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Science et recherche

ARCHIVÉE - Partenariats

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Initiatives et activités clés

Sur le plan national

L'Étude mère-enfant sur les composés chimiques de l'environnement (étude MIREC)

L'Étude MIREC a été élaborée par le truchement d'un partenariat conclu entre Santé Canada, les scientifiques universitaires et cliniques de l'ensemble du pays qui sont chargés de toutes les étapes de l'étude, y compris la conception, le recrutement des participants, la collecte des échantillons biologiques et des données tirées des questionnaires et des dossiers médicaux, des analyses en laboratoire, des analyses de données et l'interprétation des résultats, ainsi que la rédaction d'articles scientifiques.

Cette recherche a principalement pour objectifs :

  • obtenir, au plan national, des données sur l'exposition aux principaux contaminants environnementaux durant la grossesse;
  • évaluer les risques pour la santé, s'il y a lieu, reliés à une faible exposition à certains métaux lourds tels que le plomb et le mercure, pendant la grossesse.

À Santé Canada, la Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs (Direction des sciences de l'environnement et de radioprotection, Direction des substances contrôlées et de la lutte au tabagisme, Direction de la sécurité des produits de consommation et Direction de la sécurité des milieux) et la Direction des produits de santé et des aliments (Direction des aliments) travaillent en partenariat pour appuyer l'Étude MIREC. Celle-ci est financée par Santé Canada, les Instituts de recherche en santé du Canada et le ministère de l'Environnement de l'Ontario.

Le succès du MIREC dépend du désir des Canadiens de prendre part à l'étude, des professionnels de la santé et de leurs hôpitaux qui effectuent le recrutement et la collecte de données et d'échantillons biologiques, des laboratoires du gouvernement qui analysent les échantillons biologiques et des nombreux employés de soutien qui assurent le bon déroulement de l'étude.

Hygiène et sécurité au travail

Par le biais du Bureau national du Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT), Santé Canada travaille en partenariat avec Le lien suivant vous amène à un autre site Web l'Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST) sur l'élaboration d'un programme d'échantillonnage et d'analyse visant à surveiller la conformité aux exigences du SIMDUT et l'application de ses exigences, en vertu de la Loi sur les produits dangereux (LPD) et du Règlement sur les produits contrôlés (RPC).

Le SIMDUT, qui est en soi un partenariat mis en oeuvre par le biais d'un cadre de réglementation fédéral, provincial et territorial, représente la norme canadienne en matière de classification et de communication des renseignements sur les dangers en ce qui concerne les produits fabriqués et destinés à l'utilisation dans des milieux de travail au Canada.

L'Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail (IRSST) a été fondé au Québec en 1980 pour : contribuer, par la recherche, à la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles ainsi qu'à la réadaptation des travailleurs qui en sont victimes; offrir les services de laboratoire et l'expertise nécessaires à l'action du réseau public de prévention en santé et en sécurité du travail; assurer la diffusion des connaissances et jouer un rôle de référence scientifique et d'expertise.

Le partenariat du Bureau national du SIMDUT avec l'IRSST porte sur les points suivants :

  • L'élaboration et l'essai sur le terrain d'une procédure opératoire normalisée, légalement défendable, concernant l'échantillonnage et les analyses de produits contrôlés du SIMDUT.
  • L'élaboration d'un programme d'homologation en laboratoire dans le contexte de la vérification des fiches signalétiques du SIMDUT dans le but d'appliquer la LPD et le RPC.
  • L'élaboration de méthodes d'analyse de la silice dans des échantillons en vrac selon la méthode de Rietveld de traitement de données de diffraction X.
  • L'élaborations de méthodes analytiques concernant les solvants organiques dans les vernis et les dilluants par couplage GC-MS.
  • L'élaboration de méthodes analytiques pour les isocyanates par couplage GC-MS.

Entente de collaboration à la recherche entre les Laboratoires pharmaceutiques de Santé Canada et la United States Pharmacopeial

L'administration du Le lien suivant vous amène à un autre site Web United States Pharmacopeial (USP) Reference Standards Program est un effort concerté entre la USP, des organismes gouvernementaux, l'industrie pharmaceutique et les laboratoires universitaires.

L'Entente de collaboration à la recherche a été conclue en 2004 dans le but de maintenir et de renforcer le cadre de coopération déjà établi entre Santé et la USP dans le USP Reference Standards Program.

