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Vie saine

Autres profils de réussite

Je n'ai pas touché à une cigarette depuis trois jours. J'essaie d'être forte, comme le reste des gens qui essaient d'arrêter. C'est difficile. J'ai réussi à tenir le coup en me tenant occupée, par exemple en peignant, en fabriquant des bijoux, en faisant n'importe quoi pour garder mes mains actives. J'ai le sentiment que ça marche pour moi, mais j'y pense tout le temps. Je peux compter sur un fidèle partisan, qui me répète les mots d'encouragement bien connus : trois jours, trois semaines, trois mois. À chacune de ces étapes, je reçois une gâterie ou une surprise. Ça marche pour moi.

J'ai commencé à fumer lorsque j'avais 40 ans. J'en ai maintenant 54, et je me rends compte que ce n'était pas très brillant. Mes petits-enfants sont si fiers de moi, ils me disent que fumer est mauvais pour moi, et ils espèrent que leur mère suivra mon exemple. J'ai essayé d'arrêter plusieurs fois, mais ça n'a pas marché. J'ai donc arrêté brusquement, sans transition. Ça fait maintenant 21 jours, et je me sens bien, à part des envies occasionnelles. Mon compagnon a arrêté lui aussi, mais il est fortement en manque, et doit utiliser des timbres. Allez, le bonjour à tous, et sachez que vous n'êtes pas seul dans votre condition. Pensez de façon positive. Réjouissez-vous de ne plus fumer.

J'ai 59 ans et j'ai commencé à ressentir des malaises qui m'ont convaincu que l'heure était venue pour moi de cesser de fumer (hypertension artérielle, souffle court et, à mon grand désarroi, problèmes occasionnels de dysfonctionnement érectile). Là où je vis, on a récemment interdit le tabac dans les lieux publics, et je me suis dit que, tant qu'à plus pouvoir en griller une avec les copains au pub, surtout compte tenu des prix actuels, aussi bien arrêter. J'ai décidé de me donner une semaine avec des timbres et pas de tabac afin « d'atterrir » en douce; j'ai également décidé de ne pas utiliser de gomme ou de truc de ce genre afin de ne pas prolonger inutilement le calvaire. La première semaine a été loin d'être facile. Je ne suis pas rentré au travail, je me suis loué des films, j'ai fait de longues randonnées, j'ai passé du temps de qualité avec ma douce, tout cela sans toucher une cigarette. J'en suis maintenant à ma dixième semaine, et j'ai même survécu à un séjour de vacances dans le Sud sans toucher au tabac. Mon souffle s'est nettement amélioré, je peux m'entraîner à la dure au gym et ma femme m'apprécie encore plus. Il ne me reste plus qu'à résister à la tentation lorsque je suis en situation de stress. Bonne chance à vous tous!

Je suis un immigrant de 39 ans qui vit au Canada depuis environ trois ans, et j'ai essayé d'arrêter de fumer à plusieurs reprises, mais je n'y suis pas parvenu. C'est que, probablement, je n'étais pas encore tout à fait prêt. J'ai failli perdre ma femme et mes enfants à cause du tabac. Si je suis encore avec eux aujourd'hui, c'est que j'ai un lourd secret. J'élaborais des scénarios compliqués afin de pouvoir m'éloigner en voiture et griller une cigarette en paix, sans que ma famille le sache. Je croyais ne jamais pouvoir me débarrasser de cette habitude. C'est de cette façon que ma vie s'est déroulée au cours des quatre à cinq dernières années, avant que je réussisse enfin à cesser de fumer.

Au bout du compte, ça a été plus facile que je ne l'avais cru. En fait, je crois que lorsque l'on se persuade que l'habitude de fumer a assez duré et que l'on veut réellement s'en débarrasser, on se trouve à surmonter, par le fait même, un obstacle majeur, c'est-à-dire la rationalisation de sa décision de continuer de fumer. Lorsque j'ai été persuadé que je ne voulais plus fumer, j'ai simplement arrêté, comme ça, sans avoir besoin de recourir à la gomme ou à des patchs. Si je puis formuler cet humble conseil : soyez honnête avec vous-même. Si vous voulez continuer de fumer, vous allez continuer, et aucun substitut du tabac ne pourra vous venir en aide. Par contre, si vous voulez vraiment arrêter, alors votre seule volonté a plus de puissance que tout autre artifice auquel vous pourriez avoir recours.

