212065047im_/http://www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/html/gfx/Violencef/image02.jpg) |
En collaboration
avec: Patrimoine
canadien Santé
Canada Ministere
de la Justice Canada |
Condition
féminine Canada Développement
des ressources humaines Canada Défense
nationale Gendarmerie
royal du Canada |
|
Signes
avant-coureurs de la
violence dans les
fréquentations
Fréquentez-vous quelqu'un
qui…
€ Est jaloux et possessif, n'accepte
pas que vous fréquentiez d'autres ami(e)s, vous surveille
ou n'est pas capable d'accepter la rupture de la relation? Quelqu'un
qui justifie son comportement en disant qu'il vous aime trop?
€ Vous contraint à avoir des
relations sexuelles et considère les femmes et les filles
comme des objets sexuels? Essaie de vous faire sentir coupable en
disant :
« Si tu m'aimais vraiment, tu ...»
ou prend trop rapidement la relation au sérieux?
€ Essaie de vous contrôler en
adoptant une attitude autoritaire, en critiquant votre façon
de vous habiller, de parler, de danser, etc., en prenant toutes
les décisions et en ne tenant aucun compte de votre opinion?
€ A des comportements violents, a une
réputation de bagarreur, a mauvais caractère ou se
vante de ses actes de violence envers les autres?
€ Consomme de la drogue, ou boit trop
d'alcool et
insiste pour que vous en preniez?
€ Vous blâme pour les mauvais
traitements qu'il vous inflige?
€ A souvent eu des relations qui ont
mal tourné et en blâme les autres?
€ Croit que les hommes doivent dominer
et les femmes se soumettre?
€ Est décrit par les amis ou
la famille comme quelqu'un d'inquiétant ou de dangereux? |
« Jalousie et
possessivité ne sont pas des preuves d'amour.
Ce sont des signes avant-coureurs d'abus. Soyez vigilante.
Et demandez de l'aide avant qu'il ne soit trop tard.
»
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
Le Prendre en pitié
ne changera pas
son comportement…
il faut plutôt
- Apprendre à reconnaître
les signes avant-coureurs - si
ses comportements vous font peur, c'est de la violence. Que la
violence soit psychologique, verbale, sexuelle, mentale ou physique,
vous ne méritez pas d'être traitée de cette
façon.
- Décider de ce
qui vous convient le mieux, fixer
vos propres limites, ne pas en déroger et goûter
le plaisir de prendre votre vie en main.
- Demander de l'aide et
du soutienpour vous-même. Vous
n'êtes pas responsable de son comportement. Trouvez une
personne que vous respectez et en qui vous avez confiance et faites-lui
part de vos préoccupations. Cette personne pourrait être
un(e) ami(e), un(e) parent(e), un(e) orienteur(euse) ou un(e)
enseignant(e), un médecin, un(e) employé(e) d'une
ligne-secours ou d'une maison d'hébergement pour femmes.
(Consultez le début de votre annuaire pour obtenir les
numéros d'urgence.) Si vous vous êtes confiée
à quelqu'un qui n'a pas pu vous aider, essayez jusqu'à
ce que vous trouviez la personne vraiment capable de vous écouter
Photocopier à
volonté |
Si
vous pensez qu'une de vos
amies est victime
de violence
...
- Écoutez-la et
croyez-la.Ne révélez à personne
ce qu'elle vous a dit. Si vous vous inquiétez de sa sécurité
dites-lui qu'ensemble vous devez parler à quelqu'un qui
peut l'aider et la protéger.
- Déterminez la
présence d'un comportement violent et
parlez-lui de ce qui lui arrive. Rappelez-lui que la jalousie
et la possessivité ne sont pas de l'amour.
- Dites-lui qu'elle ne
mérite pas d'être blessée. Dites-lui
quelle n'a pas à se sentir coupable de son comportement
à lui. Aidez-la à distinguer entre l'amour et la
crainte suscitée par des comportements violents.
- Ne lui dites pas qu'elle
a tortsi elle veut poursuivre la relation. Continuez
à parler, à répondre à ses protestations
et à vous élever contre le comportement violent
de son petit ami.
- Gardez-lui votre amitié.
Ne l'abandonnez pas même si vous êtes
parfois déçu (e) de son refus de changer ou contrarié(e)
des choix quelle fait. Elle a besoin de vous!
- Cherchez d'autres façons
de l'aider. Adressez-vous à des
personnes qui comprennent la violence dans les fréquentations.
Appelez une ligne-secours ou une maison d'hébergement pour
femmes. Tous les appels restent confidentiels.
