Au fil des ans, on croit apprendre. En fait, plus d'un et d'une croient tout savoir à propos de ce «fameux» REER, le régime enregistré...
Au fil des ans, on croit apprendre. En fait, plus d'un et d'une croient tout savoir à propos de ce «fameux» REER, le régime enregistré d'épargne-retraite. Mais qui fréquente un a b c du REER a souvent plus d'une surprise. À vous de vérifier...
Le régime enregistré d'épargne-retraite (REER) demeure le point central, le coeur de la planification financière. Notamment pour la discipline d'épargne...
Le régime enregistré d'épargne-retraite (REER) demeure le point central, le coeur de la planification financière. Notamment pour la discipline d'épargne qu'il impose et la vision à long terme qu'il propose aux plus jeunes. La dernière crise n'a rien changé à ce positionnement, si ce n'est qu'elle a redonné ses lettres de noblesse aux portefeuilles «ennuyants».
REER, CELI, REEE... Dans un contexte de rareté de l'épargne, un choix doit forcément être fait, selon la priorité de chacun. Dans la hiérarchie optimale,...
REER, CELI, REEE... Dans un contexte de rareté de l'épargne, un choix doit forcément être fait, selon la priorité de chacun. Dans la hiérarchie optimale, le REER demeure au coeur de la stratégie de planification financière.
Sans se soustraire au profil de risque, les fonds de travailleurs peuvent tout de même se qualifier au rang des incontournables. Le rendement offert dépasse largement celui d'un...
Sans se soustraire au profil de risque, les fonds de travailleurs peuvent tout de même se qualifier au rang des incontournables. Le rendement offert dépasse largement celui d'un certificat de placement garanti. Il se compare très avantageusement à celui d'un fonds d'investissement équilibré lorsque la déduction accolée à ces fonds fiscalisés est prise en compte.
Malgré le rebond des marchés l'an dernier, les investisseurs québécois sont demeurés sur la touche. Craintifs? Inquiets? Plutôt sceptiques,...
Malgré le rebond des marchés l'an dernier, les investisseurs québécois sont demeurés sur la touche. Craintifs? Inquiets? Plutôt sceptiques, répondent-ils. La sécurité du capital demeure le leitmotiv en cette campagne REER, quoiqu'une incursion du côté des titres offrant un rendement élevé en dividendes ne soit pas exclue.
L'inquiétude des Canadiens envers leur retraite est palpable. Ils demeurent nombreux à souhaiter une retraite hâtive, mais plus nombreux encore à craindre qu'ils...
L'inquiétude des Canadiens envers leur retraite est palpable. Ils demeurent nombreux à souhaiter une retraite hâtive, mais plus nombreux encore à craindre qu'ils n'auront pas les moyens requis. On se prend à rêver à un héritage ou à un gain à la loterie.
Je me permets de vous écrire pour demander votre avis car je suis terriblement indécise. Voici ma situation: je suis propriétaire d'un duplex que j'habite à 50 % mais que j'aimerais louer en totalité en avril 2008. Il est en bon état mais a besoin de certaines rénovations. Je manque de liquidités car je viens d'acheter une deuxième propriété. Aussi, pour financer les travaux, je songe à retirer de 15 000 $ à 20 000 $ de mes REER et profiter de la perte d'exploitation du duplex (10 000 $ à 15 000 $ si je rénove) pour compenser l'impôt sur le retrait. J'ai accumulé 62 000 $ de REER et mes prestations de retraite (fonction publique fédérale) seront de 60 % de mon salaire lorsque je prendrai ma retraite dans dix ans (j'aurai alors 55 ans et 30 années de service).
Se décider à épargner, un geste sérieux, l'investisseur le posera avec, ordinairement, un objectif bien précis. Souvent, il le fera pour une nouvelle voiture, une maison ou pour faire face à l'imprévu. Cependant, pour la majorité des investisseurs, la planification de la retraite est la raison la plus souvent invoquée pour épargner. Chaque épargnant sait donc dans quel but il met de l'argent de côté.
Les oracles du ministère fédéral des Finances ayant la certitude que la bulle immobilière est une légende, leur chef, Jim Flaherty, a décrété qu'une réformette suffirait à calmer les esprits chagrins. Lesquels? Ceux des banquiers qui réclamaient, paradoxe des paradoxes, un durcissement des règles afférentes au crédit hypothécaire.
Mardi, le premier ministre du Canada Stephen Harper a causé reconstruction d'Haïti avec le président René Préval dans une tente militaire, sur le terrain de l'aéroport de Port-au-Prince. Aujourd'hui, c'est au tour du président Nicolas Sarkozy de payer une visite au nom de la France. L'état de crise bouscule un peu le protocole: l'entretien doit avoir lieu sous une pergola montée dans les jardins du palais présidentiel, car celui-ci a été ravagé par le tremblement de terre.