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Dernière mise à jour : 25 octobre 2007, 15:12 HAE
Toujours valide : 15 novembre 2007, 23:55 HNE

CONSEILS AUX VOYAGEURS
Guyana

 
TABLE DES MATIÈRES
1.
MISES À JOUR RÉCENTES
2. AVERTISSEMENTS ET RECOMMANDATIONS
3. SÉCURITÉ
4. EXIGENCES D'ENTRÉE / DE SORTIE
5. CONTACTS DU GOUVERNEMENT DU CANADA
6. LOIS ET COUTUMES DU PAYS
7. TRANSPORTS ET ARGENT
8. CATASTROPHES NATURELLES ET CLIMAT
9. PROGRAMME DE MÉDECINE DES VOYAGES
10. RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES SUR LA SANTÉ
11. RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES
12. ANNEXE

1. MISES À JOUR RÉCENTES

La section 2 de ces Conseils aux voyageurs a été mise à jour (faire preuve d'une grande prudence).

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2. AVERTISSEMENTS ET RECOMMANDATIONS

Guyana
Prendre des mesures de sécurité normalesFaire preuve d'une grande prudenceÉviter tout voyage non essentielÉviter tout voyage

Le taux de criminalité à Guyana est élevé. Les Canadiens devraient faire preuve d’une grande prudence en tout temps, surtout à Georgetown, au marché Stabroek et dans les régions de Tiger Bay et de Georgetown Sud. D'autres zones à risque incluent la côte est de la Demerara (particulièrement dans les environs des villages de Buxton, Friendship et Annadale), la région de la rive est de la Demerara et la région de New Amsterdam. Soyez prudents lors des déplacements sur la route qui mène à l’aéroport international Cheddi Jagan et sur l’autoroute Linden, où des incidents violents se sont produits, surtout la nuit.

RECOMMANDATION OFFICIELLE CONCERNANT L’INSCRIPTION : Nous offrons un
service d'inscription à tous les Canadiens qui voyagent ou résident à l’étranger. Ce service est offert afin de pouvoir communiquer avec les Canadiens à l’étranger et de leur prêter assistance en cas d’urgence, notamment en cas de catastrophe naturelle ou de troubles civils, ou pour les informer d'une urgence familiale au Canada. L'inscription peut se faire en ligne ou en communiquant avec le bureau du gouvernement du Canada le plus près. Pour obtenir de plus amples renseignements, vous pouvez consulter la Foire aux questions sur l’inscription des Canadiens à l’étranger.

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3. SÉCURITÉ

La décision de voyager revient à chaque voyageur. Il incombe également à chacun de veiller à sa sécurité personnelle. Les présents Conseils aux voyageurs ont pour but de fournir des renseignements à jour pour vous aider à prendre des décisions éclairées.

On signale souvent des agressions, des vols à la tire, des vols de sacs à l'arraché, des entrées par effraction, des vols à main armée, ainsi que des vols et des détournements de voiture. Les Guyaniens qui rentrent au pays et les étrangers sont particulièrement visés. Des Canadiens dévalisés sous la menace d'une arme à feu ont été blessés. On a signalé un certain nombre d’exécutions, mais ces crimes semblaient ciblés et non aléatoires.

Il faut rester attentif à ce qui se passe autour de soi, en particulier lorsque vous entrez dans un véhicule, une résidence ou un endroit public, et lorsque vous en sortez. Évitez de faire étalage de richesse et assurez-vous que vos effets personnels sont en lieu sûr. Lorsqu'un policier vous aborde, demandez toujours à voir ses papiers.

Des troubles civils et des manifestations sporadiques pourraient entraîner des perturbations partout au pays. Vous devriez éviter les grandes foules et les manifestations et surveiller les bulletins de nouvelles locaux pour obtenir des renseignements à jour.

Pour joindre les services de police, d'incendie ou d'ambulance, composez le 911 ou le 225-6411, le 912 ou le 226-9449 respectivement. Le temps de réponse peut être assez long en raison d'un manque de ressources, particulièrement pour les accidents de la route. Ce sont fréquemment des passants qui transportent les blessés, à moins qu'ils soient grièvement blessés. Les autorités locales sont prêtes à coopérer mais l'assistance est restreinte et n'est souvent disponible que durant les heures de bureau.

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4. EXIGENCES D'ENTRÉE / DE SORTIE

Nous avons confirmé les renseignements qui suivent sur les exigences d’entrée et de sortie auprès des autorités guyanaises et, à notre connaissance, ils étaient valides le 16 août 2006. Ces exigences peuvent toutefois changer.

