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Information d'affaires par secteur Industrie de la langue Commerce et exportation Secteur de la formation linguistique en Corée Logistique du marché | ||||||||||||||
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Le secteur de la formation linguistique en CoréeLa logistique du marchéSecteurs à considérer pour pénétrer le marchéLa Corée est plus que jamais ouverte à l’investissement étranger direct (IED), à l’influence étrangère et aux projets conjoints avec les partenaires étrangers. Bien qu’il y ait relativement peu d’obstacles juridiques de réglementation régissant de tels partenariats, les entreprises étrangères doivent prendre en considération les différences culturelles et demeurer ouvertes aux modèles d’affaires des partenaires étrangers. Les meilleures stratégies de pénétration du marché pour les entreprises canadiennes est sans contredit les partenariats d’affaires avec les entreprises locales du secteur privé, soit en partageant la mise en place d’une place d’affaires en Corée par la fusion et l’acquisition ou par des projets de collaboration ou d’établissement de bureaux locaux autonomes. Malgré les coûts associés à l’établissement d’entreprises en Corée, plusieurs entreprises langagières canadiennes ont déjà pénétré ce marché relativement ouvert. Les entreprises qui étudient ce marché devraient consulter les fournisseurs canadiens d’enseignement des langues en Corée afin de relever les nouvelles possibilités. Tableau 11. Questions réglementaires de l’entrée sur le marché
Loi sur l’investissement étranger directL’investissement étranger direct est interdit pour tous les segments de marché de l’éducation, à l’exception des établissements d’enseignement et des projets privés, et des entreprises commerciales établies dans les zones franches économiques, où le gouvernement permet aux étrangers d’établir des entreprises d’investissement étranger, en plus d’encourager et de financer de tels projets, dans le but d’augmenter le niveau d’expertise étrangère au pays. Ces restrictions ne s’appliquent qu’aux établissements qui offrent de l’instruction aux ressortissants coréens. Les écoles étrangères qui offrent de l’instruction selon tout autre modèle aux résidents étrangers et aux ressortissants coréens qui ont passé plus de trois ans à l’étranger sont également admissibles. Sauf dans les zones franches économiques, ces écoles internationales doivent être exploitées à titre d’organismes sans but lucratif. Faire des affaires avec une entité coréenne sans investissement étranger (c. à d. pas d’argent envoyé du Canada à titre d’investissement dans les installations ou le personnel, et les biens immobilisés et autre capital) est une affaire relativement simple. Seul l’homologue coréen est assujetti à l’impôt et à la réglementation, tant que le revenu du partenaire canadien ne reste pas en Corée (autrement le revenu reviendrait alors à l’homologue coréen et serait donc imposable). Les transferts à l’étranger de dividendes sont déductibles du revenu imposable. On recommande aux partenaires canadiens d’obtenir un accord par écrit avec leurs homologues coréens précisant les dispositions financières, l’échéancier, la compétence en matière de litiges (en général un tribunal international compétent en Corée) et les responsabilités quant au transfert de fonds, y compris les transferts à des fins fiscales en Corée et au Canada. Des règlements plus spécifiques sur l’investissement, les activités commerciales, la fiscalité, les lois et règlements s’appliquant aux entreprises à propriété étrangère, ou les lois sur les fusions et les acquisitions, sur les travailleurs étrangers et locaux et les lois économiques sont tous bien établis, mis à jour régulièrement et accessibles en anglais auprès de la National Investment Promotion Agency de la Corée (« Invest Korea »), soit sur son site Web, soit au Canada. Un personnel bilingue et bien formé peut donner des renseignements précis. Suggestion de pratiques commercialesLe Canada offre un certain nombre de programmes d’échanges intéressants et abordables entre les établissements scolaires canadiens et les organisations coréennes. Des brochures présentant la beauté naturelle du Canada pourraient attirer les étudiants qui choisiraient autrement d’étudier en Nouvelle-Zélande, qui se présente également de cette façon. Les frais au Canada sont concurrentiels aux frais des États-Unis et du Royaume-Uni, mais moins concurrentiels par rapport à la Nouvelle-Zélande et à l’Australie. L’Australie et la Nouvelle-Zélande font la promotion en Corée des coûts moins élevés de leur programme d’éducation en anglais. Le Canada pourrait tirer avantage d’une agence éducative et culturelle unique qui ferait la promotion du secteur de l’enseignement des langues et augmenterait la visibilité de la « marque canadienne » en Corée. L’impartition de la recherche et de la préparation du matériel de marketing tel que les bulletins éducationnels publiés en Corée pourraient permettre de déterminer les possibilités pour les organisations canadiennes. Les bulletins d’information pourraient également présenter des renseignements sur les activités gouvernementales en Corée, les partenaires possibles et les tendances dans l’ensemble du secteur de l’éducation en Corée. |
Création : 2007-04-10 Révision : 2007-05-14 |
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