Les renseignements suivants portent sur des projets exécutés par CIC et d’autres ministères et organismes gouvernementaux du Canada.
Tableau 9 : Rapport de situation sur les grands projets de l’État
Tableau 11 : Initiatives horizontales
Vous trouverez de l’information supplémentaire sur les grands projets de l’État à l’adresse suivante : http://www.tbs-sct.gc.ca/est-pre/estimF.asp
Description
Le Système mondial de gestion des cas (SMGC) est un programme pluriannuel destiné à remplacer plusieurs des systèmes administratifs de Citoyenneté et Immigration Canada (CIC) et de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) par un système de gestion des cas intégré pour toutes les opérations client de CIC et de l’ASFC.
Une fois en place, le SMGC permettra d’améliorer l’intégrité et l’efficacité générales du programme, de même que la prestation des services à la clientèle, et il facilitera la communication et l’échange de données entre CIC et l’ASFC, ainsi qu’avec nos autres partenaires. Le SMGC constituera aussi le fondement technologique qui permettra de soutenir l’expansion des services à la clientèle et les nouvelles initiatives ministérielles et de tirer profit des technologies novatrices.
Phase du projet |
Le SMGC en est actuellement à la phase de développement de son deuxième volet (le volet 1 concernait le secteur d’activité de la Citoyenneté, et il est opérationnel depuis septembre 2004) |
Ministère responsable |
Citoyenneté et Immigration Canada |
Organisme participant |
Agence des services frontaliers du Canada |
Autorité contractante |
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada |
Maître d’œuvre |
Accenture Inc. |
Grandes étapes |
Date |
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Le Conseil du Trésor approuve la totalité des fonds pour le projet du SMGC en même temps que la présentation au Conseil du Trésor de CIC concernant la mise en œuvre de ses nouvelles orientations et de la nouvelle Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés. |
Août 2000 |
Le Conseil du Trésor approuve l’avant-projet du SMGC et le désigne grand projet de l’État. |
Mars 2001 |
Le Conseil du Trésor attribue au SMGC l’approbation définitive du projet (ADP). |
Janvier 2002 |
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada affiche, pour soumission, une demande de propositions pour l’acquisition d’un logiciel de gestion des cas disponible dans le commerce. |
Février 2002 |
Attribution du contrat pour le progiciel commercial de gestion des cas. |
Mars 2003 |
Achèvement de la modélisation et de la détermination des exigences de haut niveau. |
Mai 2003 |
Approbation définitive du projet modifié par le Conseil du Trésor. |
Octobre 2003 |
Mise en œuvre du premier module (Citoyenneté) du SMGC. |
Septembre 2004 |
Le Conseil du Trésor attribue au SMGC une deuxième modification de l’approbation définitive du projet. |
Septembre 2005 |
Les conclusions préliminaires de la vérification dite de système en voie d’élaboration du projet du SMGC étaient disponibles au moment de la présentation de l’ADP modifiée. Le rapport final a été présenté en novembre 2005. |
Novembre 2005 |
À venir |
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Mise au point des composantes fonctionnelles restantes du SMGC (Facilitation de l’immigration ainsi qu’Exécution de la loi et Réfugiés). |
Octobre 2006 |
Mise en œuvre des derniers modules du SMGC (Facilitation de l’immigration ainsi qu’Exécution de la loi et Réfugiés) |
Décembre 2006 à août 2007 |
Initiative horizontale – IRSRT |
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1. Nom de l’initiative horizontale : Initiative de revitalisation du secteur riverain de Toronto (IRSRT) | 2. Nom du ministère responsable : Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT) | |||||
3. Date de début de l’initiative horizontale : 18 juillet 2001 |
4. Date d’achèvement de l’initiative horizontale : 31 mars 2008 |
5. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral : 500 M$ |
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6. Description de l’initiative horizontale : L’Initiative de revitalisation du secteur riverain de Toronto (IRSRT) est une initiative d’envergure qui concerne plusieurs ministères fédéraux et qui est gérée par le SCT pour le compte du gouvernement du Canada. L’IRSRT est un investissement d’infrastructure et de réaménagement urbain. L’objectif de l’IRSRT est de revitaliser le secteur riverain de Toronto en investissant dans les infrastructures municipales traditionnelles telles que le transport en commun et le réseau d’aqueduc, ainsi que dans un développement urbain plus contemporain, notamment les parcs, les espaces verts, les installations touristiques et la relance des secteurs postindustrialisés qui sont sous-utilisés. Il est prévu que les investissements dans ces secteurs apporteront des avantages sociaux et économiques à la région de Toronto et placeront le Canada, l’Ontario et Toronto en bonne position dans la nouvelle économie, ce qui continuera d’assurer le succès du Canada dans l’économie mondiale. La participation du gouvernement fédéral dans cette initiative se manifeste par le biais d’un programme de contribution, dont le principal bénéficiaire admissible est la Société de revitalisation du secteur riverain de Toronto (SRSRT). Sur les 500 M$ d’affectations fédérales pour l’IRSRT, 65 M$ sont détenus par Infrastructure Canada et 25 M$ sont alloués dans le cadre des niveaux de référence de Transports Canada. Le reste du financement fédéral est détenu par CIC (410 M$). Depuis le 6 février 2006, la responsabilité de l’IRSRT a été transférée au SCT par décret en conseil. |
