Même si la grippe aviaire était détectée au Québec ou ailleurs au Canada, en général, les Québécois ne seraient pas à risque de l’attraper, compte tenu du mode de transmission du virus à partir de volailles infectées.
Surveillance constante
À travers le monde, les instances internationales et nationales de santé publique et de surveillance de la santé animale suivent de près l’évolution de la situation en ce qui concerne tant la circulation de la souche asiatique du virus influenza H5N1 que ses modifications génétiques. Au Québec et au Canada, les ministères et les organismes visés ont mis en place des mesures afin de détecter rapidement la possible arrivée du virus de la grippe aviaire et d’en arrêter la dissémination. Les scientifiques surveillent de très près l'évolution du virus pour déceler l’apparition éventuelle de caractéristiques génétiques qui permettraient sa transmission entre les humains.
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