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Le 9 septembre 2008
«L’économie canadienne est la pire du G-7. Le Canada a maintenant enregistré sa pire performance en 17 ans, depuis l’époque de Brian Mulroney. Notre économie vacille. Les travailleurs canadiens perdent leur emploi, et que fait le gouvernement Harper ? Il les insulte et les livre à eux-mêmes avec son attitude passive et son indifférence, a dit M. Dion. Les conservateurs ne comprennent pas l’économie du XXIe siècle. Le coût des carburants fossiles ne fera qu’augmenter. La seule solution valable à long terme est d’investir dans les technologies écologiques et de nouveaux types de carburant. La démarche simpliste des conservateurs ne fera que retarder l’inévitable ».
« Un gouvernement libéral investira dans le secteur manufacturier pour créer des emplois durables et de qualité, en partenariat avec les Canadiens grâce à des baisses d’impôt importantes pour les familles. En faisant du Canada un chef de file mondial de l’économie verte, nous renforcerons notre économie à court terme et pour la prochaine génération ».
M. Dion a fait ces commentaires lors d’un rassemblement libéral au bureau de campagne du député d’Ajax-Pickering, Mark Holland. Le porte-parole libéral chargé des finances, John McCallum et la porte-parole libérale associée en matière de finances, Martha Hall Findlay se sont joints à lui pour accueillir Brent Fullard, le nouveau membre de l’équipe libérale, candidat dans Whitby-Oshawa, la circonscription de M. Flaherty.
M. Fullard a fondé l’Association canadienne des investisseurs dans les fiducies de revenu pour lutter contre la décision de M. Flaherty de prélever un impôt sur les fiducies de revenu après que les conservateurs aient promis de ne pas le faire, et aient renié leur promesse.
« En tant qu’ancien employé de General Motors et grand défenseur des investisseurs dans les fiducies de revenu, M. Fullard sait mieux que quiconque comment M. Flaherty et son gouvernement ont trahi et abandonné les Canadiens, a déclaré M. Holland. Jim Flaherty et son Premier ministre ont laissé les investisseurs s’appauvrir et les travailleurs du secteur automobile sans emploi. Il s’agit ne pas là d’une bonne gestion économique. »
« C’était un gouvernement libéral qui avait mis de l’ordre dans le désordre budgétaire laissé par le dernier gouvernement conservateur, et nous sommes prêts à le refaire. Nous nous appuierons sur le solide bilan de notre parti en matière de création d’emplois, de budgets équilibrés et de réductions d’impôt progressistes en collaborant avec les Canadiens, et non pas en les laissant tomber. »
M. McCallum a souligné la façon dont les conservateurs ont marqué les derniers jours du gouvernement Harper en faisant des promesses préélectorales de dépense de près de 9 milliards de dollars, y compris quelques annonces de financement en faveur du secteur automobile en difficulté.
« Les conservateurs pensent qu’ils peuvent ignorer le secteur automobile pendant deux ans et demi et ensuite annoncer une séance photos à la veille des élections, et que tout rentrera dans l’ordre, a dit M. McCallum. Ce sont les mêmes, qui avant la convocation des élections, ont refusé d’investir dans le capital et l’innovation du secteur automobile, qu’ils ont qualifié de solutions temporaires. Le résultat de cette négligence a été désastreux et les ravages ont été ressentis dans cette région de l’Ontario plus qu’ailleurs. »
Mme Hall Findlay a déclaré qu’au moment où l’Ontario est au beau milieu du pire ralentissement économique depuis des années, le ministre Flaherty ne fait rien d’autre que s’en prendre à sa province d’origine.
« Il a dit que l’Ontario était “le dernier endroit” où investir et a traité le Premier ministre de la province, Dalton McGuinty de “petit homme de la confédération” parce qu’il a défendu les principes de la démocratie, a-t-elle ajouté. M. Flaherty a aussi dit aux maires de l’Ontario qu’il ne s’occupait pas des “nids de poules” et n’a pas tenu compte du grave déficit d’infrastructures auxquels ils sont confrontés. Il s’est contenté de les traiter de “pleurnichards” ».
« Les citoyens de l’Ontario – et de tout le Canada – ont besoin d’un gouvernement qui soit à leurs côtés et qui travaillera en collaboration avec eux chaque jour pour trouver des solutions à long terme, et non pas d’un gouvernement qui les mette à l’écart et qui les insulte lorsqu’ils vivent des moments difficiles », a dit Mme Hall Findlay.
M. Fullard a ajouté qu’il était fier de se joindre à l’équipe libérale car il souscrit à l’objectif de M. Dion de bâtir l’avenir du Canada en collaboration avec les entreprises canadiennes.