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7. Résultat(s) partagé(s) : Les résultats communs de l’initiative sont les suivants : le développement urbain durable et le renouvellement de l’infrastructure dans le secteur riverain de Toronto. |
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8. Structure(s) de gouvernance : En mars 2001, après s’être engagés à verser 1,5 milliard pour revitaliser le secteur riverain de Toronto, les trois ordres de gouvernement ont annoncé leur intention de créer la Société de revitalisation du secteur riverain de Toronto (SRSRT). Le 15 mai 2003, la SRSRT intérimaire a été prorogée et est devenue une société permanente en vertu de la propre loi provinciale la régissant – la Loi sur la Société de revitalisation du secteur riverain de Toronto, 2002. Les objectifs de la SRSRT sont de mettre en œuvre un programme qui accroît la valeur économique, sociale et culturelle des biens-fonds situés dans le secteur riverain désigné et qui crée un secteur riverain accessible et dynamique pour le logement, le travail et les loisirs, et ce, d’une façon respectueuse de l’environnement et financièrement saine; de faire en sorte que l’aménagement continu du secteur riverain désigné se poursuive de manière autosuffisante sur le plan financier; de promouvoir et d’encourager la participation du secteur privé à l’aménagement du secteur riverain désigné; d’encourager le public à formuler des observations au sujet de l’aménagement du secteur riverain désigné. La collaboration des trois ordres de gouvernement se traduit par le biais du Comité directeur intergouvernemental (CDI). Ce comité a été établi en novembre 2000 dans le but de fournir aux trois partenaires un forum leur permettant de collaborer et de travailler sur l’Initiative en vue des objectifs communs. Il se compose actuellement du secrétaire associé, Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada; du sous-ministre du ministère du Renouvellement de l’infrastructure publique du gouvernement de l’Ontario et de la directrice municipale de la Ville de Toronto. De plus, le CDI est responsable de l’élaboration et de la coordination des accords de contribution entre les gouvernements et la SRSRT ainsi que des modifications qui s’imposent pour s’assurer que les activités du projet correspondent aux résultats communs. Un secrétariat de l’IRSRT, qui fait partie du SCT, est responsable de l’établissement des politiques et de la gestion de programme pour le compte du gouvernement fédéral, ainsi que des activités courantes et de la coordination avec ses partenaires (la SRSRT, la province de l’Ontario et la Ville de Toronto) et d’autres intervenants en ce qui concerne l’élaboration, le financement et la mise en œuvre des projets de l’IRSRT. |
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9. Partenaires fédéraux | 10. Nom des programmes | 11. Allocation totale | 12. Dépenses prévues pour 2005-2006 | 13. Dépenses réelles en 2005-006 | 14. Résultats prévus pour 2005-2006 | 15. Résultats réels pour 2005-2006 |
Citoyenneté et Immigration Canada (Secrétariat de l’IRSRT) | 410,0 $ | 116,8 $ | 0,0 $ |
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Ressources humaines et développement social | 0,0 $ | 0,0 $ | 32,3 $ |
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Infrastructure Canada | 65,0 $ | 7,3 $ | 7,3 $ |
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Transports Canada | 25,0 $ | 2,5 $ | 2,5 $ |
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Total 500,0 $ | Total 126,6 $ | Total 42,1 $ | ||||
16. Commentaires sur les écarts : | ||||||
17. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : | ||||||
18. Personne-ressource : Francine Bélanger Directrice par intérim Initiative de revitalisation du secteur riverain de Toronto Secrétariat du Conseil du trésor (613) 941-8375 |
19. Approuvé par : Monique Lebel-Ducharme Directrice principale par intérim Communications stratégiques et affaires ministérielles Secrétariat du Conseil du trésor |
20. Date de l’approbation : 4 octobre 2006 |
Programme d’aide au réétablissement (PAR) |
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1. Nom de l’initiative horizontale : Programme d’aide au réétablissement (PAR)
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2. Nom du ministère responsable : Citoyenneté et Immigration Canada
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3. Date de début de l’initiative horizontale : 1998
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4. Date d’achèvement de l’initiative horizontale : Les conditions doivent être renouvelées d’ici le 31 mars 2010.
