![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/spacer.gif) |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/spacer.gif) |
1. Analyse des
grands festivals canadiens
2. Appel de propositions pour un événement
cinématographique à Montréal
3. Décision rendue le 29 octobre
quant à l'Appel de propositions
4. Décision rendue le 17 décembre
au sujet de l'événement
cinématographique à Montréal
1.
Analyse des grands festivals canadiens |
Pourquoi avoir choisi Secor Conseil
pour mener cette analyse ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Secor Conseil est une firme indépendante qui a
une grande expertise et une bonne crédibilité
à l'échelle canadienne, entre autres sur
le plan culturel.
Sur quels festivals porte le
rapport Secor ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Le mandat de Secor était de faire l'analyse des
quatre grands festivals de films au Canada, soit le Festival
des films du monde de Montréal, le Festival international
du film de Toronto, le Festival international du film
de Vancouver et le Festival du film de l'Atlantique.
Une telle étude est-elle exceptionnelle
à Téléfilm ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Téléfilm évalue régulièrement
ses programmes et ses pratiques en fonction de ses trois
objectifs : augmenter les auditoires des produits culturels
d'ici; développer le potentiel de l'industrie canadienne;
et être un organisme équitable, transparent
et imputable, dont les activités sont une plus-value
pour le gouvernement et le public canadien. Téléfilm
commande des analyses qui lui permettent d'assurer la
saine gestion des fonds publics.
Comment Secor a-t-il procédé
? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
L'analyse a porté sur le positionnement, la situation
financière, la gestion des opérations et
la gouvernance des festivals, en les situant dans un contexte
international plus large. Secor a mené une soixantaine
d'entrevues avec des professionnels québécois,
canadiens et étrangers, ceux-ci incluant des représentants
des festivals de Berlin, de Cannes, de Rotterdam et de
Sundance. Sauf dans le cas du FFM, il y a eu des rencontres
et des entrevues avec les dirigeants des festivals concernés,
de même qu'une collecte d'informations par le biais
de questionnaires. Les associations du milieu ont été
mises à contribution à l'occasion de rencontres
et des groupes de discussions avec le public montréalais
ont eu lieu pour ce qui concerne le FFM.
Combien a coûté le rapport Secor
sur les grands festivals canadiens ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Le coût s'élève à 165 000 $.
D'autres organismes étaient-ils associés
à la démarche ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Oui, le ministère des Affaires municipales, du
Sport et du Loisir du Québec, la Ville de Montréal
et Développement économique Canada.
Quels sont les résultats de l'analyse
sur les festivals de Toronto, Halifax et Vancouver ?
| ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Le rapport donne une bonne note aux festivals de Toronto,
de Vancouver et de Halifax. Ces événements
répondent aux attentes du public et de l'industrie.
Ils ont de bonnes pratiques sur le plan de l'organisation
et de la gouvernance tout en démontrant une capacité
de renouvellement, en ayant un plan de développement
et une vision d'avenir. Ils ont collaboré à
cet exercice avec beaucoup d'ouverture et d'intérêt
et leur contribution nous a permis de mieux définir
les facteurs de succès d'un festival.
Les associations de l'industrie ont-elles
été consultés dans le cadre
du rapport Secor ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Secor a rencontré plusieurs associations dont l'Association
des producteurs de film et de télévision
du Québec (APFTQ), l'Association des réalisateurs
et réalisatrices du Québec (ARRQ), la Société
des auteurs de radio, télévision et cinéma
(SARTEC), l'Union des artistes (UDA), l'Association des
propriétaires de cinéma et de ciné-parcs
du Québec (APCCQ), le Conseil du Québec
de la Guilde canadienne des réalisateurs (DGC)
et le Syndicat des techniciens et techniciennes du cinéma
et de la vidéo du Québec (STCVQ). Plusieurs
de leurs points de vue sont consignés dans le rapport
Secor.
Pourquoi le rapport Secor a-t-il été
rendu public juste avant le FFM ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
La publication du rapport devait se faire en mars 2004,
mais les discussions avec le FFM ont retardé le
processus. Le Festival avait d'abord accepté de
participer à l'exercice puis a posé maintes
conditions pour finalement refuser sa collaboration. La
situation ne s'est réglée qu'en juillet.
