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Histoires de chez nous

Exploration du MVC
Découvrir ce que le Musée virtuel du Canada a à vous offrir.

  • 100 ans de l'Hydro-Coaticook
    Nous voulons mettre sur le Web une exposition sur les cent ans de l'Hydro-Coaticook. Cette exposition regroupera une bonne centaine de photos dont une quinzaine de cartes postales. Ces photos et cartes postales représentent des étapes importantes dans la vie de l'Hydro-Coaticook : construction des barrages, installation des turbines, construction de ponts, etc.
  • 1930: Une année dans la vie d'un jeune Lourdais
    Pour vous présenter la vie dans notre petit village franco-manitobain, nous avons imaginé le journal d’un jeune garçon qui aurait pu vivre pendant les années 1930, à Notre-Dame-de-Lourdes. Chaque extrait de son journal est accompagné d’une photo et parfois d’un extrait sonore qui illustrent le vécu quotidien du jeune garçon au fil des saisons.
  • Autour du timbre-poste
    Visiter une exposition virtuelle, ça vous dirait? Dans le cadre du programme « Histoires de chez nous » présenté par le Réseau canadien d’information sur le patrimoine, le Centre d’interprétation et de recherche philatélique du Canada (CIRPC) et son président Stéphan Vallée vous proposent de jeter un regard nouveau sur l’univers fascinant de la philatélie. En se branchant sur le Musée virtuel du Canada, jeunes et moins jeunes de toutes les régions auront accès à notre collection d’artefacts représentés sur timbre-poste ainsi qu’à l’historique de notre institution.
  • Clair, naissance par le bois
    L’exposition « Clair, naissance par le bois » vous invite à faire un voyage dans le temps et à devenir les témoins de la vie de nos ancêtres au cours des deux siècles derniers.
  • Édith B. Pinet: Une sage-femme
    À 20 ans, Edith B. Pinet réalisait son rêve, en s’inscrivant en nursing à St-Jean d’Iberville au Québec pour obtenir son brevet d’infirmière. Son rôle de sage-femme fut l’une de ses occupations principales.
  • Feuilles d'or et doigts de fée
    C’est le 1er août 1639 que les Ursulines arrivent à Québec. Le groupe se compose de trois religieuses : Cécile Richer de Sainte-Croix, Marie de Savonnières de Saint-Joseph de la Troche et Marie Guyart de l’Incarnation. Elles sont accompagnées de Madeleine de la Peltrie et de sa suivante, Charlotte Barré. Ces femmes ont quitté la France pour le Canada dans le but de fonder un monastère voué à l’éducation des filles et à l’évangélisation des Amérindiennes.
  • Histoire des maisons de disques indépendantes à Montréal
    L’exposition sur l’histoire des maisons de disques indépendantes montréalaises rassemble des images de musiciens et d'artisans en action, de studios, d’appareils et de pochettes.
  • Histoire des studios d'enregistrement à Montréal
    Cette exposition met en valeur des moments marquants de l’histoire des studios montréalais. On peut consulter des photographies, des extraits d'entrevues avec des professionnels du milieu, une chronologie de l'histoire des studios, ainsi que diverses rubriques (anecdotes, commentaires sur des studios, des séances d'enregistrement et la gravure des disques...).
  • Hochelaga d'après Marc-Aurèle Fortin
    Fruit de l’industrialisation et témoin privilégié de la montée de l’urbanisation montréalaise du début du XXe siècle, le quartier Hochelaga est le sujet de plus d’une centaine d’oeuvres créées par Marc-Aurèle Fortin, l’un des précurseurs de la modernité artistique québécoise. L’exposition Hochelaga d’après Marc-Aurèle Fortin offre un regard sur ce volet particulier de sa production artistique. Les oeuvres présentées ont été peintes au cours des années 1920-1930. Elles nous amènent à découvrir non seulement les préoccupations artistiques de Fortin, mais aussi le regard singulier qu’il a posé sur ce quartier ouvrier.