- Essayez de mieux comprendrela
violence dans les fréquentations. Lisez des articles, écoutez
des émissions de radio et regardez des émissions
de télévision qui traitent de cette question. Cela
vous aidera si vous vous sentez en colère ou déçu
(e) envers votre amie.
|
Si
vous pensez qu'un de vos
amis a un comportement
violent envers
sa petite amie …
- Affrontez votre ami
et signalez ses attitudes et ses comportements violents
lorsque vous en êtes témoin.
La jalousie et la possessivité sont des signes avant-coureurs
d'abus.
- Protestez contre ses
stéréotypes et sa façon d'abaisser
les femmes. Ne riez pas de ses plaisanteries et de ses commentaires
sexistes.
- Parlez des conséquences
de la violence. Les comportements violents suscitent
la peur, pas l'amour. La violence physique ou sexuelle est illégale.
- Encouragez-le à
demander de l'aide. Dites-lui que cela se reproduira
sans doute de nouveau et qu'alors ça pourrait être
bien pire. Appelez une ligne-secours ou une maison d'hébergement
pour femmes pour vous renseigner sur les services offerts dans
votre collectivité. (Les numéros se trouvent au
début de votre annuaire.)
- En tant qu'ami(e), accordez-luivotre
appui au moment où
il accepte d'assumer la responsabilité de ses actes et
d'être aidé.
Adaptation de Vis-à-vis (vol.
9, no 4), bulletin national sur la violence familiale financé
par Santé Canada.
Also available in English |
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En collaboration
avec: Patrimoine
canadien Santé
Canada Ministere
de la Justice Canada |
Condition
féminine Canada Développement
des ressources humaines Canada Défense
nationale Gendarmerie
royal du Canada |
|
« Jalousie et
possessivité ne sont pas des preuves d'amour.
Ce sont des signes avant-coureurs d'abus. Soyez vigilante.
Et demandez de l'aide avant qu'il ne soit trop tard.
»
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
La violence
dans les
fréquentationspeut
être evitée.
À titre individuel
vous pouvez ...
- Aider les jeunes à
développer leur estime d'eux-mêmes.
- Soulignez ce qu'ils font de bien.
- Écoutez avec respect lorsqu'ils vous
parlent.
- Croyez-les et prenez-les au sérieux.
- Laissez-les prendre des décisions
qui correspondent à leurs capacités.
- Aider les jeunes à
développer leur confiance en eux-mêmes.
- Apprenez-leur à résoudre les
conflits de façon non violente.
- Montrez-leur que la force et les insultes
sont inacceptables dans une relation aimante. |
- Apprenez-leur que personne n'a le droit
de posséder ou de contrôler quelqu'un d'autre.
- Apprenez-leur que la jalousie excessive
n'est pas un signe d'amour, mais un signe d'insécurité
et un besoin de contrôle.
- Prêcher par l'exemple.
- Traitez les autres avec respect.
- Réglez vos conflits et contrôlez
votre colère de façon non violente.
- Élevez-vous contre les attitudes
et les comportements violents.
- Renseignez-vous sur la violence dans les
fréquentations et les services offerts dans votre collectivité
pour aider les jeunes en détresse.
À titre de membre de
la collectivité, vous pouvez ...
- Faire savoir aux représentants
des médias ou des annonceurs qu'il est inacceptable de
montrer la violence comme un moyen de résoudre ses problèmes,
de contrôler les autres ou de parvenir à ses fins.
- Encourager l'école de votre quartier
à présenter des programmes qui favorisent le développement
de l'estime de soi et des façons positives d'établir
des rapports avec les autres.
L'information présentée ci-dessus
est tirée de Dating Violence, Alberta Office for
the Prevention of Family Violence.
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à volonté
Also available in English |
![](/web/20061212065047im_/http://www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/html/gfx/Violencef/image02.jpg) |
En collaboration
avec: Patrimoine
canadien Santé
Canada Ministere
de la Justice Canada |
Condition
féminine Canada Développement
des ressources humaines Canada Défense
nationale Gendarmerie
royal du Canada |
|
La
violence psychologique
envers les
enfants
La violence psychologique envers les enfants
consiste à ne pas leur montrer qu'on les aime; à ne
pas les prendre, à ne pas les caresser ou à ne pas
leur parler avec douceur; à leur adresser des paroles cruelles;
à s'attendre à ce qu'ils fassent ou comprennent des
choses trop compliquées pour leur âge.
Un enfant victime de violence
psychologique peut...
- agir de façon imprévisible
- changer brusquement d'humeur.
- être timide et renfermé.
- faire preuve d'hyperactivité.
