mercredi 17 février 2010 Dernière mise à jour 15h29


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Liste des chroniques de
Louis-Gilles Francoeur

Résultats : 1 à 10 sur 279
  • Le fjord du Saguenay est d’une profondeur exceptionnelle sur l’essentiel de son parcours, et surtout dans sa partie en amont.

    Le fjord du Saguenay protégé par l'UNESCO?

    Oui, répond une étude divulguée avant-hier, qui a été commandée par le député bloquiste de Chicoutimi-Le Fjord, Robert Bouchard, et réalisée par Jules Dufour, un géographe devenu professeur émérite à l'Université du Québec à Chicoutimi.
    1 réactions | 0 votes
  • Les quatre tornades et cyclones qui ont frappé Haïti à la fin de l’été 2008 ont transporté aux Gonaïves 2,6 millions de tonnes de boues.

    Analyse - Haïti: la viabilité passe par le reboisement

    Louis-Gilles Francoeur   22 janvier 2010  Amérique Latine
    Le drame qui plonge présentement Haïti dans la désespérance résulte d'une catastrophe écologique multiforme causée par le déboisement intensif amorcé par les premiers exploitants coloniaux et consommée à cause de la pauvreté endémique qui résulte en bonne partie de l'épuisement et de l'atrophie des anciens écosystèmes.
    14 réactions | 4 votes
  • Montréal manque d’activités extérieures pour toute la population qui mettraient en valeur le froid, notre principale ressource naturelle hivernale...

    Montréal attend toujours sa patinoire de randonnée

    La nouvelle neige se fait attendre depuis plusieurs jours, aux dépens des sports de glisse autour de Montréal. Qu'à cela ne tienne, c'est le temps de chausser ses patins et de profiter du plus tonique de nos sports d'hiver pour s'immuniser contre le froid, la grippe et le rhume en stimulant son système immunitaire à grands coups de lames.
    4 réactions | 2 votes
  • Planète

    Justice pour la Pachamama

    Louis-Gilles Francoeur   8 janvier 2010  Climat
    Il y avait tellement de choses à couvrir à Copenhague qu'une équipe de 10 journalistes n'aurait pas suffi. Dans ce qu'il était convenu d'appeler la conférence parallèle, il pouvait y avoir de 30 à 50 conférences, colloques, panels, etc., par jour! Plusieurs auraient mérité une couverture médiatique, mais comme toujours, il faut se concentrer sur le coeur de la négociation politique en raison de ses conséquences. Pas le choix!
    4 réactions | 1 votes
  • Une femme enceinte cherche un endroit où garer son vélo, au centre-ville de Copenhague.

    La vie tranquille à vélo

    Le glorieux Bella Center de Copenhague avait l'air, samedi matin, d'un champ de bataille médiéval après la bataille, où les soldats auraient été remplacés sur le sol par des milliers de papiers, des comptoirs bardés d'affiches qui pendouillaient, des slogans sur longues banderoles en affaissement et des personnes à moitié endormies qui prenaient une dernière bière, un dernier café, les plus hauts diplomates voisinant avec les secrétaires et les journalistes dans un mélange où le rang ne comptait plus.
    2 réactions | 6 votes
  • Peu ou pas d’opposition, au Danemark, aux parcs d’éoliennes érigés en pleine mer. Les Danois y voient plutôt la signature tangible de leurs convictions énergétiques dans le paysage.

    Le miroir danois

    Louis-Gilles Francoeur   18 décembre 2009  Climat
    Copenhagen — La pire façon de découvrir un pays, c'est d'aller y couvrir un événement comme journaliste. On est enfermé dans de grands hôtels où on passe du restaurant aux salles de conférence après le petit-déjeuner et on revient à sa chambre généralement tard le soir après avoir terminé son texte. Si on est chanceux, on a un peu de temps pour aller manger avec les collègues, ce qui nous fait découvrir un ou deux restaurants du centre-ville.
    12 réactions | 3 votes
  • Dans ses indicateurs objectifs du développement durable, Québec omet notamment d’inclure un portrait chiffré de la destruction des milieux humides et des berges naturelles selon la région.

    Une vision édulcorée du développement viable

    Nous avons quelques problèmes au Québec avec notre vision officielle du développement viable. D'abord, on ne parle pas de développement «viable», ce qui implique — comme dans la formule anglaise de «sustainable development» — l'idée qu'il y a une limite à tout développer, et que passé un certain point, le système s'atrophie ou meurt. L'expression «développement durable» donne plutôt l'impression qu'on peut et même qu'on doit faire durer le développement... pour le développement.
    1 réactions | 3 votes
  • Développer durablement l'industrie de la pollution

    Le ministère des Transports du Québec a publié cette semaine le résultat de sa réflexion et des consultations en cours depuis des années sur l'utilisation croissante des véhicules hors routes (VHR). Son document de synthèse, intitulé Vers un développement durable de la pratique, propose des pistes de solution valables aux problèmes de pollution et de nuisances que le demi-million de quads et de motoneiges présentement immatriculés au Québec impose à la population pour la satisfaction des usagers et le profit de quelques-uns.
    0 réactions | 1 votes
  • Le danger qui vient du sol

    Louis-Gilles Francoeur   27 novembre 2009  Climat
    Dans quelques années, les politiciens au pouvoir à Québec trouveront sans doute un bénéfice imprévu dans l'actuelle politique sur les changements climatiques, tout comme notre premier ministre Jean Charest se flatte de la bonne performance du Québec à cause de la décision de son prédécesseur, Robert Bourassa, qui a lancé la baie James dans les années 70 sans savoir que cela aiderait le Québec à réduire ses émissions de gaz à effet de serre en 2010. Et pour cause, on ne savait même pas à l'époque que le climat se réchauffait!
    0 réactions | 2 votes
  • En raison des prix exorbitants des séjours en pourvoirie, il faut désormais être millionnaire pour avoir la chance de chasser et de pêcher dans le Grand Nord... à moins d’y résider, comme cet Inuit.

    Les Québécois perdront-ils leur Nord?

    Une question se pose impérativement: le Plan Nord du premier ministre Jean Charest est-il un véritable plan, planifié, intégré et balisé par le souci de la conservation, ou se résume-t-il à un bar ouvert pour les «développeurs» de tout acabit du moment que ça crée de la richesse pour une minorité, voire pour de purs étrangers voulant piller à bas prix nos richesses naturelles ou minérales?
    4 réactions | 3 votes

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