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Accueil : Maladies Infectieuses : VIH/sida : Rapports et Publications : HIV/sida Communiqué |
HIV/sida Communiqué - Volume 2 Numéro 1 - hiver 2003Table des matièresDans ce numéro :
1. SONDAGESSondage sur les Attitudes de la population envers le VIH/sida au CanadaLe VIH et le sida sont parmi les défis les plus difficiles et les plus complexes en matière de santé publique que doit relever le monde aujourd'hui. Au Canada, malgré des décennies au cours desquelles on a mis sur pied des programmes de sensibilisation de la population et de prévention, le nombre de personnes vivant avec le VIH continue de croître. L'un des aspects de l'épidémie au Canada est la modification apparente des perceptions de la population concernant le VIH/sida. Afin d'évaluer les comportements de la population, Santé Canada a chargé Decima Research d'ajouter cinq questions relatives au VIH/sida à son sondage omnibus d'août 2002. Le sondage a été fait par téléphone auprès de 2008 Canadiens (âgés de 18 et plus). Sa marge d'erreur est de plus ou moins 2,2 %, 19 fois sur 20. Les résultats du sondage laissent place à de l'espoir, mais ils sont aussi source d'inquiétudes. Il est encourageant de constater que la plupart des Canadiens semblent avoir des connaissances appréciables sur le mode de transmission du virus. De plus, les Canadiens sont en mesure d'affirmer que les pratiques sexuelles non sécuritaires et le partage des seringues sont des modes clés de transmission. L'une des sources d'inquiétudes est la perception des répondants de la gravité du VIH/sida au Canada. En effet, 54 % des répondants jugent que le VIH/sida est un très sérieux problème. Au premier abord, cela semble signifier que les Canadiens sont conscients du problème important que constitue le VIH/sida au Canada. Cependant, lorsqu'on a posé la même question en 1989 et en 1998, le pourcentage de Canadiens qui ont qualifié le VIH/sida de très sérieux était beaucoup plus important. En 1989, 83 % des répondants avaient classé le VIH/sida comme étant un problème sérieux. En 1998, cette proportion était passée à 69 %. Ce déclin semble signaler que la perception de la population quant à la gravité du VIH/sida est en déclin. D'autres résultats du sondage indiquaient que :
Bien que les résultats aux questions omnibus soient très intéressants, la Division des politiques, de la coordination et des programmes sur le VIH/sida évalue à l'heure actuelle la nécessité d'effectuer un sondage plus complet dont le but serait d'évaluer de façon continue la sensibilisation des Canadiens au VIH/sida, leurs connaissances sur ce sujet et leur niveau d'inquiétude. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec Neil Burke, au (613) 941-1313, ou par courriel, à Neil_Burke@hc-sc.gc.ca. Sondage des IRSC auprès des chercheurs du domaine du VIH/sidaÀ l'automne 2002, les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) ont commandé un sondage auprès des chercheurs du domaine du VIH/sida qu'ils ont financés en 2001-2002. Le sondage avait pour but de collecter des renseignements sur les recherches qu'ils effectuaient, leurs collaborations, leurs initiatives en matière de formation, leurs activités de diffusion des connaissances et les répercussions de leurs recherches. Le taux de réponse fut excellent puisque 58 des 64 chercheurs ont répondu à la partie du sondage faite par téléphone. Les IRSC gèrent la majorité du financement de la SCVS destiné à la recherche extra-muros. Les résultats du sondage donnent aux IRSC les renseignements qui leur permettent de mesurer le rendement de leur programme sur le VIH/sida et de préparer