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Les femmes dans les Forces

Les femmes dans les Forces

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Introduction

Aujourd’hui, plus de 12 % des membres des Forces canadiennes sont des femmes. Quelque 10 000 d’entre elles sont formées comme opératrices, techniciennes qualifiées ou chefs et choisissent d’apporter leur contribution en tant que membre d’une équipe dynamique et stimulante.

Les Forces canadiennes ont toujours accordé de l’importance à la contribution que leurs membres féminins apportent à leurs missions. Autrefois, les femmes remplissaient des rôles de soutien, notamment à titre d’infirmières et d’employées de bureau. Aujourd’hui, leurs fonctions se sont diversifiées pour inclure la maintenance de sous-marins, le fonctionnement de lignes de communication sur le champ de bataille et le pilotage d’avions de combat à réaction.

« J’ai beaucoup plus confiance en moi » et je sais qu’il n’y a pas de limite à ce que je peux accomplir si je le veux vraiment. » – Laura Hamelin, technicienne en approvisionnement

Les Forces canadiennes ont fait de grands progrès en matière de protection de l’égalité des femmes. En adoptant une « politique de non exclusion », elles sont devenues l’une des seules organisations militaires du monde à éliminer tous les obstacles à l’intégralité et à l’égalité du service pour tous ses membres. Cela signifie que les femmes ont la possibilité d’exercer n’importe quel emploi au sein des Forces canadiennes.

Au travail

Chaque jour, le désir de faire quelque chose de différent, de relever de nouveaux défis et de changer le monde amène des femmes de tous les milieux à choisir une carrière dans les Forces canadiennes. Et nous promettons une vie sans pareille : des possibilités de formation, de voyage et d’avancement, un réseau de soutien et la satisfaction d’apporter une contribution valable.  

« Je n’aurais jamais pu imaginer le chemin que cette carrière m’a amenée à suivre, ni les choses intéressantes que j’ai faites. J’ai l’impression de ne plus être la même personne qu’il y a cinq ans. » Lieutenant de vaisseau Michelle Muir

Toutes les carrières et tous les grades sont ouverts aux femmes qui s’enrôlent dans les Forces canadiennes. Elles ont construit des écoles en Afghanistan, combattu la piraterie au large des côtes de l’Afrique et évacué des victimes d’inondations au Manitoba.

En fait, aucun autre employeur ne peut égaler les possibilités offertes aux femmes dans les Forces canadiennes. Nos programmes d’études payées vous permettent d’acquérir une base solide, quelle que soit la carrière que vous choisissez. Vous recevez une formation et un entraînement militaire de grande qualité assurant un milieu optimal de travail en équipe, indépendamment des conditions ambiantes. 

« Tous les membres de l’équipe doivent être à leur affaire, et c’est lorsqu’on se trouve dans la situation réelle qu’on apprécie vraiment la formation reçue jusque-là. » Capt Diane Baldasaro

Les personnes qui s’enrôlent dans les Forces canadiennes se joignent à une collectivité. Le service dans les forces armées présente pour une famille des possibilités intéressantes et des défis particuliers que seules d’autres familles de militaires peuvent vraiment comprendre. Grâce au réseau des Centres de ressources pour les familles des militaires et au Service de soutien aux familles, les membres des Forces canadiennes ont accès à des programmes et services de soutien pour eux et leurs familles.

« Il faut beaucoup de travail et de réflexion pour assurer le bien-être et le soutien des familles des militaires canadiens. » Capt Brenda Tinsley

Avant tout, les femmes dans les Forces canadiennes contribuent chaque jour à améliorer la vie des gens, que ce soit au pays pour prêter assistance lors d’une catastrophe naturelle, ou à l’étranger. Les femmes dans les Forces canadiennes apportent tous les jours une contribution importante.

« C’était vraiment incroyable quand je suis arrivée. Tout était en ruine… Six mois plus tard, la transformation était étonnante… en regardant autour de la ville, on avait réellement l’impression d’avoir changé les choses. » Capt Rowena Williams

Faits marquants

Les femmes dans les Forces canadiennes (FC) viennent à bout des obstacles depuis plus de 125 ans. Qu’il s’agisse d’assumer de nouveaux rôles ou d’atteindre de nouveaux sommets, elles sont prêtes à relever le défi.  
 
