Agence canadienne d'inspection des aliments Canada
English Contactez-nous Aide Recherche Site du Canada
Accueil Nouveau Lois et règlements Plan du site
Salubrité des aliments Santé des animaux Protection des vegétaux Affaires intégrées

bullet Page Principale - Bureau du confinement des biorisques et sécurité
bullet Division de la protection des végétaux - Exportation/Importation
bullet Produits biologiques vétérinaires
bullet Santé des animaux
- Contrôle des maladies

Animaux > Confinement des biorisques > Information sur les agents pathogènes  

FICHE SIGNALÉTIQUE DE PATHOGÈNE

Stomatite vésiculeuse

SECTION I : MALADIE / AGENT INFECTIEUX

SYNONYMES / RENVOIS : SV (1)

ÉTIOLOGIE / TAXONOMIE :

Famille : Rhabdoviridae (2)
Genre : Vesiculovirus (2)

CARACTÉRISTIQUES DE L'ORGANISME :

  • Virus de taille moyenne à ARN monocaténaire. (3)
  • Microorganisme de forme ogivale, d'environ 70 nm de diamètre et 170 nm de long. (4)
  • Nucléocapside protégée par une enveloppe à double couche lipidique. (4)
  • Deux sérotypes aux États-Unis : New Jersey et Indiana-1; trois sérotypes exotiques en Amérique du Sud : Indiana-2 (Cocal), Indiana-3 (Alagoas) et Piry. (5)
  • Les isolats d'un même sérotype se distinguent par leurs propriétés physiques, chimiques et biologiques. (1)
  • D'autres virus du genre Vesiculovirus peuvent causer des lésions vésiculaires chez les animaux domestiques et l'humain.
  • Aucune immunité croisée entre les sérotypes New Jersey et Indiana ou avec les virus d'autres maladies vésiculeuses communes.

SURVEILLANCE :

La stomatite vésiculeuse est une maladie à déclaration obligatoire au Canada. Les propriétaires d'animaux, les vétérinaires et les laboratoires doivent immédiatement signaler au vétérinaire de district de l'ACIA la présence de tout animal infecté ou suspect. Des mesures de lutte ou d'éradication seront prises sur-le-champ (http://lois.justice.gc.ca/fr/H 3.3/tdmcomplete.html).

DISTRIBUTION:

  • La stomatite vésiculeuse est une maladie non indigène au Canada.
  • La stomatite vésiculeuse est limitée au continent américain; cependant, elle a déjà été décrite en France et en Afrique du Sud. (6)
  • Aucun cas de stomatite vésiculeuse n'est survenu au Canada depuis 1948. (1)

SECTION II : RISQUES ZOOSANITAIRES ET ÉPIDÉMIOLOGIE

MALADIE CLINIQUE / PATHOGENÈSE :

1) Signes cliniques (1,7)

  • Les animaux ont la fièvre (40-41 °C).
  • Ils mangent moins ou cessent de s'alimenter et leur état de santé se détériore.
  • Le premier signe de maladie est souvent la boiterie.
  • Chez les animaux en lactation, on observe une diminution ou un arrêt de la production de lait pouvant être permanent.
  • Le virus se propage facilement dans les troupeaux des espèces sensibles, et environ 90 % des animaux présentent alors des signes cliniques : la salivation excessive et la boiterie.
  • Les lésions peuvent être de la taille d'un petit pois ou s'étendre sur toute la surface de la langue.
  • Les lésions cliniques sont inoffensives après 5-6 jours.
  • Un grand nombre d'infections sont subcliniques chez les animaux d'élevage.
  • Les anticorps sériques persistent toute la vie; une ré-infection est possible.
  • Le taux de mortalité est faible.

Chez les chevaux (5,7)

  • Les vésicules buccales provoquent un écoulement de bave, un mâchonnement et un frottement de la bouche.
  • Les lésions apparaissent principalement sur la face supérieure de la langue, sur la face intérieure des lèvres, aux commissures de la bouche et sur les gencives.
  • Les vésicules se formant sur les bourrelets coronaires entraînent une boiterie.
  • Le cheval est l'espèce la plus gravement atteinte.