l'entrée de leurs données dans le rapport annuel du Canada sur le VIH/sida. Les chercheurs sur le VIH/sida financés par les IRSC sont répartis sur tout le territoire canadien. La majorité des chercheurs sont au Québec et en Ontario. Le sondage indique que les chercheurs ont une collaboration très importante avec les scientifiques des autres ministères, institutions, provinces et pays. Non seulement les chercheurs collaborent avec les autres scientifiques, mais nombreux sont ceux qui se font aider par des praticiens de la santé, des groupes communautaires, des personnes vivant avec le VIH/sida et des personnes à risque dans l'élaboration et l'application de leur recherche. Les répercussions de la recherche scientifique sont fréquemment mesurées à l'aide du nombre de publications dans les journaux examinés par des collègues. Les chercheurs du domaine du VIH/sida ont diffusé les résultats de leur recherche par l'entremise de ce moyen traditionnel. Cependant, ils ont aussi accru la diffusion de leurs travaux en publiant et en présentant leurs résultats dans des livres, dans le cadre d'entrevues avec les médias et au cours de colloques. Globalement, les chercheurs sur le VIH/sida financés par les IRSC ont estimé que les ressources du Canada pour effectuer de la recherche sur le VIH/sida dans leur domaine de spécialité sont grandes. Le sondage indique que ces ressources continueront vraisemblablement à croître puisqu'une grande majorité de chercheurs participent à la formation de la prochaine génération de scientifiques du domaine du VIH/sida. Pour de plus amples renseignements sur le sondage commandé par les IRSC auprès des chercheurs du VIH/sida, veuillez communiquer avec Jennifer Gunning, agente de programme, IRSC, au (613) 941-4483, ou par courriel, à jgunning@cihr-irsc.gc.ca. 2. SCIENCELe VIH et le sida au Canada : rapport de surveillance en date du 30 juin 2002On peut maintenant se procurer le rapport le plus récent sur la surveillance du VIH et du sida au Canada. Le rapport de novembre 2002 présente les données sur la surveillance du VIH et du sida, en date du 30 juin 2002, soit les données transmises au Centre de prévention et de contrôle des maladies infectieuses (CPCMI) par les provinces et les territoires du Canada. Voici les faits saillants des principales conclusions. Tests séropositifs Depuis que le dépistage du VIH a commencé en novembre 1985 au Canada, 51 470 cas d'infection au VIH ont été signalés au CPCMI. On a constaté une baisse annuelle de près de 30 % du nombre de cas d'infection par VIH entre 1995 et 2000. Cependant, en 2001, il y a eu une légère hausse, soit 2 180 cas d'infection. Au cours des six premiers mois de 2002, 1 193 cas d'infection par VIH ont été signalés au CPCMI, soit 105 (9,7 %) de plus qu'à la même époque en 2001.
Cas déclarés de sida Depuis le début de l'épidémie, au début des années 1980, 18 336 cas de sida ont été déclarés au CPCMI. Le nombre de cas déclarés annuellement a atteint un sommet en 1993, soit 1 766. Cependant, ce nombre avait baissé à 297 en 2001. On a signalé 75 cas de sida au cours des six premiers mois de cette année.
Mortalité chez les cas déclarés d'infection de sida À ce jour, le CPCMI a été avisé de 12 655 décès chez les cas déclarés d'infection de sida. Si on compare le nombre de décès depuis le début de la consignation aux données de 1995, année où le nombre de décès déclarés se chiffrait à 1 477, il y a eu une augmentation. Il y a eu une hausse très importante du nombre de décès depuis cette époque : 136 décès chez les cas déclarés d'infection de sida en 2001 et 36 cas déclarés d'infection de sida au cours des six premiers mois de 2002.