  • Hommage à Armand Beaudoin
    Dans le cadre de cette exposition, nous avons retenu une centaine de clichés traduisant autant de facettes de la vie quotidienne, telle qu’elle s’est déroulée à Val-d’Or pendant un quart de siècle. Ainsi voit-on défiler, tour à tour, des scènes illustrant par pans entiers la vie culturelle, scolaire, sociale, religieuse, politique, sportive, économique et industrielle. De quoi réunir en un tout cohérent les aspects les plus divers d’une société dynamique, effervescente, accueillante, multiethnique et résolument tournée vers l’avenir.
  • Hommage à Marie-Louise Allard Blanchard et à nos artisanes
    Cette exposition « Hommage à Marie-Louise Allard Blanchard et à nos artisanes » veut rappeler le talent d'une artisane de Caraquet, au Nouveau-Brunswick, qui dès 1919 entreprend de revaloriser l'artisanat traditionnel de la région.
  • L'Aboiteau de Barachois et les aboiteaux d'Acadie
    La technique agricole de l’aboiteau a été d’une grande signification historique et économique en Acadie. Aujourd’hui elle est largement abandonnée, mais nous la retrouvons comme référence culturelle en littérature, en chanson et parfois comme métaphore.
  • L'aventure ASTER
    ASTER, la station scientifique du Bas-Saint-Laurent. Située à Saint-Louis-du-Ha! Ha!, dans le Témiscouata, la station scientifique ASTER est un centre de vulgarisation des sciences qui s’adresse à l’ensemble de la population.
  • L'exploitation de l'ardoise dans la région de Kingsbury
    Dans l’exposition « L’histoire d’un riche passé ardoisier », réalisé par le Centre d’interprétation de l’ardoise, nous effectuerons un survol historique des carrières d’ardoise de la région.
  • L'héritage de la rivière aux Bluets
    Au Québec, l'eau est une richesse abondante. Pas étonnant alors que la rivière aux Bluets nous ait légué son propre héritage! Le Moulin Bernier lui doit son existence et, comme vous le verrez dans nos «histoires de chez nous», tout s'est enchaîné à partir de la découverte d'une cascade en 1865.
  • L'héritage des tailleurs de pierre
    Vers les années 1880, les premiers colons des villages de Saint-Sébastien, Sainte-Cécile de Whitton et Saint-Samuel (Lac-Drolet) découvrent la possibilité de tailler la pierre qu'ils trouvent en abondance dans les champs.
  • L'hiver au chantier
    L'Abitibi-Témiscamingue est l'une des régions les plus jeunes au Québec. L’éloignement, l’absence de voies d’accès et la ligne de partage des eaux sont les principales raisons qui expliquent son développement tardif. À ses débuts, elle est donc une région non exploitée qui se caractérise par un immense territoire boisé. L'exploitation des ressources forestières deviendra son principal moyen de développement. La Ville de La Sarre et la MRC d'Abitibi-Ouest se sont développées principalement grâce à l'industrie forestière.
  • L'impact du chemin de fer sur la région de Sutton
    L’impact du chemin de fer sur le développement économique d’une région est indéniable. Au dix-neuvième siècle, alors que les réseaux routiers étaient peu développés, les villages du Québec qui avaient la chance d’être un « arrêt » sur une voie de chemin de fer, avaient accès à un potentiel d'expansion important.
  • L'impact du chemin de fer sur la région de Sutton
    L’impact du chemin de fer sur le développement économique d’une région est indéniable. Au dix-neuvième siècle, alors que les réseaux routiers étaient peu développés, les villages du Québec qui avaient la chance d’être un « arrêt » sur une voie de chemin de fer, avaient accès à un potentiel d'expansion important.
