Sautez tous les menus (clé d'accès : 2) Sautez le premier menu (clé d'accès : 1)
Affaires étrangères et Commerce international Canada
Affaires étrangères et Commerce international Canada
English
Accueil
Contactez-nous
Aide
Recherche
canada.gc.ca
Canada International

Affaires étrangères et Commerce international Canada

Services aux voyageurs canadiens

Services aux entreprises

Le Canada dans le monde

À propos du Ministère

COMMUNIQUÉS


2007  - 2006  - 2005  - 2004  - 2003  - 2002  - 2001  - 2000  - 1999  - 1998  - 1997  - 1996

<html> <head> <meta name="Generator" content="Corel WordPerfect 8"> <title>LE CANADA PR&Eacute;SIDERA UN PROCESSUS INTERNATIONAL POUR METTRE FIN AU COMMERCE DES DIAMANTS DE LA GUERRE</title> </head> <body text="#000000" link="#0000ff" vlink="#551a8b" alink="#ff0000" bgcolor="#c0c0c0"> <p><font face="Arial" size="+1"><strong>Le 31 octobre 2003 (<em>9 h 40 HNE</em>) Nº 166</strong></font></p> <p align="CENTER"><font face="Arial"></font><font size="+1"><strong>LE CANADA PR&Eacute;SIDERA UN PROCESSUS INTERNATIONAL POUR METTRE FIN AU COMMERCE DES DIAMANTS DE LA GUERRE</strong></font></p> <p>Le ministre des Affaires &eacute;trang&egrave;res, M.&nbsp;Bill&nbsp;Graham, et le ministre des Ressources naturelles, M.&nbsp;Herb&nbsp;Dhaliwal, ont annonc&eacute; aujourd'hui que le Canada avait accept&eacute; de pr&eacute;sider le Processus de Kimberley &agrave; compter du 1<sup>er</sup>&nbsp;janvier&nbsp;2004.</p> <p>Le Processus de Kimberley est une initiative internationale dirig&eacute;e par l'Afrique du Sud visant &agrave; mettre un terme au commerce international des diamants de la guerre. Ces diamants proviennent de r&eacute;gions contr&ocirc;l&eacute;es par des groupes rebelles et sont utilis&eacute;s pour financer des op&eacute;rations militaires contre les gouvernements. Le directeur de la Consolidation de la paix et de la s&eacute;curit&eacute; humaine, au minist&egrave;re des Affaires &eacute;trang&egrave;res et du Commerce international (MAECI), M. Tim Martin, succ&eacute;dera au Sud-Africain Abbey Chikane, &agrave; titre de pr&eacute;sident du Processus.</p> <p>« Cette nomination &agrave; la pr&eacute;sidence vient confirmer le r&ocirc;le de premier plan qu'a jou&eacute; le Canada dans l'&eacute;laboration de mesures pour combattre le commerce international des diamants de la guerre, a d&eacute;clar&eacute; le ministre Graham. Nous nous r&eacute;jouissons des progr&egrave;s faits par les participants dans la mise en œuvre du r&eacute;gime de certification du Processus et nous veillerons &agrave; ce que celui-ci renforce la s&eacute;curit&eacute; humaine, tout en prot&eacute;geant le commerce l&eacute;gitime des diamants. » </p> <p>« Je suis tr&egrave;s heureux que les participants internationaux au Processus de Kimberley aient choisi le Canada pour pr&eacute;sider cette initiative mondiale en 2004, a d&eacute;clar&eacute; le ministre Dhaliwal. Nous esp&eacute;rons travailler avec tous les participants pour soutenir la cr&eacute;dibilit&eacute; et l'&eacute;lan du Processus &agrave; mesure que nous avancerons. »</p> <p>Les deux ministres ont salu&eacute; les progr&egrave;s remarquables r&eacute;alis&eacute;s sous la direction de l'Afrique du Sud. </p> <p>Le Canada a &eacute;t&eacute; d&eacute;sign&eacute; pour remplir ces fonctions lors d'une s&eacute;ance pl&eacute;ni&egrave;re du Processus de Kimberley, qui a lieu &agrave; Sun City, en Afrique du Sud, du 29 au 31&nbsp;octobre. &Agrave; cette occasion, les participants se sont pench&eacute;s sur les progr&egrave;s de la mise en œuvre du r&eacute;gime de certification, y compris sur la pr&eacute;sentation de statistiques. Ils ont &eacute;galement &eacute;labor&eacute; les principes d'un m&eacute;canisme d'examen par les pairs.