Notes de la réunion
Direction des produits thérapeutiques (DPT),
direction des produits biologiques et des thérapies génétiques
(DPBTG), inspectorat
Comité consultatif sur la gestion
Salle de réunion de la DPT
Édifice Holland Cross, Tour B, 1600, rue Scott
Ottawa (Ontario)
Les 9 et 10 mai 2001
Membres :
Jim Blackburn (Chair)
Andrea Baumann
John Blatherwick
Robert Goyer
Ruby Grymonpre
Mitchell Levine
Kenneth Michalko
Brenda Nunns-Shoemaker
John Parks
Jack Rosentreter
Bonnie Salsman
John Stewart
Pamela Zabe
Excusés :
Luis Barreto
Malcolm Seath
Beverley Townsend
Secrétariat :
Robert Peterson
OSPCQ Fern Levine
Présentateurs :
Ross Duncan
Julia Hill
Jean Lambert
Eric Ormsby
Observateurs :
Lynn Bernard
Dennis Brodie
Vicky Hogan
Marion Law
David Clapin (Wed. a.m.)
Danièle Dionne
1. Mot d'ouverture (Jim Blackburn)
Le Dr Blackburn souhaite la bienvenue à tous. Les participants
se présentent ensuite à tour de rôle.
Le Dr Peterson présente Lynn Bernard,
la directrice générale associée de la Direction
des produits thérapeutiques, et annonce les changements suivants
au sein du personnel :
Marta Caris a accepté un poste à la Direction
des milieux sains et sécurité du consommateur (MSSC);
Le Dr Chris Turner agit à titre de directeur
intérimaire du Bureau de l'évaluation des produits
pharmaceutiques (BEPP);
Vicky Hogan agit à titre de directrice intérimaire
du Bureau d'évaluation des produits homologués (BEPH).
2. Examen des notes de la réunion du 17
janvier 2001 et de l'ordre du jour (Jim Blackburn)
On approuve les notes de la réunion de janvier 2001 telles qu'elles
ont été rédigées.
On ajoute le point suivant à l'ordre du jour du 10 mai
2001 si le temps l'admet :
10. Enquête sur les médicaments pour enfants. Stuart MacLeod
3. Le point sur le remaniement de Santé
Canada (Robert Peterson, Julia Hill, Jean Lambert)
Le Dr Peterson présente aux membres le bilan
du remaniement de Santé Canada, à savoir la création
de la DPBTG, de la DPT et de l'Inspectorat. On a engagé
un conseiller pour analyser les diverses options susceptibles d'assurer
à chaque Direction l'accès à des services
adéquatement uniformisés. Il ressort que les Directions
devront partager certains services, alors que d'autres leur seront
affectés individuellement. L'analyse devrait être
terminée à la fin juin.
À la DPT, on s'attarde actuellement à examiner et
à remanier la structure du BEPP. Le personnel sera appelé
à participer à l'exercice. Les partenariats internationaux,
ainsi que les trois modules distincts du Dossier technique commun, à
savoir Clinique (Sciences cliniques), Non cliniques (Évaluation
des sciences pharmaceutiques) et Chimie et fabrication (Qualité)
pourraient avoir une incidence sur la structure finale. De plus, on
œuvre actuellement à l'élaboration de nouveaux types
de mesures du rendement.
Il faudra aussi revoir la structure actuelle du BEPH afin d'obtenir
une organisation mieux en mesure de remplir son mandat de pharmacovigilance
et au même diapason que les autres bureaux de la DPT.
Julia Hill, directrice générale
associée, fait le point sur la création de la Direction
des produits biologiques et des thérapies génétiques
(DPBTG). On annoncera la structure de cette nouvelle Direction le 1er
juillet 2001. Actuellement, 130 employés y sont affectés,
mais ce nombre pourrait atteindre environ 200, selon les résultats
de l'analyse des besoins en effectifs des secteurs de la biotechnologie
et des politiques. On espère doter la DPBTG d'un nouveau directeur
général au cours des six prochains mois.