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5. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral (du début à l’achèvement) : 44,5 M$ par année
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6. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : Le Programme d’aide au réétablissement (PAR) fournit un soutien du revenu et divers autres services à 5 300 ou 5 500 réfugiés pris en charge par le gouvernement (RPG) qui arrivent chaque année au Canada après être passés par le processus d’identification et de sélection à l’étranger. Dans le cadre du PAR, un soutien du revenu est fourni aux RPG pendant une période allant jusqu’à 12 mois (24 mois dans le cas des personnes ayant des besoins spéciaux). Les sommes versées au titre du soutien du revenu sont établies en fonction des taux d’aide sociale appliqués dans les provinces. Les fournisseurs de services (FS) offrent, au nom de CIC, divers services d’établissement et d’orientation aux RPG pendant les quatre à six premières semaines qu’ils passent au Canada. Ces services vont de l’accueil initial à l’aéroport à l’aide à la recherche d’un logement permanent. Le PAR correspond à deux des trois résultats stratégiques de CIC : Réflexion des valeurs et intérêts canadiens dans la gestion des migrations internationales, y compris la protection des réfugiés, et Intégration des nouveaux arrivants avec succès et promotion de la citoyenneté canadienne. Grâce à ce programme, le Canada accueille plus de réfugiés que tout autre pays, à l’exception des États-Unis d’Amérique et l’Australie, et leur offre un soutien financier direct. Les consultations sur l’immigration de 1994 ont confirmé l’importance de maintenir la participation fédérale au réétablissement des réfugiés sélectionnés à l’étranger et de continuer à financer les services immédiats offerts aux RPG. Certaines des leçons tirées à l’époque, qui ont mené à la transformation du Programme d’aide à l’adaptation (PAA) en PAR en 1998, demeurent valides aujourd’hui, comme le besoin d’une concertation accrue entre les partenaires des programmes et d’une plus grande souplesse dans la conception des programmes.
