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<html> <head> <meta name="Generator" content="Corel WordPerfect 8"> <title>LE CANADA DEMANDE &Agrave; L'OMC DE FORMER UN GROUPE SP&Eacute;CIAL POUR R&Eacute;SOUDRE LE DIFF&Eacute;REND AVEC LA FRANCE DANS LE DOSSIER DE L'AMIANTE CHRYSOTILE</title> </head> <body text="#000000" link="#0000ff" vlink="#551a8b" alink="#ff0000" bgcolor="#c0c0c0"> <p><font size="+1"></font><font face="Univers" size="+1"></font><font face="Univers" size="+2">Le 7 octobre 1998 Nº 236</font></p> <p align="CENTER"><font face="Univers" size="+2">LE CANADA DEMANDE &Agrave; L'OMC DE FORMER UN GROUPE SP&Eacute;CIAL POUR R&Eacute;SOUDRE LE DIFF&Eacute;REND AVEC LA FRANCE DANS LE DOSSIER DE L'AMIANTE CHRYSOTILE</font></p> <p><font face="Courier"></font><font face="Courier">Le ministre du Commerce international, Sergio Marchi, et le ministre des Ressources naturelles, Ralph Goodale, ont annonc&eacute; aujourd'hui la d&eacute;cision du Canada de demander &agrave; l'Organisation mondiale du commerce (OMC) de former un groupe sp&eacute;cial pour r&eacute;soudre le diff&eacute;rend qui l'oppose &agrave; la France dans le dossier de l'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">La requ&ecirc;te canadienne sera inscrite &agrave; l'ordre du jour de la r&eacute;union de l'organe de r&egrave;glement des diff&eacute;rends de l'OMC, pr&eacute;vue pour le 21 octobre. Le Canada demandera au groupe sp&eacute;cial d'examiner la d&eacute;cision de la France de bannir l'amiante au regard de ses obligations sur le plan international. Cette d&eacute;cision a &eacute;t&eacute; prise apr&egrave;s une s&eacute;rie d'entretiens avec les partenaires du gouvernement canadien sur cette question.</font></p> <p><font face="Courier">« En mai dernier, nous avons formellement demand&eacute; que des consultations aient lieu et avons obtenu gain de cause. C'&eacute;tait l&agrave;, a d&eacute;clar&eacute; M. Marchi, la premi&egrave;re &eacute;tape du processus de r&egrave;glement des diff&eacute;rends dans le cadre de l'OMC. Malheureusement, ce processus n'a pas permis au Canada et &agrave; la France de parvenir &agrave; un r&egrave;glement qui soit acceptable aux deux parties, et nous estimons que le moment est venu de demander &agrave; l'OMC de se prononcer sur cette question, que nous essayons de r&eacute;soudre depuis deux ans. »</font></p> <p><font face="Courier">« L'objectif du gouvernement canadien est de maintenir la libert&eacute; d'acc&egrave;s aux march&eacute;s des produits de l'amiante chrysotile, qui peuvent &ecirc;tre utilis&eacute;s en toute s&eacute;curit&eacute; lorsque les principes de l'utilisation sans risque de la politique du gouvernement en mati&egrave;re de min&eacute;raux et de m&eacute;taux sont respect&eacute;s », a dit M. Goodale.</font></p> <p><font face="Courier">Depuis le 1<sup>er</sup> janvier 1997, la France interdit la fabrication, l'importation et la vente de l'amiante et des produits contenant de l'amiante, &agrave; de rares exceptions pr&egrave;s.</font></p> <p><font face="Courier">- 30 -</font></p> <p><font face="Courier">Pour de plus amples renseignements, les repr&eacute;sentants des m&eacute;dias sont pri&eacute;s de communiquer avec :</font></p> <p><font face="Courier">Leslie Swartman</font></p> <p><font face="Courier">Cabinet du ministre du Commerce international</font></p> <p><font face="Courier">(613) 992-7332</font></p> <p><font face="Courier">ou avec le&nbsp;:</font></p> <p><font face="Courier">Service des relations avec les m&eacute;dias</font></p> <p><font face="Courier">Minist&egrave;re des Affaires &eacute;trang&egrave;res et du Commerce international </font></p> <p><font face="Courier">(613) 995-1874</font></p> <p><font face="Courier">On trouvera en annexe deux documents d'information sur cette question.</font></p> <p><font face="Courier">Ce communiqu&eacute; et les deux documents d'information se trouvent &eacute;galement au site Internet du Minist&egrave;re&nbsp;:</font></p> <p><font face="Courier">http://www.dfait-maeci.gc.ca</font></p> <p><font face="Courier"><em>(19h30)</em></font></p> <p align="CENTER"><font face="" size="+1">Document d'information</font></p> <p align="CENTER"><font face="" size="+1">CHRONOLOGIE DES &Eacute;V&Eacute;NEMENTS RELATIFS</font></p> <p align="CENTER"><font face="" size="+1">AU DOSSIER DE L'AMIANTE</font><font face="Courier"></font></p> <p><font face="Courier">En juillet 1996, le gouvernement fran&ccedil;ais annonce son intention d'interdire l'importation et l'utilisation de l'amiante &agrave; compter du 1<sup>er</sup> janvier 1997 sur la base du rapport de l'Institut national sur la sant&eacute; et la recherche m&eacute;dicale (INSERM), de France.