NOTES DE RÉUNION
COMITÉ CONSULTATIF SUR LA GESTION
DIRECTION DES PRODUITS THÉRAPEUTIQUES (DPT),
DIRECTION DES PRODUITS BIOLOGIQUES ET DES THÉRAPIES GÉNÉTIQUES
(DPBTG)
INSPECTORAT
Salle de réunion de la DPT
Immeuble Holland Cross, Tour B, 1600, rue Scott
Ottawa (Ontario)
Les 22 et 23 août 2001
Membres :
Jim Blackburn (Chair)
Luis Barreto
Andrea Baumann
John Blatherwick
Ruby Grymonpre
Mitchell Levine
Stuart MacLeod
Brenda Nunns-Shoemaker
John Parks
Bonnie Salsman
David Skinner
John Stewart
Pamela Zabe
Absents :
Kenneth Michalko
Jack Rosentreter
Beverley Townsend
Secrétariat :
Robert Peterson
OSPCQ Fern Levine
OSPCQDenise Quesnel
Présentateurs :
David Clapin
Ross Duncan
Brian Foster
Pauline Gaudry
Patricia Huston
Marion Law
Beth Pieterson
Karen Reynolds
George Samiotis
Observateurs :
Dennis Brodie
Vicky Hogan
Danièle Dionne
Jean Saint-Pierre
Siddika Mithani
Margaret Stockwell
Brian Gillespie
Paul Roufail
Susan Tessier
Sue Ann Blakely
• Mot d’ouverture (Jim Blackburn)
Le Dr Blackburn souhaite la bienvenue à tous; chacun se présente
ensuite à tour de rôle.
David Skinner remplace Malcolm Seath
au Comité pour cette réunion.
• Examen de l’ordre du jour et des
notes de la réunion des 8 et 9 mai (Jim Blackburn)
Les notes de la réunion des 8 et 9 mai 2001 sont approuvées
sans modification.
• Remaniement - le point (Robert
Peterson /David Clapin/ Paul Roufail/George Samiotis/Marion Law)
Le Dr Peterson informe les membres sur les progrès
réalisés au chapitre du remaniement dans chacune des trois
nouvelles directions : Direction des produits biologiques et des thérapies
génétiques, Direction des produits thérapeutiques
et l’Inspectorat. Le poste de directeur général,
DPBTG, a été annoncé. Les entrevues devraient se
tenir bientôt et une nomination entrera en vigueur au début
de 2002. L’organigramme de la nouvelle structure de la DPBTG est
distribué. Dans la DPT, Beth Pieterson a été
nommée directrice du Bureau des matériels médicaux.
Réorganisation du Bureau de l’évaluation
des produits pharmaceutiques - (David Clapin & Paul Roufail)
Voici les facteurs qui sont à l’étude et sur lesquels
la réorganisation est axée :
- nécessité de plus de coordination pour passer en revue
les dossiers soumis.
- difficultés relatives à la dotation du poste de directeur
du Bureau.
- organisation existante avec de nombreuses responsabilités.
- responsabilités particulières liées au Programme
d’essais cliniques et accès spécial.
- défis liés à la synchronisation des activités
en matière de sécurité et d’efficacité
avec la chimie et la fabrication.
Trois modèles sont élaborés avec la participation
du personnel. Ils seront précisés et feront l’objet
de discussion à une prochaine réunion du personnel du
BEPP.
La discussion du CCG dans laquelle est représentée
la Direction, porte sur ce qui suit :
• La comparaison est établie avec la Therapeutic Goods
Agency de l’Australie. Il existe dans ce pays des groupes préclinique,
clinique et de qualité qui correspondent au CTD. On reconnaît
que le Canada est peut-être trop petit pour le faire efficacement.
On convient qu’il serait utile d’utiliser les renseignements
de l’étranger provenant d’organismes de réglementation
semblables.
• Une autre grande préoccupation relevée est la
surcharge de travail que semble supporter le personnel et le manque
possible de possibilités de formation en gestion. La nouvelle
structure viserait à combler ces lacunes.
• Il importe également d’établir une vision
et un plan clair pour la DPT. On souligne que les besoins humains et
les besoins financiers peuvent différer selon le modèle
structurel choisi. Il est souhaitable d’adopter le modèle
le plus efficace et ce dernier pourrait se dégager éventuellement
à la lumière des rapports de rendement. Le modèle
final doit permettre de meilleures communications afin d’assurer
la coordination « horizontale » d’importance qui sera
nécessaire. Il est suggéré d’examiner les
questions touchant le rendement - p. ex. le transfert de contrôle
de la chimie et de la fabrication à la sécurité
et l’efficacité est-il le problème le plus important?
Il faut déterminer les pilotes et la meilleure façon de
constituer des équipes de projet. Pour faciliter la coordination
et l’intégration des exercices d’examen il pourrait
y avoir un niveau administratif supplémentaire. L’objectif
ultime consiste à mettre les produits en marché plus tôt.
La sécurité et la qualité pourraient s’articuler
sur des processus comme la recherche et le développement, la
fabrication, la mise en marché, à titre de processus administratif
d’ensemble pour les lier ensemble. Il est suggéré
d’examiner les structures du TGA, en Suède et de l’EMEA.