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7. Résultat(s) partagé(s) : Le résultat stratégique visé par le PAR est de s’assurer que les RPG reçoivent suffisamment d’aide pour s’adapter, s’intégrer et s’établir au Canada. Le meilleur moyen d’y parvenir est de coordonner et d’harmoniser la façon dont les programmes d’aide sont offerts aux réfugiés par les fournisseurs de services et les autres partenaires qui participent actuellement à l’intégration des réfugiés, de sorte que les services soient offerts de façon homogène. Pour obtenir ce résultat, il faut continuellement conclure et renforcer des partenariats multidimensionnels, aux niveaux intraministériel, interministériel, communautaire, provincial, municipal, des répondants privés, du secteur privé et des fournisseurs de services et organisations non gouvernementales. |
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8. Structure(s) de gouvernance : Le partenaire fédéral (CIC) est assujetti aux modalités et aux directives financières approuvées par le Conseil du Trésor, à la Loi sur la gestion des finances publiques, au Guide de fonctionnement du PAR et au Cadre d’imputabilité, de risques et de vérification (CIRV) du PAR. Le CIRV vise à garantir que les dépenses de réétablissement sont justifiées au moyen du contrôle des services offerts et de l’évaluation de l’efficacité des programmes. L’information recueillie sert également à cerner les changements qui pourraient être apportés aux programmes pour aider les réfugiés à mieux s’intégrer à la société canadienne. Les fournisseurs de services sont régis par les accords de contribution conclus avec CIC. Les signataires d’ententes de parrainage qui s’engagent à subvenir aux besoins des réfugiés pris en charge par le gouvernement, dans le cadre du Programme d’aide conjointe (PAC), sont assujettis à l’entente-cadre de parrainage conclue avec CIC et aux ententes particulières de parrainage signées par l’organisation (IMM 1324). L’Accord Canada-Québec régit le rôle joué par le Québec dans la prestation d’un soutien aux réfugiés pris en charge par le gouvernement. |
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9. Partenaires fédéraux | 10. Nom des programmes des partenaires fédéraux | 11. Allocation totale | 12. Dépenses prévues pour
2005-2006 |
13. Dépenses réelles en 2005-2006 | 14. Résultats prévus pour 2005-2006 | 15. Résultats réels pour 2005-2006 | |||||
1. S/O | a) PAR | 44,5 M$ | 44,5 M$ | 39,7 M$ |
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Total 44,5 M$ | Total 44,5 M$ | Total 39,7 M$ | |||||||||
16. Commentaires sur les écarts : Les écarts sont attribuables à des modèles d’arrivée irréguliers des RPG au Canada tout au long de l’exercice. |
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17. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : Les fournisseurs de services ont rapidement accueilli tous les réfugiés pris en charge par le gouvernement établis au Canada et s’installant à l’extérieur du Québec et ils leur ont fourni un logement temporaire ainsi qu’une gamme de services essentiels immédiats. |
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18. Personne-ressource : Rick Herringer, directeur, Réétablissement 613-957-9349 |
19. Approuvé par : Micheline Aucoin, directrice générale, Direction générale des réfugiés |
20. Date de l’approbation : 26 juillet 2006 |
Initiative des cours de langue de niveau avancé (CLNA) |
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1. Nom de l’initiative horizontale : Initiative des cours de langue de niveau avancé (CLNA) |
2. Nom des ministères responsables : Les Cours de langue de niveau avancé font partie intégrante de la stratégie horizontale d’intégration des immigrants sur le marché du travail. Cette dernière met à contribution 14 ministères fédéraux et est coprésidée par Ressources humaines et Développement social Canada ainsi que par Citoyenneté et Immigration Canada. |
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3. Date de début de l’initiative horizontale : 2003 |
4. Date d’achèvement de l’initiative horizontale : Lié au renouvellement, au plus tard le 31 mars 2010, des modalités et conditions du Programme d’établissement et d’adaptation des immigrants (PEAI). |
5. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral (du début à l’achèvement) : Ce montant fait partie des dépenses prévues pour le Programme d’établissement et d’adaptation des immigrants (PEAI). |
