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Liste des chroniques de
Martin Bilodeau

Résultats : 1 à 10 sur 272
  • La notion de continuité

    Martin Bilodeau   12 février 2010  Cinéma
    Dans un éditorial éclairant intitulé «Un cinéma de l'immaturité», à lire dans la nouvelle livraison de 24 images, en kiosque aujourd'hui (soit juste à temps pour alimenter les conversations durant les Rendez-vous du cinéma québécois), la rédactrice en chef de la revue, Marie-Claude Loiselle, s'interroge, à la lumière des décès récents de Pierre Falardeau et de Gilles Carle, sur la notion de continuité, absente selon elle dans notre cinéma, où elle constate «la quasi-inexistence [...] de films réalisés par des cinéastes d'âge mûr».
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  • Scène du film Les Sept Jours du talion

    Nécessaires ou inutiles

    Martin Bilodeau   5 février 2010  Cinéma
    Les films nécessaires, qui militent pour les causes vertueuses, dénoncent les injustices ou lèvent le voile sur un coin du monde méconnu, possèdent rarement des qualités artistiques supérieures. Leur nécessité transcende le besoin de raffinement, quand les conditions économiques ou politiques de tournage ne l'empêchent pas carrément.
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  • L'impasse des deux rives

    Martin Bilodeau   29 janvier 2010  Cinéma
    Projecteurs 35 millimètres. Projecteurs numériques. Le réseau des salles de cinéma du Québec et d'ailleurs est à la croisée des chemins. Et les enjeux économiques sont de taille.
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  • Pas de momentum pour le moment

    Martin Bilodeau   22 janvier 2010  Cinéma
    La remise des Golden Globes dimanche dernier, au cours de laquelle Avatar a triomphé, aura au moins démontré ceci: la course aux récompenses cinématographiques, cette année, est totalement dépourvue de momentum. On donne toujours à l'Association de la presse étrangère américaine, un groupuscule de moins de 100 journalistes, échotiers pour la plupart, qui attribuent les Golden Globes, le soin de démarrer le bal et d'indiquer la direction du vent. Mais aucun vent ne souffle cette année.
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  • Par les mots...

    Martin Bilodeau   15 janvier 2010  Cinéma
    Le cinéma a perdu contact avec la parole. C'est du moins la réflexion que je me suis faite lorsque j'ai appris, en début de semaine, le décès d'un de mes cinéastes préférés, Éric Rohmer. Sa grammaire cinématographique impeccable et transparente était mise au service des personnages, qui se découvraient sous nos yeux — sans lever la jupe ou baisser la culotte plus souvent qu'il ne le fallait — par les mots.
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  • La Fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette nous arrive, tel un cadeau à déballer, le jour de Noël. Les interprètes (Noomi Rapace en Lisbeth Salander et Michael Nyqvist dans le rôle de Michael Blomqvist) sont les mêmes que dans Millénium – Le Film, et son esprit, semble-t-il, demeure intact.

    Millénium et Bergman, même combat

    Martin Bilodeau   18 décembre 2009  Cinéma
    Les Américains seront les derniers à voir à l'écran la trilogie Millénium et les premiers à voir les remakes. C'est ce qu'il faut comprendre des diverses ententes intervenues récemment entre les compagnies et ayants droit scandinaves impliqués dans la production des trois films et les sociétés américaines qui prévoient, l'une les distribuer, l'autre les adapter en reprenant du départ: les captivants romans policiers du défunt Stieg Larsson.
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  • Plus jamais les Canadiens

    Martin Bilodeau   11 décembre 2009  Cinéma
    On pressentait la débâcle, mais l'ampleur de la catastrophe s'est mesurée en grosses lettres dans le bulletin de Cineac paru lundi avant-midi. Pour son premier week-end d'exploitation, le long métrage Pour toujours les Canadiens est arrivé en huitième position du box-office, avec 112 000 $ de recettes. Étant donné que 90 exemplaires étaient distribués partout dans la province, on l'attendait en première, avec au moins cinq fois plus de revenus. Que s'est-il passé pour que producteurs, distributeurs et exploitants se trompent tous en même temps? Et comment les médias ont-ils pu, par leur couverture démesurée du film (qui s'inscrit il est vrai dans le contexte du centenaire du club de hockey), présumer qu'ils répondaient à l'intérêt du public? Rappelons que depuis son premier tour de manivelle jusqu'au jour de sa sortie, les médias ont offert à ce projet officiel (dans le sens soviétique du terme) une visibilité extraordinaire, digne d'une campagne référendaire. Et inversement proportionnelle, on vient de l'apprendre, à l'intérêt que lui vouent les spectateurs.
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  • Les Danois au sommet

    Martin Bilodeau   4 décembre 2009  Cinéma
    Benjamin Christensen, Carl Theodor Dreyer, Bille August, Erik Clausen, Lars Von Trier, Susanne Bier. Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de pourri au royaume du Danemark, pour reprendre l'affirmation de Shakespeare dans Hamlet. Grâce à un soutien étatique cultivant la renommée de ses figures de proue, les cinéastes du royaume n'ont jamais été aussi populaires, tant sur leur territoire que dans le reste du monde.
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  • Yes We Can au cinéma

    Martin Bilodeau   27 novembre 2009  Cinéma
    La fiction a rattrapé la réalité. Les films portés par les espoirs que l'élection de Barack Obama a fait naître l'an dernier commencent à arriver. Sortis à une semaine d'écart, The Blind Side et Precious - Based on the Novel Push by Sapphire (ci-après Precious) ne parlent pourtant pas de politique, encore moins d'Obama. Le premier a pour décor un Memphis blanc et républicain à forte dose, sous le régime de Bush fils. Le second est campé dans le Harlem des années 1980, dans l'indifférence sociale quasi criminelle des années Reagan. Mais leurs protagonistes, Afro-Américains défavorisés et sans-voix lancés chaloupant sur le chemin de la prise de conscience et de l'émancipation, sont les incarnations de la devise d'Obama: «Yes We Can.»
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  • Attention, flash-back

    Martin Bilodeau   20 novembre 2009  Cinéma
    Dimanche matin, 9h, cinéma Impérial. La salle est pleine pour assister à la projection de la comédie du Roumain Radu Mihaileanu, Le Concert, élue pour clore la 15e édition du festival Cinemania. Le cinéaste est là et s'étonne qu'il y ait foule. Moi aussi. Montréal, ville de cinéphiles, ville de festivals de cinéma, a perdu de sa vigueur au cours des 20 dernières années. De fait, j'avais l'impression dimanche dernier d'être au Festival des films du monde, vers 1986. Disons dans un Théâtre Maisonneuve bondé pour la projection de Mon cher petit village, du Tchèque Jiri Menzel, ou dans un Parisien ému par Coqueluche, du Hongrois Peter Gardos, ou encore Laputa, de Helma Sanders-Brahms. Pour donner encore plus de force au flash-back, Le Concert convoque, par son sujet et dans sa manière, le souvenir des films d'Europe de l'Est d'avant la perestroïka — situations saugrenues, galeries de personnages picaresques, finale en apothéose — qui ont fait l'âge d'or du FFM.
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