Étant donné que les divers laboratoires ont besoin d'une norme de référence pour effectuer des analyses, les normes sont évaluées par le truchement d'une étude de collaboration officielle visant à s'assurer que le document répond à tous les critères nécessaires pour servir de norme de référence dans les laboratoires du monde entier. Les laboratoires pharmaceutiques de Santé Canada prennent part à cette évaluation à titre de collaborateurs en effectuant des tests sur les échantillons fournis par la USP. À la fin de l'étude de collaboration, Santé Canada soumet un rapport à l'approbation du USP Reference Standards Committee. Santé Canada est fière de participer à cette entente de collaboration à la recherche, étant donné que les tests en laboratoire des normes de référence par les organismes gouvernementaux constituent un aspect important de notre mission en ce sens qu'ils aident à assurer la sécurité des médicaments commercialisés au Canada. Cette initiative représente un effort considérable déployé par les deux parties, vu que les USP Reference Standards sont les normes d'excellence utilisées dans l'élaboration et les tests des produits pharmaceutiques de haute qualité dans le monde entier.

Projet de recherche sur la modélisation toxicocinétique des insecticides pyréthrinoïdes pour la reconstitution de doses dans la population canadienne.

Ce projet a été développé conjointement par l'équipe de Santé Canada au Québec et l'équipe de recherche de l'Université de Montréal suite à un appel de proposition lancé en 2008 dans le cadre des fonds de biosurveillance alloués par le Plan de gestion des produits chimiques, une initiative co-gérée par Santé Canada et Environnement Canada. Le travail de collaboration effectué par l'équipe de Santé Canada au Québec et l'équipe de recherche de l'Université de Montréal a permis de développer un projet de recherche qui répond aux priorités et objectifs définis par Santé Canada relativement à la surveillance des produits chimiques.

Les pyréthrinoïdes sont des insecticides de plus en plus utilisés au Canada et qui tendent à remplacer les insecticides organophosphorés et les carbamates. Toutefois, ils sont reconnus comme étant neurotoxiques chez l'homme. Des études ont porté sur les concentrations de métabolites urinaires des pyréthrinoïdes dans le passé, par contre, l'interprétation de ces données d'exposition est malheureusement limitée par la relation non définie entre la dose ou les concentrations dans l'environnement et les niveaux dans les tissus biologiques.

Le financement de ce projet de recherche permettra à Santé Canada d'obtenir des modèles pour l'estimation des doses absorbées de pyréthrinoïdes. À l'aide de ces modèles, des mesures de gestion des risques pourront être élaborés afin de limiter les niveaux d'exposition de la population canadienne envers ces insecticides.

Partenariats au niveau de la recherche et de la surveillance en matière de pesticides

Santé Canada travaille en partenariat avec d'autres ministères oeuvrant dans les ressources naturelles pour faciliter la priorisation des recherches et l'échange d'information fondées sur les données scientifiques relativement à la recherche et à la surveillance en matière de pesticides et également pour promouvoir de solides relations de travail. Les six partenaires fédéraux sont :

  • Santé Canada,
  • l'Agence canadienne d'inspection des aliments,
  • Environnement Canada,
  • Agriculture et Agroalimentaire Canada,
  • Pêches et Océans Canada, et
  • Ressources naturelles du Canada.

Un comité de DG, présidé par la Direction de l'évaluation environnementale de l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire, se réunit régulièrement pour discuter et mettre à jour un plan de travail intégré. Le partenariat encourage la coopération entre les communautés fédérales en matière de recherche et de réglementation qui travaillent sur les produits antiparasitaires et les questions touchant la lutte antiparasitaire et contribue à renforcer le processus décisionnel axé sur les données scientifiques dans la réglementation des pesticides.

PulseNet Canada

Créé en 2000, Le lien suivant vous amène à un autre site Web PulseNet Canada est un réseau électronique virtuel qui relie les laboratoires de santé publique de toutes les provinces (ainsi que certains laboratoires fédéraux) par leurs ordinateurs et leurs bases de données. Le réseau national s'occupe de faire le suivi des empreintes génétiques de tous les cas d'E. coli et de la plupart des cas de salmonelle.

Actuellement, le réseau canadien comprend les laboratoires de santé publique des dix provinces et deux laboratoires fédéraux (le Laboratoire de lutte contre les zoonoses d'origine alimentaire de l'Agence de la santé publique du Canada et le Bureau des dangers microbiens de Santé Canada).

PulseNet joue un rôle essentiel dans la surveillance d'éclosions de maladies d'origine alimentaire et la réalisation d'enquêtes sur ces éclosions, qui étaient auparavant difficiles à déceler. En trouvant des modèles similaires au moyen de PulseNet, les scientifiques peuvent déterminer si une éclosions est en cours, et ce, même si les personnes touchées sont loin l'une de l'autre. Grâce à PulseNet, il ne faut plus quelques jours mais plutôt quelques heures pour détecter les éclosions et leurs causes.