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6. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : L’objectif des CLNA est d’offrir aux immigrants des cours de langue adaptés à des professions particulières. Les cours correspondant aux niveaux de compétence linguistique canadiens (NCLC) 7 à 10 seront offerts dans les grands centres, et les cours correspondant aux niveaux 1 à 10 dans les petits centres où il n’existe aucune infrastructure pour la prestation des cours de langue. Les projets de CLNA doivent être assortis d’un plan de partage des coûts, dont au moins la moitié doivent être assumés par le promoteur sous forme de fonds, de contributions de nature diverse, de services, d’outils ou d’installations. Les projets de prestation de services doivent comprendre des possibilités de stages ou de placement temporaire ou permanent et une composante de mentorat afin de permettre aux immigrants qualifiés de rencontrer des pairs et de commencer à établir un réseau de contacts dans le domaine d’emploi qu’ils ont choisi. Enfin, ils doivent bénéficier d’une aide pour l’obtention d’un permis d’exercice et la recherche d’un emploi. L’initiative des CLNA occupe une place importante dans les efforts déployés par le gouvernement du Canada pour attirer des travailleurs hautement qualifiés et assurer une meilleure intégration des immigrants dans l’économie et les communautés. |
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7. Résultat(s) partagé(s) : Le résultat stratégique visé par les CLNA est l’obtention, par les immigrants, d’emplois qui correspondent à leur expérience et à leur formation. De plus, les CLNA contribuent à élargir le bassin de travailleurs qualifiés prêts à entrer sur le marché du travail. |
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8. Structure(s) de gouvernance : Les CLNA font partie du Programme d’établissement et d’adaptation des immigrants (PEAI). Le partenaire fédéral (CIC) est donc assujetti aux modalités et aux directives financières approuvées par le Conseil du Trésor, à la Loi sur la gestion des finances publiques, au Guide de l’établissement et au Cadre d’imputabilité pour les programmes de contributions (CIPC), qui est actuellement mis en œuvre de façon progressive. Le CIPC vise à garantir qu’on rend compte des dépenses d’établissement au moyen du contrôle des services offerts et de l’évaluation de l’efficacité des programmes. L’information recueillie sert à cerner les changements qui pourraient être apportés aux programmes pour aider les nouveaux arrivants à mieux s’intégrer à la société canadienne. Le CIPC comporte cinq éléments clés : mesure du rendement, évaluation, processus lié aux accords de contribution, contrôle de gestion (en vertu d’un accord, le cas échéant) et responsabilisation provinciale-territoriale. Les fournisseurs de services partenaires sont régis par les accords de contribution conclus avec le gouvernement fédéral. |
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9. Partenaires fédéraux | 10. Noms des programmes | 11. Allocation totale | 12. Dépenses prévues pour 2005-2006 | 13. Dépenses réelles en 2005-2006 | 14. Résultats prévus pour 2005-2006 | 15. Résultats réels pour 2005-2006 | |||||
1. CIC | a) CLNA | $ | 18 M$ y compris 3 M$ de report de fonds de l’exercice 2004-2005. | 5,9 M$ |
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Total $ | Total 18 M$* | Total 5,9 M$ | |||||||||
16. Commentaires sur les écarts : Les exigences antérieures en matière de partage des coûts étaient un obstacle à la mise en œuvre complète de l’initiative des CLNA, et on les a modifiées afin de renforcer les capacités des provinces, des territoires et d’autres partenaires à participer à l’exécution de programmes de CLNA. Une somme de 3 M$ a été reportée à 2006-2007. |
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17. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : En vertu d’accords fédéraux-provinciaux existants, la Colombie-Britannique et le Manitoba administrent sur leur territoire respectif des projets de CLNA. L’Alberta gère les projets de CLNA conjointement avec CIC. En 2004-2005, CIC a conclu des accords de contribution avec la Saskatchewan et l’Ontario. De plus, CIC a établi un protocole d’entente avec la Nouvelle-Écosse. |
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18. Personne-ressource : |
19. Approuvé par : |
20. Date de l’approbation : |
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* Ce montant fait partie des dépenses prévues de 53,7 M$ du Programme d’établissement et d’adaptation des immigrants. |
Programme d’établissement et d’adaptation des immigrants (PEAI) |
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1. Nom de l’initiative horizontale : Programme d’établissement et d’adaptation des immigrants (PEAI) |