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J'ai 54 ans, et j'ai arrêté de fumer il y a trois semaines. Je me sens tellement mieux, et je n'empeste plus. On ne peut pas dire que ce soit facile. Cette habitude a eu raison de ma vie. Je me répète constamment, aussi souvent que possible, qu'il est agréable de ne plus fumer. L'affirmation donne de bons résultats. C'est une manière positive de se convaincre, comme lorsqu'on se répète constamment que l'on a besoin d'une cigarette. On finit immanquablement par céder. L'affirmation, mais dans le sens positif, ça vaut la peine de l'essayer. Nous les fumeurs devons utiliser tous les trucs à notre disposition susceptibles de nous aider à nous en sortir et à demeurer des non-fumeurs en santé. Souriez...et bonne chance.

Le soutien, les conseils et la documentation que j'ai trouvés sur le portail Internet de Santé Canada ont représenté, pour moi, une véritable bouée de sauvetage. Les messages e-j'arrête étaient brillants - il est vrai que nous, anciens fumeurs, lors des premiers stades de nos tentatives de sevrage, nous nous ennuyons souvent de nos chères cigarettes, comme si elles étaient de vieux amis que l'on ne reverra plus jamais. Toutefois, dans mon cas, les messages e-j'arrête ont comblé le vide créé par cette absence de cigarettes. Même si je n'ai jamais considéré que ces messages électroniques, générés de façon automatique, étaient devenus mes nouveaux amis, il n'empêche qu'ils m'ont tenu compagnie pendant ces difficiles premiers jours et premières semaines du sevrage.

J'ai pu m'appuyer, également, sur des être humains véritables, qui m'ont fourni un soutien formidable. Je crois devoir principalement mon succès, jusqu'à présent, au guide « Sur la voie de la réussite », qui suggère à tous ceux qui songent à abandonner le tabac, de se constituer un groupe de soutien. Si j'avais tenté l'expérience seule, j'aurais probablement arrêté brusquement, et aurais sans doute chuté tout aussi brusquement, tout comme il y a une dizaine d'années, lors de ma dernière tentative. Mais le fait de dire à mon entourage que je songeais sérieusement à arrêter de fumer ne m'a apporté que sourires, gestes d'appui, mots d'encouragement, ainsi que des astuces et des conseils qui ne me seraient jamais venus à l'esprit si j'avais procédé seule. Ces bons mots d'encouragement m'étaient prodigués par des fumeurs, d'anciens fumeurs et des gens qui n'avaient jamais fumé de leur vie. La confiance que mes amis et ma famille ont placée en moi m'a donné une grande force intérieure. Au bout du compte, c'est vous qui devez arrêter, mais rien ne facilite autant l'expérience que le soutien sincère et la confiance que les autres vous apportent.

J'en suis maintenant à ma cinquième semaine, sans la moindre défaillance. Je puis à peine le croire. Je termine en me faisant l'écho de certains propos que j'ai pu lire sur ce site : tout ce qu'on vous raconte au sujet de l'arrêt du tabac est vrai! Manger au restaurant devient une expérience PLUS agréable, car on peut réellement goûter la nourriture. On se sent simplement mieux du seul fait de pouvoir respirer. Quel soulagement de ne plus sentir mauvais. Il n'y a pas si longtemps, j'étais enragée lorsque je songeais à quel point le Canada luttait contre le tabagisme. On s'attaque d'abord aux restaurants, puis après, ce sera quoi, quelle sera la prochaine cible, les bars? Comment osait-on gâter ainsi mon plaisir de fumer? Maintenant, bien entendu, je comprends ces politiques, et je les accepte volontiers.

J'ai 28 ans et je fume depuis l'âge de 17 ans. Je prenais réellement plaisir à fumer. J'ai essayé d'arrêter bien des fois, car je savais que ce n'était pas bien. J'ai essayé 6 fois exactement, jusqu'à mars, où j'ai finalement réalisé que le tabac allait me tuer et me suis mis à me demander comment mon mari allait expliquer cela à ma fille.