Jean Lambert, directeur général, présente
les principales activités de l'Inspectorat. Il souligne que ce
dernier dessert désormais l'Inspectorat. L'Inspectorat
compte actuellement 178 employés. Une fois qu'il aura apporté
quelques modifications mineures pour satisfaire aux recommandations
du contrôle et de l'évaluation ISO réalisés,
l'Inspectorat devrait obtenir sa certification d'ici la fin de 2001.
Avant de mettre en oeuvre l'initiative de vérification du
secteur des essais cliniques, il faudra élaborer des processus,
des procédures et des lignes directrices. L'Inspectorat
négocie l'obtention d'ARM avec la Commission européenne
et l'Australie, ainsi que d'un ARM tripartite entre le Canada,
les É.-U. et le Mexique. Toutefois, la négociation des
nouveaux ARM incombera au ministère des Affaires étrangères
et du commerce international (MAECI).
On donne un bref compte rendu des journées de
réflexion sur la planification de la Direction générale.
Cette dernière a défini ses priorités stratégiques.
Il s'agit de la gestion des risques, de l'approche de gestion horizontale,
de la communication, des ressources humaines, de la mise en valeur du
potentiel et de la création d'un programme national.
4. Le point sur les activités
(Robert Peterson)
On distribue un résumé des activités liées
au recouvrement des coûts, au cadre de mesure du rendement, à
l'initiative sur la transparence, à l'examen du rendement trimestriel,
aux essais cliniques, à l'examen prioritaire de l'avis de conformité
conditionnel, aux soumissions électroniques et au Dossier technique
commun.
Réforme des règlements sur les
essais cliniques
On s'attend à ce que le Ministre approuve les modifications proposées
aux règlements sur les essais cliniques d'ici trois à
quatre semaines. Cette proposition législative prévoit
une période par défaut de 30 jours pour toutes les demandes
relatives aux DNR, ce qui représente un changement majeur. Une
fois approuvée, cette modification exigera la réaffectation
des ressources ou encore l'affectation de nouvelles ressources. Le BEPP,
qui a procédé à de nombreuses embauches, devrait
être en mesure de réagir sans délai à l'entrée
en vigueur de ces modifications législatives.
Bureau des matériels médicaux
L'application des nouveaux règlements sur les matériels
médicaux est commencée et ne cause aucun problème.
Monographies de produit
On prévoit l'achèvement de la version provisoire des lignes
directrices sur les monographies de produit (sections 1 et 2) d'ici
novembre 2001. On lancera ensuite un processus pilote qui permettra
de valider les lignes directrices. L'examen de certains aspects juridiques
et fonctionnels qui déterminent la propriété et
la diffusion des monographies de produit se poursuit.
Groupe consultatif sur le processus d'examen
sur l'homologation des produits (Robert Goyer)
La réunion prévue les 24 et 25 avril 2001 a été
reportée. Du point de vue du Comité, le remaniement représente
une excellente occasion d'examiner les besoins de la DPT et de définir
des moyens pour aborder certaines questions fondamentales, notamment
les délais d'examen et le manque de ressources. Quant aux membres,
ils se demandent quelles seront les conséquences d'une telle
restructuration sur le rôle qu'ils jouent au sein du Comité
et sur l'avenir de ce dernier.
Le Dr Peterson rappelle qu'on a d'abord formé
ce Comité dans le but de favoriser la transparence et l'ouverture
au sein de l'organisme. La DPT devrait peut-être déployer
des efforts pour accroître l'efficacité du Comité.
À cette fin, elle pourrait revoir les attentes, la composition
du Comité, l'équilibre entre les perspectives de tous
les intervenants et les problèmes à régler. Le
Dr Peterson insiste sur l'importance de tels groupes et sur le fait
que l'ensemble du gouvernement devra accroître ses interactions
avec ce genre de comités afin de favoriser la transparence de
nos processus et de notre prise de décisions.
