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Bulletin des tendances et des variations climatiques

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Températures et précipitations dans une perspective historique

Printemps 2003/2004

Température nationale

ANOMALIES DE LA TEMPERATURE PAR RAPPORT A LA NORMALE - printemps 2003/2004Le printemps de 2004 a été plus frais que la normale pour la majeure partie du Canada. Dans l’ensemble et suivant les données préliminaires, la température au Canada a été inférieure de 0,4 °C à la normale; ce printemps se classe à la 18e place des printemps les plus froids depuis le début des relevés nationaux en 1948. La carte située à droite montre que les températures ont été inférieures d’au moins un degré à la normale dans certaines parties du Québec, de l’Ontario, du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et du Yukon. La quasi-totalité des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut a été au-dessous de la moyenne, certaines parties étant de 4 degrés plus fraîches que la normale. Ce printemps, la Colombie-Britannique, la majeure partie de l’Alberta et une partie du sud de l’Ontario ont été plus chaudes que la normale. Vu les basses températures de ce printemps, la série de saisons aux températures supérieures à la normale a pris fin. Le graphique des saisons consécutives montre des températures supérieures à la normale pendant 26 des 28 dernières saisons, seul ce printemps-ci et le printemps de 2002 ayant été inférieurs à la normale.

 

 

Anomalie de la température de le printemps nationale et tendance à long terme, 1948-2004 Le graphique situé à gauche révèle que les températures inférieures à la normale sont l’exception et qu’en général les températures ont dépassé la normale depuis 1975. La ligne pointillée en rouge représente une tendance linéaire au réchauffement de 1,2 °C au cours des 57 dernières années. Dans le tableau des températures nationales les plus fortes et les plus basses se trouvent les dix printemps les plus frais et les plus chauds de tout le pays. Ce tableau montre que 1998 (+ 3,2°C) a été le printemps le plus chaud et 1974 (- 1,8 °C) le plus froid. Le tableau des écarts des températures nationales montre la liste intégrale des années, de la plus chaude à la plus fraîche, et révèle que 4 des 10 printemps les plus chauds ont eu lieu au cours des dix dernières années.

 

 

Précipitations nationales

ANOMALIES DES PRECIPITATIONS PAR RAPPORT A LA NORMALE - printemps 2003/2004Dans l’ensemble, le Canada a connu en 2004 un printemps plus humide que la normale. Ce printemps est au 11e rang des printemps les plus humides de la période de 57 années de relevés, à 8,2 % au-dessus de la normale, d’après les données préliminaires. La carte de droite montre qu’il y avait des zones situées au-dessus et au-dessous de la normale dans tout le pays. La majeure partie du Manitoba, de l’Alberta, de l’Ontario, du Québec et de Terre-Neuve et du Labrador a été plus humide que la normale. Ce printemps, des régions de la Colombie-Britannique, de l’Alberta, du Yukon, des Territoires du Nord-Ouest, du Nunavut et des Maritimes ont connu un temps plus sec que la normale.

Notons que les précipitations «normales» du nord du Canada sont en général inférieures à celles du sud du Canada. De ce fait, un écart en pourcentage dans le nord représente un écart nettement moindre dans les précipitations effectives que le même pourcentage dans le sud. Le classement national des précipitations est donc faussé par les écarts du Nord et ne représente pas le classement en volume d’eau tombé au pays.

Anomalies des précipitations nationales de le printemps et moyenne mobile pondérée, 1948-2004Le graphique situé à gauche montre qu’il s’agit du quatrième printemps d’affilée dont les précipitations nationales sont au-dessus de la normale et qu’il a généralement fait un temps plus humide depuis le début des années 70. Comme le montre le tableau des précipitations nationales les plus fortes et les plus faibles, le printemps le plus humide a été celui de 1979 (+ 28,8 %) et le plus sec celui de 1956 (- 21,3 %). Le tableau des écarts de précipitations nationales montre la liste intégrale des printemps, du plus humide au plus sec, et révèle qu’il n’y a eu au cours des 30 dernières années que six printemps plus secs que la normale. Au cours des quatre dernières années, il y a eu presque un nombre égal de saisons plus sèches et plus humides que la normale, comme le montre le graphique des saisons consécutives.

 

Suite à l’analyse régionale ...



Graphiques : [hors fonction] | Formats : [Impression] [PDA]

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Création : 2002-02-25
Mise à jour le : 2004-03-02
Date de révision : 2004-03-02
URL de cette page : http://www.msc.ec.gc.ca
/ccrm/bulletin/spring04/national_f.cfm

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