Cette pensée ne cessait de me tracasser. Chaque fois que je ressentais une douleur ou éprouvais un petit malaise, ça m'obsédait, et je pensais que c'était le cancer. Cela ne pouvait plus durer. Je n'allais quand même pas m'inquiéter des quelques kilos que j'allais prendre et du changement que l'arrêt du tabac allait apporter dans mes relations sociales avec mes copines. C'est beaucoup mieux comme cela. Je suis maintenant abstinente depuis quatre mois, et je dois dire que, cette fois-ci, c'est la bonne. Mon état d'esprit est différent, et je pense à d'autre chose que simplement à moi-même. Je suis prête à être une non-fumeuse et à me libérer de cette habitude nocive qui a exercé son emprise sur moi pendant toutes ces années.

J'ai commencé à fumer de façon occasionnelle à l'âge de neuf ans. Mon meilleur ami était particulièrement doué pour dérober des cigarettes dans les paquets à moitié vides que sa mère laissait traîner un peu partout dans la maison. J'ai grimpé à un demi-paquet par jour au secondaire, et à un paquet à l'université. Lorsque j'ai fait mon entrée sur le marché du travail, je pompais deux paquets par jour. J'ai essayé d'arrêter une bonne douzaine de fois, mais toujours sans succès. Dès que je me sentais un peu nerveux, je m'empressais de quémander une cigarette à l'un de mes nombreux amis fumeurs (juste ce qu'il faut pour me calmer, que je me disais), et les anciennes habitudes avaient tôt fait de reprendre le dessus. J'avais le sentiment que jamais je ne surmonterais cette difficulté.

Puis, un jour, j'ai fait la connaissance d'une femme merveilleuse qui a chamboulé ma vie. Elle m'a fait sortir de ma torpeur. Mais elle faisait également de l'asthme, et je me rendais compte que mon tabagisme la tuait. Un certain vendredi soir, j'ai donc décidé de sortir avec les copains pour faire la boum. C'est ce soir-là que j'ai grillé ma dernière cigarette. Le lendemain matin, je ne fumais plus.

Je me suis enfermé pendant quatre jours à la maison, en ayant soin de me tenir loin de toute personne que j'aurais pu insulter et, surtout, de toute personne à qui j'aurais pu emprunter une cigarette. Je suis passé par des épisodes de tremblements et de fièvre, comme un junkie qui essaie de se sevrer. Mais j'ai passé au travers, et jamais je ne suis revenu en arrière. Ça fait maintenant trois ans de cela, et ma femme me dit encore merci. En fait, arrêter de fumer, c'est une question de motivation. Trouvez la vôtre, comme moi j'ai trouvé la mienne.

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J'ai commencé à fumer à l'âge de 13 ans et j'en ai 52. Ça fait maintenant sept jours que j'ai cessé de fumer et je suis très fière de moi. Je ne croyais pas être capable un jour de le faire et j' ai réussi. Je me dis que le pire est fait et je ne passerai plus jamais par cette semaine de sevrage - c'est trop difficile. J' arrête pour ma santé en premier et aussi pour voir grandir mon petit fils que j adore.

J'ai fumé pendant 10 ans. Je suis très fière de dire que ça fait maintenant 321 jours que j'ai arrêté, et que je me sens aux anges. J'ai décidé de visiter le site Web de Santé Canada et j'y ai trouvé une véritable mine de renseignements sur la façon d'arrêter de fumer. Je les ai tous imprimés et les ai apportés à la maison pour les montrer à mon mari. Après avoir lu toute la documentation, j'ai décidé que le jour fatidique serait le 1er avril 2004. J'ai pu me préparer psychologiquement et j'avais vraiment l'impression d'avoir pris la bonne décision.

J'ai opté pour le timbre de nicotine. La route n'a pas été toujours facile, mais mon mari m'a constamment encouragée. En voyant que j'avais arrêté, ma mère en a fait autant, elle qui fumait depuis une bonne trentaine d'années. Elle n'a pas touché à une cigarette au cours des six derniers mois. Je me félicite d'avoir eu assez d'influence pour l'inciter à arrêter elle aussi.

Je fume depuis des années. J'ai tenté de renoncer à la cigarette à maintes reprises. Votre dernière série d'annonces mettant en vedette Martin était fantastique. Habituellement, j'ai l'impression que je NE PEUX PAS arrêter de fumer bien que je sache parfaitement que c'est nocif pour moi. La diffusion d'annonces montrant aux gens comment réussir à cesser de fumer est probablement l'une des meilleures initiatives que vous pouviez prendre. Merci. Un de ces jours, je vais m'y mettre sérieusement. Toutefois, pour moi, tout comme pour bon nombre de personnes probablement, l'espoir et la motivation pèsent beaucoup plus lourd dans la balance que des renseignements effrayants montrant à quel point la cigarette est nocive (bien qu'ils soient utiles). Merci Martin.

