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Secteur de la formation linguistique en Allemagne
Table des matières
Introduction
Données importantes
Perspectives pour l'Allemagne en 2007
L'apprentissage de langues étrangères en Allemagne
Le système scolaire allemand
Données sur les programmes d'échanges d'élèves allemands
Particularités du marché
L'approche allemande des programmes d'échange
Agents et organisateurs
Travailler avec un agent ou un organisateur local
Associations et organismes qui influent sur le marché
Extraits d'entrevues avec des spécialistes de l'industrie
Conclusions tirées du sondage et des entrevues
Marché de l'enseignement supérieur
Annexe I
Annexe II
Bibliographie
Sites connexes

Industries de la langue

Secteur de la formation linguistique en Allemagne

12. Extraits d'entrevues avec des spécialistes de l'industrie

Les extraits suivants d'entrevues avec des experts de l'industrie en Allemagne ont été choisis afin d'illustrer les différents points d'intérêt pour les prestataires d'éducation canadiens.

12.1 ICEF : faits et chiffres sur les ateliers

Personne interrogée : Frauke Festersen (Mme) | Gestionnaire d'activités | ICEF GmbH | Bonn

Les ateliers ICEF (International Consultants for Education and Fairs) ont lieu partout au monde et mettent en relation les prestataires d'éducation et les agents professionnels (conseillers et organismes d'études à l'étranger, recruteurs d'élèves et conseillers en éducation) qui sont prêts à les représenter et à recruter des élèves pour eux. Comme beaucoup d'autres, les prestataires d'éducation canadiens du secteur des écoles secondaires trouvent que les ateliers sont un outil pratique pour augmenter leurs inscriptions puisqu'ils leur permettent de rencontrer et d'engager de nouveaux agents, d'entretenir leurs contacts personnels existants et d'obtenir de la rétroaction du marché et de l'information commerciale. En deux jours et demi, ils ont l'occasion de participer à des rendez-vous, jusqu'à 40, pré-arrangés avec des agents soigneusement sélectionnés de différents pays.

Les faits et chiffres liés au Canada suivants proviennent de l'analyse des récents ateliers. En 2005 et en 2006, les établissements d'enseignement postsecondaire, secondaire et privé représentaient 18 p. 100 des prestataires d'éducation participants.

Parmi eux, 15 p. 100 venaient du Canada en 2005. L'année suivante, ce pourcentage avait grimpé à 19 p. 100, ce qui constitue une augmentation non négligeable.

Dans l'absolu, nos différents événements, y compris notre atelier à Berlin, attirent le plus grand nombre de prestataires canadiens. ICEF a établi un réseau de représentants locaux dans tous les principaux marchés sources qui analysent sans cesse l'évolution de ceux-ci et peut donc conseiller les prestataires sur les ateliers qui seront plus profitables pour leurs produits en particulier.

Les 44 agents d'échange allemands ayant assisté à l'atelier d'ICEF à Berlin en 2005 représentaient 10 p. 100 de tous les agents présents; en 2006, ce chiffre est passé à 54 (11 p. 100). Les parrains de l'événement attendent au moins 65 agents locaux au prochain atelier d'ICEF à Berlin en novembre 2007.

12.2 ICXchange : la coopération entre les partenaires est essentielle

Personne interrogée : Hans Ziebell | ICXchange | Oldenburg

Étant donné l'excellente qualité et la très bonne réputation des écoles canadiennes, le Canada a toutes les qualités requises pour être considéré comme une destination importante pour les élèves d'écoles secondaires allemandes. Le taux de change actuel entre les deux pays, cependant, a des répercussions directes sur le prix des programmes et constitue ainsi un facteur clé dans le recrutement des élèves. En 2006-2007, par exemple, le dollar canadien était fort, ce qui a entraîné une légère baisse du nombre d'élèves voyageant au Canada. Même les familles allemandes, qui sont prêtes à investir considérablement dans l'éducation de leurs enfants, ont un seuil que nombre d'entre elles ne franchiront pas s'il s'agit uniquement de bénéficier d'une expérience culturelle ou de l'épanouissement personnel.

La coopération entre les prestataires canadiens et les organismes allemands qui sélectionnent les élèves et les préparent à l'échange fonctionne bien, et elle est préférable aux candidatures directes spontanées. Les organismes allemands tels que ICXchange peuvent offrir des services essentiels qu'aucune école étrangère ne pourrait fournir à distance. Une candidature directe ne fait rien économiser; en fait, le partenaire d'éducation canadien n'acceptera généralement pas ces candidatures, il les renverra à son organisme partenaire allemand.