Il est souhaitable que les changements à apporter soient minimes,
mais que leur incidence soit radicale.
• Il serait peut-être préférable que les produits
radiopharmaceutiques relèvent du BEPP. Il existe des similitudes
entre les produits radiopharmaceutiques et les petites molécules.
Bureau de l’évaluation des produits homologués
- (George Samiotis)
Le Dr Peterson présente un aperçu des activités
en cours. La Direction générale a l’intention de
profiter au maximum de la possibilité d’améliorer
la surveillance de l’après-vente de tous les produits réglementés
par la Direction générale des produits de santé
et des aliments. Il importe également d’établir
une façon de convaincre d’autres parties de s’associer
à nous et de s’occuper de certains aspects de ce travail,
par exemple, la collecte de données sur l’efficacité
des médicaments utilisés.
En janvier 2000, le Bureau de l’évaluation
des produits homologués a publié une étude sur
la façon d’améliorer la surveillance de l’après-vente
au sein de la nouvelle Direction générale réaménagée.
Les divers modèles et options ont été présentés
et examinés. Pour l’instant, le Comité exécutif
de la Direction générale semble appuyer un modèle
centralisé, mais il n’a pas pris de décision finale.
Dans la discussion qui suit, plusieurs questions clés
sont soulevées et débattues, notamment la nécessité
d’un directeur pour le Bureau, l’importance de trouver des
ressources adéquates (humaines et financières), la possibilité
de s’associer avec d’autres groupes comme l’Institut
canadien d’information sur la santé, la Direction générale
de la santé de la population et de la santé publique (qui
effectue actuellement une surveillance des vaccins), les homologues
provinciaux.
Il convient également de déterminer la
façon d’établir des liens entre la DGPSA et les
autres parties du Ministère qui s’intéressent à
la surveillance de l’après-vente. Les premiers ministres
se penchent sur des questions entourant la rentabilité des médicaments
et le lien à établir avec la surveillance de l’après-vente.
Le Bureau de l’évaluation des produits homologués
a établi des liens avec la FDA et la TGA. Nous devons avoir accès
aux renseignements de ces organismes et échanger les données
canadiennes.
Services communs - (Marion Law)
Les groupes de discussion ont commencé à examiner la meilleure
façon de réaménager le Bureau des politiques et
de la coordination et les Services communs qui comprennent tous les
bureaux qui relèvent actuellement du Bureau du directeur général
(Bureau de la planification stratégique, des communications et
de la qualité, Bureau de la gestion du savoir, et Bureau des
services de gestion). Le Bureau de l’éducation continue
dispense dorénavant des services à la Direction générale.
L’exercice qui consiste à décider quels services
peuvent être partagés entre les trois nouvelles directions
et ceux qui doivent être reproduits dans chacune des directions
est terminé. La DPT doit maintenant concentrer ses énergies
sur l’établissement de la structure de ces services à
ses propres fins. Le modèle qui est mis au point actuellement
regrouperait tous les services communs dans deux nouveaux bureaux :
Politique et Services de gestion. Une décision finale doit être
rendue bientôt.
Les participants soulèvent la question de la prestation
de ces services à la Direction des produits de santé naturels.
Cette dernière n’a pas les ressources nécessaires
pour reproduire tout ce dont dispose la DPT. Une initiative d’autonomie
en matière de soins de santé pour examiner certains produits
thérapeutiques à faible risque pourrait être envisageable
(p. ex. des médicaments en vente libre).
Il est proposé que le CCG en fasse part au ministre.
La DPSN doit jouir des mêmes services de soutien que les autres
directions de la Direction générale et il est temps de
saisir l’occasion de bien organiser les choses à la lumière
du remaniement.
Les responsabilités de l’Inspectorat relativement
aux PSN : Actuellement, la DPSN n’est pas très active.
À l’occasion, la DPT ou l’Inspectorat a posé
des gestes ou pris des mesures spéciales, mais actuellement,
les PSN sont exemptés de la plupart des règlements. Le
cadre réglementaire des PSN n’a pas encore été
approuvé. Il est suggéré que la note du CCG au
ministre inclue des commentaires antérieurs du CCG sur les PSN.
(Nota : auparavant, deux membres du milieu des PSN siégeaient
au CCG.)
ACTION : Le CCG doit envisager d’envoyer
une note au ministre relativement à la DPSN
4. Le point sur le Bureau des matériels médicaux
- Beth Pieterson Beth Pieterson donne un aperçu du rôle,
des responsabilités et de la structure du BMM actuellement. Elle
souligne également quelques-unes des grandes réalisations
du Bureau et des difficultés qu’a dû surmonter ce
dernier, y compris son rôle très actif et sa grande influence
dans le Groupe de travail sur l’harmonisation mondiale; le Bureau
continue de travailler en étroite collaboration avec la FDA et
les agences européennes. En 2003, les exigences des systèmes
de qualité entrent en vigueur. On craint au sein de l’industrie
que les fabricants de matériels médicaux ne se conformeront
pas tous. Cependant, plusieurs fabricants ont déjà fait
l’objet de deux vérifications - une dirigée par
la FDA et l’autre, par un organisme reconnu de l’UE et la
DPT souhaite que les groupes européens cherchent à obtenir
la reconnaissance du Canada.