Réseau de parasitologie alimentaire et environnementale (Canada)

Le Réseau de parasitologie alimentaire et environnementale (RPAE) est présidé par Santé Canada et l'Université McGill. Actuellement, le réseau compte plus de 50 membres dans l'ensemble du pays représentant le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux, les universitaires et l'industrie qui participent activement aux questions touchant la parasitologie alimentaire et environnementale.

Le Réseau couvre à la fois les helminthes et les protozoaires qui préoccupent la santé publique au Canada et traite les questions suivantes : la nourriture contaminée et les carcasses d'animaux infectés (p. ex., les produits importés, les viandes crues, les poissons et crustacés, la nourriture traditionnelle), l'eau potable et non potable, les questions reliées au Grand Nord et aux Autochtones, la transmission zoonotique (p. ex., le bétail, la faune, les pêches et l'aquaculture, les animaux de compagnie) et l'épidémiologie.

Voici les principaux objectifs du Réseau :

  • établir et communiquer les risques ainsi que les lacunes en matière de recherche et de surveillance concernant les divers domaines;
  • faciliter les discussions, les demandes de subvention et la recherche en collaboration entre les membres et les chercheurs externes;
  • élaborer et valider des méthodes normalisées pour l'isolement, la détection, la caractérisation, la surveillance et le contrôle des parasites alimentaires et environnementaux;
  • produire des données pour l'évaluation du risque et l'élaboration des politiques;
  • fournir des conseils d'experts et des tests à l'appui des enquêtes sur les éclosions et des études de surveillance.

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site suivant : Le lien suivant vous amène à un autre site Web Food and Environmental Parasitology Network (FEPN).

Garanties de délais pour les patients en ce qui concerne les soins prénataux et les soins du diabète financés par le gouvernement fédéral et assurés dans les collectivités des Premières nations

Santé Canada, en partenariat avec Le lien suivant vous amène à un autre site Web l'Assemblée des Premières nations (APN), a appuyé des projets pilotes visant à mettre à l'épreuve des garanties de délais pour les patients en ce qui concerne les soins prénataux et les soins du diabète financés par le gouvernement fédéral et assurés dans les collectivités des Premières nations.

De concert avec l'Assemblée des Premières nations, la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGPNI) a ciblé 19 collectivités des Premières nations dans des zones urbaines, rurales et isolées pouvant bénéficier de soins de santé assurés par des postes de soins infirmiers et des centres de santé dans le cadre de projets pilotes de deux ans.

Les données recueillies par le biais des projets pilotes seront évaluées et aideront à déterminer les pratiques qui peuvent être adoptées dans d'autres collectivités des Premières nations du Canada pour gérer efficacement les délais relativement à la prestation de soins prénataux et de soins du diabète

L'Initiative de garantie de délais pour les patients fournit des modèles visant à orienter les politiques, les processus et les activités de programme relativement à la prestation de services de santé fondés sur des faits probants. Ce modèle a combiné l'orientation ministérielle, des directives cliniques professionnelles, l'expérience pratique, la collecte de données et de renseignements axés sur les collectivités et la validation empirique pour passer en revue les politiques et les processus et améliorer l'exécution des programmes.

Ateliers conjoints de l'Institut de recherche sur la santé autochtone

En mai 2007, Santé Canada et le Department of Health and Human Services des États-Unis ont signé un protocole d'entente de cinq ans visant à collaborer sur des questions liées à la santé autochtone. Le protocole d'entente vise à améliorer l'état de santé et le bien-être des peuples autochtones au Canada et aux États-Unis et à améliorer les approches adoptées à l'égard des questions de santé autochtone en identifiant et en renforçant les meilleures pratiques.

Le partenariat a conduit à un programme innovateur de formation en recherche sur la santé publique internationale qui vise à accroître le nombre de chercheurs autochtones. À ses conférences annuelles, l'Institut de recherche sur la santé autochtone renforce la capacité des professionnels de la santé autochtone des États-Unis, du Canada, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande. L'atelier d'été aide aussi à :

  • établir des réseaux et des capacités entre les chercheurs et les responsables de la santé communautaire;
  • créer une norme d'éthique qui relie les besoins des collectivités et ceux des chercheurs;
  • élaborer une nouvelle culture autour de perspectives de santé plus larges;
  • favoriser la collaboration;
  • créer des débouchés pour les nouveaux chercheurs en santé autochtone;
  • habiliter les collectivités à s'engager dans la recherche en utilisant les ressources, les processus et les compétences existants.