Je n'ai commencé à fumer qu'à l'âge de 18 ans. Je viens tout juste d'avoir 38 ans. Après 20 ans, j'ai réfléchi sérieusement à mon histoire d'amour passée et actuelle avec la cigarette et en suis venu à la conclusion qu'il n'y aurait pas d'avenir pour moi si je n'arrêtais pas bientôt. En tant que diabétique, je savais que les risques accrus pour la santé pourraient signifier la mort pour moi, même si je n'ai pas d'antécédents familiaux de cancer ou de maladie cardiaque.

J'ai décidé d'arrêter « à froid », brutalement, sans transition. J'avais la conviction intime que, le mieux pour moi, c'était de purger mon système de toute cette nicotine accumulée, plutôt que de prolonger le calvaire du sevrage. Les trois premiers jours se sont déroulés sans histoire. Les symptômes du sevrage étaient beaucoup plus faciles à contrôler que je ne l'avais escompté. J'ai juste bu beaucoup d'eau et j'ai probablement un peu trop mangé. Je gardais en tout temps à portée de la main de la gomme sans sucre. Au troisième jour, les symptômes physiques s'étaient pratiquement tous estompés. Il ne me restait plus qu'à me débarrasser de l'habitude psychologique de fumer. Pour ce faire, je passais plus de temps au gymnase, je jouais à des jeux vidéo ou lisais un livre. Tout allait pour le mieux.

Et puis soudain, j'ai frappé un mur. Je croyais qu'il s'agissait simplement d'un mauvais rhume. Mais j'ai appris plus tard que l'arrêt du tabac peut avoir de véritables effets secondaires. Ça a commencé par une toux sèche, suivi d'un mal de gorge, puis par des éternuements et une sinusite. J'ai fait une recherche dans Google sur les symptômes liés à l'arrêt du tabac, et j'y ai appris que les personnes qui arrêtent de fumer sont souvent victimes de symptômes qui évoquent ceux du rhume. Des ulcérations peuvent également apparaître dans la bouche. Je me suis donc soigné comme si j'avais le rhume. Mes symptômes se sont estompés avec le temps, comme mes envies de fumer.

Je n'ai pas retouché à une cigarette depuis un mois maintenant, et je suis très fier d'avoir arrêté. Mes vêtements et mon corps ne sentent plus la fumée, je ne tousse pour ainsi dire plus, et je ne suis plus hors d'haleine si je grimpe quelques volées d'escalier. Mes tentatives précédentes n'ont duré qu'un ou deux jours, mais je crois qu'elles m'ont aidé à arrêter pour de bon cette fois-ci, encore que, pour bien du monde, un mois, ce n'est probablement pas si long que ça. Pour moi, c'est énorme, et je n'ai pas l'intention de bousiller le fruit de mes efforts en recommençant à fumer. Je souhaite bonne chance à ceux qui décident de relever le défi et les invite à venir nous raconter leur expérience. On ne sait jamais l'influence que le fait de raconter son histoire peut avoir dans la vie de quelqu'un d'autre.

Je fume depuis l'âge de 13 ans, j'en ai maintenant 43. J'en suis à ma troisième tentative. J'ai le sentiment que cette fois-ci, c'est la bonne. J'utilise le timbre, et je mets en pratique tous les conseils utiles formulés sur votre site, comme boire beaucoup d'eau, prendre de grandes respirations, faire de l'exercice et mâcher de la gomme. Je fréquente souvent votre site afin de me renforcer dans ma conviction et d'y lire des exemples de réussite - que je trouve inspirantes! Mon mari fume toujours. J'ai donc l'intention de le convaincre d'arrêter. Souhaitez-moi bonne chance...et merci!

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J'ai adhéré au programme e-J'arrête au mois d'août. Je trouve les messages vraiment emballants. Le site vivezsansfumee.ca. fournit toute une gamme de renseignements très utiles pour ceux qui essaient d'arrêter. J'aime la façon dont vous proposez des méthodes pour arrêter, adaptées aux différente raisons pour lesquelles les gens fument.