</font></p> <p><font face="Courier">Sant&eacute; Canada, par l'interm&eacute;diaire de la Soci&eacute;t&eacute; royale du Canada, proc&egrave;de &agrave; un examen scientifique ind&eacute;pendant du rapport de l'INSERM qui s'ach&egrave;ve au d&eacute;but de d&eacute;cembre 1996.</font></p> <p><font face="Courier">Le 15 novembre 1996, le ministre Art Eggleton et le pr&eacute;sident du Conseil du Tr&eacute;sor Marcel Mass&eacute; rencontrent &agrave; Thetford Mines les leaders communautaires et les intervenants de l'industrie de l'amiante.</font></p> <p><font face="Courier">Le 18 novembre 1996, le premier ministre fran&ccedil;ais Alain Jupp&eacute; r&eacute;pond &agrave; la lettre du premier ministre Chr&eacute;tien concernant des exemptions &agrave; l'interdiction.</font></p> <p><font face="Courier">Le 11 d&eacute;cembre 1996, lors d'une r&eacute;union bilat&eacute;rale &agrave; Singapour, le ministre Eggleton discute de la question de l'interdiction de l'amiante au niveau de l'Union europ&eacute;enne avec Sir Leon Brittan.</font></p> <p><font face="Courier">Le 12 d&eacute;cembre 1996, le premier ministre Chr&eacute;tien envoie une lettre de suivi au premier ministre de la France, Alain Jupp&eacute;.</font></p> <p><font face="Courier">Le 1<sup>er</sup> janvier 1997, entr&eacute;e en vigueur de l'interdiction fran&ccedil;aise.</font></p> <p><font face="Courier">Du 9 au 13 janvier 1997, dans le cadre de la mission d'&Eacute;quipe Canada, le ministre Eggleton fait part &agrave; son homologue de ses pr&eacute;occupations concernant l'acc&egrave;s de l'amiante au march&eacute; cor&eacute;en.</font></p> <p><font face="Courier">Le 15 janvier 1997, la Soci&eacute;t&eacute; royale du Canada publie son &eacute;tude du rapport fran&ccedil;ais de l'INSERM. Celle-ci confirme que la France avait surestim&eacute; la menace que constitue l'amiante pour la population fran&ccedil;aise.</font></p> <p><font face="Courier">Les 22 et 23 janvier 1997, le premier ministre Chr&eacute;tien s'entretient encore une fois de la question de l'amiante avec son homologue fran&ccedil;ais Alain Jupp&eacute;.</font></p> <p><font face="Courier">Le 14 f&eacute;vrier 1997, les repr&eacute;sentants du Canada soul&egrave;vent la question de l'interdiction fran&ccedil;aise lors d'une r&eacute;union du Comit&eacute; des obstacles techniques au commerce de l'OMC. L'Union europ&eacute;enne s'engage &agrave; pr&eacute;senter au Comit&eacute; un rapport justifiant l'interdiction.</font></p> <p><font face="Courier">Le 3 mars 1997, la ministre des Ressources naturelles McLellan et le pr&eacute;sident du Conseil du Tr&eacute;sor Mass&eacute; tiennent une conf&eacute;rence de presse &agrave; Thetford Mines apr&egrave;s la signature d'un Protocole d'entente entre le gouvernement f&eacute;d&eacute;ral et les deux producteurs canadiens d'amiante concernant l'utilisation responsable de l'amiante. </font></p> <p><font face="Courier">Du 15 au 20 mars 1997, trois journalistes fran&ccedil;ais effectuent au Canada une visite d'enqu&ecirc;te sur l'industrie de l'amiante. Ils avaient &eacute;t&eacute; invit&eacute;s par le minist&egrave;re des Affaires &eacute;trang&egrave;res et du Commerce international (MAECI), en collaboration avec Ressources naturelles Canada (RNCan).</font></p> <p><font face="Courier">En juin 1997, le Canada saisit de nouveau le Comit&eacute; de l'OMC de la question des barri&egrave;res techniques au commerce, de l'interdiction de l'amiante par la France.</font></p> <p><font face="Courier">Le 18 juin 1997, le ministre de l'Environnement du Royaume-Uni, Angela Eagle, annonce l'intention de son gouvernement d'interdire l'utilisation et l'importation de produits d'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">Le 20 juin 1997, le premier ministre Chr&eacute;tien rencontre son homologue du Royaume-Uni, Tony&nbsp;Blair, au Sommet du G-7 de Denver, pour lui faire part des pr&eacute;occupations canadiennes concernant l'intention du Royaume-Uni d'interdire l'utilisation de l'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">En juillet 1997, le ministre Marchi &eacute;crit aux parties canadiennes concern&eacute;es afin d'amorcer des consultations relativement &agrave; un recours devant l'OMC contre la France dans le dossier de l'amiante.