Sciences et surveillance des terres humides
![Photo de: Doug Wilcox](/web/20071121183147im_/http://www.on.ec.gc.ca/wildlife/wetlands/images/32.jpg) Dans l'ensemble du bassin des Grands Lacs, les universités, les administrations provinciales et le gouvernement fédéral, les organismes non gouvernementaux et les bénévoles font de la recherche scientifique sur les terres humides et surveillent celles-ci. Les efforts scientifiques permettent progressivement de mieux comprendre les effets de la variabilité et de la régularisation des niveaux d'eau, les incidences à long terme des espèces envahissantes dans les terres humides riveraines et d'autres stress. Pour que la science avance, il faut recueillir des données et les analyser. Les Grands Lacs forment un écosystème qui est particulièrement difficile à surveiller, en raison de sa grande taille, des variations géographiques et des multiples autorités qui s'occupent de sa gestion. Pour relever le défi, il faut coordonner les activités gouvernementales, grouper les ressources et partager les connaissances. Les programmes et projets qui suivent appliquent tous ces principes pour faire avancer les sciences des terres humides dans le bassin des Grands Lacs.
À l'échelle du bassin
Ontario
À l'échelle des lacs
La dimension scientifique est intégrée dans les objectifs des PAP, qui visent à restaurer les utilisations bénéfiques diminuées des Grands Lacs. Ils prévoient de nouveaux programmes de recherche scientifique et de surveillance pour rétablir l'habitat dégradé des poissons et autres espèces sauvages (habitat qui consiste souvent en terres humides) et aussi pour rétablir les populations de ces espèces.
Échelle locale ou régionale
Comme les plans d'aménagement panlacustre, les 42 plans d'action correctrice des Grands Lacs, axés sur le bassin versant, intègrent la dimension scientifique par leur objectif, notamment, de rétablir l'habitat et les populations de poissons et d'autres espèces sauvages.
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