Le 4 février, ça fera six mois que je ne fume plus, youpi! Je suis vraiment fière de moi. Je vais me récompenser en me faisant un petit cadeau - je ne sais pas encore ce que ce sera exactement. Je sais ce que sera mon cadeau à mon premier anniversaire - un ensemble de vrais pots en cuivre (j'aurais probablement pu m'acheter des pots en or avec tout l'argent que j'ai gaspillé en cigarettes)

J'ai 33 ans et je fume depuis l'âge de 13 ans. Je ne croyais pas pouvoir un jour arrêter. Mes enfants avaient beau me harceler, rien n'y faisait. J'ai perdu mes grands-parents à cause du cancer, c'était des fumeurs, mais même cela ne m'a pas ralenti. Je suis arrivée au Canada il y a quatre ans, j'ai vu toute votre publicité, lu vos mises en garde sur les paquets de cigarettes et mes enfants me suppliaient d'arrêter. Je continuais quand même de fumer.

Il y a trois mois, on m'a diagnostiqué une insuffisance cardiaque. Cela n'est pas dû au tabagisme, mais à une maladie de l'enfance. Je dois subir une opération à coeur ouvert dans huit semaines. Je savais que je devais arrêter pour avoir cette opération, mais pendant les premières semaines, j'ai ignoré ce fait. Finalement, je me suis décidée et je vous ai écrit pour que vous me fassiez parvenir votre brochure sur l'arrêt du tabac. Je l'ai reçu le 1er novembre et j'ai commencé à la lire pendant le souper. Depuis lors, je n'ai pas allumé une seule cigarette.

Je suis très fière de ma réussite, de même que mes amis, ma famille et mon médecin. J'ai arrêté d'un coup, sans timbres ni gommes, sans transition aucune. Cela n'a pas été facile, surtout pendant les 10 premiers jours. Mais une fois cette étape franchie, tout a été beaucoup plus facile. Quelquefois, surtout lorsque je suis tendue ou nerveuse, j'aimerais en allumer une, mais l'envie ne dure que 5 minutes, puis s'estompe. J'ai appris comment y faire face.

Je dois dire que je croyais que ça allait être beaucoup plus terrible que ça l'a été en réalité. En fait, je m'étais imaginé que le sevrage était une épreuve beaucoup plus horrible que ça l'était en réalité, ce qui m'a facilité les choses.

Chaque fois que je crois avoir besoin de fumer, je lis votre brochure du début jusqu'à la fin et me rappelle pourquoi j'ai arrêté. Je vous remercie. Sans cette campagne et votre brochure, je ne sais pas si j'aurais pu passer à travers. Vous m'avez aidé à me sauver moi-même. Finie la toux maintenant. Et je sais que, après mon opération, j'aurai plus d'énergie que jamais auparavant et que tout ce que je souhaite désormais, c'est de vivre sans fumée. Merci, du fond du coeur, mille fois merci. Je vous jure que votre campagne aura contribué à sauver au moins une vie, la mienne.

J'ai commencé à fumer à l'âge de 13 ans. J'en ai maintenant 25 et espère avoir un enfant bientôt. J'ai arrêté de fumer il y a 61 jours, et ça continue. Quelquefois, j'ai envie de recommencer, mais je résiste, car je sais que je dois avant tout faire attention à ma santé. Lorsque l'on prend la décision d'arrêter, on doit maintenir le cap.

Ça fait 19 ans que je fume. Je n'ai que 31 ans. Je suis mariée et mère de quatre enfants. J'ai toujours fumé à l'extérieur de la maison, car je sais à quel point c'est mauvais pour les autres. Mes enfants et mon mari me supplient d'arrêter de fumer depuis plusieurs années déjà. Mes enfants me regardent, presque la larme à l'oeil, et me disent d'arrêter avant que la cigarette ne me tue. Je me fâche et leur répond que je ne mourrai pas.

Presque tous les membres décédés de ma famille sont morts du cancer. Je sais que si je n'avais pas arrêté, cela me serait arrivé. Je me suis donc engagée sur la route de l'arrêt du tabac, depuis 12 jours maintenant. Je prends cela un jour à la fois. Oui, c'est très dur, mais si on y met du sien, on peut accomplir à peu près n'importe quoi. Je ne croyais pas pouvoir durer plus d'une journée. Ça fait maintenant 12 jours, et je me sens mieux. Je ne tousse plus toute la nuit et je dégage même une odeur agréable. Je conclurais en disant que, si vous voulez arrêter de fumer, n'hésitez pas à le faire, car vous n'avez rien à perdre et tout à gagner.

