TÉLÉCOMMUNICATIONS.
NOUVELLES OCCASIONS DE RÉSEAUTAGE.
Le Canada a terminé au premier rang des pays du G7 avec un avantage de coût de 2,5 points de pourcentage sur les É.-U., ce qui constitue une grosse différence pour vos résultats nets. Ces données sont tirées de Choix concurrentiels : Guide de KPMG sur les coûts des entreprises à l’échelle internationale, édition 2006, dans lequel la firme a procédé à une étude détaillée des coûts de production des télécommunications dans neuf pays et 128 villes d’Amérique du Nord, d’Europe et de l’Asie-Pacifique. Le secteur Technologies de l’information et des communications (TIC) du Canada a généré environ 136 milliards $ CAN en 2004. Ce secteur investit à fond en recherche et développement, dont un montant estimé à 5,2 milliards $ CAN en 2005, et il compte une main-d’œuvre de 570 000 travailleurs hautement qualifiés.
Pour son entreprise modélisée de télécommunications, KPMG a scruté des fabricants d’équipements spécialisés pour les réseaux câblés ou sans fil. Le personnel est majoritairement composé de professionnels et de techniciens hautement qualifiés et d’opérateurs qualifiés.
LES FAITS PARLENT D’EUX-MÊMES :
- Le Canada se classe au 1er rang des pays du G7, au titre d’emplacement le plus concurrentiel du secteur des télécommunications, pour les investissements.
- De plus, le secteur des télécommunications du Canada est stratégiquement lié au rendement des secteurs Conception de logiciels et Web et multimédia du pays qui sont au 1er rang du G7.
- Le Canada offre les coûts de main-d’œuvre et d’avantages sociaux les plus bas du G7 pour ce secteur, de même que les frais d’intérêt et d’amortissement les plus faibles.
- Neuf villes canadiennes figurent parmi les dix plus concurrentielles du G7, au plan des coûts, avec St. John’s en tête.
VILLES PERFORMANTES
1. St. John’s
2. Moncton
3. Sherbrooke
4. Halifax
5. Saskatoon
6. Charlottetown
7. Edmonton
8. Québec
9. Winnipeg
