![]() ![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() |
|
![]() |
Texte
seulement Ligne
Info - personnes âgées Sans
frais : 1 888 910-1999 ATS : 1 800 387-5559
|
Où suis-je? Ministère des Affaires civiques et de l'Immigration > Secretariat aux affaires des personnes âgées de l'Ontario > Le coin des aînés > Infoaînés.ca est disponible dans 22 collectivités ontariennes |
![]() ![]() |
||
![]() Jim Bradley Ministre délégué aux Affaires des personnes âgées |
![]() |
Octobre 2006 Le 19 octobre, Journée de sensibilisation à la prévention des mauvais traitements à l’égard des personnes âgées en Ontariopar Jim Bradley, ministre délégué aux Affaires des personnes âgéesAvez-vous une amie ou un ami qui, ces derniers temps, a tendance à s’isoler, a des blessures inexpliquées, semble déprimé ou craintif en présence de certaines personnes? Ces signes peuvent être liés à des troubles médicaux – mais ils pourraient aussi révéler des mauvais traitements. D’autres signes peuvent trahir des mauvais traitements : changements dans les habitudes alimentaires ou les soins personnels, retraits bancaires inhabituels, difficultés financières ou manque de nécessités de subsistance comme des aliments et des vêtements. Tout comme les autres formes de violence observées dans notre société, les mauvais traitements envers les personnes âgées sont inacceptables. Pourquoi certaines personnes âgées sont-elles victimes de mauvais traitements, et qui en est responsable? Contrairement à ce qu’on pense parfois, la plupart des personnes âgées victimes de mauvais traitements sont tout à fait lucides et n’exigent pas de soins assidus. La violence peut survenir dans toute relation où l’aîné s’attend à ce qu’il y ait un lien de confiance ou lorsqu’une personne se place dans une position d’autorité ou de pouvoir. Les mauvais traitements et la négligence peuvent se produire à la maison, dans un établissement de soins ou ailleurs dans la communauté. Malheureusement, les agresseurs sont la plupart du temps des membres de la famille, en particulier les enfants adultes, le conjoint ou les petits-enfants. Mais il peut aussi s’agir d’un ami, d’un voisin ou d’un fournisseur de soins. On estime que de 4 à 10 % des personnes âgées de l’Ontario ont déjà été victimes d’une forme quelconque de mauvais traitements, mais seule une faible proportion des cas sont signalés aux organismes communautaires. Dans près de deux tiers des cas, la victime est une femme. Souvent, la victime garde le silence parce qu’elle a peur de ce qui pourrait arriver, que ce soit à elle-même ou à l’agresseur. Elle s’inquiète aussi de ce que penseraient la famille, les amis et les voisins. Les mauvais traitements peuvent être physiques ou psychologiques. Parfois, l’agresseur peut aussi prendre des décisions concernant les soins ou les finances de la victime sans son consentement.
Si vous êtes victime de mauvais traitements ou si vous connaissez une victime, il faut demander de l’aide. Si vous connaissez quelqu’un qui a besoin d’aide immédiate ou si vous pensez qu’un crime a été commis, appelez le 911 ou le service de police de votre localité. Vous pouvez aussi obtenir des renseignements et de l’aide en communiquant avec les services et les organismes communautaires suivants : Ligne d’aide aux victimes du ministère du Procureur général : 1-888-579-2888 (sans frais) Pour en savoir plus long sur les mauvais traitements envers les personnes âgées, visitez les sites Web suivants : Secrétariat aux affaires des personnes âgées de l’Ontario : www.citizenship.gov.on.ca/seniors/indexf.html |
| Secrétariat aux affaires des personnes âgées de l'Ontario | À propos du Secrétariat aux affaires des personnes âgées de l'Ontario | Communiqués | Texte seulement |
|
site principal |
commentaires |
recherche |
plan du site |
english |
Avis de non-responsabilité concernant les liens externes
Renseignements sur les droits d'auteur : Imprimeur
de la Reine pour l'Ontario, 2004
Dernière mise à jour : 3 octobre 2006