Le Bureau a plusieurs défis à relever,
y compris le renouvellement du personnel. Il y a proportionnellement
moins d’examinateurs des instruments médicaux au sein de
la BMM que dans d’autres organismes de réglementation comparables.
Le Bureau est également aux prises avec un nombre
croissant de produits combinés de plus en plus diversifiés
- matériels avec produits pharmaceutiques, matériels avec
produits biologiques. La décision sur la clarification d’un
produit (médicament ou matériel) repose souvent sur l’utilisation
et le traitement (thérapie) historique du produit. Lorsqu’une
décision en matière de clarification est prise, le BMM
entre en relation avec d’autres organismes et les renseignements
sont souvent échangés, mais la décision est prise
au sein de la Direction ou de la Direction générale. Cela
est rendu plus difficile lorsque les matériels médicaux
et les médicaments deviennent plus complexes.
5. Gestion des produits pharmaceutiques/homologation
des produits - (Karen Reynolds et George Samiotis)
L’exposé situe en contexte cette nouvelle initiative et
son rapport avec l’homologation des produits. L’initiative
origine du plan d’action des premiers ministres pour le renouveau
du système de soins de santé dans lequel la gestion des
produits pharmaceutiques est au premier rang des priorités. Le
plan prévoit quatre grands secteurs de collaboration :
1. renforcer la surveillance des effets thérapeutiques des médicaments
qui ont été approuvés pour la vente au Canada;
2. élaborer des stratégies pour évaluer le rapport
coûts-bénéfices des médicaments d’ordonnance;
3. créer un processus consultatif intergouvernemental pour évaluer
les médicaments susceptibles d’être inclus dans les
régimes d’assurance-médicaments provinciaux;
4. examiner les meilleures pratiques pour la prescription, la délivrance
et l’administration des médicaments.
Il est indiqué que dans le cadre du renouveau
législatif nous aurons besoin de nouveaux règlements qui
tiennent compte du cycle de vie des produits lorsque la nouvelle Loi
sur la santé sera approuvée. La DPT tente de lier l’initiative
de gestion des produits pharmaceutiques à l’homologation
des produits pour profiter de la possibilité de financement,
qui permettra de consacrer plus de ressources à l’élaboration
de politique, à l’examen des médicaments, à
la surveillance de l’après-vente, etc.
En réponse à la demande de la DPT au CCG
d’apporter ses lumières sur cette initiative, il est indiqué
que le palier provincial est peut-être la tribune pertinente et
que la meilleure façon de faire progresser cette initiative serait
de faire intervenir les centres universitaires : neuf écoles
de pharmacie, 16 écoles de médecines et d’autres
entités. Les centres universitaires se pencheraient sur les enjeux
et non pas sur la politique.
Les membres découvrent une lacune relativement à la mise
en valeur des capacités, p. ex. dans les secteurs de l’innocuité
des médicaments, la pharmacoéconomique, etc.
Un plan relatif aux RH est nécessaire et il est proposé
de regarder du côté de l’Institut de Recherche et
Santé Canadienne (IRSC). Il est proposé également
de préciser le type de produits pharmaceutiques qui feraient
l’objet de cet examen - risque élevé des médicaments
humains prescrits, coût élevé des médicaments
humains prescrits, etc.
ACTION : Dr Peterson - engagement - 6 semaines à partir
de maintenant :
Suivi avec le prochain document d’importance soumis pour commentaires
par le CCG. Par la suite, une téléconférence peut
être convoquée. D’autres liens à établir
avec l’initiative de gestion des produits pharmaceutiques.
ACTION : CCG
Il est proposé que le CCG rencontre Roy Romanow (Commission Romanow
sur l’avenir des soins de santé au Canada) afin de recevoir
l’avis de la Commission. La collecte des données se poursuivra
jusqu’au 22 novembre 2001 et le rapport doit être déposé
en novembre 2002. Il convient de souligner l’effet des nouvelles
technologies sur le système de santé. Il est suggéré
que le CCG recommande d’établir un centre d’excellence
à cet égard. Le CCG envoie une lettre d’intention
indiquant la volonté/intention de présenter un rapport
à M. Romanow. Andrea Baumann présente le mandat de la
Commission Romanow. Consultez le site Web :
http://www.healthcarecommission.ca/
ACTION : La SEMAINE PROCHAINE Jim Blackburn
enverra un courriel aux membres pour demander les points clés
à soulever dans la lettre et dans le rapport.
6. Monographie de produit - (Ross Duncan)
Le point est fait sur le projet de monographie de produit (MP). Les
quatre grands principes de ce projet sont présentés :
Accès du public; Utilisation de la MP, Information de qualité;
et responsabilités partagées; les participants discutent
du progrès réalisé jusqu’à présent.
