Condition féminine Canada

Éviter le menu de navigation (touche d'acc?s z)
| | | |
| | | |
| | |
Flag of Canada



MHF 2007
--
MHF 2006
--
MHF 2005
--
MHF 2004
--
MHF 2003
--
MHF 2002
--
MHF 2001
--
MHF 2000
--
MHF 1999
--
MHF 1998

Version imprimable
--
Vous êtes ici : Accueil > Dates commémoratives > Mois de l'histoire des femmes > 1999

Dates commémoratives

MOIS DE L'HISTOIRE DES FEMMES DE 1999

D'hier et d'aujourd'hui,
es femmes francophones au Canada


Thème

Le thème du Mois de l'histore des femmes en 1999 était D'hier et d'aujourd'hui, les femmes francophones au Canada


Matériel

Des extraits de la brochure du MHF de 1999, D'hier et d'aujourd'hui, les femmes francophones au Canada, sont erproduits ci-dessous :

Visualisez la brochure du MHF de 1999 en format Acrobat 5 (1 page, 1,768 ko)
Visualisez la brochure du MHF 1999 en format HTML

*Pour que vous soyez en mesure d'ouvrir, de visualiser, de parcourir et d'imprimer des fichiers en format PDF, le logiciel Adobe® Acrobat® Reader doit être installé sur votre ordinateur. Si ce logiciel n'est pas installé, vous pouvez le télécharger gratuitement.


D'hier et d'aujourd'hui, les femmes francophones au Canada

Le Mois de l'histoire des femmes a été créé en 1992 pour célébrer l'apport essentiel des Canadiennes à l'histoire de leur pays. En cette année de la francophonie, nous honorons les femmes francophones du Canada qui ont contribué, par leur persévérance et leur conviction, à façonner notre pays. Des femmes comme Madeleine de Verchères, qui a défendu le fort de Verchères contre une attaque surprise des Iroquois en 1692, et l'honorable Jeanne Sauvé qui, près de trois cents ans plus tard, en 1980, a été la première femme à assumer la présidence de la Chambre des communes, pour ensuite devenir la première femme gouverneur général, en 1984. Bien avant qu'elles obtiennent le droit de voter ou de se porter candidates aux élections fédérales et provinciales, bien avant qu'elles aient le droit de choisir une profession, les Canadiennes ont oeuvré au progrès de l'enseignement, en particulier dans les régions rurales, ont servi leurs églises et se sont dévouées à d'autres nobles causes, y compris la défense de leurs droits. Voici un tout petit nombre d'entre elles - puissent leurs réalisations susciter en vous le désir de connaître davantage ces femmes émérites et toutes les autres!


haut


Vaillantes pionnières... lointaines aïeules

Lors de la venue des Français au XVIe siècle, le territoire est peuplé d'Amérindiens et d'Inuits qui possèdent un mode de vie inconnu des Européens. Ainsi, les Haïdas et les Iroquois vivent dans une société matrilinéaire (qui ne reconnaît que l'ascendance maternelle). Chez les Iroquois, ce sont les femmes qui possèdent la terre, qui perpétuent les traditions du clan et qui tiennent les « longues cabanes ». L'introduction de concepts sociaux différents bouleversera ces sociétés, et peu à peu les femmes perdront leur pouvoir ancestral.

Au XVIIe siècle, des femmes cultivées et énergiques arrivent en Nouvelle-France. Jeanne Mance (1606-1673), cofondatrice de Montréal en 1642 avec Maisonneuve, travaille avec acharnement à la fondation de la colonie. Première infirmière laïque de toute l'Amérique du Nord, Jeanne fonde également l'Hôtel-Dieu de Montréal un an plus tard. Marie Guyart de l'Incarnation (1599-1672), dont on célèbre cette année le 400e anniversaire de naissance, arrive à Québec un peu plus tôt, en 1639. Aidée par Madeleine de La Peltrie (1609-1671) et quelques compagnes Ursulines, elle ouvre une école destinée aux Françaises et aux Amérindiennes.