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Je ne suis plus une toute jeune femme, car j'ai 62 ans, mais je fais de l'équitation, je voyage un peu partout dans le monde, je m'adonne à la natation et à la plongée sous-marine, je conduis un VTT, j'ai 11 petits-enfants et je suis revenue au Canada après avoir passé 11 ans au Mexique. Je me suis installée dans les montagnes, et j'avais de la difficulté à respirer après avoir seulement monter des escaliers ou être sortie de mon lit.

Je fume depuis l'âge de neuf ans, mais j'ai arrêté il y a deux mois. Je me suis confectionné un chapelet de relaxation, et lorsque mon corps réclame une dose de tabac, je manipule mon chapelet pour me calmer. Je mange mes trois repas par jour et je bois de grandes quantités de jus de canneberge froid. Ce n'est pas facile, mais lorsque mon corps réclame une dose, je me dis : ne lâche pas ma fille, vois combien de temps tu peux durer. Transmettez-moi de l'énergie positive s'il-vous-plaît. Je suis déterminée à vaincre cette chose. Merci pour ce forum, car j'espère que mon histoire pourra être une source d'espoir pour d'autres.

J'ai commencé à fumer lorsque j'avais 15 ans. J'en ai maintenant 37. Je me suis engagée sur la route de l'arrêt du tabac. Chaque fois que j'ai envie d'une bouffée, je prends une gomme de nicotine. Ça n'a pas aussi bon goût, mais ça marche. Mon plus jeune fils, qui a 6 ans, m'a demandé, l'autre jour, si je l'aimais. Bien sûr, ai-je répondu. Il m'a alors dit que, lorsque je mourrais du tabagisme, je ne serais plus là pour prendre soin de lui et que cela le rendrait triste. Si je l'aimais, j'arrêterais de fumer. Ça été le point tournant pour moi. Il m'a fallu un jeune de 6 ans pour me convaincre que la cigarette tue et que je devais arrêter pendant que je le pouvais encore. Bonne chance.

Je vie maintenant ma vie. J'ai commencé à fumer à l'âge de 14 ans. C'était surtout à cause de l'ennui que je ressentais dans le petit village où j'habitais. J'ai maintenant vingt-et-un ans et j'en ai assez du style de vie que je mène. Je suis annonceur à la radio - ma voix, c'est mon gagne-pain. Cela fait maintenant huit jours que j'ai fumé ma dernière cigarette, et j'en suis fier. Je sens bon, tout semble plus propre, et je n'ai plus honte de ma dépendance. On ne me reproche plus de fumer - c'est fini, et c'est formidable. Mais, cela n'a pas été facile. La gomme Trident est devenue ma meilleure amie. Je sais que je ne suis pas sorti du bois, mais au moins j'ai de l'espoir.

Cela fait 14 années que je fume.

C'est la troisième fois que j'arrête de fumer. Cela fait cinq semaines, 2 jours et 18 heures que je n'ai pas touché à une cigarette. J'ai essayé d'arrêter « tout d'un coup ». Cette fois-ci, j'utilise le timbre. Lorsque j'ai arrêté « tout d'un coup », j'ai pu me retenir pendant 2 ou 3 jours. Le timbre semble être une méthode efficace pour moi - surtout en raison du fait que je vie avec un fumeur!

Cette fois-ci, je suis prête à devenir une non-fumeuse. Cela fait quelque temps que le goût d'une cigarette ne me plaît pas. D'ailleurs, je suis chanteuse et j'en avais assez de toujours avoir un excès de mucosité dans ma gorge.

Ce qui est important pour réussir, c'est de s'occuper à faire autre chose lorsqu'on a soudainement envie de fumer. Je bois beaucoup plus d'eau, pour remplacer les cigarettes. C'est définitivement une envie à la fois, et j'ai appris à me retenir chaque fois.

Souhaitez-moi bonne chance, parce que cette fois-ci, j'y suis pour de bon!