2.
Appel de propositions pour un événement
cinématographique à Montréal |
Pourquoi lancer un appel de propositions
maintenant ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Les données du rapport Secor et notre démarche
orientée vers des résultats mesurables nous
ont amenés à cette décision. Cette
décision a également été prise
compte tenu du souhait de Téléfilm Canada
et de la SODEC de donner toutes les chances aux proposeurs
pour la tenue d'un événement cinématographique
grand public à Montréal en 2005.
Téléfilm et la SODEC ont-ils
l'intention de se lancer dans l'organisation de
festivals ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Téléfilm Canada et la SODEC sont des investisseurs
culturels. L'organisation de l'événement
sera la responsabilité du secteur privé.
Qu'est-ce que vous attendez des proposeurs
? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Ce qui est défini dans l'Appel de propositions
: outre une programmation diversifiée de calibre
international, des idées nouvelles, des concepts
innovateurs, rassembleurs, qui reflètent le dynamisme
de notre industrie et de Montréal. Un partenariat
constructif avec l'industrie et avec les bailleurs de
fonds publics. Et aussi une conception moderne de la gouvernance
et de la gestion.
Pourquoi un système de pointage pour
juger les propositions ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Pour rendre la démarche objective et transparente
et assurer un traitement équitable à toutes
les propositions. Cette grille a été affichée
dans notre site Web en même temps que l'appel de
propositions.
Quels sont les éléments de
la grille d'évaluation ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Il y en a trois :
· les retombées de l'événement
(40 points) sur les plans culturel, professionnel et de
la communauté ;
· la qualité de l'organisation (30
points) soit la structure organisationnelle et de gouvernance,
la qualité de la gestion et la performance financière;
et
· l'appréciation globale de la proposition
(30 points) qui concerne l'originalité et l'unicité
du projet, sa complémentarité par rapport
à d'autres événements, son caractère
innovateur, son positionnement et sa cohérence
globale.
Pourquoi demander un plan de trois ans aux
proposeurs ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Parce que Téléfilm et la SODEC veulent s'engager
dans un projet sérieux et prometteur à longue
échéance. Tout bon gestionnaire a une stratégie
de développement.
Quel genre d'entreprise peut faire une proposition
? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Tel qu'indiqué dans l'Appel de propositions, il
doit s'agir d'une société qui a une solide
expertise en matière de gestion et d'organisation
d'événements culturels. Il n'est pas nécessaire
que l'entreprise soit spécialisée en cinéma,
mais l'Appel de propositions indique que la proposition
doit garantir une programmation de qualité et des
collaborateurs spécialisés.
Pourquoi avoir donné seulement un
mois pour la préparation des propositions
? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Téléfilm Canada et la SODEC jugent que c'est
un délai raisonnable pour une entreprise professionnelle
et bien organisée, qui a l'habitude de mettre sur
pied des événements d'envergure. De plus,
la mise sur pied d'un festival demande du temps (sélection
des uvres, montage financier, recherche de commandites,
logistique, etc.), et nous voulions que le processus soit
enclenché le plus rapidement possible.
Est-ce vrai que vous voulez reproduire à
Montréal le Festival de Toronto ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Non. L'Appel de propositions met l'accent sur le caractère
unique du projet et sa complémentarité avec
les autres événements cinématographiques
ayant lieu au Québec et au Canada. Plus l'événement
collera à Montréal, à ses caractéristiques
linguistiques, à sa diversité culturelle,
à son ouverture sur la francophonie internationale
et à son sens inné de l'accueil et de la
fête, plus ses chances de succès seront grandes.
Est-ce qu'on pourrait se trouver dans la
situation où il y aurait plus d'un grand
festival ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
C'est une possibilité, mais Téléfilm
et la SODEC ne financeront qu'un seul événement.
Pourquoi le FFM dit-il que Téléfilm
lui a confisqué une somme de 125 000 $ ?
|
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Cette somme était due par le FFM à Téléfilm
et a été remboursée.