2. Nom du ministère responsable : Citoyenneté et Immigration Canada |
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3. Date de début de l’initiative horizontale : 1974 |
4. Date d’achèvement de l’initiative horizontale : Les modalités doivent être renouvelées avant le 31 mars 2010. |
5. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral (du début à l’achèvement) : 42,4 M$ par année |
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6. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : L’objectif du PEAI est d’aider les immigrants à s’établir au pays et à s’intégrer à la société canadienne, de façon à ce qu’ils puissent, le plus tôt possible, en devenir des membres actifs. Le PEAI finance la prestation de services directs aux immigrants, par exemple des services d’accueil, d’orientation, de traduction et d’interprétation, ainsi que des services liés à l’emploi. Les services offerts dans le cadre du PEAI incluent l’Orientation canadienne à l’étranger (OCE), qui offre aux immigrants, avant leur arrivée, un aperçu réaliste de la vie au Canada. Les séances d’orientation sont données par des organismes internationaux dans divers pays. Les sujets abordés sont notamment l’éducation, le climat, le logement, le coût de la vie et l’emploi. |
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7. Résultat(s) partagé(s) : Le résultat stratégique du PEAI est d’offrir aux nouveaux arrivants des services d’établissement qui facilitent leur intégration sociale, culturelle, économique et politique de façon à ce qu’ils puissent, le plus tôt possible, devenir des membres actifs de la société canadienne. |
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8. Structure(s) de gouvernance : Le partenaire fédéral (CIC) est assujetti aux modalités et aux directives financières approuvées par le Conseil du Trésor, à la Loi sur la gestion des finances publiques, au Guide de l’établissement et au Cadre d’imputabilité pour les programmes de contributions (CIPC), qui est actuellement mis en œuvre de façon progressive. Le CIPC vise à garantir qu’on rend compte des dépenses d’établissement au moyen du contrôle des services offerts et de l’évaluation de l’efficacité des programmes. L’information recueillie sert à cerner les changements qui pourraient être apportés aux programmes pour aider les nouveaux arrivants à mieux s’intégrer à la société canadienne. Le CIPC comporte cinq éléments clés : mesure du rendement, évaluation, processus lié aux accords de contribution, contrôle de gestion (en vertu d’un accord, le cas échéant) et responsabilisation provinciale-territoriale. Les fournisseurs de services partenaires sont régis par les accords de contribution conclus avec le gouvernement fédéral. Les provinces qui ont signé des ententes sur les services d’établissement avec le gouvernement canadien fournissent également des services d’établissement aux nouveaux arrivants. Le financement de l’établissement est assuré au moyen de modes optionnels de financement. À l’heure actuelle, deux provinces ont signé des ententes de ce type : la Colombie-Britannique (signature de la dernière entente : 5 avril 2004) et le Manitoba (signature de la dernière entente : 2 juin 2003). Les deux gouvernements provinciaux demeurent les principaux responsables de la conception, de l’administration et de la prestation des services d’établissement et d’intégration offerts aux immigrants sur leur territoire. Ils offrent et gèrent des services d’établissement comparables à ceux de CIC. Les services d’établissement offerts au Québec sont régis par l’Accord Canada-Québec Selon cet accord signé en 1991, le Québec reçoit des fonds de la part du fédéral sous forme de subventions, et se charge de sélectionner les immigrants et de fournir des services d’établissement aux nouveaux arrivants. |
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9. Partenaires fédéraux | 10. Noms des programmes des partenaires fédéraux | 11. Allocation totale | 12. Dépenses prévues pour 2005-2006 | 13. Dépenses réelles en 2005-2006 | 14. Résultats prévus pour 2005-2006 | 15. Résultats réels pour 2005-2006 | |||||
1. s.o. | a) PEAI | 42,4 M$ | 53,7 M$ | 36,9 M$ |
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b) | $ | $ | $ | ||||||||
Total 44,8 M$ | Total 53,7 M$* | Total 42,9 $ | |||||||||
16. Commentaires sur les écarts