Lors du peuplement de la Nouvelle-France, de 1663 à 1673, plus de 700 « Filles du Roy », jeunes orphelines pupilles du roi de France, viennent prendre mari dans la colonie. Dans une note datée du 10 novembre 1670, l'intendant Talon décrit les qualités voulues chez les Filles du roi : « il serait bon de recommander fortement que celles qui seront destinées pour ce pays...soient saines et fortes, pour le travail de campagne, ou du moins qu'elles aient quelques industries pour les ouvrages de main. » La rigueur des conditions de vie dans le Nouveau Monde a forcé les femmes à faire preuve de force et de résistance. Mais tandis qu'un grand nombre d'hommes menaient la vie aventurière de coureur des bois au service de la Compagnie du Nord-Ouest, les femmes, elles, restaient à la maison à élever leur famille. Sauf Marie-Anne Gaboury-Lagimodière. Avec son mari, elle a pris la route de l'Ouest au tournant du XVIIIe siècle pour finalement aboutir sur la Terre de Rupert. Marie-Anne a voyagé en canot aux côtés des hommes et a survécu le voyage, devenant la première femme blanche à s'installer dans le Nord-Ouest canadien. Elle a passé 74 années de sa vie dans cette partie du pays, sillonnant les prairies. Avant de s'éteindre à 95 ans, elle a vu sont petit-fils, Louis Riel, devenir chef des Métis.

Marie-Anne n'a toutefois pas été la seule Canadienne à tenir tête aux éléments. Née en 1872, Émilie (Fortin) Tremblay a été la première femme à franchir la passe Chilkoot qui mène au Yukon, en 1894. Pendant 18 mois, elle et son mari ont prospecté à la recherche d'or avant de s'installer à Dawson, où Émilie a pris la gérance d'une boutique de vêtement pour femmes. Émilie soit toutefois sa renommée à son implication sociale, notamment à son travail au profit des voyageurs, des missionnaires et des veuves. Membre à vie de l'Ordre impérial des filles de l'Empire, elle a aussi participé à la fondation des Ladies of the Golden North (Dames du Nord doré) et a assumé la présidence des Yukon Women Pioneers (Pionnières du Yukon).

Depuis plus de quatre siècles, les Canadiennes font preuve de force et de courage. Ne l'oublions pas...la dignité et le courage des Acadiennes, séparées de leur famille lors du Grand Dérangement de 1755. Elles demeurent à jamais dans notre mémoire collective.


haut


Persévérantes et militantes, les premières associations de femmes francophones...

En 1914, la volontaire Almanda Walker-Marchand(1868 - 1949) organise à Ottawa une première réunion de femmes canadiennes-françaises, afin de ramasser des fonds pour affréter un bateau-hôpital. Plus de quatre cents femmes répondent à son appel. Ce rassemblement se transforme rapidement en association, et dès 1918, la Fédération des femmes canadiennes-françaises est officiellement créée. Almanda en assume la présidence pendant 32 ans. À ses débuts, ce regroupement travaille à l'épanouissement de la Canadienne française dans les domaines de l'éducation, de l'économie, de la culture et de la politique. Au cours des ans, la Fédération se ramifie et adapte son mandat aux besoins de la francophone vivant en milieu minoritaire. Dix-sept associations membres sont actuellement réparties dans tout le Canada, hors le Québec, rejoignant plus de 7 000 femmes.

En 1907, Marie Guérin-Lajoie (1867 - 1945) cofonde avec Caroline Béïque (1852 - 1946), la Fédération nationale Saint-Jean-Baptiste, qui regroupe des femmes francophones désirant travailler à la promotion de leurs droits civiques et politiques. Elles réclament une réforme du Code civil et exigent, une commission d'enquête sur les droits de la femme. En 1922, avec 400 suffragettes francophones et anglophones, elle tente d'obtenir du premier ministre du Québec, le droit de vote pour les femmes. Malgré le travail acharné de plusieurs femmes, dont Idola Saint-Jean (1880 - 1945) et Thérèse Casgrain (1896 - 1981), le Québec attend jusqu'en 1940 avant d'accorder ce droit.

La Fédération des Dames d'Acadie célèbre ses 25 ans!

