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La vérification des échantillons est une composante clé des sciences qui appuient la LCPE (1999). Par exemple :
Méthodes de vérification
Des essais économiques et fiables sur le plan scientifique sont essentiels pour la surveillance permanente des substances dans l'environnement et pour la vérification au hasard de certaines substances particulières. Les exemples qui suivent sont des modèles d'essais mis au point par les scientifiques d'Environnement Canada et de Santé Canada pour ce qui est de l'application de la LCPE (1999).
- En vertu de SAIC Canada (un entrepreneur pour la diversification des modes de prestation des services au Centre de technologie environnementale), un protocole d'essai a été établi pour couvrir la plupart des types et des marques de commerce de sorbants. La nouvelle méthode, acceptée en Amérique du Nord, est une méthode standard de mise à l'essai du rendement des absorbants pour les sorbants (no F726-99).
- Aux termes de la LCPE (1999), l'immersion en mer de substances non dangereuses est permise, là où c'est préférable pour l'environnement et où c'est la solution pratique. La Division de l'environnement marin a raffiné les essais biologiques qui peuvent être utilisés pour évaluer la concentration chimique des sédiments destinés à être éliminés en mer. Ces tests biologiques font suite aux tests chimiques qui dénotaient la présence de substances réglementées. Les bio-essais sont effectués sur la mortalité des crustacés, la reproduction des oursins, la fluorescence des bactéries photoluminescentes, les changements dans la croissance des vers polychètes et la bioaccumulation de matières dans une espèce de palourdes (Macoma nasuta) pour déterminer si l'on peut, sans danger, rejeter les sédiments en mer.
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