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Vie saine

Bilan de la consommation de tabac : les coûts de l'usage du tabac en milieu du travail

Notes

  1. Santé Canada, Décès au Canada attribuables au tabagisme, Ottawa, communiqué de Santé Canada, novembre 1996.


  2. Le Conference Board du Canada, Smoking Cessation Initiatives in the Workplace, Ottawa, Le Conference Board du Canada, 1995, p. 26.


  3. Herbert Mills, Economic Implications of Smoking in the Workplace, Vancouver, Insurance Corporation of B.C., 1985.


  4. Santé Canada, Enquête sur le tabagisme au Canada (quartier 2), Ottawa, Santé Canada, novembre 1994.


  5. Par exemple : Robert L. Bertera, « The Effects of Behavioural Risks on Absenteeism and Health Care Costs in the Workplace », Journal of Occupational Medicine, vol. 33, no 11 (novembre 1991), p. 1119-1124; ou Bruce Hocking, Heather Grain et Ian Gordon, « Cost to Industry of Illness Related to Alcohol and Smoking : A Study of Telecom Australia Employees », The Medical Journal of Australia, vol. 161 (octobre 1994), p. 407-412.


  6. Il vaut la peine de noter que la formule adoptée dans la présente étude pour estimer le coût de l'absentéisme entraîne vraisemblablement une sous-estimation du coût véritable. Dans une étude inédite sur le coût de l'absentéisme effectuée par le Conference Board du Canada (David Shepherdson, « Estimating the Cost of Absenteeism », Ottawa, Le Conference Board du Canada, 1992, inédit), l'auteur arrive à la conclusion que le facteur de coût net moyen pour les employés absents est égal à 1,26 fois le taux de base du salaire horaire moyen. Évidemment, le facteur de coût net ne prend pas en considération la baisse du moral des collègues de travail qui doivent supporter une plus lourd fardeau ou compenser autrement l'absence. Dans la présente analyse, nous ne nous sommes pas servi du facteur de coût net moyen pour l'absentéisme.


  7. On calcule ces avantages en divisant le revenu supplémentaire du travail (qui comprend le RPC, le RRQ, l'assurance-emploi, les charges sociales du Québec et de l'Ontario ainsi que les autres avantages payés par l'employeur pour le compte de l'employé) par le montant total des salaires et traitements.


  8. The Conference Board of Canada, Smoking Cessation Initiatives in the Workplace, Ottawa, Le Conference Board du Canada, 1995, p. 19.


  9. Dans le calcul de cette perte de productivité, nous supposons qu'aucun travail productif ne s'effectue pendant que la personne fume et que le temps perdu à fumer n'est pas compensé par une prolongation du temps de travail.


  10. Le nombre de jours de maladie correspond au nombre moyen de jours congé de maladie en 1995, d'après l'Enquête sur la population active menée par Statistique Canada.


  11. D'après le LifeGuideMD, le prix demandé à un homme de 35 ans pour une police d'assurance-vie individuelle de 200 000 $, d'une durée d'un an, est de 152 $ pour un non-fumeur et de 308 $ pour un fumeur.


  12. Selon le Bureau du surintendant des institutions financières, le montant total des primes d'assurance-vie collective payées en 1995 s'élève à 2,2 milliards de dollars.


  13. D'après l'Enquête sur la population active de Statistique Canada, il y avait en moyenne 13,5 millions d'employés en 1995.


  14. Travailleurs dans le secteur de l'entretien de bâtiments et d'habitation.


  15. Le professeur William Weis, de l'Albers School of Business (Université de Seattle) relève dix domaines dans lesquels l'employeur peut réaliser des économies  : l'assurance-maladie; l'absentéisme additionnel; l'assurance-vie et l'assurance-invalidité, l'assurance contre le feu; l'assurance-responsabilité et l'assurance contre les accidents de travail; la ventilation et la consommation d'énergie pour le chauffage et le conditionnement de l'air; la responsabilité légale; les dommages matériels, la dépréciation et l'entretien des biens; le temps perdu à fumer; le moral des employés; enfin, l'image de l'entreprise.
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