À Campbellton (Nouveau-Brunswick), à la fin des années 60, Gemma Pelletier-Caron met sur pied le Cercle des dames d'Acadie afin de promouvoir la promotion des droits de la femme et la sauvegarde et la défense des droits des francophones. Deux autres cercles se créent, l'un à Bathurst et l'autre à Moncton, puis s'unissent au premier pour former, en 1974, la Fédération des dames d'Acadie. Gemma devient présidente de cette fédération qui travaille sur de nombreux dossiers, dont la lutte contre la pornographie et la violence, la promotion des métiers non traditionnels pour les filles, la formation des femmes désireuses de se lancer en politique ou en affaires, les droits des travailleuses au foyer... En outre, la Fédération met sur pied le Réseau des femmes francophones du Nouveau-Brunswick en vue de protéger la langue. Les femmes de la Fédération des dames d'Acadie sont profondément sincères et ardentes, tout comme leurs aïeules.

Une active francophone de l'ouest...

Depuis près de quarante ans, Irène Fournier-Chabot travaille au bien-être des francophones de l'Ouest. Élevée à Ferland, en Saskatchewan, Irène commence par aider sa mère, Pearl Kemp-Fournier, à mettre sur pied des sections de la Fédération des femmes canadiennes-françaises dans les provinces de l'Ouest. Par la suite, elle devient vice-présidente et représentante de ces provinces au conseil d'administration de la Fédération, puis coordonnatrice. En 1970, grâce à la persévérance d'Irène, le Collège Mathieu, la seule école secondaire française privée de l'ouest, ouvre ses portes pour accepter les ... filles! Significative et chère à ses yeux, cette victoire concrétise un engagement soutenu auprès des femmes francophones de sa communauté.


haut


Créatrices francophones, quelques écrivaines d'hier et d'aujourd'hui...

Marie Morin (1649 - 1730), née à Québec, est reconnue comme la première écrivaine francophone née au Canada. Deux siècles plus tard, les créatrices sont devenues journalistes, romancières, éditrices, peintres, céramistes, sculpteures, pianistes, poètes...

Quelques écrivaines...

Éva Circé-Côté (1871 - 1949) signe ses chroniques journalistiques sous le pseudonyme de Julien Saint-Michel dans Le monde ouvrier. Elle fonde la Bibliothèque municipale de Montréal en 1903 et écrit la même année Bleu, Blanc, Rouge. Jovette-Alice Bernier (1900 - 1981), née à Saint-Fabien de Rimouski, est surtout connue comme journaliste et humoriste (avant l'heure), faisant crouler de rire les auditrices des années 50 grâce à l'émission radiophonique « Quelles nouvelles ». Anne Hébert (1916 -), née à Sainte-Catherine de Fossambault, commence à publier à la fin des années 30. Grande romancière dont l'oeuvre est reconnue internationalement par le public et la critique, Anne Hébert a également publié l'ensemble de ses poésies, d'une extrême sensibilité, dans un recueil intitulé Poèmes.

Hors Québec, deux importantes romancières, lauréates de grands prix littéraires, ont nourri leur prose de toute la poésie de leur coin de pays : Antonine Maillet (1929 -) née à Bouctouche, a recréé la mémoire acadienne, et Gabrielle Roy (1909 - 1983), née à Saint-Boniface, a célébré son Manitoba dans d'admirables textes. Dyane Léger (1954 -) est née à Notre-Dame-de-Kent, près de Moncton. Poète, Dyane explore avec intensité les mots et les couleurs - elle est aussi peintre. Première Acadienne à publier en Acadie, son recueil Graines de fées reçoit en 1980 le prix France Acadie.

Les francophones de l'Ouest canadien avaient leur hebdomadaire : le Patriote de l'ouest. Fondé à Duck Lake en 1910, il a été le premier journal de langue française de la Saskatchewan. Le Patriote de l'ouest a donné son envol à la carrière littéraire d'Annette Saint-Amant et Marie-Anne Duperrault - deux écrivaines francophones bien connues et respectées en Saskatchewan. Toutes deux ont touché les femmes et les enfants de la campagne saskatchewannaise en présentant dans leur chronique « En famille » des poèmes et des histoires d'intérêt pour les femmes, en plus de leur donner trucs et conseils utiles. Elles faisaient aussi une large place aux enfants, les encourageant à leur écrire pour parler de leur vie et de leurs activités. La section est devenue si populaire que, lorsque Annette et sa famille sont déménagés au Manitoba, celle-ci a continué à publier sa chronique pour les femmes et les enfants dans La Liberté de Saint-Boniface.


haut


Les femmes francophones et les sciences

La présence des filles en sciences dans les universités canadiennes est récente et encore discrète, malgré une augmentation progressive qui s'inscrit dans un mouvement d'affirmation réel.

