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<title>LE MINISTRE EGGLETON DISCUTE DU RÈGLEMENT SUR LA FOURRURE AVEC SIR LEON BRITTAN </title>
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<p><font face="Courier"></font><font face="Univers" size="+2">Le 11 décembre 1996 Nº 241</font></p>
<p align="CENTER"><font face="Univers" size="+2">LE MINISTRE EGGLETON DISCUTE DU RÈGLEMENT</font></p>
<p align="CENTER"><font face="Univers" size="+2"> SUR LA FOURRURE AVEC SIR LEON BRITTAN </font></p>
<p><font face="Courier">Le ministre du Commerce international, l'honorable Art Eggleton, a rencontré,
aujourd'hui à Singapour, le vice-président de la Commission européenne (CE), Sir
Leon Brittan, pour faire le point sur le règlement sur la fourrure de l'Union
européenne (UE) et lui transmettre les inquiétudes de l'industrie canadienne de la
fourrure.</font></p>
<p><font face="Courier">« Je suis satisfait des résultats de notre rencontre, a déclaré M. Eggleton. Sir
Leon Brittan m'a réitéré son soutien dans cette cause et a clairement indiqué
qu'une interdiction à l'échelle de l'Union européenne n'entrera pas en vigueur le
1<sup>er</sup> janvier 1997. </font></p>
<p><font face="Courier">Le Canada a été très déçu de la position prise par certains ministres européens de
l'Environnement lors de leur réunion du début de la semaine », a ajouté M.
Eggleton.</font></p>
<p><font face="Courier">Au cours de la réunion des ministres de l'Environnement de l'UE, certains se sont
opposés à l'Accord international sur les normes de piégeage sans cruauté que le
Canada a paraphé le 6 décembre. L'accord établirait des normes de piégeage sans
cruauté pour tous les États parties à l'accord et y assurerait un traitement non
cruel des animaux à fourrure, y compris dans les États de l'UE qui, contrairement
au Canada, ne prennent pas de mesures pour imposer leurs propres normes de
piégeage. </font></p>
<p><font face="Courier">Le 1<sup>er</sup> janvier 1997, l'Union européenne devait prendre des mesures qui auraient
conduit à une interdiction complète des importations de fourrures de 13 espèces
animales qui sont habituellement capturées par des pièges à mâchoires. Sir Leon a
confirmé, qu'en raison de cet accord, l'interdiction n'entrerait pas en vigueur le
1<sup>er</sup> janvier 1997.</font></p>
<p><font face="Courier">L'industrie canadienne de la fourrure emploie jusqu'à 100 000 personnes, soit
environ 80 000 trappeurs dont la moitié sont des autochtones, et engendre une
activité économique d'une valeur de 600 millions de dollars par année.</font></p>
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<p><font face="Courier">Pour de plus amples renseignements, les représentants des médias sont priés de
communiquer avec :</font></p>
<p><font face="Courier">Nicole Bourget</font></p>
<p><font face="Courier">Directrice des communications</font></p>
<p><font face="Courier">Cabinet du ministre du Commerce international</font></p>
<p><font face="Courier">(613) 996-6271</font></p>
<p><font face="Courier">ou avec le :</font></p>
<p><font face="Courier">Service des relations avec les médias</font></p>
<p><font face="Courier">Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international</font></p>
<p><font face="Courier">(613) 995-1874</font></p>
<p><font face="Courier">Ce document est également disponible au site Internet du
Ministère : http://www.dfait-maeci.gc.ca</font></p>
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