Les partenaires canadiens tels que le Calgary Board of Education, le Nanaimo-Ladysmith School District et la River East Transcona School Division (Winnipeg) jouissent d'une bonne réputation grâce à leurs programmes bien dirigés et professionnels. Les commentaires des élèves allemands à ce sujet sont très positifs. Au Canada, les élèves ont accès à des conseillers dans chaque école qui peuvent répondre à leurs questions sur la santé, le bien-être et le cheminement scolaire.

12.3 Élèves allemands optant pour une école au Canada plutôt qu'aux États-Unis

Personnes interrogées : Ilona Wondratschek | Dr. Frank Sprachen und Reisen | Heppenheim

À ce jour, en 2007, il y a eu augmentation du nombre d'élèves ayant initialement prévu un séjour dans une école secondaire des États-Unis mais ayant modifié leur choix pour une école canadienne. Les questions de sécurité sont citées comme un des facteurs à l'origine de cette tendance. Les fusillades survenues dans des écoles secondaires et des campus aux États-Unis ont été rapportées par les médias allemands; le Canada est perçu comme un environnement plus sécuritaire et plus européen.

Le coût relativement élevé des programmes canadiens n'est pas dissuasif : les Allemands voient l'échange comme une expérience unique, il s'agit donc d'un investissement qui en vaut la peine.

Cependant, la principale raison qui pousse les Allemands à modifier leur choix au profit d'une école canadienne est qu'on accorde de plus en plus d'importance à l'aspect didactique des programmes d'échange. Les résultats du PISA, qui montrent que les écoles allemandes obtiennent de mauvais résultats au Programme international pour le suivi des acquis des élèves, en sont sûrement à l'origine. Les gens sont davantage conscients de la nature compétitive du futur environnement de travail; un séjour dans une école secondaire doit donc respecter certains critères scolaires, il ne doit pas être simplement ludique.

12.4 AYUSA : comparaison des programmes américains et canadiens

Personne interrogée : Margot Reinhardt | AYUSA | Berlin

De nombreuses familles allemandes se tournent vers des programmes d'échange canadiens parce qu'elles ne se sentent pas à l'aise avec la culture, le système politique ou les normes scolaires des États-Unis. Si les familles d'accueil américaines exigent généralement des élèves qu'elles reçoivent qu'ils soient ouverts, adaptables, souples, tolérants et capables de s'intégrer totalement à l'environnement local, les familles canadiennes ont tendance à avoir des attentes moins élevées. Contrairement aux familles américaines, les familles d'accueil canadiennes sont payées pour accepter des élèves chez elles.

Dans la mesure où les visiteurs des écoles canadiennes ont l'assurance d'obtenir une chambre privée, ainsi qu'une école ou un lieu précis pour leur échange, les élèves plus exigeants choisissent le Canada; dans l'ensemble, ils peuvent être moins souples, plus vieux et peut-être davantage établis dans leur style de vie et leurs habitudes.

Le statut du Canada en tant que nation bilingue constitue un facteur supplémentaire en sa faveur. Les élèves souhaitant approfondir leur connaissance du français peuvent recevoir une instruction n'importe où dans le pays.

D'autres élèves souhaitent une immersion en anglais et en français. Bien qu'ils n'attirent pas un nombre énorme de participants, les programmes bilingues qui permettent aux élèves de vivre dans une famille francophone au Québec et de fréquenter une école anglophone gagnent en popularité.

Le prix constitue un facteur négatif : un programme canadien complet coûte généralement entre 16 000 et 17 000 € par an, soit presque trois fois le coût d'un programme comparable aux États-Unis.

12.5 IST : questions de coût

Personne interrogée : Silke von Stirnberg | IST | Heidelberg

Au cours des trois dernières années, on a constaté une nette tendance vers le Canada aux dépens des programmes traditionnellement dominants américains. Le marché des écoles privées américaines, surtout, a beaucoup rétréci. Les élèves et les parents qui ont les moyens de payer ces programmes coûteux choisissent maintenant de plus en plus le Canada.

D'autres destinations comme l'Australie et la Nouvelle-Zélande tirent également avantage de cette tendance.

Deux autres facteurs font pencher la balance en faveur du Canada : l'année scolaire canadienne correspond à l'allemande et le Canada est perçu comme ayant une culture beaucoup plus proche de la culture européenne que les États-Unis.

De nombreuses familles d'accueil canadiennes tirent un bénéfice financier des élèves qu'ils reçoivent dans le cadre d'un échange, c'est pourquoi elles se proposent pour renouveler l'expérience. Cette situation est souvent appréciée des élèves étrangers parce qu'elle contribue à une ambiance bien gérée et sérieuse, et les élèves ne se sentent pas comme des hôtes payants.

Bien que les visiteurs issus de programmes d'échange au Canada aient tendance à être plus à l'aise financièrement, il n'y a pas d'élève « typique » participant à un programme d'échange canadien. En effet, certains sont attirés par le Canada parce qu'ils aiment faire du ski ou les hivers canadiens. La qualité du système scolaire du Canada, ses espaces naturels spectaculaires et sa réputation globale de pays magnifique, sécuritaire et accueillant sont aussi, bien entendu, des motifs pour choisir le Canada.

