|
Des questions sur la chasse et la pêche? Appelez-nous dès maintenant
|
1 877 BONJOUR |
|
|
Chasse et pêche La vie qui bat
![Lac à l'Eau Claire, Nunavik](/web/20061229013243im_/http://www.bonjourquebec.com/fileadmin/Image/decouvrez/activites/sports_plein_air/chasse_peche/tq_005549_p.jpg)
Pour les Québécois, héritiers d’une nature prodigue, chasser ou pêcher est plus qu’un simple sport : c’est un moyen privilégié de retourner aux sources et retrouver l’essence de leur terroir. Les pourvoiries proposent aux chasseurs et aux pêcheurs hébergement, matériel, guide et encadrement, favorisant cette rencontre avec les grands cervidés ou les poissons combatifs qui peuplent les forêts et les eaux de cet immense territoire.
La chasse à la sauvagine À tire d’aile
L’incroyable domaine de chasse que constitue le Québec abrite une diversité renversante d’écosystèmes naturels. Ce territoire giboyeux, où les milieux humides sont extrêmement abondants, offre près de 3 000 km de battures ainsi que des milliers de lacs et de rivières, refuges idéals d’une faune ailée aussi abondante que variée.
Selon l’habitat ou la latitude, on observe un nombre considérable d'oies des neiges ainsi qu’une grande variété d’espèces de canards barboteurs et plongeurs dont le colvert, le souchet, la sarcelle, le garrot, le pilet, le canard noir, l’eider, la macreuse et le kakawi. En milieu forestier, on trouve également la gélinotte, le tétras des savanes et la bécasse, cette dernière espèce représentant un défi particulièrement excitant pour les chasseurs.
La population d’oies des neiges dépasse maintenant 800 000 individus. C’est un spectacle vraiment unique que de voir voler et se poser les grands « voiliers » d’oies et, surtout, de les entendre criailler dans la plus totale cacophonie. Pour s’alimenter dans leur long périple entre la côte est des États-Unis et l’Arctique, elles séjournent sur les bords du fleuve Saint-Laurent, principalement entre Cap-Tourmente, Montmagny et le lac Saint-Pierre, sur moins de 250 km de rivage.
La chasse automnale à l’oie se déroule de la fin septembre à la fin novembre, et la chasse printanière est également permise. Il s’agit d’une chasse à l’affût, à partir de caches aménagées dans les champs. La chasse au canard, elle, se pratique en lac et en rivière à partir de la terre ferme, à l’affût ou au « cul levé ». Les amateurs de canards de mer se serviront aussi de caches flottantes (« caleuses ») ou d’embarcations. Cette activité automnale permet également d’apprécier les flamboyants coloris automnaux et de s’en mettre plein les yeux. Les photographes amateurs s’en donneront aussi à cœur joie.
De nombreuses pourvoiries offrent la chasse aux canards alors que d’autres se spécialisent dans la chasse aux oiseaux migrateurs sur le Saint-Laurent. Les sauvaginiers y obtiendront tous les services désirés ainsi que les précieux conseils d’un guide. |
|
|
|