Il faut être prudent lorsqu'on interprète les données issues de la surveillance exercée au cours des six premiers mois de l'année de déclaration (les données ont été compilées jusqu'au 30 juin) à cause des petits échantillons, du retard de la déclaration et de la sous-estimation. Le CPCMI continuera d'assurer le suivi des données de la surveillance et il précisera si ces conclusions sont appuyées quand les données englobant toute l'année seront transmises. Il est aussi important de tenir compte du fait que les données ne portent que sur les personnes qui sont venues passer un test et/ou obtenir des soins médicaux. Ces données ne tiennent pas compte des cas non déclarés ou non testés. Elles ne permettent donc pas d'obtenir une évaluation complète du nombre de personnes vivant avec le VIH ou le sida au Canada (prévalence), ou du nombre de nouveaux cas annuellement (incidence). Pour obtenir des estimations de l'incidence et de la prévalence, veuillez consulter le numéro le plus récent des Actualités en épidémiologie du mois d'avril 2002. Une nouvelle ressource, « Guide des termes d'usage dans l'épidémiologie et la surveillance du VIH/sida », peut aussi être utile. On peut avoir accès à chacun des documents mentionnés ci-haut à l'adresse suivante . Il est possible d'obtenir des copies papiers par l'entremise de la Division de l'épidémiologie et de la surveillance du VIH/sida, CPCMI, ou par l'entremise du Centre de documentation sur le VIH/sida. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer par courriel avec Dana Reid, à Dana_Reid@hc-sc.gc.ca. Élaboration d'un système national de surveillance des comportements à risque : un système pour les utilisateurs de drogues injectables et les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommesLes utilisateurs de drogues injectables (UDI) qui se servent de seringues d'injection contaminées et qui adoptent des pratiques sexuelles non sécuritaires courent le risque d'être atteints du VIH et d'autres virus transmissibles par le sang. Même si l'on collecte, dans le cadre de plusieurs études régionales au Canada, des données sur les comportements à risque des UDI et même si de nombreuses enquêtes transversales ont été faites sur les risques que prennent les UDI, il est très difficile, voire impossible, de comparer les niveaux de comportements à risque entre les ensembles de données. Santé Canada travaille à la création d'un système national de surveillance des comportements à risque associés au VIH et au virus de l'hépatite C (VHC). Ce système sera mis en place dans des centres sentinelles situés sur tout le territoire canadien grâce à la collaboration des responsables régionaux de la santé, des intervenants communautaires et des chercheurs. La mise à l'essai de ce système de surveillance a eu lieu en octobre et en novembre 2002 à Regina, à Victoria, à Sudbury et à Toronto. Des liens seront aussi établis avec les études faites sur les UDI au Québec. On s'attend à ce que l'enquête sur la surveillance ait lieu annuellement. Le système de surveillance par sentinelles assurera le suivi des comportements à risque associés au VIH et au virus de l'hépatite C (VHC) chez les UDI dans les centres urbains et semi-urbains du Canada. De plus, ce système donnera des renseignements de première importance aux planificateurs et aux évaluateurs de la réaction des UDI en ce qui a trait au VIH et au VHC. Grâce à ce système, il est possible d'évaluer les comportements à risque qui ont trait aux drogues injectables et aux relations sexuelles à l'échelle nationale et, dans une certaine mesure, dans les provinces et dans les territoires. De plus, les données sur les tendances comportementales amélioreront les données de la surveillance nationale et les estimations relatives à l'incidence et à la prévalence à l'échelle nationale pour le suivi de l'évolution des épidémies associées au VIH et au VHC au sein des UDI. Il est aussi possible de combiner les données avec d'autres sources de données afin d'évaluer les effets sur les efforts de prévention et les politiques en matière de prévention au palier national et aux paliers provinciaux. Depuis le milieu des années 1990, l'utilisation du Traitement antirétroviral hautement actif (HAART) a réduit de façon importante les décès causés par l'infection par VIH. Les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HARSAH) sont