- « brutaliser » les jouets
- fesser les poupées et leur dire : « tu es
méchante ».
|
Pour
bien se développer psychologiquement,
les enfants doivent
se sentir
… Protégés
Il faut qu'ils sachent que rien ni personne
ne leur fera du mal.
En sécurité
Il faut qu'ils sachent qu'ils auront tous
les soins et tout le confort dont ils ont besoin.
Aimés
Il faut leur dire et leur montrer qu'on les
aime et qu'ils sont importants aux yeux de quelqu'un.
Quand les enfants se sentent protégés,
en sécurité et aimés, ils peuvent devenir
des êtres heureux, autonomes et aimants.
Le rôle
des parents
…
Il est toujours plus difficile qu'on pense
d' être parents. Les enfants apprennent par des essais répétés.
Les parents aussi. Soyez convaincus que vous pouvez être de
bons parents. Si vous vous aimez vous-mêmes, il vous sera
plus facile d'apprendre à vos enfants à s'aimer, et
à avoir confiance en eux-mêmes.
Photocopier à
volonté |
Si
vous voulez élever
des enfants
psychologiquement
sains …
- Encouragez et félicitezvos
enfants à la moindre occasion.
- Essayez de ne pas fixer
trop de règles. Expliquez
clairement les règles et n'en dérogez pas.
- Respectez les sentiments
de vos enfants. Ne vous moquez pas de leurs peurs et
inquiétudes.
- Offrez à vos enfants de nombreuses
occasions et possibilitésd'accomplir
des choses pour eux-mêmes.
- Prêchez par l'exemple.
Un modèle de comportement coopératif et respectueux
encourage la résolution des problèmes et montre
des moyens non violents pour contrôler la colère
et régler les conflits. Si vous êtes aimable avec
les enfants, ils apprennent à l'être eux aussi.
- Prenez une pause.
Le rôle de parent est difficile
et vous avez besoin de temps pour vous-même. Réservez-vous
du temps pour rencontrer des amis, pour lire ou juste pour vous
détendre.
Also
available in English |
Si
vous vous sentez dépasse
par vos
obligations parentales
…
- Trouvez quelqu'un à
qui vous confier qui vous écoutera, qui comprendra
vos difficultés, qui vous donnera des idées ou des
suggestions utiles et qui s'intéressera à ce que
vous vivez. Ce peut être un (e) ami (e), un (e) voisin (e),
un(e) parent(e) ou un(e) conseiller(ère).
- Ne refoulez pas vos
sentiments,mais ne les faites pas subir à vos
enfants. Si vous êtes en colère ou déprimé(e),
prenez une marche; trouvez moyen de vous libérer de vos
frustrations en toute sécurité; prenez du recul.
- Changez ce que vous
pouvez.
- Partagez le soin des enfants avec
un(e) partenaire ou un (e) ami (e).
- Parlez à d'autres parents pour obtenir
du soutien et de nouvelles idées.
- Faites partie d'un groupe de parents.
- Joignez-vous à un atelier de jeu
ou fondez-en un.
- Demandez de l'aide
pour les problèmes que vous ne pouvez pas régler
seul(e).
- Les services communautaires, organismes
sociaux, centres de santé mentale de l'enfant, etc., peuvent
offrir des programmes d'appui aux parents.
- Appelez une ligne-secours ou une ligne d'écoute
téléphonique pour obtenir des renseignements sur les
services disponibles dans votre collectivité. Consultez le
début de votre annuaire pour obtenir les numéros d'urgence.
Si un endroit ne peut pas vous aider, demandez qu'on vous en recommande
d'autres.
Si vous soupçonnez qu'un enfant
est négligé ou victime de violence, faites Part de vos
inquiétudes aux services d'aide à l'enfance on aux services
de police de votre collectivité. Adaptation
de Y'a personne de parfait, programme destiné aux
parents, Santé Canada. |
![](/web/20061212065047im_/http://www.phac-aspc.gc.ca/ncfv-cnivf/violencefamiliale/html/gfx/Violencef/image02.jpg) |
En collaboration
avec: Patrimoine
canadien Santé
Canada Ministere
de la Justice Canada |
Condition
féminine Canada Développement
des ressources humaines Canada Défense
nationale Gendarmerie
royal du Canada |
|
« Des pensées
aux regrets, il n'y a qu'un geste. Ne le commettez pas.
Prenez du recul, réfléchissez. »
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
La colére
est une
émotion - la
violence
envers les
enfants
est un comportement.
L'un n'est pas nécessairement
associé à
l'autre.
Si vous vous sentez parfois si en colère
que vous craignez blesser votre enfant physiquement ou
psychologiquement ...
Apprenez à
contrôler votre
colère.
Ce qu'il faut faire.
1. Admettez que vous
êtes en colère.