</font></p> <p><font face="Courier">Le 11 septembre 1997, des consultations se tiennent avec les parties concern&eacute;es relativement &agrave; un recours devant l'OMC.</font></p> <p><font face="Courier">Du 14 au 16 septembre 1997, RNCan parraine la tenue, &agrave; Montr&eacute;al, d'un atelier scientifique sur les risques pour la sant&eacute; associ&eacute;s &agrave; l'utilisation de l'amiante chrysotile et des produits modernes &agrave; base d'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">Du 16 au 19 septembre 1997, RNCan organise et coparraine la tenue, &agrave; Montr&eacute;al, d'une conf&eacute;rence internationale sur l'utilisation s&ucirc;re et responsable des fibres chrysotiles. Environ 300 d&eacute;l&eacute;gu&eacute;s venus de 45 pays y participent pour en apprendre davantage sur la question.</font></p> <p><font face="Courier">Le 17 septembre 1997, le gouvernement du Canada annonce qu'il accordera son soutien &agrave; un programme de formation d'un quart de million de dollars pour faciliter l'application d'une politique d'utilisation s&eacute;curitaire de l'amiante chrysotile dans les pays en d&eacute;veloppement.</font></p> <p><font face="Courier">Le 30 septembre 1997, une d&eacute;l&eacute;gation d'experts canadiens du domaine de l'amiante rencontre des repr&eacute;sentants du Health and Safety Executive britannique pour &eacute;changer des informations scientifiques sur les risques associ&eacute;s &agrave; l'utilisation de l'amiante chrysotile, et pour discuter des dangers de l'utilisation de produits de remplacement.</font></p> <p><font face="Courier">&Agrave; la fin de septembre 1997, le gouvernement fran&ccedil;ais aborde la question de l'amiante avec le premier ministre du Qu&eacute;bec &agrave; Paris.</font></p> <p><font face="Courier">En octobre 1997, des repr&eacute;sentants fran&ccedil;ais et canadiens ont des entretiens sur les mesures possibles susceptibles d'apaiser les pr&eacute;occupations canadiennes dans le dossier de l'amiante, notamment le lancement du «&nbsp;processus Kouchner&nbsp;».</font></p> <p><font face="Courier">Le 22 octobre 1997, le premier ministre Chr&eacute;tien rencontre son homologue du Royaume-Uni, Tony Blair, &agrave; la R&eacute;union des chefs de gouvernement du Commonwealth &agrave; Londres, et propose la tenue d'autres discussions scientifiques entre les deux pays.</font></p> <p><font face="Courier">Le 26 novembre 1997, &agrave; Montr&eacute;al, le sous-ministre du Commerce international rencontre des intervenants pour discuter du recours devant l'OMC dans le dossier de l'amiante.</font></p> <p><font face="Courier">Le 18 d&eacute;cembre 1997, une r&eacute;union conjointe Canada-Qu&eacute;bec se tient avec des repr&eacute;sentants du gouvernement et de l'industrie de six pays producteurs d'amiante chrysotile (Br&eacute;sil, Russie, Afrique du Sud, Swaziland, Zimbabwe et Canada), qui discutent de mesures concert&eacute;es pour promouvoir l'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">Le 21 janvier 1998, le premier ministre Chr&eacute;tien &eacute;crit au premier ministre Blair pour lui donner l'assurance que le Canada entend participer au processus de consultation.</font></p> <p><font face="Courier">En f&eacute;vrier 1998, au lieu d'annoncer son intention d'interdire l'utilisation de l'amiante, le Royaume-Uni d&eacute;clare qu'il proc&eacute;dera &agrave; des consultations sur la s&eacute;curit&eacute; des travailleurs expos&eacute;s &agrave; l'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">En janvier et f&eacute;vrier 1998, d'autres consultations ont lieu avec des intervenants au sujet du recours devant l'OMC.</font></p> <p><font face="Courier">En f&eacute;vrier 1998, l'Union europ&eacute;enne publie une directive qui, en fait, interdit l'utilisation de l'amiante dans les plaquettes de freins.