Pourquoi Téléfilm et la SODEC
demandent-ils des billets et des laissez-passer
au FFM ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
C'est une pratique normale des commanditaires et des partenaires
financiers qui s'applique à tous les festivals
et événements soutenus par Téléfilm
et la SODEC. Dans le cas d'organismes culturels, ce ne
sont pas des billets personnels. La direction et les employés
qui les reçoivent sont très impliqués
dans le financement et le développement de l'industrie
du cinéma. Rencontrer les créateurs et l'industrie,
prendre le pouls des tendances et du public fait partie
du travail de ceux à qui l'on donne des billets
et des laissez- passer. Cela leur permet également
d'inviter des partenaires du cinéma venus de l'étranger
et de faire une évaluation de l'événement.
Se pourrait-il que la proposition que Téléfilm
et la SODEC retiendront ne puisse pas se réaliser
dès l'année prochaine ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Téléfilm et la SODEC préféreraient
qu'il n'y ait pas de hiatus, mais l'essentiel, c'est que
l'événement ait toutes les chances de succès.
3.
Décision rendue le 29
octobre quant à l'Appel de propositions |
De qui avez-vous reçu des propositions
à la suite de votre Appel de propositions
pour un événement cinématographique
à Montréal ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Nous avons reçu quatre propositions. Elles venaient
du Festival Juste pour Rire; de Vision Globale; d'un groupe
de professionnels de l'industrie avec Spectra comme mandataire
et gestionnaire; et de Daniel Langlois et Sheila de La
Varende (Festival du nouveau cinéma).
Pourquoi avez-vous rejeté les quatre
propositions ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Le comité d'examen a passé en revue les
quatre propositions et a rencontré les quatre groupes.
Il a été impressionné par la qualité
et la diversité des projets soumis; cependant,
aucune des propositions ne répondait entièrement
aux exigences de l'Appel de propositions.
Pensez-vous que le délai était
trop court ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Le délai était raisonnable puisqu'il a permis
d'accélérer le processus de réflexion.
Quatre propositions intéressantes ont été
soumises et elles témoignent d'un grand enthousiasme.
Pourquoi avez-vous décidé de
prolonger le processus jusqu'à décembre
? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
La décision que nous devons prendre est une décision
d'avenir. Nous préférons donner un mois
de plus aux proposeurs pour leur permettre de consolider
et d'enrichir leur projet. Ce faisant, nous y gagnerons
tous.
Quelle sera votre relation avec les proposeurs
à compter de maintenant ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Nous allons les rencontrer pour rediscuter de leur projet
et du processus d'analyse.
Qu'attendez-vous des propositions remaniées
? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Qu'elles respectent l'esprit dans lequel Téléfilm
et la SODEC ont entamé ce processus, soit la volonté
de doter Montréal d'un festival grand public d'envergure
internationale, et qu'elles répondent à
l'ensemble de nos critères.
Qu'est-ce que vous entendez par
" clore " l'Appel de propositions alors
que vous demandez aux proposeurs de peaufiner leur
projet ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Téléfilm et la SODEC ont reçu quatre
propositions qui sans répondre entièrement
aux exigences de l'appel étaient fort intéressantes
à plusieurs égards. Puisque aucune ne répondait
aux critères, l'Appel de propositions est clos.
Comment s'est prise votre décision ?
| ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Les propositions ont été évaluées
en fonction de la grille d'évaluation que nous
avons rendue publique en même temps que l'Appel
de propositions.
La recommandation du comité de clore l'Appel
de propositions, de n'accepter aucune proposition dans
sa forme actuelle et de donner un mois aux proposeurs
pour remanier leur projet a été acceptée
par les conseils d'administration de Téléfilm
et de la SODEC le vendredi 29 octobre au matin.
Qui faisait partie du comité d'examen
? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Le comité était composé de six personnes.
Il y avait pour Téléfilm Canada : Jean-Claude
Mahé, directeur des communications et des affaires
publiques; Michel Pradier, directeur des opérations
en français et du bureau du Québec; et Julie
St-Pierre, analyste financière.
Et pour la SODEC : Joëlle Levie, directrice générale
du cinéma et de la production télévisuelle;
Bernard Boucher, directeur général des
politiques, des communications et des relations internationales;
et Valeria Moro, chargée de projets, Programme
d'aide à la promotion et à la diffusion.