Acceptez-le. Rappelez-vous que la
colère est un sentiment sain. Il est acceptable d'être
en colère, cependant il est inacceptable de frapper quelqu'un
ou d'user de violence psychologique. Prêtez attention aux
signes de colère cachée - muscles tendus, prédisposition
aux accidents, sentiment de frustration ou de déception et
tendance au sarcasme. |
2.
Déterminez la cause de votre colère.
Quelquefois c'est évident. D'autres
fois, la véritable cause peut être moins évidente.
Cela peut être une journée de travail particulièrement
éprouvante, un embouteillage qui vous a retardé (e)
ou des comptes à payer qui font que vous rentrez inquiet
(e), tendu (e) et frustré (e) et que
vous commencez à bousculer vos enfants ou à crier
après eux.
3. Prenez du recul et calmez-vous.
Éloignez-vous de la situation si possible.
Essayez de respirer à fond pour vous calmer. Réfléchissez
à ce que vous voulez faire - abaisser quelqu'un ou régler
vos problèmes? Une motivation négative entraîne
des résultats négatifs.
4. Décidez de l'attitude
à adopter.
Cernez vos choix et vos options pour résoudre
le problème. Écoutez le point de vue des autres. Choisissez
des solutions constructives et essayez-les. Si elles ne fonctionnent
pas bien, cherchez-en d'autres et essayez de nouveau.
5. Demandez de l'aide.
S'il vous est difficile de contrôler
votre colère sans blesser les autres, ou si vous vous mettez
en colère trop souvent, demandez de l'aide. Votre service
d'écoute téléphonique, votre centre de détresse,
votre organisme d'aide à l'enfance ou vos services communautaires
à la famille vous donneront des numéros de téléphone
et des adresses. Consultez le début de l'annuaire pour obtenir
les numéros d'urgence.
Photocopier à
volonté
|
Apprenez
à contrôler
votre colère.
Ce qu'il ne faut pas faire.
- Ne faites pas de remarques
désagréables.Les insultes et les injures
ne font qu'attiser la colère.
- N'évitez pas
le problème. Soyez franc et direct.
- Ne lancez pas d'accusationque
vous pourriez regretter plus tard.
- Ne tirez pas de conclusionshâtives.Écoutez
votre enfant attentivement.
- N'employez pas de force
physiqueou de violence. Évitez de frapper ou
de pousser l'enfant. Ne lancez pas et ne brisez pas d'objets.
Ne prétextez pas votre colère pour abaisser les
autres.
Documentation préparée par Denham
Gillespie Associates, Social Work Consultants.
Also available in English
|
« Parlez-en avec
quelqu'un qui peut vous aider. »
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
Lignes d'urgence et lignes
d'écoute téléphonique
Counseling et information téléphoniques
au sujet des autres services d'aide et d'orientation.
Services d'aide aux familles
et centres de services sociaux
Counseling, orientation, programmes d' «
accueil » et groupes d'appui aux parents.
Maisons de transition et
maisons d'hébergement
Hébergement d'urgence et protection
pour les femmes victimes de violence et leurs enfants.
Organismes d'aide à
l'enfance
Protection des enfants à risque et
services d'appui aux famines en détresse.
Services de police
Intervention et protection. De nombreux services
disposent d'unités spéciales chargées des cas
de violence familiale.
Alcooliques anonymes (AA),
Al-Anon et Alateen
Services d'appui lorsque l'alcoolisme et la
toxicomanie accompagnent la violence.
Centres d'aide juridique
Aide juridique pour les victimes qui ne peuvent
pas payer un avocat.
Consultez le début de votre
annuaire pour joindre les services de soutien d'urgence de votre
collectivité.
Le coût des services ne devrait
pas empêcher d'obtenir de l'aide. De nombreux services sont
offerts gratuitement ou selon un barèmed'honoraires fondé
sur la capacité de payer. |
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avec: Patrimoine
canadien Santé
Canada Ministere
de la Justice Canada |
Condition
féminine Canada Développement
des ressources humaines Canada Défense
nationale Gendarmerie
royal du Canada |
|
Brisez
le cycle de
la violence - donnez leur chance
aux enfants.
« Moi j'aimerais
bien que mes parents arrêtent de s'chicaner. Parc
quand mon père est sur les nerfs, il lui fait du mal.
»
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
Ce que vous
pouvez faire
pour aider
un enfant victime
de violence
familiale.
- Écoutez-le et
croyez-le.
En vous révélant la violence
qu'il subit dans sa famille, l'enfant vous témoigne une grande
confiance. Soyez à l'écoute et ne mettez pas en doute
ce qu'il dit!