Les membres du CCG conviennent généralement
qu’il importe de répondre aux besoins des consommateurs,
que cela peut prendre de nombreuses formes et que l’information
peut être écrite et électronique. Il est proposé
d’établir un partenariat avec les sources existantes qui
traitent l’information sur les patients. Il existe de nombreux
sites Web fiables et il serait bon de les examiner et de les utiliser
à titre de référence. On attend de ce projet une
base de données fonctionnelle et une détermination des
sources de financement pour la soutenir.
La question du maintien de monographies de produit est
soulevée, non seulement la mise à jour des monographies
de produit mais également l’inclusion de nouvelles directives
et la question, qui revient souvent, de l’utilisation non indiquée
sur l’étiquette du médicament.
Un participant soulève la question des contraintes des monographies
pour les cliniciens. Actuellement, les MP ne peuvent pas inclure de
directives sur l’utilisation non indiquée sur l’étiquette.
On suggère de s’associer avec les cliniciens afin d’assurer
que les patients reçoivent l’information appropriée.
On croit que ce serait aller trop loin que de remettre la MP complète
aux patients sur une base régulière.
Plusieurs défis sont relevés et font l’objet
de discussion :
1. Propriété : On croit que l’information sur le
patient devrait provenir de l’organisme de réglementation
qui garantirait que le contenu est impartial.
2. Source de financement : La MP confère une valeur
au système de santé et une mesure de sécurité
supplémentaire pour le patient en lui permettant de connaître
les effets indésirables des médicaments, les contre-indications,
etc. Par conséquent, on devrait soutenir la subvention gouvernementale;
toutefois des partenariats pourraient être établis. La
MP a servi de fondement au compendium des produits et spécialités
pharmaceutiques et à l’information donnée par les
pharmacies.
3. Distribution des MP et les coûts connexes :
Les présentations électroniques faciliteront les choses.
La MP est disponible par l’entremise de l’Accès à
l’information (AAI); cette voie d’accès coûte
cher (en ressources humaines et financières) pour la DPT. La
propriété du document est essentielle à la transparence
et à la distribution de l’information. On se demande si
on ne pourrait pas rendre obligatoire pour le pharmacien de remettre
la MP.
4. Diffusion : Simple : tirer l’information de
la BDPP (Base de données sur les produits pharmaceutiques).
Complexe : de nombreuses sources d’information
5. Conversion de l’ancien format au nouveau format
: Le principal objectif consiste à élaborer un modèle
normalisé de MP. Ce but est ambitieux, mais il pourrait également
être trop ambitieux d’envisager de demander aux fabricants
de convertir les anciennes MP, parce que le retrait des ressources des
activités existantes causerait des difficultés. Par conséquent,
la meilleure solution serait d’établir un modèle
normalisé et de recommencer à zéro.
Processus : Il est suggéré qu’une
vaste consultation fasse partie de l’objectif. Au début
de ce processus, les groupes de discussion reçoivent un exemple
de MP et ensuite on leur demande le type d’information qu’ils
veulent. Les consultations du groupe de travail se soldent par un accord
sur le type de contenu. Une présentation normalisée est
élaborée pour assurer que le produit peut être utilisé.
Un document explicatif préliminaire sera prêt d’ici
la fin de novembre 2001 et il sera disponible pour commentaire.
Sommaire de la discussion du CCG et recommandations -
Ross Duncan
L’établissement de partenariats avec des groupes axés
sur une maladie sera exploré.
La fonctionnalité de la base de données sera assurée.
La clarté de l’intention de ce projet sera expliquée.
Le gouvernement paiera les MP même si l’industrie est disposée
à en payer une partie.
ACTION : Ross Duncan présentera des prototypes.
7. Rapports déposés - Préparation
d’un point à l’ordre du jour
Des rapports sommaires ont été préparés
d’avance sur les recommandations et le plan d’action à
la suite de l’enquête sur le cisapride, sur le recouvrement
des coûts, sur le cadre de mesure du rendement, sur le rendement
trimestriel, sur l’initiative MP, sur le point pour tout le personnel
de la DPT. Une période est accordée pour examiner les
rapports déposés afin de déterminer quels gestionnaires
doivent être présents pour ce point qui sera à l’ordre
du jour demain. Un participant demande qu’un représentant
de la DPBTG vienne parler de la réorganisation. Toutefois, aucun
gestionnaire n’a été demandé pour les rapports
déposés en particulier.
Point supplémentaire : une demande est faite d’inclure
une discussion sur activités d’un groupe appelé
« Women in Health Protection », particulièrement
en ce qui a trait à la publicité faite directement auprès
du consommateur. On souligne que c’est là où de
nombreuses questions relatives au consommateur sont soulevées.
8. Récapitulation de la première
journée
La réception pour Robert Goyer a été bien reçue.
Félicitations aux organisateurs.
9. Initiative conjointe de Santé Canada et des Instituts
de recherche en santé du Canada (IRSC) (placebos utilisés
dans les essais cliniques) (Pat Huston et Siddika Mithani)
Pat Huston présente son sujet. La politique réglementaire
diffère de la politique sur l’étique pour la recherche
en ce qui concerne l’utilisation appropriée des placebos
dans les essais cliniques. Cette initiative a pour but d’établir
une politique uniforme sur les placebos au Canada qui pourrait éclairer
les révisions futures de l’énoncé des politiques
des trois conseils et constituer la base de l’annexe canadienne
du document d’orientation ICH E10 de la Conférence internationale
d’harmonisation (ICH). Pour y parvenir, les représentants
des principaux intervenants feraient partie d’un comité
de travail qui examinerait les faits, mènerait des consultations
publiques, effectuerait une analyse éthique et ferait des recommandations
relativement à une politique uniforme sur les placebos qui serait
proposée à un atelier des intervenants.