« Ce que j’aime le plus au sujet de mon travail, c’est sa variété. »
Capt Brenda Tinsley
 
 
2011
La Marine royale canadienne marque deux premières historiques lorsque le commodore Jennifer Bennett est promue, devenant ainsi la première femme à accéder au grade de contre-amiral et à être nommée Chef – Réserves et cadets, poste le plus élevé de la Réserve des Forces canadiennes.    
2010
Le lieutenant-colonel Susan Wigg, l’une des premières femmes à s’inscrire au Collège militaire royal en 1980, devient la première femme à occuper le poste de Directeur des élèves-officiers au Collège.
 
Le lieutenant-colonel Maryse Carmichael devient la première femme à commander les Snowbirds.
2009
Le capitaine de frégate Josée Kurtz est la première femme à commander un grand navire de guerre, soit le NCSM Halifax.
2007
Le lieutenant-colonel Tammy Harris devient la première femme à occuper le poste de commandant d’escadre (9e Escadre Gander) 
 
Le commodore Jennifer Bennett est la première femme nommée commandant de la Réserve navale et, par le fait même, la première femme officier de marine à commander une formation.
2006
Le brigadier-général Christine Whitecross devient la première femme à occuper le poste de commandant de la Force opérationnelle interarmées (Force opérationnelle interarmées (Nord)).  
 
Le capitaine Nicola Goddard, du 1er Régiment, Royal Canadian Horse Artillery, est tuée au combat en Afghanistan.
2004
Le premier maître de 1re classe Jan Davis accède à la fonction de capitaine d’armes à bord du NCSM REGINA, devenant la première femme à occuper ce poste à bord d'un gros bâtiment de guerre.
2003
Le major Anne Reiffenstein est la première femme à commander une sous-unité des armes de combat. Elle est actuellement commandant de batterie au sein du 1er Régiment, Royal Canadian Horse Artillery, à la BFC Shilo.
 
Le capitaine de corvette Marta Mulkins est la première femme à servir en qualité de capitaine à bord d’un navire de guerre canadien.
 
Le major Jennie Carignan, du 5e Régiment du génie de combat (5 RGC), est la première femme à occuper le poste de commandant adjoint d’une unité des armes de combat.
 
Le matelot de 1re classe Hayley John et le matelot de 1re classe Marketa Semik sont les premières femmes plongeurs-démineurs chez les militaires du rang.
 
Le matelot-chef Colleen Beattie est la première femme à se qualifier à titre de sous-marinier, suivie peu après du matelot-chef Carey Ann Stewart.
 
La première et unique équipe féminine des Forces canadiennes à terminer la marche de Nimègue en Hollande, transportant la même charge que les équipes masculines, est composée du Lieutenant Debbie Scott (chef d’équipe), du capitaine Lucie Mauger (commandant en second), du lieutenant Jody Weathered, du caporal Elizabeth Mutch, de l’adjudant Nathalie Mercer, de l’adjudant Jackie Revell, du caporal-chef Denise Robert, du caporal Melissa Cedilot, du caporal Danette Frasz, du lieutenant-colonel Teresa McNutt, du lieutenant Donna Rogers et du caporal Anne MacDonald.
2002
À titre d’adjudant-chef auprès du Sous-ministre adjoint (Ressources humaines – Militaires), l’Adjudant-chef Camille Tkacz est la première femme affectée à un poste de chef de commandement.
2001
Le Capitaine Maryse Carmichael est la première femme pilote des Snowbirds. Les Snowbirds constituent l’équipe de démonstration d’acrobatie aérienne de la Force aérienne.
2000
Le chef d’état-major de la Force maritime annonce que les femmes pourront désormais servir dans les sous-marins.  
 
Le major Micky Colton est la première femme pilote à accumuler 10 000 heures de vol à bord d’un aéronef Hercules.  
 
Le lieutenant Ruth-Ann Shamuhn, du 5e Régiment du génie de combat, devient la première plongeuse de combat.  
1998
Le lieutenant-colonel Karen McCrimmon est nommée commandant du 429e Escadron de transport à Trenton, en Ontario.  
 
Le premier maître de 2e classe Holly Kisbee devient la première femme à occuper le poste de chef de combat à bord d'un gros bâtiment de guerre.  
1997
Le colonel Marcia Quinn prend le commandement du 41e Groupe-brigade du Canada.
 