- Il est important de
dire aux enfants :
- Que la violence est inacceptable;
personne ne mérite d'être brutalisé.
- Que ce n'est pas leur faute. Qu'ils n'ont
rien fait pour mériter ces mauvais traitements. |
- Qu'ils ne doivent pas se sentir coupables
à cause des sentiments qu'ils éprouvent. Que c'est
acceptable d'être en colère, mais inacceptable de blesser
les autres parce qu'on est en colère.
- Qu'ils ont droit à la sécurité
et au bonheur.
- Qu'il faut le dire à quelqu'un s'ils
se sentent tristes ou qu'ils ont peur. Qu'ils n'ont pas à
garder de secrets à cet égard.
- Donnez-leur le numéro de Jeunesse
j'écoute (1-800-668-6868).Ils pourront
parler de ce qui les dérange. C'est confidentiel et gratuit.
- Aidez les enfants à trouver ce
qu'ils peuvent faire quand ils sont effrayés et qu'ils
doivent échapper à une crise de violence familiale.
Aidez-les à élaborer un plan de
sécurité.
- Soyez amical avec les
enfants. Montrez-leur l'exemple d'un adulte qui peut
régler des problèmes sans user de violence.
- Mettez à leur
disposition un abri chaleureux, où
ils sont en sécurité et où ils peuvent se
soustraire aux pressions familiales.
- Prêtez une attention
particulièreaux enfants très agressifs,
aux enfants trop dociles et repliés sur eux-mêmes
ou aux enfants qui adoptent une attitude de perdants. Ce sont
souvent des signes de violence familiale.
- Intéressez les
enfants à des activités communautaires. L'amitié
peut les aider à éprouver le sentiment de sécurité
absent dans leur famille.
Photocopier à
volonté
|
Ce
quevous pouvez
fair
pour améliorer
la qualité de vie des enfantset
des femmesdans
votre collectivité
- Vous renseigner sur
la violence envers les femmes et les enfants.
Ce problème ne peut plus être
traité comme une
« affaire de famille ». Il s'agit
d'un grave problème social qui nous rend tous victimes. Renseignez-vous
sur les mesures prises dans votre collectivité.
- Quels sont les services et les mécanismes
d'aide pour aider les enfants victimes ou témoins de violence
dans leur famille?
- Jusqu'à quel point votre médecin,
votre directeur spirituel, le travailleur des services à
l'enfance et les enseignants sont-ils renseignés sur la violence
envers les femmes et les enfants?
- Vos politiciens locaux encouragent-ils les
services d'assistance aux femmes et aux enfants?
- Vous efforcer de changer
vos comportements sur le plan personnel et familial. En
tant qu'adultes, nous devons «
prêcher par l'exemple » si nous voulons servir de
modèles de comportement aux enfants.
- Préconisez la collaboration plutôt
que la compétition.
- Adoptez une règle de non-violence.
Évitez les fessées comme mode de discipline ou de
contrôle des enfants.
- Traitez les autres avec respect et dignité.
- Trouvez des moyens non violents comme modèles
pour régler les conflits.
- Protestez contre les attitudes et les comportements
sexistes. |
- Oeuvrer à titre
de bénévole.Les organismes communautaires
consacrés aux problèmes de la violence familiale
ont besoin de bénévoles.
- Obtenez la formation nécessaire pour
travailler à un service d'écoute téléphonique
pour jeunes.
- Recueillez des fonds pour la maison d'hébergement
pour femmes victimes de violence de votre collectivité.
- Participez à l'organisation d'activités
de
sensibilisation à la violence familiale
avec votre association d'animation sociale ou l'école que
vos enfants fréquentent.
- Réclamer de nouveaux
services.
Si votre collectivité ne dispose pas
des services nécessaires pour aider les enfants, oeuvrez
avec d'autres à leur mise sur pied.
- Appuyez l'établissement d'un groupe
d'appui aux enfants témoins de violence familiale.
- Renseignez-vous sur comment promouvoir des
organismes qui offrent aux enfants un milieu social et éducatif
favorable.
- Écrivez aux journaux pour protester
contre les réductions du financement des services destinés
aux enfants à risque.
Documentation préparée par Denham
Gillespie Associates, Social Work Consultants.
Also available in English
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nationale Gendarmerie
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|
La
connaissance
des médias,
c'est quoi au juste?
C'est tout simplement le fait de comprendre
le fonctionnement des médias, le genre de messages qu'ils
véhiculent et les effets qu'ils ont sur nous tous comme consommateurs
d'imprimés et de productions vidéo et audio.