Ce projet durerait 18 mois à partir de la date
à laquelle le financement est confirmé. On a demandé
au CCG de commenter le processus proposé pour traiter cette question
et de suggérer des candidats appropriés pour le comité
de travail.
Discussion du CCG avec clarifications de la DPT :
Les placebos ont leur place dans l’évaluation des nouveaux
traitements d’affections qui ne constituent pas un danger de mort.
Il importe d’établir des critères pour déterminer
quand l’utilisation de placebos est appropriée : p. ex.
essentiels scientifiquement pour des raisons acceptables quant à
la méthodologie et l’éthique. La nature de la question
de la recherche doit être déterminée; p. ex. le
Gingko biloba plutôt que le Ritalin pour traiter le DCA.
Il vaut la peine de revoir les résultats de la
réunion de 1998 pour l’ICH E-10. Les études psychiatriques
constituaient la question centrale de cette réunion.
S’il n’y a pas de distinction entre le risque
léger et le risque important, il pourrait falloir demander «
qui est le bénéficiaire? » dès le début...
est-ce le patient individuel ou la population de patients/la société
dans son ensemble. Il faut examiner - « s’il s’agit
d’un patient individuel » ou « d’un patient
individuel faisant partie d’un essai clinique ». Il s’agit
de réduire au minimum le risque dans les groupes actifs et témoins.
D’autres types d’essais pourraient exposer plus de clients
à des traitements non éprouvés. Il n’y a
pas de solution de rechange idéale à un placebo. Si un
essai sans infériorité est utilisé, l’objectif
est de démontrer que la différence n’est pas importante,
ce qui pourrait faciliter l’approbation des nouveaux médicaments.
Si un essai de supériorité avec point de référence
actif est utilisé, ceci pourrait rendre l’approbation des
nouveaux médicaments plus difficile et limiter le nombre de médicaments
qui peuvent être mis en marché; une telle politique pourrait
ne pas passer le test de l’équité dans le marché.
Des questions connexes, comme la thérapie de sauvetage
et les règles de congé hâtif pourraient également
faire partie des principes directeurs.
Formation du comité : Le public doit avoir confiance
à la méthode de nomination des membres du comité.
On espère qu’un comité composé de huit et
douze membres serait adéquat. Il est suggéré d’établir
des critères pour les membres et de lancer un appel de candidatures
auprès d’un nombre adéquat de groupes d’intervenants.
Plusieurs groupes de patients vulnérables : troubles psychiatriques,
Alzheimer, personnes âgées en perte d’autonomie,
personnes ayant une déficience intellectuelle, enfants, etc.
doivent être examinés. Une large perspective doit être
envisagée, y compris ceux qui seraient pour et contre (polarisés).
La définition des termes doit être claire, de même
que les solutions de rechange et la façon de les examiner. Des
essais de simulation, des études in vitro, des modèles
informatiques, etc. doivent tous être examinés dans le
but de réduire au minimum l’utilisation du placebo.
Il est proposé d’organiser un préatelier
ou un séminaire de deux jours pour les parties intéressées,
qui porterait sur les questions clés à mettre à
l’ordre du jour. Le groupe de travail pourrait être sélectionné
à partir de cet atelier. Il pourrait y avoir des candidatures
pour un groupe de base et une liste de réserve (sous-groupe de
travail) qui serait constituée de membres consultatifs du groupe.
Des enquêteurs distincts sont nécessaires
pour les médicaments et pour les vaccins, parce que leurs perspectives
peuvent être différentes. Il est difficile d’attirer
les essais cliniques au Canada parce que l’infrastructure est
insuffisante. Cette situation pourrait empirer si les études
menées au Canada ne sont pas acceptables pour les autres organismes
de réglementation (p. ex. une étude comparative peut être
nécessaire au Canada, mais seule une étude avec placebo
serait acceptable à la FDA). Nous devons déterminer la
façon dont nous voulons gérer les études au Canada
pour qu’elles soient acceptables. Ce sera à l’avantage
de la structure de la recherche et du développement au Canada.
En ce qui concerne les indicateurs immunologiques et sérologiques,
de plus petites populations seront utilisées dans les études.
Dans quelle mesure cela sera-t-il acceptable?
Noms proposés : David Scheffield (Halifax - Université
Dalhousie) et Dr Salim Yusuf, Professeur de médecine, Épidémiologie
clinique et biostatistique et le directeur de la cardiologie et l’Institut
de recherche sur la santé de la population de l’Université
McMaster. L’Institut Forgety a également été
mentionnée .
Le Dr Peterson aimerait qu’un membre du
CCG agisse comme membre correspondant sur cette question.