</font></p> <p><font face="Courier">Le 27 f&eacute;vrier 1998, une note diplomatique est envoy&eacute;e aux autorit&eacute;s belges pour leur demander de justifier la d&eacute;cision rendue le 3 f&eacute;vrier 1998 d'interdire l'amiante. Par la suite, l'ambassadeur Jean-Paul H&eacute;bert rencontre le ministre d'&Eacute;tat pour lui faire part de nos pr&eacute;occupations au sujet de cette d&eacute;cision.</font></p> <p><font face="Courier">En mars 1998, de concert avec d'autres pays producteurs d'amiante chrysotile, le Canada signe un aide-m&eacute;moire sur l'utilisation responsable de l'amiante. Les ambassadeurs participants pr&eacute;sentent cet aide-m&eacute;moire &agrave; l'Union europ&eacute;enne.</font></p> <p><font face="Courier">En mars, avril et mai 1998, le MAECI organise, avec la collaboration de RNCan, des visites du secteur canadien de l'amiante &agrave; l'intention de journalistes belges, britanniques et marocains. Ces visites ont pour objet d'informer les journalistes sur la position du gouvernement quant &agrave; l'utilisation s&eacute;curitaire de l'amiante chrysotile, et de montrer les installations de production modernes.</font></p> <p><font face="Courier">En avril 1998, le ministre Marchi soul&egrave;ve la question de l'amiante lors d'une rencontre avec son homologue fran&ccedil;ais, M.&nbsp;Dondoux.</font></p> <p><font face="Courier">Le 21 avril 1998, le sous-ministre du Commerce international, Rob Wright, rencontre la ministre britannique Angela Eagle sur la question de l'amiante.</font></p> <p><font face="Courier">Le 22 avril 1998, le Conseil de l'Europe approuve un rapport qui recommande l'interdiction de l'amiante en Europe.</font></p> <p><font face="Courier">En avril 1998, le professeur fran&ccedil;ais Claude Got effectue une visite au Canada, suivie de celle du secr&eacute;taire d'&Eacute;tat fran&ccedil;ais Bernard Kouchner.</font></p> <p><font face="Courier">En mai 1998, &agrave; diff&eacute;rentes occasions, le Canada exprime ses pr&eacute;occupations aupr&egrave;s des milieux politiques europ&eacute;ens. </font></p> <p><font face="Courier">Le 14 mai 1998, le premier ministre Jean Chr&eacute;tien discute du dossier de l'amiante avec ses homologues durant le Sommet Canada-Union europ&eacute;enne.</font></p> <p><font face="Courier">Le 28 mai 1998, le ministre Marchi demande &agrave; la mission du Canada &agrave; Gen&egrave;ve de demander formellement la tenue de consultations en vertu du m&eacute;canisme de r&egrave;glement des diff&eacute;rends de l'OMC au sujet des mesures prises par la France pour interdire l'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">Le 8 juillet 1998, le Canada et la France tiennent des consultations officielles aux termes du processus de r&egrave;glement des diff&eacute;rends de l'OMC, mais ces entretiens n'aboutissent &agrave; aucun r&egrave;glement.</font></p> <p><font face="Courier">Le 29 juillet 1998, la France communique le rapport du professeur Claude Got, dont les conclusions n'ont pas modifi&eacute; la d&eacute;cision du gouvernement fran&ccedil;ais d'interdire l'amiante chrysotile.</font></p> <p><font face="Courier">Le 18 ao&ucirc;t 1998, le ministre du Commerce international,&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp; M. Marchi, et le ministre des Ressources naturelles, M. Goodale, prient instamment les autorit&eacute;s britanniques de consid&eacute;rer objectivement les donn&eacute;es favorisant l'utilisation s&ucirc;re de l'amiante chrysotile dans les produits industriels. Le gouvernement britannique lance des consultations publiques suite &agrave; un rapport publi&eacute; par le minist&egrave;re de la sant&eacute;, comparant les risques que pr&eacute;sente l'amiante pour la sant&eacute; avec ceux des produits de substitution.</font></p> <p align="CENTER"><font face="" size="+1">Document d'information</font></p> <p align="CENTER"><font face="" size="+1">PR&Eacute;CIS DE LA PROC&Eacute;DURE DE R&Egrave;GLEMENT DES DIFF&Eacute;RENDS DEVANT L'OMC</font><font face="Courier"></font></p> <p><font face="Courier">Le pr&eacute;sent document vise deux objectifs&nbsp;:&nbsp;dans un premier temps, fournir des renseignements sur l'acheminement r&eacute;gulier des causes de r&egrave;glement de diff&eacute;rends commerciaux en vertu du m&eacute;canisme de r&egrave;glement des diff&eacute;rends de l'OMC et, deuxi&egrave;mement, fournir un aper&ccedil;u des d&eacute;lais entre les diff&eacute;rentes &eacute;tapes de ce m&eacute;canisme.