Pour ce qui est de la télévision,
la connaissance des médias revient souvent à apprendre
aux enfants à devenir des téléspectateurs avertis,
car ils ne comprennent pas toujours ce quels voient et entendent
au petit écran. Comme la télévision peut exercer
une influence énorme sur eux, il importe qu'ils sachent en
tirer, ainsi que leurs parents, le meilleur parti.
Une
stratégie
familiale …
- Commencez tôt. La plupart des enfants
ont une émission de télévision préférée
dès l'âge de trois ans. Leur jeune âge
ne leur permet pas cependant de faire la distinction entre la
fiction et la réalité.
- Demandez à toute la famille de
participer à l'élaboration d'un plan d'écoute
de la télévision.
- Établissez ensemble les règles
de base concernant le genre d'émissions acceptables pour
votre famille, et expliquez pourquoi.
- Fixez des moments dans la journée
où il est permis de regarder la télévision.
fi peut y avoir deux règlements - un pour les jours d'école
et un autre pour les fins de semaine.
|
Élaborez
un plan d'écoute
de la
télévision...
- Consultez les guides télé
pour trouver des émissions qui offrent des nouvelles expériences
à vos enfants.
- Discutez des émissions que vous
et vos enfants aimez et n'aimez pas et dites pourquoi.
- Préparez une liste des émissions
préférées de la famille et indiquez-y clairement
les heures et les canaux.
- Placez cette liste contre le réfrigérateur
ou à côté du téléviseur.
- Gardez-vous du temps pour regarder des
émissions avec vos enfants. Si vous n'avez pu regarder
une émission avec eux, demandez-leur ce que vous avez manqué
pour qu'ils réfléchissent à ce qu'ils ont
vu.
- Montez une collection de vidéocassettes
et (ou) de films pour la famille. Les jeunes enfants aiment revoir
plusieurs fois leurs émissions préférées.
- Échangez des vidéocassettes
avec d'autres parents.
- Emmenez vos enfants à la bibliothèque
pour qu'ils en apprennent davantage sur un sujet qu'ils ont vu
à la télévision.
- S'il y a un grand écart d'âge
entre vos enfants, fixez des règles au sujet des émissions
que les plus âgés peuvent regarder quand les plus
jeunes sont là.
- Établissez les règles au
sujet de ce que vos enfants peuvent regarder chez les autres et
informez-en les parents touchés.
Photocopier
à volonté |
« Choisissez
une émission en fonction de son contenu, pas de son
horaire. »
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
Aidez
vos enfants
à devenir des
téléspectateurs
avertis ...
- Apprenez à vos enfants à
ne pas prendre tout ce qu'ils voient à la télé
pour la réalité.
- Poussez-les à s'interroger sur
ce qu'ils voient et entendent à la télévision.
- Si vous voyez qu'une émission
véhicule des messages ou des valeurs inacceptables pour
votre famille, parlez-en pendant l'émission et expliquez
vos inquiétudes.
- Demandez à vos enfants s'ils aimeraient
être un certain personnage de la télévision
et pourquoi.
- Expliquez comment faire la distinction
entre la réalité et la fiction à la télé.
- Expliquez que la vie montrée à
la télévision est souvent différente de la
vraie vie, surtout en ce qui concerne l'argent dont disposent
la plupart des gens, les façons de s'entendre et de régler
les problèmes ou la situation vécue par de nombreuses
femmes, de nouveaux arrivants au Canada, les personnes handicapées,
les Autochtones et d'autres groupes.
- Parlez des comportements, de la violence
et du langage présentés à la télévision.
Demandez à vos enfants si eux ou leurs amis ont déjà
vécu ou risquent de vivre le genre de situation vue dans
une émission.
- Expliquez les techniques qu'emploient
les producteurs pour créer un effet dramatique (trucages,
musique, éclairage, son, angles de prise de vue et montage).
- Demandez à vos enfants s'ils sont
préoccupés par ce qu'ils voient au petit écran
et pourquoi.
|
Parlez
des annonces publicitaires …
- Expliquez que les sociétés
passent des annonces pendant les émissions pour promouvoir
et vendre leurs produits.
- Expliquez que les annonces publicitaires
aident à financer les émissions qu'ils regardent.
- Parlez du message véhiculé
par les annonces et de la différence entre les articles
nécessaires et les articles de luxe que la publicité
pousse à acheter.
Discutez de ce que vous voyez
aux nouvelles …
- Le monde montré aux nouvelles
télévisées est souvent plus effrayant qu'il
ne l'est en réalité. Parlez franchement des reportages
d'événements dramatiques, mais expliquez aussi qu'il
s'agit de situations exceptionnelles et que la plupart des gens
n'ont pas à faire face à ce genre de menaces.