Un peu d'histoire...

Vers 1883, des écoles de médecine en Ontario s'ouvrent aux filles. Au Québec, l'Université McGill ne les accepte qu'à l'école normale et en arts où elles doivent s'asseoir à l'arrière des classes avec leur chaperonne. Jusqu'à cette époque, les femmes étudiaient par elles-mêmes, comme Catherine Jérémie (1664 - 1744), sage-femme émérite qui étudiait les plantes indigènes afin de percer les secrets de la médecine indienne. Marie-Henriette Ross (1762 - 1860), mieux connue sous le nom de « Grand-mère Ross », était une Acadienne dont le talent et les aventures l'ont consacrée dans l'histoire folklorique de la Nouvelle-Écosse. Elle était sage-femme et guérisseuse pour les colons français et anglais de Cap-Breton, et a continué de l'être même quand elle est devenue aveugle et âgée; ses services comme guérisseuse étaient très en demande. Irma Levasseur (1878 - 1964), première femme francophone à pratiquer la médecine, a fait ses études aux États-Unis.

En 1918, les filles peuvent enfin s'inscrire en médecine. À la même époque, les universités francophones ne les admettent que pour écouter les conférences. L'Université de Montréal leur ouvre enfin les portes de sa faculté des sciences dans les années 20. Ses bachelières sont surtout infirmières, mais il y a quelques chimistes et botanistes, dont Marcelle Gauvreau (1907-1968), lauréate du Prix de l'Association canadienne-française pour l'avancement des sciences en 1940. Malgré cet honneur, la lauréate ne trouve aucun poste dans l'enseignement supérieur.

Dans les années qui suivent, les professions libérales s'ouvrent aux femmes. En 1996, le taux d'inscription des femmes en médecine et en droit a rejoint celui des hommes, ce qui n'est pas le cas en génie, car malgré certains progrès de 1988 à 1995, la participation des femmes (francophones et anglophones) est passée de 12 à presque 20 pour cent dans les programmes du premier cycle, de 10 à 20 pour cent dans ceux de deuxième cycle et de 6 à plus de 10 pour cent au troisième cycle, ce qui est insuffisant. On attribue ce décalage en partie aux stéréotypes véhiculés par la société.

Afin d'aider les femmes à entreprendre ou à poursuivre des études supérieures en sciences et en génie, certaines universités francophones ont mis sur pied des réseaux de femmes qui appuient les étudiantes et les chercheuses. Les conventions collectives des professeures (par exemple à l'Université du Québec à Montréal) et certaines clauses d'actions positives ont permis d'augmenter le nombre de femmes dans l'enseignement supérieur. Probablement qu'une université engagerait Marcelle Gauvreau... aujourd'hui!


haut


En chiffres :
Les francophones au Canada - francais, langue maternelle


Total Sexe féminin Sexe masculin
Canada 6, 636, 660 3, 392, 260 3, 244, 400
Terre-Neuve 2, 275 1, 080 1, 200
Île-du-Prince-Edward 5, 550 2, 865 2, 685
Nouvelle-Écosse 35, 040 18, 125 16, 910
Nouveau-Brunswick 239, 730 121, 435 118, 290
Québec 5, 700, 150 2, 909, 440 2, 790, 710
Ontario 479, 285 251, 345 227, 940
Manitoba 47,665 24,530 23,130
Saskatchewan 19, 075 9, 780 9, 295
Alberta 52, 380 26, 310 26, 070
Colombie-Britannique 53, 040 26, 285 26, 750
Yukon 1, 110 495 615
Territoires du Nord-Ouest 1, 355 560 800