  • L'institut agricole d'Oka
    La région d'Oka attire chaque année des milliers de touristes venus goûter ses savoureux produits du terroir et profiter de son cadre champêtre. Ses paysages ont été sculptés par des générations de moines agriculteurs, de familles de fermiers, de pomiculteurs, de producteurs maraîchers et de viticulteurs. Entre les champs, les collines et le Lac des Deux-Montagnes s'étirent de vastes vergers, jardins et vignobles qui, pour une bonne part, doivent leur présence aux Cisterciens, fondateurs de l'Abbaye Notre-Dame-du-Lac. Le paysage est aussi constitué de la ferme école érigée 1893 et par la suite de l'Institut agricole d'Oka. Fondé et dirigé par les Trappistes d'Oka jusqu'en 1962, l'Institut agricole d'Oka a favorisé le développement agricole de la région des Deux-Montagnes et du Québec tout entier.
  • La rébellion de 1837 à Saint-Eustache
    Contenu dans les salles d’exposition de la Maison de la culture et du patrimoine de Saint-Eustache (Manoir Globensky), l’exposition sur la rébellion de 1837 à Saint-Eustache porte particulièrement sur l’évolution sociologique et politique du comté des Deux-Montagnes entre 1827 et 1837. On y relate la genèse des problèmes politiques constitutionnels menant ultimement, à l’historique bataille des patriotes le 14 décembre 1837 à Saint-Eustache.
  • La Vie à l'École de rang
    Pendant de nombreuses années, les écoles de rang ont meublé le paysage rural québécois. Pour plusieurs personnes, les écoles de rang représentent le seul lieu d'instruction qu'ils aient connu.
  • Laure Gaudreault: une institutrice d'exception
    L’exposition tente de vous faire connaître la vie et l’oeuvre d’une femme qui a vécu au début du siècle dernier dans la région québécoise de Charlevoix et de La Malbaie. En vous présentant des documents historiques (manuscrits, photographies et archives) ainsi que des témoignages personnels, l’exposition vous propose de faire la connaissance de Laure Gaudreault à travers ses études, son travail et ses combats.
  • Le dirigeable R-100
    Peu d'événements dans l'histoire du Québec ont connu un retentissement aussi fort que celui de la venue, en 1930, du dirigeable R-100. Non seulement la couverture médiatique fut-elle exceptionnelle mais, comme le disait la Bolduc, dans une de ses chansons : « Tout l'monde parle du R-100 ». Sur le plan régional, le vol du R-100 est le plus grand événement touristique de la Montérégie. Au niveau provincial, il n'est pas moins prestigieux que l'Exposition universelle de 1967. D'autre part, en termes de défi technologique, l'intérêt qu'il suscite est mondial.
  • Le Moulin Légaré, une histoire toujours vivante...
    Construit en 1762-1763, le long de la rivière du Chêne, ce moulin à farine est le plus ancien moulin mû par la seule force de l'eau, encore en opération en Amérique du Nord, sans interruption depuis sa construction. Il a été construit par le seigneur Eustache-Louis Lambert Dumont (1736-1807), à l’époque du peuplement des seigneuries et du développement de l’économie agricole. Il doit son nom aux membres de la famille Légaré qui l'ont possédé, de 1907 à 1978.
  • Le petit monde de la ferme des Fortier en 1925
    La modernisation et la mécanisation impressionnante de l’agriculture depuis quelques décennies, nous ont un peu fait oublier ce qu’était le monde agricole, il y a à peine cent ans. Cette époque révolue exigeait travail, ténacité et persévérance, mais n’était pas pour autant dépourvue de charme et de satisfactions. Nous vous invitons à découvrir, par le biais de la famille Fortier, établie à Saint-Joseph-de-Chambly, un portrait du milieu agricole québécois, au début du XXe siècle.
  • Le vieux couvent de Château-Richer
    Situé au pied du promontoire dominant le chenal de l'île d'Orléans, au coeur du village de Château- Richer, un vieux couvent a échappé de justesse au pic des démolisseurs. Depuis 1907, il regardait le fleuve frapper de ses vagues calmes ou exubérantes la rive de cette localité sise à 25 kilomètres à l'est de l'arrondissement historique de la ville de Québec. Sorti de son sommeil et revenu à la vie, grâce à la détermination de personnes préoccupées par la préservation du patrimoine, l'édifice aux briques teintées de jaune d'Écosse est toujours là, bien visible à partir du boulevard Sainte-Anne.