- Ayez un globe ou un atlas à votre
portée pendant les nouvelles pour montrer aux enfants où
se passent les événements vus à la télévision.
« C'est donc
à vous d'aider vos enfants à choisir leurs
émissions et à développer leur sens
critique. Ça prend du temps ... mais ça
en vaut la peine!. »
Tiré
de la campagne anti-violence de 1996 radiotélévisée
par les radiodiffuseurs
privés de Canada |
|
La règle P.R.C.
à appliquer à la télévision |
PARLEZ |
de
la télévision avec vos enfants. |
REGARDEZ |
la
télévision avec vos enfants. |
CHOISISSEZ |
les
émissions pour eux quand ils sont
jeunes, avec eux quand ils sont
plus grands |
Code d'application
volontaire concernant
la violence à
la télévision
L'Association canadienne des radiodiffuseurs
(ACR) a élaboré en 1987 son premier code traitant
de la violence dans les émissions télévisées.
Son code actuel, le Code d'application volontaire concernant
la violence à la télévision, a
été revu et renforcé en 1994. C'est le plus
strict qui existe aujourd'hui en Amérique du Nord.
Le Code comporte
plusieurs dispositions
importantes :
- L'interdiction totale de diffuser des
émissions qui contiennent des scènes de violence
gratuite et qui endossent, encouragent ou glorifient la violence.
- Des règles précises quant
à la présence de la violence dans les émissions
pour enfants. Ces règles comptent parmi les plus strictes
au monde.
- L'instauration d'une heure critique,
soit 21h, après laquelle fi est permis de présenter
des émissions destinées à un auditoire adulte
qui renferment des scènes de violence.
|
Ce
queVOUS pouvez
faire Le Conseil canadien
des normes de la radiotélévision (CCNR) est un
organisme autonome mis sur pied en 1990 par les radiodiffuseurs;
privés du Canada. Le CCNR administre le Code d'application
volontaire concernant la violence à la télévision
de l'ACR ainsi que d'autres codes (déontologie et stéréotypes
sexuels) adoptés par le secteur. Il aide aussi les Canadiens
et les Canadiennes à faire connaître leurs préoccupations
et à régler leurs plaintes au sujet d'émissions
présentées par les radiotélédiffuseurs
privés.
Pour loger une plainte, il faut d'abord communiquer
avec la station concernée par téléphone, par
lettre ou par télécopieur. La plupart des plaintes
se règlent de cette façon. Le téléspectateur
ou l'auditeur qui n'est pas satisfait de la réponse de la
station doit faire parvenir sa plainte au CCNR pour que celui-ci
y donne suite.
Pour obtenir de plus amples renseignements,
communiquer avec le CCNR, C.P. 3265, Succursale «D»
, Ottawa, Canada K1P 6H8, no de téléphone: (613) 233-4607,
no de télécopieur: (613) 236-9241.
|
Voulez-vousen
savoir plus?
Les organismes consultés pour préparer
cette documentation sont les suivants :
L'Alliance pour l'enfant
et la télévision (AET) a
préparé, de concert avec Santé Canada, une
trousse pour organiser des ateliers sur la connaissance des médias.
Il est possible d'emprunter cette trousse intitulée Chère
télé ... ou comment regarder la télévision
en famille auprès de groupes communautaires, d'associations
de' parents et d'enseignants et de certains bureaux des conseils
d'éducation. Communiquer avec l'AET au 1000, rue Fullum,
pièce C-242, Montréal (Québec) H2K 3L7, no
de téléphone : (514) 527-0933, no de télécopieur:
(514) 873-7464, ou au 344, rue Dupont, pièce 205, Toronto
(Ontario) M5R 1V9, no de téléphone: (416) 515-0466,
no de télécopieur: (416) 515-0467.
Le Réseau Éducation-Médiasest
le seul et unique organisme national à accès direct
au Canada qui se consacre à la collecte et à la communication
de renseignements sur la connaissance des médias et sur les
questions relatives aux médias qui touchent les enfants.
La documentation est gratuite. Composer le numéro sans frais
1 (800) 896-3342, ou le no de télécopieur: (514) 529-0546.
Par Internet : http://schoolnet2.carleton.ca/MediaNet,
ou par courrier électronique : n.isabelle@nfb-onf.ca |
Le
Regroupement des associations canadiennesd'éducation aux médias
(RACEM)a pour but de militer en faveur de la connaissance
des médias au Canada et de promouvoir et développer
cette connaissance. Pour obtenir de plus amples renseignements, communiquer
avec le Regroupement au 47, avenue Ranleigh, pièce 300, Toronto
(Ontario) M4N 1X2, no de téléphone: (416) 488-7280,
no de télécopieur: (416) 488-8360, courrier électronique
: pungente@epas.utoronto.ca Le
Centre national d'information sur la violencedans la famille distribue
de la documentation sur la prévention de la violence familiale,
y compris sur la violence dans les médias. Composer le numéro
sans frais 1 (800) 267-1291, ou le no de télécopieur:
(613) 941-8930. Les utilisateurs d'un ATS (appareil de télécommunications
pour sourds) peuvent composer le numéro sans frais 1 (800)
561-5643.