5. Utilisation accrue de groupes consultatifs et élargissement
de leur rôle (Eric Ormsby - présentateur, Ross
Duncan - animateur)
La direction de la DPT souhaite explorer la possibilité
de faire davantage appel à des groupes consultatifs externes,
ainsi que la faisabilité d'accroître la participation de
ceux-ci à des questions davantage liées à la gestion
et au fonctionnement, en plus de faire appel à eux pour l'expertise
scientifique comme elle le fait déjà.
Afin de procéder dans ce sens, nous devons examiner
un certain nombre de questions, notamment l'existence de conflits d'intérêts
(réels ou perçus) de manière à déterminer
s'il faut ou non faire appel à un groupe consultatif, l'obligation
de rendre compte et le choix du moment associés à la décision
finale, ainsi que le coût associé à la gestion et
à la logistique des groupes.
Les rapports Eastman et Gagnon ont recommandé
la mise sur pied d'un comité d'examen regroupant des experts
de plusieurs disciplines et d'autres organismes de réglementation
continuent de faire appel à des groupes consultatifs.
Les membres du Comité reconnaissent que cette
orientation offre de nombreux avantages et qu'il serait utile de favoriser
les mécanismes permettant d'obtenir une plus grande participation
aux activités fonctionnelles, la participation scientifique et
clinique des groupes consultatifs d'experts étant déjà
bien organisée. Ce genre d'approche permettrait d'accroître
la participation des provinces et d'autres partenaires dans notre travail,
de favoriser une meilleure compréhension de chacun des rôles
et de procurer un point de départ à une prise de décisions
multipartite. Il serait utile d'examiner le modèle de l'Agence
européenne pour l'évaluation des médicaments, puisque
le lien que nous avons avec les provinces comporte des similitudes avec
la situation en Europe.
On soulève les points suivants durant la discussion portant
sur les perceptions en matière de conflit d'intérêts
:
- Un formulaire type doit être élaboré
et il faudra faire preuve de prudence dans son élaboration afin
de s'assurer qu'il n'entraîne pas de perte d'expertise.
- La divulgation totale des intérêts
des représentants potentiels est cruciale. Les recommandations
et la participation fournie pourraient alors être jugées
dans ce contexte.
- Il faut déterminer la portée et
la composition du Comité et inclure la connaissance et les compétences
requises au cadre de référence. En ce qui a trait aux
groupes d'experts, il faut d'abord s'assurer de choisir
les bons participants.
Recommandations du CCG :
- explorer plus avant la possibilité de
faire appel à davantage de groupes consultatifs externes;
- définir les critères de participation obligatoire
des milieux médical et scientifique;
- combler le besoin pour un groupe consultatif sur les substances
chimiques nouvelles;
- explorer davantage le modèle de l'Agence européenne
pour l'évaluation des médicaments et examiner la possibilité
de s'en inspirer pour établir les responsabilités fédérale
et provinciales.
Suivi : Le Bureau de la science examinera les recommandations
du CCG et incorporera celles-ci à une analyse de la question
qui sera soumise à la discussion au cours d'une prochaine réunion.
6. Discussion sur les documents d'information
fournis aux membres
Les membres souhaitent obtenir un relieur d'orientation. Pour
ce qui est de l'information préalable aux réunions, un
résumé d'une ou deux pages devrait suffire. Pour l'information
plus volumineuse, ils souhaitent pouvoir la consulter en ligne à
l'adresse qu'on leur fournirait.
7. Défis et occasions (Robert
Peterson/Dennis Brodie)
Ce point à l'ordre du jour doit permettre aux membres du CCG
de s'informer sur les défis et les occasions que représentent
pour la DPT le remaniement de Santé Canada et les priorités
stratégiques de la Direction générale, ainsi que
diverses initiatives à l'échelle du gouvernement.
Le Dr Peterson ouvre la discussion en exposant un nombre
de défis propres au Processus d'examen :
Enveloppe budgétaire - les fonds alloués
à des activités spécifiques ne peuvent servir à
d'autres fins; par conséquent, un financement additionnel est
toujours requis pour des initiatives telle que l'examen des priorités.