Chez les bovins et les porcs (1,5)

  • Les signes cliniques sont semblables à ceux de la fièvre aphteuse; des vésicules se forment dans la cavité buccale, sur les glandes mammaires, sur les bourrelets coronaires et entre les doigts.
  • Certaines lésions s'étendent jusqu'au museau et aux naseaux.
  • Les vésicules sont transitoires et se rompent facilement; elles peuvent disparaître en deux semaines s'il n'y a aucune infection secondaire.
  • La stomatite vésiculeuse ne provoque aucune lésion interne à part celles de la région buccale, lesquelles se voient aussi dans la fièvre aphteuse.

Chez les humains

  • Maladie d'allure grippale; fièvre, céphalalgie, douleurs musculaires; rarement, vésicules buccales semblables à celles causées par le virus de l'herpès. (7)
  • Les signes disparaissent généralement en 4-7 jours. (5)

2) Dose infectieuse : inconnue.

3) Période d'incubation : de 2 à 8 jours, mais pouvant aller jusqu'à 10 jours. (3)

SOURCE / MODE DE TRANSMISSION / TRANSMISSIBILITÉ :

  • Le virus est excrété quelques jours dans le liquide vésiculaire et dans la salive. (3)
  • Le virus est présent dans le sang de l'humain infecté au moins 24 heures avant et après l'apparition de la fièvre. (8)
  • Le virus peut se transmettre par contact direct (par la voie transcutanée ou la voie transmuqueuse) d'animaux domestiques ou sauvages infectés avec des animaux d'élevage des espèces sensibles. (1, 3, 9)
  • Le virus ne s'introduit que par la peau et les muqueuses endommagées. (3)
  • L'infectivité diminue rapidement et peut disparaître en moins d'une semaine après la rupture des vésicules. (1)
  • Le virus peut être transmis indirectement aux animaux par des vecteurs passifs (trayeuses, mangeoires, abreuvoirs) et par les humains. (3)
  • La stomatite vésiculeuse est transmise de façon mécanique par les piqûres des arthropodes se nourrissant de sécrétions infectées. (1, 9)
  • L'eau de boisson et les aliments contaminés par de la salive ou du liquide vésiculaire infectés peuvent être des sources d'infection. (1)
  • Les humains peuvent s'infecter par contact et par inhalation d'aérosols. (7)

VECTEURS : (1,3)

  • Arthropodes; phlébotomes (Phlebotomus), cératopogonides (Culicoides), moustiques (Ædes aegypti, Culex pipiens quinquefasciatus, Trichoprosopon digitatum), acariens (Gigantolælaps), chloropide (Hippelates pusio), mouche des cornes (buffle), mouche piquante des étables (Stomoxys calcitrans) et simulies (mouches noires).
  • Transmission mécanique et par piqûre.
  • Dans les régions où la maladie est endémique, la présence du virus est probablement maintenue par des cycles de transmission entre les insectes et les animaux sauvages.

HÔTES : (9)

  • Animaux domestiques : équidés, bovidés et suidés.
  • Animaux sauvages : cerf de Virginie et camélidés d'Amérique du Sud.
  • Les ovins et les caprins sont relativement résistants; les cas cliniques sont rares.
  • Chez l'humain : zoonose sans gravité.
  • En conditions expérimentales : cervidé, raton laveur, mouflon d'Amérique, paresseux, rongeurs, chauves-souris, lynx roux et singes.

POTENTIEL ZOONOTIQUE :

  • Le virus pénètre dans l'organisme humain par les voies respiratoires, la conjonctive et les lésions cutanées. (3)
  • Il cause des symptômes d'allure grippale. (7)

RÉSERVOIR : (1)

  • Les animaux sauvages peuvent servir de réservoirs d'agent infectieux.
  • On n'a pas établi où et comment le virus se maintient dans la nature, ni comment il est transmis des animaux aux troupeaux.
  • On a formulé l'hypothèse que le virus de la stomatite vésiculeuse pourrait être un parasite naturel de végétaux et/ou d'invertébrés qui sont ingérés accidentellement par les animaux qui broutent; le virus serait ainsi libéré au cours de la mastication.

