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Affaires Earl Jones et Vincent Lacroix - Retour sur deux grandes fraudes

Earl Jones et Vincent Lacroix. Deux détournements massifs, deux personnes qui ont plaidé coupable, deux grosses peines d'emprisonnement. Similaires à l'oeil non averti, les cas diffèrent. Alors que M. Lacroix croulait sous le poids de 200 chefs d'accusation, les procureurs de la Couronne ont fini par résumer le dossier de M. Jones en deux chefs. Sans compter, évidemment, les différences du modus operandi.
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  • Roland Berger
    Abonné
    mardi 16 février 2010 12h17
    Mort du sentiment de révolte
    Outre les victimes directes des Lacroix et Jones, peu de citoyens se révoltent contre les sentences bidon dont ont écopé ces escrocs de grande voltige. Un encouragement à la récidive !
    Roland Berger
    St Thomas, Ontario

  • Michel Gaudette
    Inscrit
    mardi 16 février 2010 14h30
    Pourquoi des libérations conditionnelles pour des crimes prémédités ?
    Il ne fait aucun doute que les crimes financiers de nos bandits cravatés en sont des crimes prémédités.
    Voilà des gens qui au quotidien ont détroussé des centaines de gens de façon méthodique et continue dans le quotidiien de leur soi-disant travail...

    Ces crimes qui peuvent dépouiller des gens âgés de leur sécurité pour les vieux jours sont des crimes crapuleux. Qui sait si ces gens détroussés ne se suicideront pas un jour ?


    Alors pourquoi la clémence des libérations conditionnelles face à cette mesquinerie crapuleuse et criminelle de nos bandits cravatés ?

    Je crois que les Conservateurs pourraient légiférer dans le sens d'interdire le recours aux libérations conditionnelles pour ces crimes prémédités d'une ampleur sans borne...

  • Maryanne
    Inscrit
    mardi 16 février 2010 15h14
    Bandits à cravates
    Ces deux personnes ont une espérance de vie assez élevés; alors comme sentence ils devraient par leur labeur rembourser à ces gens ce que eux, leur ont pris. Donc en d'autre mots prendre un % sur leur travail et argent personnel (impôt).

  • André Doré
    Abonné
    mercredi 17 février 2010 00h00
    Quelqu'un peut-il me répondre?
    Il me semble comprendre que même s'il disait qu'il était investi dans des placements, Earl Jones n'investissait pas l'argent de ses clients. Par contre, il leur versait des intérêts plus ou moins régulièrement. Comme l'intérêt versé doit être déclaré au fisc par les clients, quelqu'un sait-il d'où provenaient les feuillets qu'on soumet aux gouvernements avec la déclaration de revenus? Qui étaient les émetteurs de ces feuillets (Relevé 3 et T5)? Y en avait-il? Les clients déclaraient-ils leurs intérêts au fisc?

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