On entend parfois que les programmes des États-Unis représentent mieux la véritable philosophie d'échange parce que les familles d'accueil ne sont pas rémunérées. Cela dit, le fait que les familles et les écoles canadiennes soient payées n'a aucune répercussion négative sur les programmes. Du moins, les élèves n'ont jamais indiqué avoir eu l'impression que les familles les accueillaient « seulement pour l'argent ». Ils les voient plutôt comme des personnes qui s'intéressent véritablement à eux, comme n'importe quelle bonne famille d'accueil dans le monde. Les commentaires des élèves sont enthousiastes en ce qui concerne les familles d'accueil canadiennes.

Les Allemands tiennent beaucoup à une expérience d'immersion culturelle et familiale. Contrairement aux élèves asiatiques, qui ont tendance à être plus indépendants et ne demandent pas mieux que d'être laissés à eux-mêmes, les élèves allemands qui participent à un programme d'échange ont un désir authentique de prendre part à la vie familiale et de devenir un véritable membre de la famille. Il s'agit peut-être de l'une des raisons pour lesquelles les prestataires canadiens ciblent le marché allemand.

L'Allemagne représente un gros marché pour les prestataires canadiens de programmes d'échange. Le nombre d'élèves de pays scandinaves augmente petit à petit et il y a quelques rares élèves italiens et espagnols, mais, statistiquement, les élèves allemands dominent de loin. Les élèves allemands choisissent généralement un programme de cinq mois, le prix moyen - selon le programme - se situe donc entre 8 000 et 12 000 €.

12.6 L'importance de fixer des prix raisonnables

En général, la principale raison pour laquelle les élèves choisissent le Canada comme destination d'échange est la perception selon laquelle c'est un pays plus sécuritaire et qui offre, en général, un meilleur milieu culturel que les États-Unis. De plus, vu la qualité inégale de l'enseignement proposé dans les différents arrondissements scolaires aux États-Unis, les candidats estiment que la qualité du système scolaire canadien est plus constante à l'échelle des provinces.

Seule une petite proportion de familles allemandes aisées peut généralement se permettre les programmes canadiens. Les attentes des élèves provenant de ce groupe, c'est-à-dire, pour un environnement ou une école en particulier, peut influer sur leur placement. Le fait que le Canada peut satisfaire à ces demandes a contribué à alimenter une image quelque peu élitiste du pays.

Au cours des dernières années, l'idée traditionnelle de l'échange culturel authentique financé par l'État a été remplacée par une approche commerciale et une mentalité d'invité payant. Malheureusement, la nouvelle approche commerciale ne comprend pas la responsabilité commerciale de devoir proposer des services de qualité.

Le fait de devoir payer selon le principe de l'école privée peut être acceptable pour les familles asiatiques qui envoient leurs enfants à l'étranger pour qu'ils reçoivent un enseignement qu'ils ne pourraient pas avoir chez eux, mais les Allemands ne viennent pas pour l'enseignement didactique (qu'ils peuvent obtenir chez eux), mais bien pour une expérience d'immersion culturelle et d'échange.

Le fait que le Canada se focalise sur le profit pourrait l'isoler du marché des échanges internationaux, ce qui constituerait une perte sur le long terme. En devenant trop cher sur le marché, le Canada perd des clients internationaux potentiels pour faire du profit. La petite proportion de personnes pouvant s'offrir un échange canadien peut suffire à générer un nombre relativement impressionnant d'étudiants parmi les 82 millions d'Allemands, mais ne suffira pas à attirer le même nombre d'étudiants de pays plus petits. Empêcher ces jeunes de connaître le Canada est contraire à son image de pays accueillant.

12.7 College-Contact.com : utilisation d'agents pour le recrutement à l'université

Personne interrogée : Ramon Tissler | College-Contact.com | Münster

Le Canada s'est déjà classé troisième, après la Grande-Bretagne et les États-Unis, en matière d'inscription d'élèves allemands dans ses universités et collèges. Le pays a depuis reculé derrière l'Australie. Cela n'est pas dû à une détérioration des niveaux scolaires du Canada (ils ont toujours été excellents) ou à un manque de popularité du pays chez les étudiants allemands (c'est plutôt l'inverse), mais aux stratégies plus énergiques de promotion que l'Australie a mises en place.