SECTION III : DIAGNOSTIC

RÉSULTATS D'AUTOPSIE / D'HISTOPATHOLOGIE : (5,9)

  • Les lésions sont restreintes aux tissus épithéliaux de la bouche, des mamelles et des pieds.
  • Les lésions des mamelles sont souvent compliquées par des mammites graves et par l'arrêt de la lactation.

ÉCHANTILLONS À ENVOYER :

  • Sang entier : 5 ml, dans l'EDTA ou l'héparine (anti-coagulant).
  • Sérum : 10 ml, de chaque animal atteint.
  • Épithélium frais de lésions, prélevé dans des conditions aussi aseptiques que possible – un grand morceau ou plusieurs petits morceaux de tissu provenant d'une vésicule récemment rompue; placer dans un récipient contenant du milieu de transport pour vésicules.
  • L'épithélium de vésicules en voie de cicatrisation ne convient pas vraiment pour l'isolement du virus.
  • Liquide vésiculaire aspiré d'une vésicule non rompue, prélevé dans un tube stérile.
  • Autopsie : ganglions lymphatiques, rate, coeur, glande thyroïde, glandes surrénales (échantillons frais et fixés au formol).

Tous les échantillons doivent être gardés à 4 ºC durant le transport.

Pour de plus amples renseignements concernant le type d'échantillons nécessaires pour le diagnostic de la stomatite vésiculeuse, communiquer avec le Centre national des maladies animales exotiques du Canada :

Coordonnateur, Diagnostic
Centre national des maladies animales exotiques du Canada
1015 Arlington Street
Winnipeg (Manitoba) R3E 3M4
Tél. : (204) 789 2012
Téléc. : (204) 789-2038
Coordonnateur adjoint, Diagnostic
Centre national des maladies animales exotiques du Canada
1015 Arlington Street
Winnipeg (Manitoba) R3E 3M4
Tél. : (204) 789-2113
Téléc. : (204) 789-2143

DIAGNOSTIC DE LABORATOIRE : (5,6,9)

  • Épreuve immunoenzymatique (ELISA).
  • Épreuve immunoenzymatique par compétition (cELISA).
  • Séroneutralisation.
  • Transcription inverse suivie d'une réaction en chaîne à la polymérase (RT-PCR).

SENSIBILITÉ AUX MÉDICAMENTS : (9)

  • Les antibiotiques peuvent prévenir l'infection secondaire des plaies.

DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL : (1,10)

Les symptômes cliniques de la stomatite vésiculeuse peuvent être semblables à ceux des maladies suivantes :

Bovins

  • Fièvre aphteuse
  • Fièvre catarrhale du mouton
  • Trauma, lésions d'origine chimique
  • Maladie hémorragique épizootique
  • Maladie des muqueuses/diarrhée virale des bovins
  • Coryza gangreneux
  • Piétin et panaris

Suidés

  • Fièvre aphteuse
  • Exanthème vésiculeux du porc
  • Maladie vésiculeuse du porc
  • Trauma, lésions d'origine chimique

Équidés

  • Trauma, lésions d'origine chimique

Ovins

  • Fièvre catarrhale du mouton
  • Ecthyma contagieux
  • Ulcérations des lèvres et des pattes
  • Piétin et panaris

SECTION IV : MÉTHODE DE DÉCONTAMINATION

Choisir un désinfectant homologué possédant un DIN (numéro d'identification du médicament). Utiliser la concentration et le temps de contact indiqués sur l'étiquette. Considérer la charge organique et la température. Il est recommandé que le laboratoire valide l'efficacité du désinfectant utilisé à l'aide d'une méthode acceptée (ex. essai quantitatif de porteur). Le tableau 1 peut aider dans le choix d'un désinfectant homologué pouvant être utilisé contre le virus de la stomatite vésiculeuse.