Le colonel Patricia Samson est nommée Grand Prévôt des Forces canadiennes; elle est par la suite promue brigadier-général.
1996
Le capitaine de corvette Wafa Dubbagh devient la première femme musulmane canadienne à porter le hijab dans les Forces canadiennes.
1995
L’adjudant-chef Linda Smith est la première femme nommée adjudant-chef d’escadre dans les Forces canadiennes, et ce, à la 17e Escadre Winnipeg.
1994
Le major-général Wendy Clay est la première femme promue à ce grade.  
1993
Le lieutenant de vaisseau Leanne Crowe est la première femme à se qualifier comme officier plongeur-démineur. Par la suite, elle sera la première femme à devenir commandant de l’Unité de plongée expérimentale.
1992
Le caporal Marlene Shillingford devient la première femme choisie pour occuper un poste de technicienne au sein des Snowbirds, l’équipe de démonstration d’acrobatie aérienne de la Force aérienne.
1991
Le NCSM Nipigon est le premier navire de guerre canadien ayant à son bord des hommes et des femmes à participer aux exercices de la Force navale permanente de l’Atlantique, organisme de l’OTAN.  
 
Premières femmes officiers à se joindre aux armes de combat, le lieutenant Anne Reiffenstein (née Proctor), le lieutenant Holly Brown et le Capitaine Linda Shrum réussissent l’instruction en artillerie.  
1990
Le ministre de la Défense nationale crée le Comité consultatif du ministre sur les femmes dans les Forces canadiennes, dont le mandat est de surveiller l’évolution de l’intégration des femmes et l’équité en matière d’emploi dans les Forces canadiennes.  
1989
Le soldat Heather R. Erxleben est la première femme au Canada à occuper un poste de soldat d’infanterie au sein de la Force régulière.
 
Le capitaine de vaisseau Francis Orthlieb est la première femme promue au grade de commodore.
 
Le major Dee Brasseur est la première femme à piloter un chasseur CF18 Hornet.
1988
Dans le contexte des essais du Programme d’emploi des femmes dans des postes liés au combat (EFPLC), les premières femmes artilleurs au sein de la Force régulière terminent leur instruction de qualification de niveau 3 et sont affectées au 5e Régiment d’artillerie légère (5 RALC) à Valcartier, au Québec.
 
Le soldat Shannon Wills remporte la Médaille de la Reine pour ses exploits comme tireur d’élite de la Force de réserve au Polygone de Connaught, à Ottawa.  
1986-1988
À la suite d’une plainte de discrimination, le Tribunal canadien des droits de la personne ordonne aux Forces canadiennes :
  • de poursuivre les essais dans le cadre du Programme d’EFPLC en visant l’intégration complète des femmes dans tous les groupes professionnels des Forces canadiennes plutôt que de considérer l’EFPLC comme un programme d’essais;
  • d’intégrer pleinement les femmes à la Force régulière et à la Réserve (à l’exception des sous-marins);
  • de supprimer toutes les restrictions d’emploi et d’appliquer de nouvelles normes de sélection du personnel aux groupes professionnels militaires;  
  • d’élaborer un plan visant à réaliser, de façon durable, constante et systématique, l’intégration totale d’ici dix ans.
1987
Les essais dans le cadre du Programme d’EFPLC commencent dans des unités de l’Armée de terre et des navires de la Marine spécialement choisis. La Force aérienne annonce qu’elle juge inutile de participer à de tels essais et qu’elle ouvre aux femmes tous ses secteurs d’emploi, y compris celui des pilotes de chasse.
 
Le Colonel Sheila A. Hellstrom devient la première femme promue au grade de brigadier-général.
1982
On signe la Charte canadienne des droits et libertés. Désormais, toute discrimination fondée sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la couleur, la religion, le sexe, l’âge et les déficiences mentales ou physiques est interdite.
1981
Le sous-lieutenant Inge Plug devient la première femme pilote d’hélicoptère.
 
