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Bulletin des tendances et des variations climatiques

SMC - EC - GC
 

Températures et précipitations dans une perspective historique
Printemps 2002 

Température nationale

ANOMALIES DE LA TEMPERATURE PAR RAPPORT A LA NORMALE - printemps 2002 Le climat canadien peut certainement être intéressant. Après 19 saisons consécutives de températures supérieures à la normale, le Canada a finalement connu un printemps (mars, avril et mai) plus frais que la normale. De fait, l’ensemble du Canada a enregistré, par ordre de fraîcheur, le 5e printemps de ceux qui se sont écoulés depuis le début en 1948 de relevés nationaux comparables. D’après les données préliminaires, la température de ce printemps a été de 1,4 °C au-dessous de la normale. La carte située à droite montre que la majeure partie du Canada a relevé des températures inférieures de plus de 1 °C à la normale, certaines parties du nord de la Saskatchewan et de l’Alberta ayant observé des températures descendues jusqu’à 5 °C au-dessous de la normale. L’île Vancouver, le sud de l’Ontario, le sud du Québec, les Maritimes et la plupart des îles Arctiques ont relevé ce printemps des températures proches de la normale. Ce printemps, seuls le nord du Yukon et les Territoires du Nord-Ouest ont connu des températures plus élevées que la normale.

Anomalie de la température nationale du printemps et tendance à long terme, 1948-2002Le graphique qui figure à gauche révèle la différence qui peut exister d’une année à l’autre. Les quatre printemps antérieurs comptaient parmi les plus chauds des relevés, ce printemps parmi les plus frais. Toutefois, depuis quelque temps, les printemps continuent de se réchauffer, à raison de 1,4 °C en une période de 55 années, comme l’indique la ligne en pointillés rouges du tableau. Le tableau national des températures les plus hautes et les plus basses énumère les dix printemps les plus frais et les plus chauds de tout le pays. Le printemps le plus frais reste celui de 1974 (-1,8 °C) et le plus chaud celui de 1998 (+3,2 °C). Le tableau national des écarts de température donne toute la liste des années, de la plus chaude à la plus fraîche.

 

Précipitations nationales

ANOMALIES DES PRECIPITATIONS PAR RAPPORT A LA NORMALE - printemps 2002 Dans l’ensemble, le Canada a connu un printemps plus humide que la normale. À 5,6 % au-dessus de la normale d’après les données préliminaires, le printemps de 2002 est, par ordre décroissant de précipitations, le 18e d’une période de 54 années de relevés. Mais ce nombre récapitulatif ne rend pas compte de la complexité de la situation des précipitations de ce printemps. La carte de droite montre que l’ouest et le nord de la C.-B., le Yukon, l’ouest de Nunavut et la majeure partie de l’Alberta et de Saskatchewan ont connu cet été un temps plus sec que la normale. Le printemps avec les plus de précipitations a été celui de 1979 (+28,8 %) et le plus sec celui de 1956 (-21,3 %), comme l’indique le tableau national des hauteurs de précipitations les plus fortes et les plus faibles. Le tableau national des écarts de précipitations donne la liste complète des années, celle avec le plus de précipitations à la plus sèche.

Notons que les précipitations «normales» du nord du Canada sont en général inférieures à celles du sud du Canada. De ce fait, un écart en pourcentage dans le nord représente un écart nettement moindre dans les précipitations effectives que le même pourcentage dans le sud. Le classement national des précipitations est donc faussé par les écarts du Nord et ne représente pas le classement en volume d’eau tombé au pays.

Anomalies des précipitations nationales du printemps et moyenne mobile pondérée, 1948-2002Le printemps avec plus de précipitations que la normale à l’échelon national est conforme à la plupart des printemps écoulés depuis les années 1970. Seuls cinq des 31 derniers printemps ont été inférieurs à la normale, comme l’indique le graphique à gauche. En revanche, les trois saisons antérieures ont été plus sèches que la normale, comme le révèle le graphique des saisons consécutives. Le temps avec plus de précipitations que la normale dans la région des Grands Lacs a contribué à faire remonter leur niveau presque à la normale.

 

Suite à l’analyse régionale ...


Graphiques : [hors fonction] | Formats : [Impression] [PDA]

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Création : 2002-02-25
Mise à jour le : 2003-01-02
Date de révision : 2003-01-02
URL de cette page : http://www.msc.ec.gc.ca
/ccrm/bulletin/spring02/national_f.cfm

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