devenus plus optimistes quant au traitement du VIH, il est possible que cet optimisme soit lié à l'augmentation des comportements à risque. Des données récentes donnent à penser que les HARSAH continuent d'être à risque de contracter le VIH et d'autres infections transmissibles sexuellement (ITS) en ayant des pratiques sexuelles non sécuritaires. Ils soulignent la nécessité d'assurer un suivi plus serré des comportements à risques associés au VIH et aux ITS afin d'améliorer les systèmes de surveillance des maladies déclarables et de mieux orienter les programmes de prévention et de soins. Un groupe de travail travaille en ce moment à la mise au point de l'instrument de sondage et du modèle méthodologique pour le système de surveillance. L'objectif de ce groupe consiste à donner des conseils au Centre de prévention et de contrôle des maladies infectieuses (CPCMI) de Santé Canada sur l'élaboration d'un système de surveillance des comportements à risque associés au VIH et aux ITS chez les HARSAH afin de fournir des données pouvant servir à la planification et à l'évaluation des programmes et des politiques de prévention du VIH et des ITS à l'échelle nationale, à l'échelle provinciale et à l'échelle locale. Une fois qu'un modèle général aura fait consensus, des discussions auront lieu séparément avec les autorités provinciales et les intervenants intéressés afin d'établir des sites pilotes et de préciser les détails relatifs à la méthodologie. Au début de 2003, le CPCMI entreprendra des discussions avec les responsables de la santé des provinces. Les partenaires et les chercheurs provinciaux de la santé aideront le CPCMI à trouver les intervenants intéressés qui devraient prendre part à la mise en oeuvre de ce système de surveillance. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec Yogesh Choudhri, à Yogesh_Choudhri@hc-sc.gc.ca. 3. QUESTIONSPremière conférence canadienne sur la réduction des risquesLa première conférence canadienne sur la réduction des risques, qui a eu lieu du 22 au 24 novembre 2002, à Toronto (Ontario), a attiré plus de 350 délégués de partout au Canada. Parmi les participants, il y avait des utilisateurs et d'anciens utilisateurs de drogues par injection, des fournisseurs de services et des professionnels de première ligne. Les séances de formation et de renforcement des capacités ont porté sur des sujets tels les questions de santé qui ont trait au VIH/sida, à l'hépatite C et à l'usage de drogues, à l'accessibilité aux soins de santé et aux programmes de réduction des risques, aux pratiques exemplaires relatives aux politiques et aux programmes sur la réduction des risques, aux répercussions négatives des drogues et aux politiques de mise en application du programme sur la réduction des risques. La participation des utilisateurs d'aujourd'hui et d'hier a été essentielle au succès de la conférence dans tous les aspects de la planification de la conférence, de l'établissement du programme et de sa facilitation. Avant la conférence, des pairs, agissant en qualité de réseauteurs au sein de douze communautés canadiennes, ont travaillé avec l'équipe de recherche à l'établissement de connexions avec les utilisateurs marginaux de drogues injectables afin de faire la collecte de données pour le programme et d'aider les participants potentiels à franchir les obstacles à une participation à la conférence. Les bourses de la conférence ont permis à 100 utilisateurs de drogues, qui en font usage ou qui en ont déjà fait usage, d'assister à la conférence. Les résultats globaux de la conférence ont démontré que les participants sont prêts à instaurer un programme national de réduction des risques. Parmi les questions clés, on trouve le besoin d'accroître la sensibilisation, l'éducation et les ressources afin d'appuyer les approches visant la réduction des risques, le besoin d'accroître la disponibilité et l'accessibilité des services de base de réduction des risques, la nécessité de disposer d'établissements sécuritaires pour les injections et la coordination d'une campagne nationale de soutien aux initiatives de réduction des risques. La Street Health Nursing Foundation de Toronto a été l'hôte de la conférence. Celle-ci a été financée conjointement par la Division des politiques, de la coordination et des programmes sur le VIH/sida, la