Mon histoire ressemble à celle de Martin. J'ai commencé à fumer à 15 ans. C'était ce qu'il fallait faire pour être « cool ». Mes parents s'opposaient fortement à l'usage du tabac, ce qui me donnait encore plus le goût de fumer. À 35 ans, j'ai repensé à l'argent, à la santé et au temps gaspillés à cause de la cigarette et à la possibilité constante pour mes amis et moi d'en mourir. Si ça continue, à 50 ans, je serai branché à un appareil respiratoire, ou je vivrai dans un hôpital aux frais des contribuables, en train de mourir d'un cancer du poumon, parce que je voulais être « cool ».

J'arrête maintenant et ce n'est pas facile. Comme tout le monde, j'ai eu des rechutes. L'important, c'est de prendre les choses une minute à la fois, puis quinze, puis trente, et ainsi de suite. Essayez de vous passer de la cigarette le plus longtemps possible et utilisez les outils à votre disposition. Les choses s'amélioreront, mais il faut que vous vouliez arrêter de fumer, c'est aussi simple que ça. Le service e-J'arrête m'a vraiment aidé : les messages d'encouragement et les suggestions utiles reçus tous les jours m'ont facilité la tâche, j'en suis certain.

Je vous remercie de votre aide et si je peux inciter quelqu'un à arrêter, tant mieux!

J'aimerais vous dire un GROS MERCI pour m'avoir envoyé les messages « e-j'arrête » et le programme « Sur la voie de la réussite » offert sur votre site Web. La date que je m'étais fixée pour cesser de fumer était le 19 janvier et je n'ai PAS FUMÉ depuis! Vos courriels m'ont été d'un grand soutien tout au long du processus de renoncement. Ils m'ont aidée à fixer une date pour cesser de fumer, à mieux connaître les éléments déclencheurs et mes émotions, et m'ont appris à devenir non-fumeuse.

J'aimerais aussi vous faire part des raisons qui m'ont poussée à arrêter de fumer. La principale raison qui m'a incitée à abandonner la cigarette est un devoir que ma fille devait faire intitulé « Ce qui m'inquiète »:

1. J'ai peur de ne pas passer en français.
2. J'ai peur de ne pas réussir ma quatrième année.
3. J'ai peur que mes amis ne m'aiment plus.
4. J'ai peur de ne pas terminer mes devoirs.
5. J'ai peur que ma mère meure parce qu'elle fume tout le temps.

Elle devait également dresser une liste de choses à faire lorsqu'elle est préoccupée par ces points.

1. Demander de l'aide à mon professeur et étudier davantage.
2. Continuer d'étudier et apprécier les résultats que j'obtiens.
3. Ils m'apprécient parce que je suis une bonne amie donc rester une bonne amie.
4. Rentrer à la maison après l'école et faire mes devoirs. Demander de l'aide à maman ou à papa.
5. Je ne sais pas!

Elle a remis son devoir avec le « je ne sais pas » comme réponse. L'idée qu'elle ne savait absolument pas quoi faire et qu'elle continuerait de penser que je mourrais parce qu'elle ne pouvait rien y faire m'a fait froid dans le dos. Imaginez l'horreur que j'ai ressentie en lisant cette phrase... C'en était assez! Je devais réussir à cesser de fumer.

Elle me serre maintenant dans ses bras tous les jours en me disant combien elle est fière de moi (Je lui ai demandé de le faire pour me motiver). Je suis donc demeurée non-fumeuse avec le soutien de ma famille et de mes amis, et grâce à vos courriels quotidiens!

Merci encore de m'avoir permis d'atteindre le statut de « non-fumeuse »!

De la part d'une mère de 4 enfants

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Je n'aurais jamais cru que c'était possible mais je ne fume plus du tout depuis six semaines exactement! J'ai fumé sans arrêt pendant 27 ans, sauf pour une brève tentative de sevrage il y a deux ans. J'étais pitoyable! Ça n'a duré que cinq jours. À cette époque, j'étais motivée par l'entrée en vigueur d'un règlement antitabac dans ma ville. Ce règlement interdit le tabagisme dans tous les lieux publics fermés et s'étend même aux terrasses adjacentes aux bars et aux restaurants! Parmi toutes les raisons de vouloir arrêter de fumer, je ne voulais surtout pas devoir abandonner mes sorties dans les restaurants et les bars (ou devoir continuellement sortir pour fumer).