Le Lieutenant Karen McCrimmon est la première navigatrice aérienne des Forces canadiennes.
1979
Les collèges militaires ouvrent leurs portes aux femmes.
1979-1985
On procède à des essais dans le cadre du Programme d’emploi expérimental de femmes militaires dans des éléments et des rôles nouveaux (Swinter).
1978
Le caporal Gail Toupin devient la première femme membre des SkyHawks, l’équipe de démonstration de sauts en parachute de l’Armée de terre.
1974
Le major Wendy Clay, médecin, obtient son brevet de pilote six ans avant que ce groupe professionnel ne soit ouvert à toutes les femmes.
1970
La Commission royale d’enquête sur la situation de la femme au Canada propose des recommandations afin d’établir un climat d’égalité des chances pour les femmes au Canada, dont six visent particulièrement les Forces canadiennes. La Commission demande :
  • que les critères d’enrôlement soient normalisés;
  • que les prestations de retraite soient les mêmes pour les hommes et les femmes;
  • que les femmes puissent fréquenter les collèges militaires canadiens;
  • que les femmes aient accès à tous les métiers et à toutes les classifications d’officier;
  • que les femmes mariées soient autorisées à s’enrôler et que la grossesse n’entraîne pas le licenciement.  
1965
Le gouvernement canadien décide de continuer à employer des femmes de façon permanente dans les forces du pays. On fixe un plafond d’engagement à 1 500, en vue d’inclure des femmes dans les trois armées. Ce nombre représente alors environ 1,5 p. 100 de l’effectif total.
1950-1953
On recrute à nouveau du personnel féminin pour le service militaire durant la guerre de Corée. En 1955, plus de 5 000 femmes font partie des forces.
1942
Mary Greyeyes, de la réserve indienne de Muskeg Lake, devient la première femme autochtone à s’enrôler dans l’Armée canadienne.
1941
Le gouvernement canadien décide d’enrôler plus de 45 000 femmes qui se portent volontaires pour servir à temps plein ailleurs qu’à titre d'infirmières. Chacune des trois armées crée une division féminine, et l’éventail des fonctions s’élargit au cours de la guerre, évoluant des métiers traditionnellement réservés aux femmes (commis, cuisinière, conductrice et téléphoniste) vers de nouveaux rôles (mécanicienne, arrimeuse de parachutes et conductrice d’équipement lourd).
1939-1945
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, quelque 5 000 infirmières servent dans le Corps médical de l’Armée, de la Marine et de l’Aviation. Elles sont affectées outre-mer, où elles travaillent dans des hôpitaux, des postes d’évacuation sanitaire près des zones de combat, des hôpitaux de campagne mobiles et de nombreux théâtres de guerre. Cependant, les navires de guerre, avions de combat et unités des armes de combat leur restent interdits.
1914-1918
Plus de 2 800 femmes servent dans le Corps de santé royal canadien entre 1914 et 1918, et la majorité d’entre elles sont affectées outre-mer dans des hôpitaux, à bord de bâtiments hospitaliers, dans plusieurs théâtres de guerre ainsi que dans des zones de combat au sein d’unités d’ambulance de campagne.
 
C’est également durant la Première Guerre mondiale que se constituent les premières organisations de femmes occupant des fonctions autres que celles d’infirmières. Des Canadiennes forment des groupes paramilitaires, revêtent des uniformes de style militaire et s’initient au maniement des armes légères, au drill, aux premiers soins et à l’entretien des véhicules, au cas où leurs services seraient requis au pays.
1906
Les infirmières sont admises dans la Force régulière.
1898-1902
Les infirmières appuient de nouveau l’Armée canadienne, soit plus précisément la Troupe de campagne du Yukon en 1898, ainsi que les trois contingents canadiens qui participent à la guerre des Boers, en Afrique du Sud.
 
Au cours de la guerre des Boers, les infirmières sont intégrées en permanence au Corps de santé royal canadien.
1901
Le Service infirmier canadien est créé.
1885
C’est durant la Rébellion du Nord-Ouest que les femmes servent en qualité d’infirmières pour la première fois dans l’histoire militaire du Canada.

Foire aux questions

Quels emplois sont ouverts aux femmes?
Les Forces canadiennes ont accompli de grands progrès depuis les années 1970 afin d’éliminer les obstacles pour les femmes qui veulent servir dans les forces armées. Tous les groupes professionnels des Forces canadiennes sont ouverts aux femmes.
 
Quelles possibilités de promotion et de leadership s’offrent aux femmes?
Des possibilités de promotion sont offertes à tout membre des Forces canadiennes qui fait preuve de l’aptitude et de la détermination requises dans son domaine. Tous les grades sont ouverts aux femmes.
 