Aucune source de financement adéquat n’est encore connue,
mais un précédent a été établi aves
le financement de consultations sur la xénotransplantation, etc.
et, même si la xénotransplantation ne touche qu’une
petite population, ses répercussions sont importantes.
10. Recherche sur les médicaments et les enfants
(Stuart MacLeod)
À titre de documentation sur ce sujet, le cas d’utilisation
non indiquée sur l’étiquette du médicament,
Cisapride, qui a contribué au décès d’une
jeune fille de 15 ans est examiné. La FDA Modernization Act (FDAMA)
comprend une section appelée la règle pédiatrique.
Elle exige des études chez les enfants, même pour les d’anciens
médicaments. Une fois l’utilisation approuvée pour
les enfants, le FDA donne une exclusivité de la vente pendant
six mois.
L’IRSC encourage l’acquisition d’une telle expertise
en matière de recherche pédiatrique. Le champion de cette
recherche est la Société canadienne de pédiatrie
qui est financée par l’IRSC.
La FDAMA examine la question et propose la Best Pharmaceuticals for
Children Act.
La DPT a affecté le Dr Margaret Stockwell à
l’examen des produits approuvés pour vérifier s’ils
comportent des indications pédiatriques et pour examiner la cohérence
de l’étiquetage.
Le Conseil d’examen du prix des médicaments
brevetés est peut-être l’organisme le plus approprié
pour examiner les mesures d’encouragement aux études en
pédiatrie.
L’organisme de réglementation canadien doit
élaborer une politique sur cette question. Voici les options
:
- continuer de « jouer à l’autruche »
- inclure la contre-indication (c’est une démarche régressive,
mais elle tient compte du RISQUE)
- élaborer activement une politique pour exiger des études
sur les indications pédiatriques
Il y a un effet politique indésirable si l’on
suit le FDA ou l’Europe : le Canada ne veut pas être perçu
comme un simple suiveur. Un autre risque politique, c’est qu’il
serait gênant d’être perçu comme le pays qui
retarde le retrait des produits dangereux.
Le défi consiste à déterminer la
mesure d’encouragement la plus significative. Le CEPMB pourrait
permettre des prix avec prime. Les incitations de la DPT pourrait être
l’accélération de la démarche. Parmi les
autres incitations possibles, mentionnons les crédits d’impôt
scientifiques.
Un participant fait remarquer que le même argument
pourrait s’appliquer aux populations âgées ou d’autres
populations vulnérables. Le mot clé est « vulnérable
».
La DPT a bien un document d’orientation. Il existe
également un projet sur le Compendium des produits et spécialités
pharmaceutiques et sur la thérapeutique des orphelins. Relativement
à la surveillance de l’effet indésirable des médicaments,
Bruce Carleton (UBC) a rencontré Vicky Hogan (BEPH) au sujet
d’un projet. Il a reçu une subvention de la Bill Gates
Foundation.
Un soutien est exprimé à la rédaction
d’une lettre à l’intention du ministre de la Santé.
ACTION : Stuart MacLeod doit envoyer
un courriel aux membres pour leur demander leur opinion. Le volet des
vaccins ne fait pas l’objet d’essais pédiatriques.
Il y a beaucoup à apprendre de cela.
Jim Blackburn et Stuart MacLeod ébaucheront
une lettre.
Fern Levine fera part à Dr Peterson, Vicky Hogan,
Margaret Stockwell et Siddika Mithani des interventions récentes
de la DPT dans le document sur l’investissement de l’administration
fédérale pour les enfants.
11. Maximiser et élargir l’utilisation
des organismes consultatifs (Brian Foster, David Clapin)
Brian Foster fait un bref exposé donnant un aperçu des
sept entrées et des dix sorties du processus décisionnel
du système réglementaire lié à la gestion
de la politique sur le traitement des présentations de drogue.
Il s’agit de demander conseil auprès des comités
d’experts formels avant l’émission des décisions
réglementaires comme les avis de non-conformité (ANC)
ou un avis de conformité (AC). Quelques questions sont soumises
au CCG pour discussion : Quels sont les secteurs prioritaires pour un
examen ANC? Chaque ANC devrait-il être examiné?
À quel stade l’examen serait-il le plus bénéfique?
Un organisme de base de 15 personnes est-il suffisant? Des représentants
spécialisés de l’industrie devraient-ils faire partie
du processus? Devrait-il y avoir des honoraires?
La DPT aimerait diminuer le nombre d’appels en ayant recours à
ce processus. Ce dernier permettrait d’être plus opportun,
d’améliorer le processus de recours et donnerait aux deux
parties l’occasion de faire valoir leur point de vue à
la lumière des experts.
Discussion du CCG :
On se demande si des honoraires pourraient être versés
si la question est envoyée aux membres et s’il n’y
a pas de réunion face à face. Actuellement, on a recours
aux téléconférences et l’information qui
fait l’objet de discussion est transmise d’avance.
La sécurité du système de courriel soulève
des inquiétudes.
Relativement à la transparence : les procès-verbaux de
ces réunions sont affichés après avoir été
révisés par la Section de l’évaluation de
l’information scientifique et de propriété (Accès
à l’information).