</p> <p>Le Canada est l'un des 46&nbsp;pays qui participent au Processus de Kimberley (voir la liste &agrave; la fin du document d'information qui figure en annexe). Le MAECI supervise la participation du Canada au Processus de Kimberley, en consultation &eacute;troite avec Ressources naturelles Canada, minist&egrave;re charg&eacute; d'appliquer le r&eacute;gime de certification en territoire canadien.</p> <p>Depuis mai&nbsp;2000, le Processus de Kimberley r&eacute;unit des gouvernements ainsi que des repr&eacute;sentants de l'industrie du diamant et des organisations non gouvernementales dans la lutte contre le commerce des diamants de la guerre. En mars&nbsp;2002, les participants au Processus de Kimberley se sont entendus sur la n&eacute;cessit&eacute; d'instaurer un r&eacute;gime international de certification des diamants bruts, pour garantir l'importation et l'exportation de diamants l&eacute;gitimes seulement. Le r&eacute;gime, qui pr&eacute;voit des mesures telles que l'exp&eacute;dition des diamants bruts dans des contenants inviolables, accompagn&eacute;s d'un certificat valid&eacute;, a &eacute;t&eacute; mis en œuvre officiellement le 1<sup>er</sup>&nbsp;janvier&nbsp;2003.</p> <p>Cette ann&eacute;e, le Canada est devenu le troisi&egrave;me producteur de diamants au monde, pour la valeur, apr&egrave;s le Botswana et la Russie. Le Canada exporte toute sa production de diamants aux fins de tri. Certains diamants de joaillerie sont ensuite renvoy&eacute;s au Canada, alimentant une industrie de taille et de polissage de diamants en pleine croissance.</p> <p>Pour de plus amples renseignements, pri&egrave;re de consulter le site Web suivant&nbsp;: <a href="https://bac-lac.wayback.archive-it.org/web/20070221003440/http://www.nrcan.gc.ca/kimberleyprocess">http://www.nrcan.gc.ca/kimberleyprocess</a>, ou de communiquer avec le Bureau du Processus de Kimberley, Ressources naturelles Canada, 10A7, 580, rue Booth, Ottawa (Ontario) K1A 0E4; t&eacute;l. : (613) 996-0947; t&eacute;l&eacute;c. : (613) 943-2079; courriel : <a href="https://bac-lac.wayback.archive-it.org/web/20070221003440/mailto:kpc-cpk-Canada@nrcan.gc.ca">kpc-cpk-Canada@nrcan.gc.ca</a>.</p> <p align="CENTER">- 30 -</p> <p>Un document d'information sur le Processus de Kimberley figure en annexe.</p> <p>Pour de plus amples renseignements, les repr&eacute;sentants des m&eacute;dias sont pri&eacute;s de communiquer avec : </p> <p>Isabelle Savard</p> <p>Directrice des communications</p> <p>Cabinet du ministre des Affaires &eacute;trang&egrave;res</p> <p>(613) 995-1851</p> <p>Le Service des relations avec les m&eacute;dias</p> <p>Minist&egrave;re des Affaires &eacute;trang&egrave;res et du Commerce international</p> <p>(613) 995-1874</p> <p>Alexandra Muir</p> <p>Cabinet du ministre des Ressources naturelles</p> <p>(613) 947-8246</p> <p>Ghyslain Charron</p> <p>Relations avec les m&eacute;dias</p> <p>Ressources naturelles Canada</p> <p>(613) 992-4447</p> <p>Ce document se trouve &eacute;galement dans le site Web du minist&egrave;re des Affaires &eacute;trang&egrave;res et du Commerce international&nbsp;:&nbsp;<a