Avec Cinq humeurs, le chorégraphe Emmanuel Jouthe s'est lancé un méchant défi chorégraphique: concilier les côtés communautaire et social de la...
Avec Cinq humeurs, le chorégraphe Emmanuel Jouthe s'est lancé un méchant défi chorégraphique: concilier les côtés communautaire et social de la danse, transmettre ses connaissances aux jeunes danseurs et vivre l'essentiel de la création hors Montréal. En s'attaquant à un monument de la musique: les archiconnues Quatre Saisons de Vivaldi.
Les plus grandes passions se conjuguent souvent aux douleurs profondes. C'est le thème des furieuses Suites cruelles de la chorégraphe Hélène Blackburn, qui revient...
Les plus grandes passions se conjuguent souvent aux douleurs profondes. C'est le thème des furieuses Suites cruelles de la chorégraphe Hélène Blackburn, qui revient fouler les planches, cette fois-ci à l'Agora de la danse du 18 au 20 février.
La Sylphide originelle est en ville: le Ballet de Guangzhou, en Chine, vient présenter, pour la première fois en Amérique du Nord, le premier des ballets romantiques. Une...
La Sylphide originelle est en ville: le Ballet de Guangzhou, en Chine, vient présenter, pour la première fois en Amérique du Nord, le premier des ballets romantiques. Une chorégraphie oubliée que le Français Pierre Lacotte, à grand renfort de retours dans le temps, a reconstitué.
Le Ballet national du Canada vient de recruter un des danseurs les plus en vue de la scène classique, Jiri Jelinek, comme premier danseur. Le danseur de 32 ans, qui était depuis neuf ans...
Le Ballet national du Canada vient de recruter un des danseurs les plus en vue de la scène classique, Jiri Jelinek, comme premier danseur. Le danseur de 32 ans, qui était depuis neuf ans premier danseur au Stuttgart Ballet, a décidé de joindre les rangs de la compagnie de ballet canadienne, indiquait hier le quotidien torontois The Globe and Mail.
Depuis sa dernière venue, elle a modifié son nom. Mais n'ayez crainte, son essence demeure. Elle chante, elle danse, et livre toujours une musique aussi envoûtante. C'est...
Depuis sa dernière venue, elle a modifié son nom. Mais n'ayez crainte, son essence demeure. Elle chante, elle danse, et livre toujours une musique aussi envoûtante. C'est la compagnie Noche Flamenca, devenue Soledad Barrio & Noche Flamenca (SBNF). Parce que la danse troublante de Soledad Barrio porte l'âme de la petite troupe, qui revient pour la dixième fois à Montréal.
Leur nom peut sembler rébarbatif à l'oreille du Québécois drapé dans sa fleur de lys. Pour une compagnie de danse installée rue Rivard, coin Saint-Joseph, s'appeler les Grands Ballets canadiens, même de Montréal, doit être lourd à porter, je présume... On imagine des drapeaux de Sheila Copps, toutes feuilles d'érable unies, entortillés autour du portail. Mais qu'est-ce qu'un nom, après tout?
Les oracles du ministère fédéral des Finances ayant la certitude que la bulle immobilière est une légende, leur chef, Jim Flaherty, a décrété qu'une réformette suffirait à calmer les esprits chagrins. Lesquels? Ceux des banquiers qui réclamaient, paradoxe des paradoxes, un durcissement des règles afférentes au crédit hypothécaire.
Mardi, le premier ministre du Canada Stephen Harper a causé reconstruction d'Haïti avec le président René Préval dans une tente militaire, sur le terrain de l'aéroport de Port-au-Prince. Aujourd'hui, c'est au tour du président Nicolas Sarkozy de payer une visite au nom de la France. L'état de crise bouscule un peu le protocole: l'entretien doit avoir lieu sous une pergola montée dans les jardins du palais présidentiel, car celui-ci a été ravagé par le tremblement de terre.