Relativement à la divulgation de l’information sur la propriété
: en demandant aux intervenants d’examiner pourquoi un ANC a été
fourni. Cela indique qu’une présentation pour un produit
en particulier a été faite.
Examen (public) des comités d’examen de
la FDA Review Committees i) substance médicamenteuse précise
ii) secteur de la thérapie allant du particulier au général;
quelque chose qui peut être utilisé pour élaborer
une politique, par exemple, pour établir les normes de ce qui
peut être approuvé et de ce qui ne peut pas être
approuvé. Ce deuxième aspect - secteur général
de la thérapie - ajouterait une nouvelle dimension et pourrait
diminuer le nombre d’ANC ou de clarifax.
Voici les commentaires d’Instruments médiaux
du Canada (MEDEC) sur l’établissement d’un CCE cardiovasculaire
: Comment assurer la promptitude lorsque l’objectif est de 90
jours? Et la confidentialité et les conflits d’intérêt.
Faudrait-il arrêter le temps? Le mieux que nous pouvons faire
maintenant, c’est de remettre l’information entre les mains
du fabricant dans nos rapports du rendement.
Question relative à la composition d’un
CCE - les CCE du FDA sont beaucoup influencés par les cliniciens
qui veulent de nouveaux produits. La DPT aimerait également d’autres
experts. Toutefois, cela ne devrait pas être une tactique pour
gagner du temps. Une formule d’évaluation sera établie
pour suivre cette question.
Transparence, délai et conflit d’intérêt
: La présence de conflit d’intérêt est difficile
à résoudre. On ne peut pas fonctionner à huis clos.
Le CCE pourrait être facultatif avant qu’un ANC ne soit
rédigé, mais le fabricant serait avisé qu’une
certaine divulgation serait nécessaire.
On s’entend en général sur ce qui
suit :
- aucun représentant du Bureau au comité
- aucun représentant de l’industrie au comité
- des honoraires doivent être versés sinon il pourrait
être difficile d’attirer des gens
Qu’est-ce qui déclencherait un ANC et le
recours à ce comité?
- si les données cliniques ne soutiennent pas adéquatement
l’indication
- s’il existe une question de sécurité
- produits biologiques - assemblés avec les instruments
Suggestion de sujet pour le CCE - Des biopsies devraient-elles
être nécessaires un an après un traitement avec
des médicaments anti-cancer.
Où se situe l’ACC par rapport à l’examen
des priorités? Il est expliqué que l’ACC est habituellement
accordé lorsque les examinateurs ne peuvent pas se fier suffisamment
à l’ensemble des données - la situation est prometteuse
- mais il reste toutefois des questions de sécurité. L’examen
des priorités s’adresse aux nouvelles entités chimiques,
aux présentations de drogue nouvelle.
Le président demande aux membres du CCG s’ils
approuvent le processus. Ils répondent dans l’affirmative.
Une invitation est ouverte pour qu’un membre du CCG agisse comme
agent de liaison afin de poursuivre cette question. Aucune réponse
pour l’instant.
12. Objectifs du Comité consultatif sur la gestion
(Jim Blackburn/Robert Peterson)
Des renseignements généraux sont présentés,
ainsi qu’un bref aperçu de l’établissement
du comité. Le conseil donné par les membres est valable
- p. ex. relativement aux essais cliniques. La Direction des produits
de santé naturels pourrait être invitée à
discuter de questions particulières.
La Direction générale doit déterminer pourquoi
le CCG devrait continuer sans la DPBTG et l’Inspectorat comme
membres officiels. Le Dr Peterson suggère que chaque direction
établisse son propre CCG. Les membres du CCG sont ici pour représenter
les meilleurs intérêts des Canadiens. Est-il encore possible
de répondre aux attentes relatives au CCG original?
Le Dr Peterson indique que nous nous pencherons davantage sur le mandat
et invite Diane Gorman du CCG à revoir cette question. Il continuera
à piloter cette question à la Direction générale.
On fait valoir que les coûts seront élevés si chaque
direction agit ainsi.
On fait également valoir que des unités distinctes doivent
recevoir des avis séparés. Chaque comité doit dégager
les préoccupations à l’échelle de la Direction
générale. Le SMA pourrait convoquer des réunions
semestrielles auxquelles participeraient les présidents de tous
les comités. Ce commentaire est approuvé et il
est suggéré de poursuivre l’idée et de rédiger
un document d’une page indiquant ce qui s’est déjà
passé, ce que pourrait être le rôle futur (c.-à-d.
plus axé sur l’action (lobby)).
D’après un autre commentaire, le rôle principal consiste
à conseiller le directeur général et d’autres
cadres supérieurs de la DPT. Ensuite, si la question va plus
loin, d’autres mesures seront peut-être nécessaires,
notamment le lobbying.
Le président félicite le personnel d’avoir organisé
la discussion de cette question et la réunion. L’évaluation
en décembre du statut du CCG est appropriée.
Aucune autre action n’est exigée du CCG pour l’instant.