  • Les arbres confiseurs
    Cette exposition démontre l’aspect particulier du site sur lequel la Maison des cultures amérindiennes a été établie.
  • Les Francophones de Terre-Neuve et du Labrador
    Quand on pense aux premiers colons de Terre-Neuve-et-Labrador, on pense aux colons anglais ou irlandais à Terre-neuve et aux inuits du Labrador.
  • Les héros sportifs
    Dans les villages et les petites villes partout au Nouveau-Brunswick, le sport a toujours fait partie intégrante du tissu de la communauté. A ce titre, les communautés rurales ont contribué de façon significative et durable au patrimoine sportif de la province. Celle qui a apporté la contribution la plus importante est sans aucun doute la petite ville frontalière de St. Stephen, située aux abords de la rivière Ste-Croix, en face de Calais, au Maine (É.-U.).
  • Mode de vie des pionniers de la vallée de la rivière Rouge
    Le Musée Saint-Joseph vous fera connaître les pionniers de la vallée de la rivière Rouge, en particulier ceux du village de Saint-Joseph. Le musée est l’oeuvre des descendants de la famille de Jean-Louis Perron, arrivée à Saint-Joseph en 1889.
  • Pioniers de l'aviation
    Bienvenue sur le site du premier musée canadien français consacré à la fascinante histoire de l’aviation civile québécoise et canadienne. La raison de la présence de ce musée à Sainte-Marie de Beauce est toute simple : Sainte-Marie fut une pépinière de pionniers de l’air qui ont marqué profondément le développement de notre aviation civile, particulièrement sept d’entre eux, tous fils de cultivateurs et que rien ne destinait à devenir des figures de proue de l’aviation civile canadienne.
  • Pointe Saint-Charles : fierté, solidarité, organisation
    Depuis 2001, les Archives Populaires de Pointe Saint-Charles travaillent à la réalisation d’un livre sur l’histoire communautaire de ce quartier de Montréal. La présente exposition vous propose un survol de ce livre dont le but est de faire connaître la riche histoire populaire de Pointe Saint-Charles et de faire valoir sa contribution dans l’histoire du Québec des années 1950 aux années 1980.
  • Salaberry-de-Valleyfield...un héritage industriel et humain
    Salut l'ami, mon nom est Phil. Suis-moi! Je te parlerai d'eau, d'industrie, mais surtout de personnes fières de leur histoire. La naissance de Salaberry-de-Valleyfield est liée de très près à l'industrialisation.
  • Sur les bancs d'école
    Depuis plus de trois cents (300) ans, les Ursulines se consacrent à l'éducation des jeunes filles à Trois-Rivières. En 1697, les Ursulines ont ouvert la première école pour jeunes filles de la région.
  • Sur les traces d'une Fondatrice
    L’exposition nous raconte les débuts inspirés d’une oeuvre d’éducation accomplie par près d’un millier de femmes religieuses qui, devant l’adversité de ce début de siècle, n’ont pas hésité à apporter la connaissance et le savoir dans les coins les plus reculés de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Côte-Nord, de l’Afrique et du Chili. Religieuses au coeur de la modernité, elles ont tenu de hautes Écoles, participé à la formation des maîtres qui viendront les accompagner, à leur tour, dans cette tâche d’enseignement. C’est « sur les traces de leur fondatrice », Mère Françoise Simard, que ces religieuses ont participé à la construction d’un Québec moderne, tourné résolument vers l’avenir.
  • Une existence bourgeoise sur la Grande Allée à Québec
    La maison Henry-Stuart (1849) avec son décor et son jardin authentiques vous invitent à vivre au temps de ses propriétaires les plus marquantes : Mary et Adèle Stuart.
  • Verdun. Histoire d'eau, de terre et de coeur.
    Vous découvrirez une ville de plus de 125 ans qui a presque vu naître la ville de Montréal et qui peut témoigner des transformations de l’île depuis que les Européens sont venus s’établir au bord du fleuve St-Laurent.