Actuellement, le tiers des demandes soumises à la DPBTG sont
des demandes de traitement prioritaire, comparativement à seulement
5 à 10 % pour le BEPP. On pourrait revoir la Politique sur le
traitement prioritaire, car les critères canadiens diffèrent
des critères d'autres pays.
Recouvrement des coûts - on examine les frais
exigés afin d'évaluer l'équité des
frais associés aux divers types de demandes.
Périodes par défaut - la période
par défaut de 30 jours s'avère la période la plus
courte réalisable pour les préavis de modification et
les DNR.
Produits génériques - Les produits génériques
influent grandement sur les coûts liés aux soins de santé,
particulièrement au chapitre des formules provinciales. Comment
utiliser les économies réalisées de manière
à consacrer davantage de ressources à l'homologation de
nouveaux médicaments?
Passage à la vente libre d'un médicament
de prescription - une nouvelle ligne directrice visant à
accélérer ce passage est en vigueur. Celle-ci favorise
un examen plus rapide de l'information, ce qui permet aussi une commercialisation
plus rapide et représente un avantage tant pour les firmes pharmaceutiques
que pour les consommateurs.
Attribution des priorités - L'attribution
des priorités de traitement des demandes est soumise à
des considérations juridiques et politiques.
Conséquences sur le bien collectif de la Politique
sur le traitement prioritaire - voilà l'occasion d'examiner
la Politique sur le traitement prioritaire afin de comparer les critères
canadiens à ceux d'autres pays et de déterminer les conséquences
sur les ressources humaines et financières qu'entraînerait
leur modification. Toute proposition législative nécessaire
à ce chapitre pourrait n'entrer en vigueur qu'un ou deux ans
après sa présentation.
Dennis Brodie et Marion Law ouvrent la discussion sur
les priorités gouvernementales précises dont la DPT doit
également assurer la gestion, telles les initiatives sur la transparence,
le gouvernement en direct et la santé au travail.
Point additionnel à l'ordre du jour -
Avenir du CCG et rôle de ses membres
Les membres du CCG demandent d'ajouter ce point à l'ordre du
jour, car de nombreuses questions nécessitent un examen. Parmi
celles-ci, on compte la participation et la présence des cadres
supérieurs de la Direction, le processus, l'amélioration
de la gestion des réunions, les critères de sélection
des points de l'ordre du jour et le rôle futur du CCG (à
savoir, s'il jouera un rôle consultatif auprès de la DPT,
de l'Inspectorat et de la DPBTG ou encore s'il jouera un rôle
consultatif seulement auprès de la DPT et un rôle d'organisme
de liaison avec la Direction générale).
Les membres du CCG indiquent qu'ils souhaitent concentrer
leurs efforts sur un nombre limité de questions cruciales pour
la Direction afin d'être en mesure d'en assurer le suivi et de
mesurer le taux de réussite. Le type et le nombre de questions
dont se charge le Comité a une influence sur le rôle qu'il
joue et les membres s'entendent pour dire qu'il devrait avoir
une mission plus stratégique et agir davantage comme porte-parole
de la Direction. Les cadres de la Direction et les membres du Comité
s'engagent à mieux définir et à améliorer
le rôle du CCG à la satisfaction des deux parties.
Suivi : L'équipe de direction de la DPT examinera
des améliorations possibles au processus, relativement, entre
autres, à la définition des questions à soumettre
au Comité, à l'orientation bien définie pour chaque
question, aux réalisations attendues et aux documents d'information
adéquats, et fera ses suggestions. La nouvelle approche sera
soumise à l'approbation du Comité. Chacun de leur côté,
les cadres de la Direction et les membres du CCG discuteront de leur
vision pour le CCG et feront un compte rendu de leur discussion au cours
de la prochaine réunion.