</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Demande de consultations</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">Si la partie d&eacute;fenderesse ne r&eacute;pond pas dans un d&eacute;lai de 10&nbsp;jours, ou si elle ne s'engage pas dans cet exercice de consultations dans un d&eacute;lai de 30 jours, ou dans une p&eacute;riode de temps convenue entre les parties en cause, la partie plaignante peut exiger la formation d'un groupe sp&eacute;cial (les autres membres de l'OMC ayant un int&eacute;r&ecirc;t substantiel dans la cause ont 10 jours pour participer aux consultations. </font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Consultations</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">60 jours</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Le pays demandeur peut exiger la formation d'un groupe sp&eacute;cial</strong>Le pays demandeur peut exiger la formation d'un groupe sp&eacute;cial &agrave; tout moment apr&egrave;s la fin d'une p&eacute;riode de 60 jours suivant la date o&ugrave; l'autre partie en cause aura &eacute;t&eacute; saisie de la demande, si le diff&eacute;rend n'a pas &eacute;t&eacute; r&eacute;solu par voie de consultations.</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Formation d'un groupe sp&eacute;cial par l'Organe de r&egrave;glement des diff&eacute;rends </strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">(G&eacute;n&eacute;ralement entre 10 et 30 jours)</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Mandat du groupe sp&eacute;cial</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Formation du groupe sp&eacute;cial</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">(Moins de 20 jours suivant la d&eacute;cision de former</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">le groupe sp&eacute;cial)</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Examen du groupe sp&eacute;cial</strong>En r&egrave;gle g&eacute;n&eacute;rale, cette &eacute;tape a lieu dans les six mois suivant la formation du groupe sp&eacute;cial (y compris la remise du rapport pr&eacute;liminaire dans les 13 &agrave; 22 premi&egrave;res semaines)</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Distribution du rapport final du groupe sp&eacute;cial aux membres </strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>et &agrave; l'Organe de r&egrave;glement des diff&eacute;rends</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">(Le rapport est remis aux parties concern&eacute;es quelques semaines &agrave; l'avance.)</font></p> <table width="100%"> <tr valign="TOP"><td> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Adoption du rapport par l'Organe de r&egrave;glement des diff&eacute;rends</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">(au moins 20 jours avant qu'il ne soit distribu&eacute;) </font></td> <td align="CENTER"><font face="Courier"><strong>Organe d'appel</strong></font></p> <p><font face="Courier">(dans les 60 jours suivant le rapport du groupe sp&eacute;cial)</font></td></tr> <tr valign="TOP"><td align="CENTER"><font face="Courier"></td> <td align="CENTER"></p> </font><font face="Courier"><strong></strong></font>Examen en appel <p><font face="Courier">(60 &agrave; 90 jours)</font></td></tr> <tr valign="TOP"><td align="CENTER"><font face="Courier"></td> <td align="CENTER"></p> </font><font face="Courier"><strong></strong></font>Acceptation du rapport de l'Organe d'appel par l'Organe de r&egrave;glement <p><font face="Courier"><strong>des diff&eacute;rends</strong></font></p> <p><font face="Courier">(dans les 30 jours suivant le rapport)</font></td></tr></table> </p> <p align="CENTER"><font face="Courier"><strong>L'Organe de r&egrave;glement des diff&eacute;rends assure le suivi de l'application des recommandations du rapport du groupe sp&eacute;cial ou de l'Organe d'appel</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">(Dans les 30 jours suivant l'acceptation du rapport, la partie d&eacute;fenderesse doit informer l'Organe de r&egrave;glement des diff&eacute;rends de ses intentions quant au respect des recommandations qui y</font></p> <p align="CENTER"><font face="Courier">sont formul&eacute;es.)</font></p> </body> </html>

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Dernière mise à jour : 2006-10-30 Haut de la page
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