Also available in English |
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canadien Santé
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des ressources humaines Canada Défense
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Suggestions d'émissions
et d'activités communautaires |
Tous les messages produits pour la radio et
la télévision offrent un conseil pratique pour réagir
àla violence. Les fiches documentaires ci-jointes offrent
d'autres suggestions se rapportant plus précisément
à la violence envers les femmes et les enfants et à
la connaissance des médias. Nous vous invitons à essayer
de mettre les idées qui suivent en pratique à votre
station, car ... c'est à vous de réagir.
Violence envers
les
femmes et
les enfants
- Faites circuler les fiches documentaires,
afin que les producteurs, les animateurs et les directeurs des
nouvelles puissent s'y reporter lorsqu'ils traitent de ces questions
au cours de tribunes fibres, d'émissions-débats,
d'interviews, de magazines, de téléreportages ou
de séries télévisées, etc.
- Demandez au service des nouvelles de
dresser une liste des numéros de téléphone
des refuges locaux ouverts aux femmes, des sociétés
d'aide à l'enfance et des services sociaux de la municipalité.
Affichez-la près du standard et dans la salle des nouvelles,
afin qu'on puisse s'y reporter rapidement si un interlocuteur
demande de l'aide.
- Les membres du secteur radio peuvent
par ailleurs extraire des suggestions pratiques des fiches documentaires
et préparer différents énoncés que
le personnel des ondes pourrait ajouter à un message particulier.
- Déposez des copies des fiches
documentaires au standard de la station, afin que votre personnel
et le public y aient accès.
- Suggérez aux services des communications
ou des ressources humaines de diffuser certains des conseils par
le biais des bulletins d'information destinés au personnel.
- Mettez des copies des messages et des
conseils pratiques à la disposition des groupes communautaires,
afin qu'ils s'en servent au cours de leurs assemblées publiques
et dans le cadre de leurs programmes de participation communautaire.
- Offrez des enregistrements des messages
aux fins de présentation dans les écoles.
- Ajoutez le logo de votre station au dos
des fiches documentaires, reproduisez-les et distribuez-les.
Connaissance
des médias
- Sondez vos auditeurs ou téléspectateurs
et invitez-les à vous communiquer leur opinion et leurs
suggestions sur la violence dans les médias.
- Faites connaître les moyens que
vous employez déjà pour contrôler la violence
présentée au petit écran : avertissements,
- diffusion après 21 heures, remaniement
des longs métrages en vue de leur télédiffusion.
- Songez à produire une émission
spéciale, au cours de laquelle vous suivrez un journaliste
pour montrer comment on
- prépare un reportage ou un téléjournal.
- Faites savoir que votre station adhère
au Conseil canadien des normes de la radiotélévision.
- Offrez des visites guidées de
vos studios ou organisez des journées d'accueil en collaboration
avec les commissions scolaires locales.
- Informez les enseignants que votre personnel
des nouvelles est disposé à parler aux élèves
des médias.
- Faites réimprimer la fiche documentaire
sur la connaissance des médias, en y ajoutant le logo et
le numéro de téléphone de votre station,
et distribuez-la aux conmissions, scolaires, aux centres communautaires,
à l'occasion d'événements spéciaux,
etc.
- Invitez des spécialistes de la
connaissance des médias à participer à des
tribunes téléphoniques ou à des magazines
pour mieux sensibiliser le public à la question et faites
connaître les activités, les politiques et les pratiques
de votre station à cet égard.
- Collaborez avec des groupes communautaires
à l'organisation de forums. Invitez les participants à
discuter de ce qu'ils voient au petit écran et profitez
de l'occasion pour faire connaître les activités,
les normes et les pratiques de votre station.
- Mettez la fiche documentaire et une copie
du Code d'application volontaire concernant la violence à
la télévision bien en vue à la réception,
afin que votre personnel et les gens qui vous rendent visite puissent
les consulter.
|
Les partenaires
suivants du gouvernement fédéral sont fiers de participer
à cette campagne: |
Patrimoine canadien
Santé Canada
Ministère de la Justice
Canada
Condition féminine Canada
Développement des ressources
humaines Canada
Défense nationale
Gendarmerie royal du Canada
|