Tableau 1. Matières actives considérées efficaces contre le virus de la stomatite vésiculeuse

MATIÈRE ACTIVE CONCENTRATION TEMPS DE CONTACT
Savons et détergents
(solides ou liquides)
Telle que requise 10 minutes (3)
Oxydants
Hypochlorite de sodium
Hypochlorite de calcium
2-3% (20,000-30,000 ppm) 10-30 minutes (3)
Acides
Acide chlorhydrique
Acide citrique
2% (v/v)
0,2% (p/v)
10 minutes (3)
30 minutes (3)
Aldéhydes
Glutaraldéhyde
2% (p/v) 10-30 minutes (3)

INACTIVATION PHYSIQUE : (1,9)

  • Inactivation du virus à 58 °C pendant 30 minutes.
  • Virus stable à pH 4,0-10,0.
  • Virus sensible aux rayons ultraviolets.

SURVIE À L'EXTÉRIEUR DE L'HÔTE :

  • Virus relativement instable, ne survit pas plus de quelques jours dans les lieux où ont été logés des animaux infectés. (1)
  • Survit longtemps à basse température, en conditions expérimentales, en présence de matière organique. (9)

SECTION V : DANGERS POUR LES HUMAINS AU LABORATOIRE

INFECTIONS CONTRACTÉES AU LABORATOIRE : (11)

  • Les infections semblent être d'origine aérogène et associées à la manipulation d'animaux.
  • En 1976, 40 cas ont été signalés, dont 31 dans un même établissement.

PRÉCAUTIONS DE BIOSÉCURITÉ : (4)

  • Éviter de produire des aérosols.
  • Les lésions doivent être traitées de façon appropriée.
  • Tout le travail de diagnostic avec des agents vivants doit s'effectuer dans une enceinte de biosécurité ventilée.

SECTION VI : EXIGENCES PHYSIQUES ET OPÉRATIONNELLES

EXIGENCES DE CONFINEMENT :

Toutes les exigences de niveau 3 en matière de confinement physique et de pratiques opérationnelles, telles qu'elles sont énoncées dans les Normes sur le confinement des installations vétérinaires, doivent être satisfaites. On peut consulter ces normes à l'adresse suivante : http://www.inspection.gc.ca/francais/sci/lab/biof.shtml.

MATÉRIEL DE PROTECTION PERSONNELLE :

Laboratoire

  • La protection primaire comprend des vêtements protecteurs (ex. tenue de chirurgien et bonnet) et des chaussures réservés au travail de laboratoire.
  • Il faut une deuxième couche de vêtements protecteurs (ex. blouse de laboratoire fermée sur le devant, avec poignets ajustés, 2 paires de gants) pour la manipulation directe de matériel infectieux.
  • Il faut porter une protection respiratoire adéquate pour la manipulation directe de matériel infectieux à l'extérieur de l'enceinte de biosécurité.
  • Il faut prendre une douche en sortant du laboratoire.

Salle d'autopsie

  • La protection primaire comprend des vêtements protecteurs (ex. tenue de chirurgien et bonnet) et des chaussures réservés au travail de laboratoire.
  • Il faut une deuxième couche de vêtements protecteurs (ex. blouse de laboratoire fermée sur le devant, avec poignets ajustés, 2 paires de gants) pour la manipulation directe de matériel infectieux.
  • Il faut des gants résistant aux coupures, une protection respiratoire adéquate, des bottes de caoutchouc à embout/cambrion d'acier.
  • Il faut prendre une douche en sortant de la salle d'autopsie.

INFORMATION SUR LA MANIPULATION

Déversements dans le laboratoire

La marche à suivre en cas de déversement doit être établie, notamment pour les circonstances suivantes :

  • déversements à l'intérieur de l'enceinte de biosécurité.
  • déversements à l'extérieur de l'enceinte de biosécurité.
  • déversements survenant au cours d'opérations générant des aérosols.
  • au besoin, modification des procédures d'entrée et de sortie des locaux, utilisation d'EPI approprié, désinfection de la substance déversée et des environs, avec des précisions sur le temps de contact, la séquence des opérations de nettoyage et l'élimination du matériel contaminé.

