Rod Bruinooge, député, secrétaire parlementaire du ministre des Affaires indiennes et du Nord canadien et interlocuteur fédéral auprès des Métis et des Indiens non inscrits
Montréal (Québec)
Le 8 novembre 2007
Priorité au discours prononcé
Je suis très heureux d’être avec vous aujourd’hui. Je veux vous remercier du travail soutenu que vous avez accompli, en collaboration avec notre gouvernement, pour améliorer la qualité de vie des communautés des Premières nations de partout au Québec.
Il y a presque exactement un an, vous vous êtes réunis pour discuter des défis avec lesquels vos communautés sont aux prises et pour trouver des stratégies et des solutions afin de remédier à la situation. Je crois que depuis, d’importants progrès ont été accomplis pour régler les différents dossiers, ici au Québec mais également partout au pays.
Notre gouvernement est résolu à obtenir des résultats qui changeront de façon concrète l’état des choses. À cette fin, nous devons travailler directement avec les gens qui, comme vous, s’emploient quotidiennement à renforcer les communautés. À cet égard, le ministre s’est engagé à travailler dans la voie du changement.
Le message qu’il fait passer comme ministre correspond à l’approche adoptée ici et au discours général de son prédécesseur, le ministre Jim Prentice, qui était présent au Forum de l’année dernière. Et comme le dit souvent le ministre Strahl :
Le temps des discours pleins de promesses est révolu. Nous nous sommes engagés à produire des résultats réels et tangibles.
Ici, au Québec, le Forum socioéconomique des Premières nations est un exemple important des progrès accomplis; il nous a permis de définir nos priorités communes et de prendre ensemble des mesures à cet égard.
D’ailleurs, force est de constater que nous avons fait des progrès tangibles et continus relativement aux problématiques définies l’année dernière :
Le programme du Forum socioéconomique des Premières nations était ambitieux, aussi est-il essentiel que nous conservions notre élan de la dernière année. Il est apparu clairement qu’il nous reste encore bien du pain sur la planche. Mais nous savons aussi que nous avons les idées, le dynamisme et les partenaires nécessaires pour abattre le travail voulu.
La réunion d’aujourd’hui nous donne l’occasion de vous écouter parler de vos priorités et de votre vision et d’en discuter avec vous pour continuer à définir ensemble la voie à suivre. Il s’agit également d’une occasion nous permettant d’examiner ce qui a été accompli à ce jour et de comparer certaines de nos expériences. Votre participation active nous donne la chance de renforcer notre partenariat et de poursuivre nos progrès.
Au Québec, les signes de progrès sont très encourageants. Et aux quatre coins du Canada, les gestes de notre gouvernement prouvent notre détermination à travailler avec des partenaires comme vous afin d’apporter des changements réels et positifs. Par exemple, en un peu plus d’un an et demi, nous avons :
Je terminerai en vous remerciant de nouveau de l’important travail que vous accomplissez. Nous savons tous que nous ne pouvons pas toujours être d’accord sur la meilleure façon d’avancer, mais nous convenons tous qu’il est urgent d’agir et de poursuivre nos efforts pour apporter des changements concrets dans la vie des membres des Premières nations. Et dans la poursuite de cet objectif, nos atouts les plus précieux sont la volonté et le respect mutuel que nous avons acquis au cours de la dernière année.
Nous sommes de nouveau remplis d’optimisme, et nous croyons que nous pouvons améliorer la qualité de vie des communautés des Premières nations. La société québécoise en sera renforcée, et toute la population canadienne aura devant elle un avenir plus prospère.
Merci.