La décision de laisser entrer les voyageurs étrangers appartient à chaque pays. Tous les pays imposent des exigences spéciales aux personnes qui prévoient résider sur leur territoire pendant une longue période (en général plus de 90 jours), y travailler, y étudier ou s’y livrer à des activités autres que le tourisme. Pour vous renseigner sur les conditions d’entrée particulières, communiquez avec la mission diplomatique ou consulaire du ou des pays où vous comptez vous rendre. Les personnes qui ne respectent pas les exigences d’entrée et de sortie établies par un pays sont passibles de peines sévères.

Le Bureau du protocole d'Affaires étrangères et Commerce international Canada fournit les coordonnées du
Haut-Commissariat de la République du Guyana et de ses consulats, où vous pouvez obtenir des renseignements à jour sur les exigences d'entrée et de sortie.

Les Canadiens qui se rendent au Guyana doivent être en possession d'un passeport canadien encore valide pendant au moins six mois après la date prévue de leur départ du Guyana.

Visa de touriste : non exigé
Visa d'affaires : non exigé (Vous devez toutefois apporter avec vous une lettre d'affaires donnant tous les détails pertinents sur la raison de votre voyage au Guyana.)
Visa d'étudiant : non exigé

Il est nécessaire de faire estampiller votre passeport à votre arrivée dans le pays afin d'éviter d'avoir des problèmes au moment de votre départ ou même d'être emprisonné.

Au moment de leur départ, les voyageurs doivent payer une taxe de 2 500 $G sur le transport aérien et des frais de sécurité aéroportuaire de 1 500 $G. Les paiements sont acceptés uniquement en argent comptant et en monnaie locale.



Un certificat de citoyenneté canadienne n'est pas un document de voyage. Certaines lignes aériennes refusent catégoriquement l'embarquement à des passagers canadiens ayant la double citoyenneté, qui reviennent au Canada munis d'un passeport nécessitant un visa pour entrer au Canada, même s'ils présentent un certificat de citoyenneté canadienne valide à titre de preuve. Le passeport canadien est le seul document de voyage et d'identification fiable et reconnu universellement aux fins de voyages internationaux. Il prouve que vous avez le droit de rentrer au Canada.

Une personne qui vend ou falsifie son passeport ou qui permet à une autre personne de l’utiliser commet une infraction criminelle pouvant conduire à des accusations et, si la personne est reconnue coupable, à une peine d’emprisonnement. En outre, les services de passeport pourraient lui être refusés dans l’avenir.

Les détenteurs de passeports spéciaux et diplomatiques devraient vérifier les conditions d'entrée pour ce pays et les autres qu'ils ont l'intention de visiter, car elles peuvent différer de celles qui s'appliquent aux détenteurs de passeports ordinaires.

Un adulte qui voyage avec des enfants pourrait devoir présenter des documents prouvant ses droits en tant que parent de ces enfants ou ses droits de garde de ces enfants, ou encore ses droits de visite auprès de ces enfants. Les autorités canadiennes et les autorités des pays étrangers pourraient également exiger que cet adulte présente la preuve qu’il a obtenu le consentement des parents, du tuteur légal ou d’un tribunal pour voyager avec ces enfants. Certains pays ne permettent pas à un enfant d’entrer sur leur territoire, ou dans certains cas de sortir du pays, s’il n’est pas muni des documents appropriés, comme une lettre de consentement ou une ordonnance d’un tribunal.

Bien que le mariage de conjoints de même sexe soit légal au Canada, de nombreux pays ne le reconnaissent pas. Un couple du même sexe qui se présente aux autorités frontalières d’un pays comme étant un couple marié pourrait se voir refuser l’entrée dans le pays en question. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le bureau du gouvernement du pays concerné accrédité auprès du gouvernement du Canada.

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5. CONTACTS DU GOUVERNEMENT DU CANADA

Vous pouvez obtenir une
aide consulaire et de plus amples renseignements consulaires à l’adresse suivante :

Guyana - GEORGETOWN, Haut-commissariat du Canada
Adresse : High et Young Streets, Georgetown
Adresse Postale : C.P. 10880, Georgetown,
Téléphone : (592) 227-2081; 227-2082; 227-2083; 227-2084 ou 227-2085
Télécopieur : (592) 225-8380
Courriel : grgtn@international.gc.ca
Internet : http://www.georgetown.gc.ca

Pour obtenir une aide d'urgence en dehors des heures de bureau, téléphonez au haut-commissariat du Canada à Georgetown et suivez les instructions qui vous seront données. Vous pouvez aussi appeler le Centre des opérations d'urgence à Ottawa, à frais virés, en composant le (613) 996-8885.

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6. LOIS ET COUTUMES DU PAYS

Vous devez respecter les lois du pays où vous séjournez. Les délits graves peuvent entraîner l’emprisonnement. Les peines d’emprisonnement sont purgées sur place.