Pourquoi le comité était-il formé
uniquement de gens de Téléfilm et
de la SODEC ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Parce que ce sont les deux organismes investisseurs qui
ont lancé l'appel de propositions.
Y avait-il une proposition qui se dégageait
par rapport aux autres? Quel était le pointage
des propositions ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Comme nous l'avons déjà indiqué,
aucune proposition ne répondait entièrement
à l'appel de propositions.
La transparence est-elle au rendez-vous ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Nous n'avons eu qu'une seule ligne de conduite que nous
avons énoncée clairement et régulièrement
à compter de la publication du rapport Secor en
juillet. Nous avons publié le rapport dans notre
site Web, nous avons lancé officiellement l'Appel
de propositions, incluant la grille d'évaluation,
nous avons créé une nouvelle section Dossiers
d'actualité dans notre Web, nous avons fait preuve
d'ouverture face aux médias et nous avons respecté
notre échéancier. De plus, nos rencontres
avec chacun des proposeurs leur a permis de nous expliquer
de vive voix leur projet.
Nous avions dit que la décision serait rendue
publique le 29 octobre, ce qui a été fait.
Les proposeurs ont été informés
individuellement de la décision et les présidents
de Téléfilm et de la SODEC ont eu un appel
conférence avec les médias ce même
jour. De plus, conformément à ce qui avait
été prévu, les noms des membres
du comité d'examen ont été rendus
publics le 29 octobre.
Est-ce que vous soutiendrez quand
même le Festival des films du monde dans sa
forme actuelle en 2005 ? | ![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Non.
4.Décision
rendue le 17 décembre au sujet de l'événement
cinématographique à Montréal |
Quelle est la proposition retenue ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
La SODEC et Téléfilm ont retenu la proposition
déposée par le Regroupement pour un festival
de cinéma à Montréal.
Est-ce vrai que le conseil d'administration
de la SODEC avait refusé la recommandation
du Comité d'examen lors de la rencontre du
mardi 14 décembre ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Le CA de la SODEC a en effet refusé une première
fois la recommandation du Comité d'examen. Une
proposition amendée, qui tenait compte de certaines
réserves exprimées par le CA de la SODEC,
lui a été soumise le 17 décembre.
Cette nouvelle proposition réitérait l'importance
et les moyens déployés pour assurer à
l'événement une programmation diversifiée.
Elle proposait également de donner un rôle
accru aux créateurs dans l'organisation du Regroupement.
Est-ce que les conseils d'administration des
deux sociétés sont d'accord avec ce
choix? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
oui
Qu'est-ce qui a motivé ce choix par
le Comité d'examen ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Cette proposition rencontre l'ensemble des attentes de
Téléfilm Canada et de la SODEC, notamment
pour la tenue d'un événement novateur, de
grande qualité et rassembleur pour le milieu du
cinéma.
Est-ce qu'il y a des risques pour que ce nouvel
événement nuise au Festival du nouveau
cinéma ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Téléfilm et la SODEC sont satisfaites de
voir la collaboration qui s'est établie entre les
deux organisations. L'ouverture manifestée par
le Festival du nouveau cinéma de collaborer avec
le Regroupement, montre bien que l'événement
envisagé est dans l'intérêt de tous.
Ainsi, la première année en sera une de
transition au cours de laquelle le Regroupement propose
de tenir un événement plus modeste en même
temps, et en collaboration avec le Festival du nouveau
cinéma.
Qu'en est-il de l'injonction déposée
par le Festival des films du monde à l'endroit
de Téléfilm Canada ? |
![](/web/20071116093244im_/http://www.telefilm.gc.ca/images/07/fleche.jpg) |
Téléfilm va défendre son approche
et le processus qu'elle a entrepris puisqu'elle considère
le tout comme entièrement légitime et valide.
Il faut prendre note qu'il s'agit d'une requête
introductive d'instance en dommages intérêts,
pour jugement déclaratoire et en injonction permanente.
L'issue finale de ce litige peut donc prendre un certain
temps.
|