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17. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : Trois provinces ont des ententes spéciales avec le gouvernement fédéral concernant la prestation de services d’établissement. Dans le cadre de l’Accord Canada-Québec, le fédéral transfère directement les fonds alloués aux services d’établissement au gouvernement du Québec. Les provinces de la Colombie-Britannique et du Manitoba ont également signé un accord avec CIC et ont assumé la responsabilité de concevoir, d’exécuter et d’administrer leurs services d’établissement. |
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18. Personne-ressource : |
19. Approuvé par : |
20. Date de l’approbation :
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* Ce montant inclut 18 M$ pour l’initiative des cours de langue de niveau avancé (CLNA). |
Cours de langue pour les immigrants au Canada (CLIC) |
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1. Nom de l’initiative horizontale : Cours de langue pour les immigrants au Canada (CLIC) |
2. Nom du ministère responsable : Citoyenneté et Immigration Canada |
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3. Date de début de l’initiative horizontale : 1992 |
4. Date d’achèvement de l’initiative horizontale : Les modalités doivent être renouvelées avant le 31 mars 2010. |
5. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral (du début à l’achèvement) : 100,4 M$ par année |
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6. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : Les CLIC ont comme objectif d’offrir aux nouveaux immigrants adultes des cours de langue de base dans l’une des langues officielles du Canada. Les CLIC facilitent l’intégration sociale, culturelle et économique des immigrants et des réfugiés au Canada. Les lignes directrices sur le programme d’études des CLIC à l’intention des fournisseurs de services comprennent de l’information visant à aider les nouveaux arrivants à s’adapter au mode de vie canadien. |
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7. Résultat(s) partagé(s) : Le résultat stratégique des CLIC est d’enseigner l’une des langues officielles du Canada aux immigrants adultes afin de faciliter leur intégration sociale, culturelle, économique et politique de façon à ce qu’ils puissent, le plus tôt possible, devenir des membres actifs de la société canadienne. |
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8. Structure(s) de gouvernance : Le partenaire fédéral (CIC) est assujetti aux modalités et aux directives financières approuvées par le Conseil du Trésor, à la Loi sur la gestion des finances publiques, au Guide de l’établissement et au Cadre d’imputabilité pour les programmes de contributions (CIPC), qui est actuellement mis en œuvre de façon progressive. Le CIPC vise à garantir qu’on rend compte des dépenses d’établissement au moyen du contrôle des services offerts et de l’évaluation de l’efficacité des programmes. L’information recueillie sert à cerner les changements qui pourraient être apportés aux programmes pour aider les nouveaux arrivants à mieux s’intégrer à la société canadienne. Le CIPC comporte cinq éléments clés : mesure du rendement, évaluation, processus lié aux accords de contribution, contrôle de gestion (en vertu d’un accord, le cas échéant) et responsabilisation provinciale-territoriale. Les fournisseurs de services partenaires sont régis par les accords de contribution conclus avec le gouvernement fédéral. Les provinces qui ont signé des ententes sur les services d’établissement avec le gouvernement canadien fournissent également des services d’établissement aux nouveaux arrivants. Le financement de l’établissement est assuré au moyen de modes optionnels de financement. À l’heure actuelle, deux provinces ont signé des ententes de ce type : la Colombie-Britannique (signature de la dernière entente : 5 avril 2004) et le Manitoba (signature de la dernière entente : 2 juin 2003). Les deux gouvernements provinciaux demeurent les principaux responsables de la conception, de l’administration et de la prestation des services d’établissement et d’intégration offerts aux immigrants sur leur territoire. Ils offrent et gèrent des services d’établissement comparables à ceux de CIC. Les services d’établissement offerts au Québec sont régis par l’Accord Canada-Québec. Selon cet accord signé en 1991, le Québec reçoit des fonds de la part du gouvernement fédéral sous forme de subventions, et se charge de sélectionner les immigrants et de fournir des services d’établissement aux nouveaux arrivants. |
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9. Partenaires fédéraux | 10. Noms des programmes des partenaires fédéraux | 11. Allocation totale | 12. Dépenses prévues pour 2005-2006 | 13. Dépenses réelles en 2005-2006 | 14. Résultats prévus pour 2005-2006 | 15. Résultats réels pour 2005-2006 | |||||
1. s.o.