Les Canadiens arrêtés ou détenus ont le droit de communiquer avec le bureau du Canada (ambassade, haut-commissariat, etc.) responsable des services consulaires pour le pays concerné (voir la section 5 ci-dessus), et les agents procédant à l’arrestation doivent les aider à le faire. Les représentants consulaires du Canada peuvent fournir une liste d’avocats de la région.

Les procédures requises dans les cas de poursuite judiciaire ou d’enquête policière sont différentes des procédures en vigueur dans le système judiciaire canadien. Les Canadiens désirant entreprendre de telles démarches doivent s’attendre à de longs délais d’attente et à déployer des efforts supplémentaires afin de mener leur dossier à terme. Le gouvernement du Canada ne peut intervenir dans les procédures judiciaires en cours dans un autre pays à moins que les autorités de ce pays ne lui demandent de le faire, ce qui se produit rarement.

Vous devez respecter les lois du pays où vous séjournez. Les délits graves peuvent entraîner l’emprisonnement. Les peines d’emprisonnement sont purgées sur place.

Il est illégal d'utiliser les services de bateaux privés pour se rendre au Suriname. Des étrangers se sont fait imposer des amendes et, dans certains cas, ont été emprisonnés puis déportés. Utilisez seulement les services officiels de traversier et assurez-vous de faire estampiller votre passeport.

La possession et le trafic de drogues illicites constituent des crimes graves. Les personnes trouvées coupables de ces crimes peuvent s'attendre à de lourdes amendes et/ou à de longues peines d'emprisonnement qui devront être purgées au Guyana. Les conditions de détention peuvent y être particulièrement difficiles. Il est conseillé de faire soi-même ses valises et de ne transporter aucun article appartenant à une autre personne.

De nombreux oiseaux exotiques appartiennent à des espèces protégées. Seules les personnes ayant résidé légalement dans le pays pendant plus d'une année seront autorisées, par le ministère de l'Agriculture du Guyana, à exporter un oiseau exotique à leur départ. Pour obtenir des renseignements spécifiques sur les exigences en matière de douanes, communiquer avec le haut-commissariat de la République coopérative du Guyana (voir ci-dessus).

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7. TRANSPORTS ET ARGENT

Les véhicules roulent à gauche. Le mauvais état des routes, l'éclairage insuffisant, les animaux errants et de mauvaises habitudes de conduite rendent les déplacements routiers dangereux. Les conducteurs doivent faire preuve d’une extrême prudence, garder les fenêtres fermées et les portes verrouillées en tout temps, et éviter de prendre la route inutilement après la tombée de la nuit. Si vous avez un accident, communiquez avec la Division de la circulation du service de police du Guyana en composant le 911. Les amendes imposées aux conducteurs responsables d’un accident causant des blessures ou entraînant la mort sont sévères et peuvent aller jusqu’à l’emprisonnement.

La prudence est conseillée sur la route de l'aéroport Cheddi Jagan à Georgetown et sur la route Timerhi-Linden.

Ne hélez pas les taxis dans la rue. Utilisez seulement les taxis approuvés par les hôtels ou les aéroports, qui sont fiables et peu coûteux. Évitez les minibus publics, car ils sont souvent surchargés, en mauvais état et mal conduits. Évitez de voyager seul.

Il est conseillé d’avoir un
permis de conduire international (PCI).



La monnaie est le dollar du Guyana ($G). Les cartes de crédit ne sont pas acceptées partout. Les grands hôtels acceptent les cartes de crédit et quelques banques seulement acceptent de fournir des avances en espèces. Prévoyez une quantité suffisante de devises ou de chèques de voyage pour couvrir vos dépenses. Les dollars américains sont acceptés partout. Il est déconseillé d'échanger des devises avec des institutions autres que les banques, les hôtels et les bureaux de change reconnus (cambios).

La monnaie et les chèques de voyage canadiens ne sont pas acceptés partout. Renseignez-vous auprès de votre banque sur les services de guichet automatique bancaire (GAB) offerts dans d’autres pays. Vous pouvez aussi consulter la page de localisateur de GAB de VISA ou la page de localisateur de GAB de MasterCard pour obtenir l’adresse de GAB n’importe où dans le monde. Votre banque peut vous indiquer si vous avez besoin d’un nouveau numéro d’identification personnel (NIP) pour avoir accès à votre compte lorsque vous êtes à l’étranger. La prudence est cependant recommandée lorsqu’on se sert de cartes de crédit ou de cartes bancaires, en raison des risques liés à la fraude et autres activités criminelles. Si vous utilisez un GAB, faites-le pendant les heures de bureau et utilisez une machine à l’intérieur d’une banque, d’un supermarché ou d’un grand immeuble commercial. Par mesure de prudence, laissez vos numéros de carte à un membre de votre famille.