Je n'ai pas vraiment modifié ma façon de procéder; je prends du Zyban et j'utilise de la gomme à la nicotine au besoin, tout comme la dernière fois. Ça fait un peu cliché, mais ce qu'on dit est bel et bien vrai. Premièrement, je pense que j'ai réussi cette fois-ci parce que je le voulais VRAIMENT. Je n'étais sans doute pas tout à fait décidée la dernière fois. Deuxièmement, l'essai antérieur ÉTAIT pertinent. En effet, il m'a permis de vivre des rages de tabac et de nicotine. J'étais donc mieux préparée maintenant, puisque je savais à quoi m'attendre et comment y faire face.

Pour tous ceux et celles qui songent à faire le grand saut, allez-y! Vous verrez et sentirez les avantages plus rapidement que vous le pensez. Mes dents sont TELLEMENT plus blanches qu'avant (fini les taches disgracieuses) et je n'ai plus besoin de porter de vernis pour cacher mes ongles jaunis. Mes amis me disent que ma voix n'est plus éraillée, que ma respiration est moins bruyante et que je suis plus belle qu'avant! Tout ça après seulement six semaines sans tabac! Et ce n'est pas tout... J'ai pu passer de très bons moments dans des restaurants sans fumée (oui, la nourriture et le vin goûtent encore bon, voire meilleur, quand on ne fume plus).

En tout cas, j'espère que le changement est permanent. Je me fixe de petits objectifs. Pour commencer, je me suis juré que je me donnerais 1 journée sans tabac pour chaque année que j'ai fumé (27 ans). Par la suite, je vise 27 semaines sans tabac, puis 27 mois, enfin, vous voyez le tableau. Un jour à la fois (ou une semaine ou un mois), ça aide vraiment. Autre point non négligeable, je me récompense avec l'argent que j'économise. Ça faisait des années que je n'avais pas fait de folies pour me payer des vêtements, des chaussures ou d'autres gâteries. C'est vraiment très amusant! Finalement, j'essaie de régulièrement visiter des sites Web comme le vôtre pour me rappeler l'importance de vivre sans fumer. Continuez votre bon travail!

J'ai fumé pendant une vingtaine d'années. J'aurai bientôt 41 ans. Je suis athlète de compétition depuis l'âge de 13 ans. Mes disciplines sont le tennis, le hockey, le rugby, le squash et le vélo de montagne. J'ai toujours pu maintenir le rythme et bien réussir malgré mon tabagisme. Je ne voyais pas pourquoi je devais arrêter, puisque je pouvais être en compétition contre les meilleurs. J'ai commencé à courir ce printemps. Bien sûr, je pouvais facilement me mesurer au reste du groupe, mais cette fois-ci, mes difficultés respiratoires me dérangeaient vraiment. Il y a 10 jours, j'ai arrêté de fumer. C'est incroyable de constater à quelle vitesse ma respiration s'est améliorée (j'ai remarqué un changement dans les 24 heures). Je peux maintenant parler en faisant de l'exercice. Chaque matin sans tabac est très stimulant et j'ai hâte d'aller courir pour sentir l'amélioration de mon souffle. J'espère pouvoir réussir! Je sais que je peux réussir! Quel bonheur de respirer!

Après avoir fumé 50 ans, j'ai finalement cessé à l'âge de 68 ans. Chaque fois que je regardais le message publicitaire de Martin, j'étais davantage déterminée à cesser de fumer. Le 5 mai, j'ai donc décidé de jeter la cigarette que j'étais en train de fumer et je ne suis jamais revenue sur ma décision. Aujourd'hui, j'ai vu cette annonce de nouveau et j'espère que vous la diffusez toujours. Je tente actuellement de convaincre mon fils et ma fille de cesser également. Merci!

Je fume depuis l'âge de 15 ans... aujourd'hui, j'en ai 50 ! J'ai la chance et le bonheur d'avoir 4 adorables petites-filles. Dans le courant de juin dernier, la plus âgée des 4 (10 ans) m'a demandé d'arrêter de fumer parce que, disait-elle, elle voulait me garder encore longtemps en vie ! Aussi, samedi le 10 juillet dernier, alors que j'étais en voyage de pêche pour 5 jours, en pleine nature profonde- sans dépanneur au coin de la rue- j'ai pris la décision d'arrêter de fumer. D'abord pour moi, mais aussi pour pouvoir dire à ma petite-fille que j'ai accepté son invitation !

Racontez-nous votre histoire!

Mise à jour : 2005-12-14 Haut de la page