Nouvelle année, nouveau millésime, et, tenez, puisqu'il y a officiellement 100 ans que l'on s'informe sans formalités au Devoir, un tout nouveau mot pour se faire la bouche: «polyvinylpolypyrrolidone». Un mot qui s'offre quatre «o», quatre «y» et quatre «l», sans compter les trois «p» qui les pousse sans trop savoir où tout cela va aboutir, mérite tout de même considération. Polyvinylpolypyrrolidone (PVPP). Est-ce un pachyderme albinos de la pointe sud-est de Madagascar, un calmar hermaphrodite géant qui fait la java du côté de Bornéo, ou, plus bêtement, un produit chimique parfois utilisé pour coller les vins?