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Les entreprises dérivées du CNRC : le billet gagnant

Malgré l'éclatement de la bulle technologique et le marasme qui perdure sur le marché du capital de risque, les entreprises dérivées du CNRC sont là pour rester. Depuis cinq ans, des dizaines d'entreprises nées de la science et de la technologie du CNRC attirent les investisseurs tout en consolidant l'économie nationale.

L'an dernier, 35 ont engrangé des recettes de 96 millions de dollars (160 000 $ par employé), une hausse de 29 pour cent comparativement à 2005, selon une enquête annuelle sur les entreprises dérivées du CNRC.

« Conclusion : beaucoup approchent de la viabilité », estime Clement Langemeyer, du CNRC. « En 2002, le revenu moyen par employé s'établissait à 43 000 $. Les entreprises dérivées vivaient donc de leurs emprunts. À 160 000 $ par employé, il n'y a plus érosion du capital. C'est très encourageant. »

arbre de monnaie

Créer de nouvelles entreprises n'est pas nouveau au CNRC. Depuis 1995, l'organisme en a engendré une soixantaine dans une dizaine de secteurs (biotechnologie, santé, informatique, fabrication de pointe, communications, électronique et technologies de l'information, notamment).

L'étude de 2007, intitulée Economic Impact of National Research Council Canada Spin-Off Companies, portait sur 35 entreprises dérivées, la plupart suivies depuis 2003, en l'occurrence 24 de l'Ontario, cinq de l'Atlantique, quatre de l'Ouest et deux du Québec. Cette enquête d'Adventus Research, un cabinet de Guelph (Ontario), couvrait la période de 12 mois finissant en décembre 2006.

Selon le document, les revenus d'exportation ont fortement augmenté en 2006, passant de 64 à 85 millions de dollars, soit 88 pour cent des revenus totaux. « C'est de l'or en barre, s'exclame Clement Langemeyer, car l'argent vient de l'étranger. »

 

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En 2006, le nombre total d'emplois à plein temps a fléchi de 698 à 604. On attribue ce recul de 13 pour cent à la rationalisation de diverses entreprises et à la disparition d'une autre. Malgré tout, l'année s'est avérée profitable puisque les entreprises dérivées du CNRC ont glané 63 millions de dollars en investissements neufs, dont un de 22 millions et deux de 12 – une moyenne de 1,8 million par entreprise. Clement Langemeyer précise qu'ensemble, les entreprises dérivées du CNRC ont réuni plus de 400 millions de dollars depuis le début de 2002.

« Les sociétés comme SIGe Semiconductor se portent extrêmement bien, reprend-il. SiGe a expédié sa 150 millionième puce au premier trimestre de 2007. » À surveiller : Novadaq Technologies, IMRIS et Zelos Therapeutics, une entreprise de biotechnologie sûre de retenir l'attention des grandes multinationales pharmaceutiques.


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Date de publication : 2007-08-01
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