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8. CATASTROPHES NATURELLES ET CLIMAT

Durant les deux saisons des pluies du Guyana (de mai à juillet et de novembre à janvier), les précipitations sont abondantes et peuvent provoquer de graves inondations, principalement dans les régions côtières. Les voyageurs doivent suivre les prévisions météorologiques régionales et planifier leurs déplacements en conséquence. Les Canadiens peuvent contacter le haut-commissariat du Canada à Georgetown (voir section 5 ci-dessus) pour obtenir des renseignements et des mises à jour régulières.

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9. PROGRAMME DE MÉDECINE DES VOYAGES

L’
Agence de santé publique du Canada et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) diffusent de l’information sur l’apparition de maladies dans diverses parties du monde. Vous trouverez les plus récents conseils de santé aux voyageurs et d’autres renseignements pertinents sur le site Web du Programme de médecine des voyages de l’Agence de santé publique du Canada.

L’Agence de santé publique du Canada recommande vivement aux voyageurs de se faire faire une évaluation de risque personnel dans les six à huit semaines précédant leur départ, en s’adressant à une clinique de santé-voyage ou à un médecin. En se fondant sur les risques pour votre santé, le médecin pourra déterminer quels vaccins et traitements préventifs prescrire, et quelles précautions vous devriez prendre pour éviter d’être malade. Les voyageurs doivent s’assurer que leurs immunisations courantes (d’enfance) (contre le tétanos, la diphtérie, la polio, la rougeole, par exemple) sont à jour.

Il est possible que les normes régissant les soins médicaux dans un autre pays ne soient pas les mêmes qu’au Canada. Les traitements peuvent être chers et il faudra peut-être payer d’avance. On conseille aux voyageurs canadiens de souscrire avant leur départ pour l’étranger à une assurance-maladie. Par ailleurs, ils devraient garder leurs médicaments d’ordonnance dans leur contenant d’origine et les transporter dans leurs bagages à main.

L’Agence de santé publique du Canada recommande également aux voyageurs qui sont souffrants ou qui tombent malades à leur retour au Canada de consulter leur médecin. Ils doivent lui dire qu’ils ont habité ou voyagé à l’étranger.

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10. RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES SUR LA SANTÉ

Il existe un nombre restreint d'installations médicales. L'incidence des cas de VIH/sida a augmenté au Guyana, où le taux d'infection est élevé. Les risques pour les voyageurs de contracter le virus sont plus grands s'ils ont des relations sexuelles non protégées ou s'ils sont exposés à des produits sanguins contaminés. La malaria et la dengue sont des maladies courantes à l'intérieur du pays, et il y a des cas de typhoïde à la grandeur du Guyana. La leptospirose est devenu un sérieux problème suite aux inondations.

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11. RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES

Le retour au Canada

Aide-mémoire du voyageur

Assurance maladie et assurance voyage : Les voyageurs ne doivent pas compter sur leur régime provincial d’assurance maladie pour régler la note en cas de maladie ou de blessures dans un pays étranger. Ces régimes couvrent, au mieux, une partie des frais. Il est conseillé de contracter une assurance complémentaire, dont vous devrez bien comprendre les clauses. Les détenteurs de certaines cartes de crédit bénéficient d’assurances voyage et maladie, mais il ne faut pas tenir pour acquis que cette couverture est suffisante seule. On recommande aux voyageurs d’avoir avec eux toutes les précisions concernant les assurances et d’indiquer à leur agent de voyages, à un ami ou à un parent et/ou à un compagnon de voyage comment joindre leur assureur. Avant de rentrer au Canada, demandez au médecin ou à l’hôpital de vous remettre une facture détaillée. Il faut toujours fournir les reçus originaux des ordonnances ou des services médicaux reçus à l’étranger; la plupart des compagnies d’assurance n’acceptent pas les copies ou les télécopies. Voir le Portail canadien sur la santé.

L’annulation d’un voyage déjà organisé risque d’occasionner des frais. Avant d’annuler un déplacement à l’étranger, les voyageurs ont intérêt à en discuter avec leur agent de voyages, leur assureur ou leur compagnie aérienne. La décision d’effectuer le déplacement incombe uniquement au voyageur.

Adoption : Au Canada, l’adoption internationale est de compétence provinciale et territoriale. Si vous songez à adopter un enfant à l’étranger, vous devez tout d’abord obtenir de l’information sur les règlements en matière d’adoption de la province ou du territoire où résidera l’enfant. L’adoption d’un enfant relève des provinces et des territoires, mais l’entrée au Canada d’un enfant adopté relève de Citoyenneté et Immigration Canada (CIC). Sans un visa d’immigration approprié, un enfant pourrait se voir refuser l’entrée au Canada; ou, la demande de visa peut être refusée, même si l’adoption est déjà effectuée. Pour obtenir de plus amples renseignements, composez le 1 888 242-2100 (au Canada seulement), consultez le site Web de CIC ou communiquez avec les autorités de votre province ou de votre territoire.

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12. ANNEXE

S. O.

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