« Les Canadiens en ont marre des promesses reniées de M. Flaherty, a-t-il conclu. Le fiasco des fiducies de revenu – qui a coûté quelque 35 milliards de dollars aux investisseurs – n’est qu’un mensonge parmi tous ceux pour lesquels M. Flaherty devra rendre des comptes aux habitants de Whitby-Oshawa. Pire encore, sa promesse reniée a été faite sur la fausse affirmation que les fiducies de revenu entraînaient des pertes fiscales. »
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Les libéraux mettront de l’ordre dans le désordre budgétaire de M. Flaherty
PICKERING, Ontario – Le chef du Parti libéral du Canada, Stéphane Dion, a sévèrement critiqué aujourd’hui le ministre des Finances, Jim Flaherty, et dénoncé la gestion désastreuse des finances du pays par le gouvernement conservateur.«L’économie canadienne est la pire du G-7. Le Canada a maintenant enregistré sa pire performance en 17 ans, depuis l’époque de Brian Mulroney. Notre économie vacille. Les travailleurs canadiens perdent leur emploi, et que fait le gouvernement Harper ? Il les insulte et les livre à eux-mêmes avec son attitude passive et son indifférence, a dit M. Dion. Les conservateurs ne comprennent pas l’économie du XXIe siècle. Le coût des carburants fossiles ne fera qu’augmenter. La seule solution valable à long terme est d’investir dans les technologies écologiques et de nouveaux types de carburant. La démarche simpliste des conservateurs ne fera que retarder l’inévitable ».
« Un gouvernement libéral investira dans le secteur manufacturier pour créer des emplois durables et de qualité, en partenariat avec les Canadiens grâce à des baisses d’impôt importantes pour les familles. En faisant du Canada un chef de file mondial de l’économie verte, nous renforcerons notre économie à court terme et pour la prochaine génération ».
M. Dion a fait ces commentaires lors d’un rassemblement libéral au bureau de campagne du député d’Ajax-Pickering, Mark Holland. Le porte-parole libéral chargé des finances, John McCallum et la porte-parole libérale associée en matière de finances, Martha Hall Findlay se sont joints à lui pour accueillir Brent Fullard, le nouveau membre de l’équipe libérale, candidat dans Whitby-Oshawa, la circonscription de M. Flaherty.
M. Fullard a fondé l’Association canadienne des investisseurs dans les fiducies de revenu pour lutter contre la décision de M. Flaherty de prélever un impôt sur les fiducies de revenu après que les conservateurs aient promis de ne pas le faire, et aient renié leur promesse.
« En tant qu’ancien employé de General Motors et grand défenseur des investisseurs dans les fiducies de revenu, M. Fullard sait mieux que quiconque comment M. Flaherty et son gouvernement ont trahi et abandonné les Canadiens, a déclaré M. Holland. Jim Flaherty et son Premier ministre ont laissé les investisseurs s’appauvrir et les travailleurs du secteur automobile sans emploi. Il s’agit ne pas là d’une bonne gestion économique. »
« C’était un gouvernement libéral qui avait mis de l’ordre dans le désordre budgétaire laissé par le dernier gouvernement conservateur, et nous sommes prêts à le refaire. Nous nous appuierons sur le solide bilan de notre parti en matière de création d’emplois, de budgets équilibrés et de réductions d’impôt progressistes en collaborant avec les Canadiens, et non pas en les laissant tomber. »
M. McCallum a souligné la façon dont les conservateurs ont marqué les derniers jours du gouvernement Harper en faisant des promesses préélectorales de dépense de près de 9 milliards de dollars, y compris quelques annonces de financement en faveur du secteur automobile en difficulté.
« Les conservateurs pensent qu’ils peuvent ignorer le secteur automobile pendant deux ans et demi et ensuite annoncer une séance photos à la veille des élections, et que tout rentrera dans l’ordre, a dit M. McCallum. Ce sont les mêmes, qui avant la convocation des élections, ont refusé d’investir dans le capital et l’innovation du secteur automobile, qu’ils ont qualifié de solutions temporaires. Le résultat de cette négligence a été désastreux et les ravages ont été ressentis dans cette région de l’Ontario plus qu’ailleurs. »
Mme Hall Findlay a déclaré qu’au moment où l’Ontario est au beau milieu du pire ralentissement économique depuis des années, le ministre Flaherty ne fait rien d’autre que s’en prendre à sa province d’origine.
« Il a dit que l’Ontario était “le dernier endroit” où investir et a traité le Premier ministre de la province, Dalton McGuinty de “petit homme de la confédération” parce qu’il a défendu les principes de la démocratie, a-t-elle ajouté. M. Flaherty a aussi dit aux maires de l’Ontario qu’il ne s’occupait pas des “nids de poules” et n’a pas tenu compte du grave déficit d’infrastructures auxquels ils sont confrontés. Il s’est contenté de les traiter de “pleurnichards” ».
« Les citoyens de l’Ontario – et de tout le Canada – ont besoin d’un gouvernement qui soit à leurs côtés et qui travaillera en collaboration avec eux chaque jour pour trouver des solutions à long terme, et non pas d’un gouvernement qui les mette à l’écart et qui les insulte lorsqu’ils vivent des moments difficiles », a dit Mme Hall Findlay.
M. Fullard a ajouté qu’il était fier de se joindre à l’équipe libérale car il souscrit à l’objectif de M. Dion de bâtir l’avenir du Canada en collaboration avec les entreprises canadiennes.
« Les Canadiens en ont marre des promesses reniées de M. Flaherty, a-t-il conclu. Le fiasco des fiducies de revenu – qui a coûté quelque 35 milliards de dollars aux investisseurs – n’est qu’un mensonge parmi tous ceux pour lesquels M. Flaherty devra rendre des comptes aux habitants de Whitby-Oshawa. Pire encore, sa promesse reniée a été faite sur la fausse affirmation que les fiducies de revenu entraînaient des pertes fiscales. »
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