href="https://bac-lac.wayback.archive-it.org/web/20070221003440/http://www.dfait-maeci.gc.ca/">http://www.dfait-maeci.gc.ca</a></p> <p align="CENTER"><font size="+1"><strong>Document d'information</strong></font></p> <p align="CENTER"><font size="+1"><strong>LE PROCESSUS DE KIMBERLEY ET L'INDUSTRIE CANADIENNE&nbsp;DU&nbsp;DIAMANT</strong></font></p> <p><strong>Introduction</strong></p> <p>Le Canada joue un r&ocirc;le de premier plan dans les efforts internationaux pour mettre fin au commerce des diamants de la guerre, qui a eu des effets d&eacute;vastateurs sur la paix et la s&eacute;curit&eacute; humaine dans plusieurs pays africains, y compris l'Angola, la Sierra Leone et la R&eacute;publique d&eacute;mocratique du Congo.</p> <p>Alors que le commerce licite des diamants bruts profite &agrave; plusieurs pays en d&eacute;veloppement ou industrialis&eacute;s, y compris le Canada, les diamants de la guerre proviennent de zones contr&ocirc;l&eacute;es par des groupes rebelles et servent &agrave; financer des op&eacute;rations militaires contre les gouvernements. Cependant, le commerce ill&eacute;gal des diamants de la guerre constitue un tr&egrave;s faible pourcentage du commerce mondial des diamants bruts.</p> <p>Le Canada a souscrit activement aux efforts des Nations Unies et des pays du G8 pour mettre fin au commerce illicite des diamants de la guerre. Derni&egrave;rement, le Canada a assum&eacute; un r&ocirc;le pr&eacute;pond&eacute;rant dans le Processus de Kimberley, en acceptant d'en assurer la pr&eacute;sidence &agrave; partir de janvier&nbsp;2004.</p> <p><strong>Le Processus de Kimberley</strong></p> <p>En mai&nbsp;2000, l'Afrique du Sud a mis en œuvre le Processus de Kimberley afin d'instaurer un r&eacute;gime international de certification des diamants bruts, visant &agrave; emp&ecirc;cher que des diamants de la guerre se retrouvent sur les march&eacute;s l&eacute;gitimes. Pr&eacute;sid&eacute; par le gouvernement sud-africain, le Processus r&eacute;unit un large &eacute;ventail d'acteurs internationaux qui s'int&eacute;ressent au commerce des diamants, y compris des repr&eacute;sentants de gouvernements, de l'industrie et d'organisations non gouvernementales.</p> <p>Lors d'une r&eacute;union du Processus de Kimberley tenue &agrave; Ottawa en mars&nbsp;2002, les participants ont mis la derni&egrave;re main &agrave; un projet de r&eacute;gime international de certification des diamants bruts. En vertu de ce r&eacute;gime, les pays participants sont tenus d'exp&eacute;dier les diamants dans des contenants inviolables, accompagn&eacute;s d'un certificat attestant qu'ils ne proviennent pas d'une zone en guerre. Il est en outre interdit aux pays participants d'importer des diamants bruts de pays qui n'adh&eacute;reront pas au r&eacute;gime ou d'en exporter.</p> <p>Les participants au Processus de Kimberley ont lanc&eacute; officiellement le r&eacute;gime le 1<sup>er</sup>&nbsp;janvier&nbsp;2003. &Agrave; ce jour, 46&nbsp;pays y adh&egrave;rent pleinement -- ils repr&eacute;sentent plus de 98&nbsp;p.&nbsp;100 du march&eacute; mondial des diamants et comprennent le Canada, les &Eacute;tats-Unis et les pays de la Communaut&eacute; europ&eacute;enne (voir la liste compl&egrave;te &agrave; la fin du document).