College-Contact.com ne peut pas répondre à la demande de places en université canadienne pour les programmes de premier cycle ou d'études supérieures complets ni pour les programmes d'étudiant invité ou d'études à l'étranger d'un ou deux semestres. Cela vient du fait que de nombreuses universités canadiennes décident de ne pas avoir recours aux services d'un agent pour recruter les élèves internationaux, peut-être en réaction à des agents peu scrupuleux travaillant dans des marchés non réglementés. En tout cas, de nombreuses institutions aux États-Unis et au Canada regardent les agents d'un œil tellement sceptique que dans certains cas, on a introduit des politiques qui empêchent le paiement de commissions aux agents pour tous les programmes exceptés les programmes d'anglais langue seconde.

College-Contact.com entretient toutefois d'excellentes relations avec certaines universités, comme l'Université St. Mary en Nouvelle-Écosse où il envoie de 150 à 160 étudiants par an. Ces étudiants sont tous satisfaits de leur environnement d'apprentissage et les impressions de l'université sont tout aussi enthousiastes. Avec une population de 1 300 étudiants internationaux de près de 100 pays, St. Mary s'engage à intégrer une forte dimension internationale et interculturelle dans son enseignement et sa recherche. L'objectif est de préparer des diplômés qui connaissent la scène internationale et sont compétents en relations culturelles. Chaque partie en tire avantage.

Malheureusement, malgré des efforts considérables, College-Contact a connu un succès plus mitigé avec d'autres universités canadiennes. On a cependant récemment observé que certains représentants d'universités canadiennes à un salon aux États-Unis semblaient avoir modifié leur politique en ce qui concerne les agents; les discussions qui s'en sont suivies avec certaines de ces universités se sont révélées fructueuses.

Les connaissances approfondies que les agents ont du marché local permettent aux établissements d'atteindre un marché étudiant potentiel souvent inexploité par les autres efforts de marketing. En ce qui concerne des craintes éventuelles de comportement non éthique, les établissements canadiens peuvent se rassurer : les agents allemands sont très professionnels.

Les élèves d'échange sont enthousiastes en ce qui concerne le Canada, qui est perçu comme un pays merveilleusement chaleureux ayant de bonnes normes scolaires. Certaines provinces permettent aux étudiants de travailler pendant leur séjour, ce qui peut grandement les aider, non seulement comme moyen de financement supplémentaire, mais aussi parce que cela donne un autre moyen de s'intégrer dans la collectivité d'accueil.

12.8 IEC Online : les avantages d'une expérience d'échange canadien

Personne interrogée : Hilka Leicht | IEC Online-International Education Centre GmbH | Berlin | courriel : hilka@ieconline.de

International Education Centre (IEC Online) propose des renseignements et des services de conseil gratuitement aux élèves qui envisagent d'étudier à l'étranger. IEC représente officiellement près de 50 universités dans le monde.

IEC a commencé ses activités en 2005 avec deux universités canadiennes et a rapidement découvert un grand intérêt pour les établissements scolaires canadiens parmi les élèves allemands; l'organisme coopère désormais avec cinq universités canadiennes. Cet attrait réside dans le fait que les programmes d'étude canadiens et les structures de frais sont bien réglementés, clairs et facilement compréhensibles; cela leur donne un avantage sur leurs homologues américains, que nombre d'étudiants trouvent déroutants. Un autre facteur qui penche en faveur des établissements canadiens est la reconnaissance de leurs programmes en Allemagne, par rapport aux programmes des collèges communautaires des États-Unis, par exemple, qui ne sont généralement pas reconnus en Allemagne. Par ailleurs, les États-Unis restent le concurrent le plus important du Canada.

L'intérêt pour le Canada comme destination d'études était également manifeste lorsque IEC a lancé une campagne d'information en coopération avec l'ambassade du Canada à Berlin. Avant de communiquer avec IEC, les élèves qui envisagent d'étudier à l'étranger n'ont pas nécessairement arrêté leur choix en matière d'université ou de pays. L'élève et IEC travaillent ensemble pour rassembler des idées et analyser les objectifs, après quoi IEC recommande un établissement approprié. Les étudiants allemands sont très ouverts à l'idée de faire leurs études dans une université canadienne.

Comme nous l'avons déjà indiqué précédemment, il existe un grand potentiel dans le marché allemand pour les programmes d'études dans des universités canadiennes, même si les universités canadiennes elles-mêmes ne font pas beaucoup de promotion. Les universités australiennes, d'un autre côté, ont des campagnes de recrutement très efficaces et peuvent se glorifier de connaître la plus grande augmentation du nombre d'étudiants toutes destinations anglophones confondues ces dernières années. Tout à l'opposé, la plupart des universités canadiennes n'ont jamais parrainé de programme de recrutement d'étudiants étrangers en Allemagne.

Étant donné que le Canada n'est pas à la traîne de l'Australie en matière de programmes proposés, un effort concerté des établissements canadiens pourrait connaître le même succès qu'a connu l'Australie.


Création : 2007-09-26
Révision : 2007-10-25
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