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a) CLIC
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100,4 M$
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109,7 M$
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93,5 M$
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Total 100,4 M$ | Total 109,7 M$ | Total 93,5 M$ | |||||||||
16. Commentaires sur les écarts |
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17. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux Trois provinces ont des ententes spéciales avec le gouvernement fédéral concernant la prestation de services d’établissement. Dans le cadre de l’Accord Canada-Québec, le fédéral transfère directement les fonds alloués aux services d’établissement au gouvernement du Québec. Les provinces de la Colombie-Britannique et du Manitoba ont également signé un accord avec CIC et ont assumé la responsabilité de concevoir, d’exécuter et d’administrer leurs services d’établissement. |
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18. Personne-ressource : |
19. Approuvé par : |
20. Date de l’approbation : |
Programme d’accueil |
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1. Nom de l’initiative horizontale : Programme d’accueil |
2. Nom du ministère responsable : Citoyenneté et Immigration Canada |
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3. Date de début de l’initiative horizontale : 1984 |
4. Date d’achèvement de l’initiative horizontale : Les modalités doivent être renouvelées avant le 31 mars 2010. |
5. Total des fonds alloués par le gouvernement fédéral (du début à l’achèvement) : 2,8 M$ par année |
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6. Description de l’initiative horizontale (y compris l’accord de financement) : L’objectif du Programme d’accueil est d’aider les immigrants à surmonter le stress associé au fait de s’établir dans un nouveau pays. Des bénévoles qui connaissent bien les coutumes canadiennes aident les nouveaux arrivants à prendre connaissance des services offerts et de la façon de les utiliser, à s’exercer à parler l’anglais et le français, à établir des contacts dans leur secteur professionnel, de même qu’à prendre une part active à la vie de la communauté. De leur côté, les bénévoles canadiens s’initient à de nouvelles cultures, à d’autres pays et à différentes langues; ils se font de nouveaux amis et resserrent les liens au sein de la communauté. |
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7. Résultat(s) partagé(s) : Le résultat stratégique visé par le Programme d’accueil est de fournir aux nouveaux arrivants des services d’établissement qui facilitent leur intégration sociale, culturelle, économique et politique, de sorte qu’ils soient ainsi le plus tôt possible en mesure de prendre une part active à la vie de la société canadienne. |
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8. Structure(s) de gouvernance : Le partenaire fédéral (CIC) est assujetti aux modalités et aux directives financières approuvées par le Conseil du Trésor, à la Loi sur la gestion des finances publiques, au Guide de l’établissement et au Cadre d’imputabilité pour les programmes de contributions (CIPC), qui est actuellement mis en œuvre de façon progressive. Le CIPC vise à garantir qu’on rend compte des dépenses d’établissement au moyen du contrôle des services offerts et de l’évaluation de l’efficacité des programmes. L’information recueillie sert à cerner les changements qui pourraient être apportés aux programmes pour aider les nouveaux arrivants à mieux s’intégrer à la société canadienne. Le CIPC comporte cinq éléments clés : mesure du rendement, évaluation, processus lié aux accords de contribution, contrôle de gestion (en vertu d’un accord, le cas échéant) et responsabilisation provinciale-territoriale. Les fournisseurs de services partenaires sont régis par les accords de contribution conclus avec le gouvernement fédéral. Les provinces qui ont signé des ententes sur les services d’établissement avec le gouvernement canadien fournissent également des services d’établissement aux nouveaux arrivants. Le financement de l’établissement est assuré au moyen de modes optionnels de financement. À l’heure actuelle, deux provinces ont signé des ententes de ce type : la Colombie-Britannique (signature de la dernière entente : 5 avril 2004) et le Manitoba (signature de la dernière entente : 2 juin 2003). Les deux gouvernements provinciaux demeurent les principaux responsables de la conception, de l’administration et de la prestation des services d’établissement et d’intégration offerts aux immigrants sur leur territoire. Ils offrent et gèrent des services d’établissement comparables à ceux de CIC. Les services d’établissement offerts au Québec sont régis par l’Accord Canada-Québec. Selon cet accord signé en 1991, le Québec reçoit des fonds de la part du gouvernement fédéral sous forme de subventions, et se charge de sélectionner les immigrants et de fournir des services d’établissement aux nouveaux arrivants. |
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9. Partenaires fédéraux | 10. Noms des programmes des partenaires fédéraux | 11. Allocation totale | 12. Dépenses prévues pour 2005-2006 | 13. Dépenses réelles en 2005-2006 | 14. Résultats prévus pour 2005-2006 | 15. Résultats réels pour 2005-2006 | |||||
1. s.o. | a) Programme d’accueil | 2,8 M$ | 3,1 M$ | 3,3 M$ |
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Total 2,8 M$ | Total 3,1 M$ | Total 3,3 M$ | |||||||||
16. Commentaires sur les écarts |
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17. Résultats obtenus par les partenaires non fédéraux : Trois provinces ont des ententes spéciales avec le gouvernement fédéral concernant la prestation de services d’établissement. Dans le cadre de l’Accord Canada-Québec, le fédéral transfère directement les fonds alloués aux services d’établissement au gouvernement du Québec. Les provinces de la Colombie-Britannique et du Manitoba ont également signé un accord avec CIC et ont assumé la responsabilité de concevoir, d’exécuter et d’administrer leurs services d’établissement. |
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18. Personne-ressource : |
19. Approuvé par : |
20. Date de l’approbation : |