</p> <p>Lors de la s&eacute;ance pl&eacute;ni&egrave;re &agrave; Sun City, en Afrique du Sud (29 au 31&nbsp;octobre), les participants au Processus de Kimberley ont &eacute;labor&eacute; les principes d'un m&eacute;canisme d'examen par les pairs, en vue de la mise en œuvre efficace du r&eacute;gime. </p> <p><strong>Le Canada et le Processus de Kimberley</strong></p> <p>Pour ce qui est du Processus de Kimberley, le Canada veille avant tout &agrave; ce que le r&eacute;gime de certification contribue &agrave; promouvoir la s&eacute;curit&eacute; humaine tout en prot&eacute;geant le commerce l&eacute;gitime des diamants. Pour ce faire, le Canada participe activement &agrave; sa mise en œuvre en vertu de la <em>Loi sur l'exportation et l'importation des diamants bruts</em>, adopt&eacute;e en d&eacute;cembre&nbsp;2002.</p> <p>Le minist&egrave;re des Affaires &eacute;trang&egrave;res et du Commerce international supervise la participation du Canada au Processus, en consultation &eacute;troite avec Ressources naturelles Canada, minist&egrave;re charg&eacute; de l'application du r&eacute;gime en territoire canadien.</p> <p><strong>L'industrie canadienne du diamant</strong></p> <p>La premi&egrave;re mine de diamants en exploitation au Canada, la mine Ekati, se trouve dans les Territoires du Nord-Ouest, &agrave; environ 300&nbsp;kilom&egrave;tres au nord-est de Yellowknife. Elle compte 650&nbsp;employ&eacute;s et produit annuellement entre 3 et 4&nbsp;millions de carats de diamants bruts de joaillerie. Cela repr&eacute;sente pr&egrave;s de 4&nbsp;p.&nbsp;100 de la production mondiale de diamants pour ce qui est du poids, et 6&nbsp;p.&nbsp;100, pour la valeur.</p> <p>La mine Diavik, non loin de la mine Ekati, a commenc&eacute; &agrave; &ecirc;tre exploit&eacute;e en 2003. Trois autres projets, un dans les Territoires du Nord-Ouest, un au Nunavut et un en Ontario, pourraient suivre d'ici 2007. &Agrave; elles cinq, ces mines pourraient fournir jusqu'&agrave; 2&nbsp;000&nbsp;emplois directs et porter la production annuelle totale &agrave; environ 2&nbsp;milliards de dollars.</p> <p>Cette ann&eacute;e, le Canada est devenu le troisi&egrave;me producteur de diamants au monde, pour la valeur, apr&egrave;s le Botswana et la Russie. Le Canada exporte toute sa production de diamants aux fins de tri. Certains diamants de joaillerie sont ensuite renvoy&eacute;s au Canada, alimentant une industrie de taille et de polissage de diamants en pleine croissance.</p> <p>Participants au Processus de Kimberley (en date du 31&nbsp;octobre&nbsp;2003)&nbsp;:</p> <p>Afrique du Sud</p> <p>Angola</p> <p>Arm&eacute;nie</p> <p>Australie</p> <p>B&eacute;larus</p> <p>Botswana</p> <p>Br&eacute;sil</p> <p>Bulgarie</p> <p>Canada</p> <p>Chine</p> <p>Communaut&eacute; europ&eacute;enne</p> <p>Congo</p> <p>Cor&eacute;e du Sud</p> <p>C&ocirc;te d'Ivoire</p> <p>Croatie</p> <p>&Eacute;mirats arabes unis</p> <p>&Eacute;tats-Unis d'Am&eacute;rique</p> <p>Guin&eacute;e</p> <p>Guyana</p> <p>Hongrie</p> <p>Inde</p> <p>Isra&euml;l</p> <p>Japon</p> <p>Laos</p> <p>Lesotho</p> <p>Liban</p> <p>Malaisie</p> <p>Maurice</p> <p>Namibie</p> <p>Pologne</p> <p>R&eacute;publique centrafricaine</p> <p>R&eacute;publique d&eacute;mocratique du Congo</p> <p>Roumanie</p> <p>Russie</p> <p>Sierra Leone</p> <p>Slov&eacute;nie</p> <p>Sri Lanka</p> <p>Suisse</p> <p>Tanzanie</p> <p>Territoire douanier distinct de Ta&iuml;wan, Penghu, Kinmen et Matsu</p> <p>Tha&iuml;lande</p> <p>Togo</p> <p>Ukraine</p> <p>Venezuela</p> <p>Vietnam</p> <p>Zimbabwe</p> </body> </html>

2007  - 2006  - 2005  - 2004  - 2003  - 2002  - 2001  - 2000  - 1999  - 1998  - 1997  - 1996

Dernière mise à jour : 2006-10-30 Haut de la page
Haut de la page
Avis importants