Source : Recensement de 1996 - Statistique Canada


haut




Sources... et pour lire sur le sujet
  • L'Histoire des femmes au Québec, Micheline Dumont, Michèle Jean, Marie Lavigne, Jennifer Stoddart, Quinze, 1982.
  • Canadian Women : a History, Alison Prentice, Paula Bourne, Gail Cuthbert Brandt, Beth Light, Wendy Mitchinson, Naomi Black, Harcourt Brace Jovanovich, 1988.
  • Femmes et Sciences, sous la direction de Lucie Dumais et Véronique Boudreau, ACFAS-Outaouais, 1996.
  • Anthologie de la poésie des femmes, Nicole Brossard, Lisette Girouard, Éditions du remue-ménage, 1991.
  • Almanda Walker-Marchand, Lucie Brunet, L'Interligne, 1992.
  • États généraux de la recherche sur la francophonie à l'extérieur du Québec, textes réunis par Yolande Grisé, Presse de l'Université d'Ottawa, 1995.
  • Un passé composé, Jacques Paul Couturier, Éditions d'Acadie et le Regroupement des universités de la francophonie hors-Québec, 1996.
  • Canada-Québec synthèse historique, Jacques Lacoursière, Jean Provencher, Denis Vaugeois, Renouveau Pédagogique, 1969.

haut


Petit carnet d'adresses électroniques

  • Femmes à l'honneur, la Bibliothèque nationale du Canada célèbre le Mois de l'histoire des femmes : http://www.nlc-bnc.ca/2/12/index-f.html
  • L'Agence de la Francophonie, regroupement de 47 États et gouvernements membres (fonctionnement, activités... ) : www.francophonie.org
  • Chronologie historique des femmes du Québec, par Claire Du Sablon : pages.infinit.net/histoire/femmes.html
  • NetFemmes, réseau électronique des femmes (formation sur le plan des technologies de l'information... ) : http://netfemmes.cdeacf.ca
  • Réseau des chercheures féministes de l'Ontario français encourage, développe et rend visible la recherche sur les questions concernant les femmes francophones de l'Ontario : www.francofemmes.org/rcfof
  • Le réseau national d'action éducation femmes offre l'accès aux maisons d'enseignement francophones ou bilingues, en milieu minoritaire au Canada : www.rnaef.ca
  • Condition féminine Canada organisme fédéral, responsable de promouvoir l'égalité entre les sexes et d'assurer la participation des femmes dans tous les secteurs de l'activité canadienne : www.swc-cfc.gc.ca

*  Plusieurs des sites répertoriés sont bilingues et de nombreux autres existent...


haut


Pour mémoire... petit jeu-questionnaire

1.  Population de sexe féminin dont la langue maternelle est le français ?

4,100,120
3,392,260
2,766,150

2.  Que signifie le terme « société matrilinéaire » ?

Groupe social composé uniquement de femmes
Ensemble des membres d'une même famille
Ascendance par la mère

3.  Quelle grande pionnière a cofondé Montréal ?

Marie Rollet
Marguerite Bourgeoys
Jeanne Mance

4.  Quelle fédération nationale a été fondée par Almanda Walker-Marchand ?

Regroupement des centres de santé
Fédération nationale des femmes canadiennes-françaises
Association des collaboratrices et des partenaires en affaires

5.  Quelle victoire a obtenue Irène Fournier-Chabot pour les filles de sa communauté ?

Création d'un réseau de soutien
Ouverture d'un centre récréatif
Admission des filles dans un collège masculin

6.  Qui étaient Irma Levasseur et Catherine Jérimie ?

Fondatrices d'associations de femmes
Éducatrices
Pionnières francophones en médecine

7.  Quelle femme est reconnue comme la première féministe francophone ?

Marie Gérin-Lajoie
Marie Morin
Madeleine de La Peltrie

Appuyez pour voir les réponses


haut


Pour mémoire... réponses

1. (b) 3,392,260

2. (c) Ascendance par la mère

3. (c) Jeanne Mance

4. (b) Fédération nationale des femmes canadiennes-françaises

5. (c) Admission des filles dans un collège masculin

6. (c) Pionnières francophones en médecine

7. (a) Marie Gérin-Lajoie


   
Mise à jour : 2003-06-12
Contenu revu : 2003-06-12
Haut Avis importants


[ English | Contactez-nous | Aide | Recherche | Site du Canada ]