Fort-de France — Les électeurs martiniquais et guyanais ont rejeté dimanche à une écrasante majorité le choix d'une autonomie accrue proposé par le...
Fort-de France — Les électeurs martiniquais et guyanais ont rejeté dimanche à une écrasante majorité le choix d'une autonomie accrue proposé par le gouvernement après les grèves du début de l'année dernière.
Paris — Le Canada et le Québec ont passé hier le flambeau à la Suisse, où se tiendra le prochain sommet de la Francophonie. Après Québec, l'an...
Paris — Le Canada et le Québec ont passé hier le flambeau à la Suisse, où se tiendra le prochain sommet de la Francophonie. Après Québec, l'an dernier, c'est à Montreux que se réuniront en octobre prochain les représentants des 56 pays membres de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Québec — Jean Charest tient à ce qu'Abdou Diouf reste à la tête de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Il a d'ailleurs fortement...
Québec — Jean Charest tient à ce qu'Abdou Diouf reste à la tête de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Il a d'ailleurs fortement insisté sur ce point lors d'une interview accordée à TV5-monde, mercredi.
Port-au-Prince — Des étudiants haïtiens ont pris la tête d'un mouvement de contestation qui menace d'embraser la capitale haïtienne, où les manifestations anti-gouvernementales qui ont lieu...
Port-au-Prince — Des étudiants haïtiens ont pris la tête d'un mouvement de contestation qui menace d'embraser la capitale haïtienne, où les manifestations anti-gouvernementales qui ont lieu chaque jour depuis près d'un mois se font de plus en plus violentes.
Les oracles du ministère fédéral des Finances ayant la certitude que la bulle immobilière est une légende, leur chef, Jim Flaherty, a décrété qu'une réformette suffirait à calmer les esprits chagrins. Lesquels? Ceux des banquiers qui réclamaient, paradoxe des paradoxes, un durcissement des règles afférentes au crédit hypothécaire.
Mardi, le premier ministre du Canada Stephen Harper a causé reconstruction d'Haïti avec le président René Préval dans une tente militaire, sur le terrain de l'aéroport de Port-au-Prince. Aujourd'hui, c'est au tour du président Nicolas Sarkozy de payer une visite au nom de la France. L'état de crise bouscule un peu le protocole: l'entretien doit avoir lieu sous une pergola montée dans les jardins du palais présidentiel, car celui-ci a été ravagé par le tremblement de terre.