13. Santé en milieu de travail
(Robert Peterson/Pauline Gaudy)
Ce point à l’ordre du jour vise à informer les membres
du CCG et à leur donner l’occasion de donner leur opinion
sur la démarche de la DPT relativement à l’initiative
de santé en milieu de travail, à la suite de la réunion
de tout le personnel de la DPT qui s’est tenue en juin. Pauline
Gaudy fait un bref exposé.
Discussion au CCG :
Il est demandé de se pencher sur le progrès réalisé
jusqu’à présent. Le Dr Peterson explique que les
locaux et les superficies sont prioritaires. La Division de la qualité
des produits pharmaceutiques est réinstallée au centre-ville
parce qu’il manque de locaux au Pré Tunney. Ce problème
est prioritaire à la Direction générale et au Ministère.
L’approche personnelle est adoptée afin de limiter les
perturbations, mais l’effet de la réinstallation sera évalué
pour que l’on puisse déterminer comment elle a été
administrée et relever tout problème rencontré.
Il y aura suivi et communication des résultats.
Prix : Le personnel suggère à la réunion
de tous les membres de la DPT de créer une boîte aux suggestions
pour les primes à accorder à la DPT. Les critères
pour l’attribution des prix à la DPT seront établis
par le Comité de primes et de reconnaissance de la Direction.
Le Plan d’action reçoit une réponse
favorable et on souhaite qu’il y ait un suivi. Une question est
soulevée relativement à l’enquête sur la satisfaction
au travail, de sorte que l’on puisse mesurer les améliorations
à l’avenir. L’enquête ministérielle
récente est mentionnée. Ginette Workman coordonne l’initiative
de la santé en milieu de travail au niveau de la Direction générale.
La communication est importante. Le personnel sera informé du
progrès réalisé dans le cadre de cette initiative.
Rapports déposés :
Les membres demandent d’être au courant des progrès
importants réalisés relativement aux rapports déposés.
1. Cisapride : Des recommandations pourraient être
difficiles à réaliser sans ressources supplémentaires.
2. Rapports de rendement : Le rendement du BEPP s’est amélioré
quelque peu. Le rendement de la DPBTG a fléchi légèrement.
3. Mesure du rendement : La méthode est bonne.
4. Initiative relative aux ressources humaines : Les entrevues du médecin
hygiéniste se poursuivent
5. Recouvrement des coûts : Le rapport de la phase IV est-il terminé?
Le Comité d’orientation sur le recouvrement des coûts
se penche actuellement sur ce qui pourrait être fait à
l’interne relativement aux droits, etc. et il détermine
les prochaines étapes à suivre. Des représentants
de l’alimentation, des produits de santé naturels et des
médicaments vétérinaires. Il importe de déterminer
la façon de lier les objectifs du rendement au recouvrement des
coûts.
La phase IV pour les matériels médicaux vient de commencer.
La demande de propositions est lancée et le contrat devrait être
accordé en septembre. Question : Y a-t-il un ratio accepté
qui soit idéal, p. ex. 50/50? On a demandé les lumières
du Conseil du Trésor parce que la DPT, la DPBTG et l’Inspectorat
ont tous des ratios différents.
14. Évaluation de la réunion
:
La DPT a écouté les commentaires de la dernière
réunion. Cette réunion était beaucoup mieux parce
que les sujets choisis était les sujets auxquels les membres
accordaient de l’importance.
La réception organisée pour Robert Goyer a donné
l’occasion de rencontrer d’autres membres du personnel de
la DPT. Un des membres indique qu’il a parlé avec plusieurs
personnes et a accepté de travailler à quelques projets
avec elles.
Il est avancé que le CCG pourrait être intéressé
à visiter divers endroits dans l’optique d’une rotation
des gens au sein de la Direction. Ce serait une bonne occasion de rencontrer
les divers membres du personnel dans leur milieu de travail.
Les membres du comité veulent que la DPT examine leurs intérêts.
Ces membres pourraient être les premiers contacts de la DPT. La
Direction pourrait également examiner ses intérêts.
La réorganisation du BEPP : Les trois modèles ne donnent
pas une image claire. Il serait préférable de recevoir
les modèles à l’avance.
Organismes consultatifs externes : Trop de détails, mais les
choses se sont précisées à la suite des explications
du Dr Peterson.
DPBTG : Des membres désirent une explication sur l’organigramme
et discuter également d’autres questions. Le président
assurera le suivi avec Julia Hill, la directrice générale
associée de la DPBTG. Luis Barreto s’entretiendra avec
elle et le SMA sur l’idée d’établir un CCG
à la DPBTG. Toutefois, il devrait également y avoir des
points communs avec les questions qui touchent la DPT. Il est suggéré
qu’un autre CCG se réunisse à la même date
de sorte qu’une demi-journée puisse être réservée
pour discuter de questions d’intérêt mutuel. Il pourrait
être préférable que les présidents se rencontrent.
Une autre option serait qu’il y ait un seul comité avec
plusieurs tentacules.
Discussion à huis clos du CCG
La séance est levée à 15 h.
15. Prochaine réunion : Les 5 et 6 décembre
(début à 10 h le 5 décembre)
Salle de réunion de la DPT, pièce 2048, Holland Cross,
Tour B 1600, rue Scott
Original signé par
Jim Blackburn Président
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