8. Recommandations de l'enquête sur le médicament
Cisapride (Robert Peterson)
Le Dr Peterson résume l'exposé sur l'allongement
de l'espace QT qu'il a fait au Conseil consultatif des sciences
(CCS). Cet exposé visait à faire valoir que le décès
de Vanessa Young ne soulève pas seulement des questions quant
aux risques d'arrêt cardiaque associés au Cisapride, mais
aussi à d'autres médicaments, et que d'autres décès
de ce genre sont susceptibles de se produire chez certains individus
dont le bagage génétique prédispose à une
mort cardiaque subite.
Cette information illustre la nature très complexe
de ce dossier et l'ampleur des questions qu'il suscite. On a mis sur
pied un groupe d'orientation interne de la DPT dans le but de gérer
les mesures que celle-ci prendra à la suite des recommandations
du jury. On a élaboré et approuvé un plan de projet
et un plan d'action à cet effet. La DPT prendra les mesures qui
lui sont recommandées dans les limites de ses compétences
et, de fait, se trouve en bonne posture puisque qu'elle a déjà
entrepris des travaux sur les questions de l'information sur les patients,
de la communication accélérée des risques et du
signalement des réactions indésirables.
On fera parvenir le plan de projet et le plan d'action aux membres du CCG.
Suivi : Le BPSCQ transmettra l'information aux membres
du CCG.
9. Discussion sur l'article Tales from the Other
Drug Wars (Robert Peterson)
Ce point fait l'objet d'une brève discussion.
Les membres reconnaissent que l'article n'a pas créé autant
de remous que l'on avait prévu et, par conséquent, qu'il
n'a encore entraîné aucune conséquence négative.
De plus, certains membres croient qu'il n'est peut-être pas approprié
pour le CCG d'approfondir la question.
10. Enquête sur les médicaments pour
enfants (S. MacLeod)
Le Dr MacLeod signale que les essais cliniques chez les
enfants s'améliorent et que les É.-U. font beaucoup dans
ce domaine. Le Canada a pris du retard à ce chapitre et il faut
déterminer s'il doit se cantonner dans le rôle d'observateur
qu'il a adopté jusqu'à présent ou s'il
doit jouer un rôle plus actif. Pour faire progresser ce dossier,
il faudrait offrir des incitatifs aux firmes pharmaceutiques.
Le secteur pharmaceutique reconnaît qu'il s'agit
d'une question d'importance puisqu'on détient peu d'information
sur la posologie adéquate pour les enfants et que, par conséquent,
la plupart des ordonnances se font techniquement sans l'aide de données
posologiques établies.
Le Dr MacLeod propose d'approfondir cette question à
la prochaine réunion du CCG afin de déterminer si la DPT
et le CCG peuvent adopter un rôle davantage proactif dans ce dossier.
Suivi : Le Dr MacLeod fournira de l'information
additionnelle aux membres.
11. Points susceptibles de se retrouver à l'ordre du jour de
prochaines réunions :
Résistance aux médicaments antimicrobiens : Quelle est
la responsabilité de la DPT et de la DPBTG quant à la
demande d'information sur ce sujet?
Éthique pour l'utilisation de placebo dans les essais cliniques
: On ne doit pas faire courir de risques aux patients. L'Accord d'Helsinki
a récemment fait l'objet d'une réaffirmation et est sanctionné
dans un document de l'Institut de la santé infantile (ICH-E10
ou E11). On recommande de réaliser des essais comparatifs plutôt
que d'utiliser un placebo. Le Dr Peterson a discuté de la question
avec Alan Bernstein, président de IRSC, dans le but d'organiser
un atelier sur ce thème réunissant Santé Canada
et IRSC au début de l'automne. On fournira des documents d'information
en temps et lieu.
Suivi : Le Dr Peterson fournira aux membres les documents dès
qu'ils seront disponibles.
12. Prochaine réunion : Les 22
et 23 août 2001 (dès 10 h le 22 août)
Salle de réunion de la DPT, Salle 2048, Édifice Holland
Cross, Tour B, 1600, rue Scott
Original signé par
Jim Blackburn Président
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