Voir le tableau 1 pour les désinfectants à utiliser.

ENTREPOSAGE : Toutes les cultures et tout le matériel infecté doivent être conservés dans des contenants étanches scellés, adéquatement étiquetés et portant clairement la mention : biorisque. L'accès aux matières infectieuses doit être contrôlé en tout temps. Conserver les renseignements pertinents sur l'utilisation, l'inventaire et l'élimination des matières infectieuses.

ÉLIMINATION : Décontaminer tout le matériel infectieux par stérilisation à la vapeur, incinération ou désinfection chimique avant de l'éliminer.

BIBLIOGRAPHIE :

  1. Australian Veterinary Emergency Plan. 1996. « Disease Strategy: Vesicular stomatitis ».
    http://www.animalhealthaustralia.com.au/shadomx/apps/fms/fmsdownload.cfm?
    file_uuid=2B2C72B2-9F2B-59C1-BD6F-5930C87415BD&siteName=aahc.
  2. Radostits, O.M., Gay, C.C., Blood, D.C., et K.W. Hinchcliff. 2000. Veterinary Medicine, A Textbook of the Diseases of Cattle, Sheep, Pigs, Goats and Horses, 9e éd., W.B. Saunders Company Ltd, p. 1289-1296.
  3. Australian Veterinary Emergency Plan. 2000. « Operational Procedures Manual: Decontamination », p. 42-50.
  4. Acha, P.D., et B. Szyfres. 2005. Zoonoses et maladies transmissibles communes à l'homme et aux animaux. 3e éd., vol. II, « Chlamydioses, rickettsioses et viroses », Office international des épizooties, p. 347-355.
  5. The Center for Food Security and Public Health. « Vesicular stomatitis Fact Sheet », 20 mai 2004.
    http://www.cfsph.iastate.edu/Factsheets/pdfs/vesicular_stomatitis.pdf.
  6. OIE : Organisation mondiale de la santé animale. Manual of Diagnostic Tests and Vaccines for Terrestrial Animals, chapitre 2.1.2, « Vesicular Stomatitis », mise à jour le 23 juillet 2004.
    http://www.oie.int/eng/normes/mmanual/A_00025.htm.
  7. Buisch, W.W., Hyde, J.L., et C.A. Mebus. 2000. Foreign Animal Diseases, 6e éd., American Public Health Association, p. 419-423.
  8. Chin, J. 2000. Control of Communicable Diseases Manual, 17e éd., American Public Health Association, p. 52-54.
  9. OIE : Organisation mondiale de la santé animale. Animal Disease Data, « Vesicular Stomatitis », mise à jour le 22 avril 2002.
    http://www.oie.int/eng/maladies/fiches/a_A020.htm.
  10. United States Animal Health Association. 1998. « Foreign animal diseases ». (Édition révisée).
  11. Collins, C.H. 1993. Laboratory Acquired Infections, 3e éd., Butterworth-Heinemann Ltd, Oxford, p. 17.
  12. Spickler, A., et J. Roth. 2004. Emerging and Exotic Diseases of Animals, Iowa State University Press.

DERNIÈRE MISE À JOUR : 2006-01-04
PRÉPARÉE PAR : Division des biorisques, du confinement et de la sécurité et Centre national des maladies animales exotiques du Canada, ACIA.

Avertissement : Bien que l'information et les recommandations contenues dans la présente fiche signalétique proviennent de sources fiables, il n'est pas assuré qu'elles soient correctes, exactes, complètes, fiables et à jour, et l'Agence canadienne d'inspection des aliments ne peut être tenue responsable des pertes ou dommages résultant de leur utilisation.

L'utilisateur doit donc assumer tous les risques et responsabilités associés à l'utilisation de l'information et des recommandations, ainsi qu'aux résultats, pertes ou dommages qui en découleraient.



Haut de la page
Haut de la page
Avis importants