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Réflexions du président

Nouvelles approches, nouveaux partenariats en santé

par Pierre Coulombe, président du CNRC

Selon la stratégie fédérale intitulée Réaliser le potentiel des sciences et de la technologie au profit du Canada, le Canada doit jouir d'un « avantage du savoir » dans les domaines d'intérêt national. La santé et le bien-être sont certainement du nombre et le CNRC excelle dans les sciences et technologies connexes.

Avec d'autres organismes et réseaux scientifiques réputés, le CNRC s'efforce d'atténuer l'incidence des maladies qui affligent la population.

Nos scientifiques et ingénieurs innovent et créent des technologies remarquables qui diagnostiquent vite et bien la maladie, en collaboration avec les organisations partenaires. La population en bénéficie, car ce faisant, on atténue l'impact d'autres risques pour la santé (maladies infectieuses ou liées au vieillissement; troubles des systèmes nerveux et immunitaire, ou de l'obésité; risques de l'environnement intérieur; affections chroniques tel le cancer).

Les chercheurs du CNRC inventent des technologies pour dépister virus, bactéries et toxines, des immunothérapies et des techniques de vaccination, des étalons de mesure certifiés pour les suppléments ou les produits naturels.

Avec ses grappes technologiques, le CNRC et ses partenaires de Charlottetown, Fredericton, Halifax, Ottawa, Winnipeg et Saskatoon multiplient les avances en santé par les sciences nutritionnelles, les technologies de l'information, les sciences de la vie, la photonique, les technologies biomédicales et la biotechnologie des plantes. Ensemble, ils accomplissent beaucoup. Ainsi, ils ont identifié des composés bioactifs terrestres et marins pour traiter des affections neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer et enregistrent des percées en biotechnologie agricole; ils créent des appareils médicaux pour mieux diagnostiquer les maladies cardiovasculaires et recourent à la bioinformatique pour dépister le cancer de la prostate.

Dans ces grappes, les chercheurs du CNRC coopèrent avec l'industrie, les universités, les hôpitaux, d'autres organismes de R-D, l'administration publique et les organismes subventionnaires. Avec leurs collègues des secteurs public et privé, ils alimentent d'autres réseaux solidement implantés comme la grappe montréalaise en biopharmaceutique. Le CNRC y poursuit des recherches pointues en pharmaceutique et environnement, misant sur de nouvelles stratégies pour combattre ou prévenir maladie et pollution.

Outre la forme « classique » de collaboration, cet été, le CNRC s'est allié à l'institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) dont les laboratoires ont déménagé à son Institut de recherche en biotechnologie de Montréal. Les deux organismes coopéreront sur des projets communs en santé.

Les chercheurs du CUSM jouiront d'installations ultramodernes et de l'expertise du CNRC en biotechnologie médicale, transfert des technologies et gestion de la propriété intellectuelle ainsi que d'une meilleure interaction avec les sociétés pharmaceutiques et biopharmaceutiques.

Ceux du CNRC resserreront leurs liens avec un des principaux centres hospitaliers universitaires du pays, profitant d'une nouvelle synergie avec les experts du CUSM en recherche clinique, soins de santé et biomédecine. Cette relation annonce un nouveau type de partenariat où les instituts universitaires s'installent dans les locaux fédéraux afin d'oeuvrer plus étroitement avec le CNRC.

En combinant leurs forces, le CNRC et le CUSM exploiteront leurs ressources et leur expertise au maximum, ce qui, pour les Canadiens, se traduira par de nouvelles technologies et solutions dont bénéficieront directement les malades.

 


 
 
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Date de publication : 2007-10-16
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