Division de l'hépatite C, le Bureau de la Stratégie canadienne antidrogue et la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer par courriel avec Jacqueline Arthur, à Jacqueline_Arthur@hc-sc.gc.ca. Le Service correctionnel du Canada élargit son programme de traitement d'entretien à la méthadoneEn mai 2002, le Service correctionnel du Canada (SCC) a élargi son programme de traitement d'entretien à la méthadone (TEM). Les détenus des établissements du SCC et qui sont dépendants des opioïdes ont accès à ce programme depuis 1998. Ce programme est offert en priorité aux personnes qui faisaient déjà partie d'un programme de TEM dans la communauté avant de se voir imposer une peine. En 1999, le programme a été élargi aux cas exceptionnels, ce qui signifie que, dans certains cas, le programme de TEM pourrait être entrepris au sein des institutions. Conséquence de l'expansion du programme en 2002, tous les détenus qui sont dépendants des opioïdes sont maintenant admissibles au programme. Les lignes directrices nationales sur la méthadone, élaborées par le SCC, sont conformes aux normes établies par Santé Canada et les collèges provinciaux de médecins et de chirurgiens. L'expansion du programme de TEM accroît les mesures que le programme national sur les maladies infectieuses du SCC (financé, en partie, par la SCVS) a prises afin de réduire la propagation des maladies infectieuses entre les détenus des pénitenciers fédéraux. Il s'agit de mesures comme :
4. ÉVALUATIONExamen de cinq ans du rôle du gouvernement fédéral au sein de la SCVSLa SCVS, lancée par le ministre fédéral de la Santé en mai 1998, a maintenant presque cinq ans. Au moment du lancement de la SCVS, Santé Canada s'est engagé à faire état au Cabinet des progrès de la SCVS, de ses lacunes et de la voie à suivre d'ici juillet 2003. De plus, selon la ministre actuelle de la Santé, il est nécessaire de bâtir une solide argumentation en faveur de l'accroissement du financement du gouvernement fédéral accordé à la SCVS. L'examen de cinq ans a pour mission de se pencher sur l'engagement du cabinet et sur l'accroissement des investissements du gouvernement fédéral. Pour ce faire, au cours de l'examen :
L'examen sera fondé sur les activités de la SCVS, dont les réunions d'orientation qui ont eu lieu à Gray Rocks et à Montréal. Cet examen sera lié à la planification stratégique en cours pour la SCVS (orientation no 10). Pour de plus amples renseignements, communiquez par courriel avec Marsha Hay-Snyder, à Marsha_Hay-Snyder@hc-sc.gc.ca. Soutien des intervenants en faveur du programme international sur le VIH/sidaÀ l'automne 2002, la Direction des affaires internationales (DAI) de Santé Canada a entrepris un examen externe de la collaboration internationale dan le cadre de la SCVS. L'examen a permis de constater que le programme bénéficiait d'un solide soutien. Les intervenants ont signalé que les activités du programme constituent une part importante de la SCVS, d'autant plus qu'elles appuient la participation du Canada aux activités internationales sur le VIH/sida. Les intervenants ont aussi signalé que ces efforts internationaux ont lieu de manière efficace au niveau des coûts. La DAI a demandé à ce que l'examen ait lieu afin d'obtenir les commentaires des partenaires externes et internes ainsi que ceux des intervenants. L'objectif consistait à évaluer les progrès réalisés dans la mise en oeuvre des éléments internationaux de la SCVS, à vérifier si la conception du programme et l'appui qu'il reçoit sont adéquats, à cerner les leçons tirées et à proposer des investissements rentables. Les intervenants ont affirmé que les activités de programme, soit la coordination, le partage de renseignements avec d'autres pays et organisations internationales ainsi que le renforcement des ressources des ONG et des organismes de services liés au sida, ont accrû l'influence du Canada sur la scène internationale. Nombreux sont ceux qui ont souligné l'importance du Comité de travail sur les questions internationales liées au VIH/sida de la Division qui est le seul endroit où les ONG, les organismes de services liés au sida et les ministères fédéraux participant aux efforts internationaux sur le VIH/sida peuvent dialoguer. Orientation 10 - Plan stratégique
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Mise à jour : 2003-02-04 | ![]() |