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Nous sommes le fruit d'une lente évolution, d'un changement continu et patient pour nous adapter à des conditions changeantes ou adverses. Quand je dis «nous», je parle de l'humain, qui d'Homo sapiens est devenu homme, mais aussi des manchots, des orchidées et des requins. La théorie de l'évolution nous apprend comment toutes les espèces et les êtres vivants furent obligés de changer, de se modifier physiquement et de s'adapter à un environnement hostile pour mieux, après, le gérer et, depuis peu dans l'histoire de l'humanité, le modifier. Ce parcours s'est fait à travers de grandes catastrophes naturelles, glaciations, météorites, qui ont fait plus d'une victime, mais la vie trouvait les ressources nécessaires pour poursuivre le chemin qui nous a menés jusqu'au BlackBerry.
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Il y avait tellement de choses à couvrir à Copenhague qu'une équipe de 10 journalistes n'aurait pas suffi. Dans ce qu'il était convenu d'appeler la conférence parallèle, il pouvait y avoir de 30 à 50 conférences, colloques, panels, etc., par jour! Plusieurs auraient mérité une couverture médiatique, mais comme toujours, il faut se concentrer sur le coeur de la négociation politique en raison de ses conséquences. Pas le choix!
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L'échec relatif — voire total — de la conférence de Copenhague est-il une catastrophe?
Oui, si vous êtes convaincu que le réchauffement climatique peut vraiment causer la fin du monde d'ici le XXIIe siècle et qu'il représente un problème tel que la seule réponse qui vaille est globale, coordonnée planétaire et uniforme.