Combien y a-t-il de femmes dans les Forces canadiennes?
Quelque 10 000 femmes servent dans la Force régulière et la Réserve. Ce total représente environ 12 % de l’effectif des Forces canadiennes.
 
Les Forces canadiennes ont-elles une politique sur le harcèlement?
Le ministère de la Défense nationale et les Forces canadiennes se sont engagés à fournir un milieu de travail où le harcèlement n'a pas sa place – un milieu qui favorise le travail d'équipe, le respect mutuel et l’équité pour tous. Chaque militaire a le droit de travailler dans un environnement sain et sécuritaire, et la responsabilité de façonner cet environnement. Les membres des FC sont tenus responsables de tout manquement aux normes de conduite et de rendement établies. Selon les circonstances, les mesures appropriées peuvent comporter des sanctions disciplinaires et/ou administratives.
 
Les normes et tests d’aptitude physique sont-ils les mêmes pour les femmes et pour les hommes?
Les Forces canadiennes reconnaissent que parce que la force physique des hommes et des femmes est différente, les tests devraient être basés sur des normes différentes. Toutefois, le test d’aptitude physique est difficile. Les femmes doivent quand même effectuer des courses en navette, des extensions des bras et des redressements assis et démontrer leur force de préhension (prise de la main). Apprenez-en plus sur le test d'aptitude physique des FC.
 
Quels logements sont disponibles?
Les membres des Forces canadiennes peuvent choisir d’habiter dans des logements militaires sur la base ou dans la ville où ils travaillent. Des logements militaires sont offerts aux membres des Forces canadiennes qui ont une famille, mais ils peuvent aussi choisir de louer ou d’acheter un logement dans la collectivité locale.
 
Où ma famille habiterait-elle?
Votre famille habiterait avec vous dans un logement militaire ou à l’extérieur de la base, pendant vos activités de travail normales. Toutefois, vous devrez probablement vivre dans des casernes durant les périodes d’entraînement requises. Votre famille restera également derrière pendant que vous serez en déploiement.  
 
Les Forces canadiennes offrent-elles des services de garde d’enfants?
Des garderies et des services de garde en cas d’urgence sont disponibles par le biais de certains centres locaux de ressources pour les familles des militaires. Le site des ressources pour les familles des FC offre également de l'information.
 
Comment gardez-vous contact avec votre famille durant les déploiements?
Les Forces canadiennes reconnaissent que le fait d’être loin de votre famille pendant un déploiement peut être difficile. Nous mettons donc à votre disposition des moyens de rester en contact avec vos proches pendant votre absence : courriel, vidéoconférence et appels téléphoniques. 
 
Quelle est la fréquence de vos affectations ou de vos déménagements?
La nécessité de déménager dépend de plusieurs facteurs : opérations courantes, compétences requises et priorités militaires. Pour faciliter le processus de réinstallation, les Forces canadiennes assumeront tous les frais de déménagement nécessaires.
 
Quelles sont les prestations de maternité?
Les femmes qui sont membres des Forces canadiennes, comme toutes les autres travailleuses canadiennes, ont droit à 17 semaines de congé de maternité et à 35 semaines de congé parental. Elles reçoivent leurs prestations par l’entremise du programme d’assurance-emploi du gouvernement du Canada.  
 
Quel soutien est offert aux familles?
Pour les Forces canadiennes, rien n’est plus important que leurs membres et leurs familles. Nous avons conçu plusieurs programmes et services d’aide pour les déménagements, la garde d’enfants et les déploiements, entre autres choses. Pour plus d'information, cliquez ici : Ressources pour les familles des FC.
 
Y a-t-il des règles concernant les cheveux, les bijoux/boucles d’oreille, le maquillage et les tatouages?
Au début de l’instruction de base, toutes les nouvelles recrues sont informées des normes officielles régissant la tenue des militaires. En voici un aperçu :
  • Les femmes doivent porter les cheveux courts ou suffisamment longs pour être attachés à l’arrière et ne pas obstruer leur vue pendant le service.  
  • Les femmes peuvent porter des boucles d’oreille pendant le service, mais il doit s’agir de petits boutons d’oreille. Il leur est cependant interdit d’avoir d’autres perçages corporels visibles lorsqu’elles portent l’uniforme.   
  • Le maquillage est permis en uniforme, mais il doit également être discret.   
  • Les tatouages visibles non offensants sont permis, à l’exception des tatouages sur le visage.

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