Trois ateliers d'été ont été tenus en alternance aux États-Unis et au Canada de 2007 à 2009 . Ils ont été organisés conjointement par Le lien suivant vous amène à un autre site Web l'Université Johns Hopkins et Le lien suivant vous amène à un autre site Web l'Université de l'Alberta. Parmi les participants on retrouvait 40 chercheurs autochtones et des responsables de santé communautaire représentant 23 tribus et groupes autochtones en provenance des États-Unis, du Canada, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande. Les partenaires comprenaient :

  • le Indian Health Service (États-Unis);
  • l'Institut de la santé des Autochtones des Instituts de recherche en santé du Canada;
  • le National Indian Health Board (États-Unis)
  • la School of Public Health de l'Université de l'Alberta;
  • la School of Public Health de l'Université Johns Hopkins Bloomberg.

Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) - un réseau national de recherche sur la grippe pour l'évaluation d'un vaccin contre le H1N1

En 2009, le gouvernement du Canada a annoncé le financement d'un réseau national de recherche sur la grippe qui s'est concentré sur l'évaluation de vaccins antipandémiques. Le réseau assurera un mécanisme de coordination pancanadien pour la conduite de recherches appliquées en santé publique qui aidera les gouvernements et le milieu de la santé publique à se préparer et à faire face à une pandémie de grippe. Le réseau renforcera la capacité du Canada d'évaluer l'innocuité et l'efficacité d'un vaccin et de programmes de vaccination contre la grippe pandémique.

Le réseau a été créé grâce à un partenariat entre les Le lien suivant vous amène à un autre site Web Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et Le lien suivant vous amène à un autre site Web l'Agence de la Santé publique du Canada (ASPC). Il sera dirigé par le Dr Scott Halperin, directeur du Centre canadien de vaccinologie à Halifax, et mettra en contact plus de 80 scientifiques de 30 établissements de recherche et de santé publique dans tout le Canada.

Les scientifiques du réseau :

  • testeront des méthodologies pour l'exécution d'essais cliniques rapides;
  • évalueront l'innocuité et l'immunogénicité d'un nouveau vaccin contre la pandémie de grippe;
  • fourniront des estimations par population de l'innocuité et de l'efficacité des vaccins;
  • mesureront la couverture vaccinale;
  • faciliteront la mise en oeuvre rapide de programmes de vaccination contre la pandémie de grippe.

Réseau sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments

Le Le lien suivant vous amène à un autre site Web Réseau sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments (RIEM) a été créé par les IRSC dans le cadre du Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation (PASPAC) du gouvernement du Canada. Les IRSC collaborent avec Santé Canada et d'autres intervenants de partout au pays à la mise sur pied du Réseau. Le gouvernement s'est engagé à verser 32 millions de dollars sur cinq ans et 10 millions de dollars de plus par année par la suite pour appuyer le Réseau.

Au Canada, ainsi que dans le reste du monde, on observe, sur le plan de l'information, des lacunes relatives à l'efficacité et à l'innocuité réelles des médicaments utilisés dans la pratique clinique. Il faut plus d'information sur l'innocuité et l'efficacité des produits pharmaceutiques lorsqu'ils sont utilisés par diverses populations de patients en dehors de l'environnement expérimental contrôlé des essais cliniques.

Le RIEM est composé de trois éléments clés :

  • le Centre de coordination, qui facilitera les activités du Réseau;
  • le Comité directeur, qui déterminera les priorités et les orientations stratégiques; et
  • les Centres de collaboration.

Le RIEM annonce le lancement du processus de financement pour l'établissement des centres collaborateurs (CC) du Réseau. Les CC seront formés de chercheurs et collaborateurs de diverses provinces, universités et organisations. Ils seront interprovinciaux (géographiquement), posséderont la capacité de recherche nécessaire pour répondre rapidement aux questions des décideurs au sujet de l'innocuité et de l'efficacité des médicaments et devront démontrer un engagement à contribuer à une coordination nationale accrue des efforts de recherche.

Plusieurs CC seront évalués dans les grandes sphères thématiques des méthodologies de recherche, chacun appuyant des compétences distinctives dans le cadre de l'Initiative nationale du RIEM. Il y aura notamment un CC unique pour les études observationnelles rétrospectives, et seront considérés des CC pour les études de surveillance et de pharmacoépidémiologie prospectives, et pour les l'essai contrôle randomisé (ECR)/examens systématiques/comparaisons indirectes.

Sur le plan international

Les questions de santé à l'extérieur du pays représentent une source de plus en plus grandissante de préoccupations et de défis pour Santé Canada dans son mandat d'améliorer et de protéger la santé des Canadiens. Les partenariats conclus au niveau international en sciences et en recherche aident grandement Santé Canada à s'acquitter de son mandat et à faire face aux problèmes de santé mondiaux.

Les accords bilatéraux de Santé Canada facilitent également des partenariats de recherche en sciences et technologie de la santé. Santé Canada a conclu des Accords de coopération scientifique et technique avec la Chine et l'Inde, ainsi que des protocoles d'entente bilatéraux sur la collaboration dans le domaine de la santé avec l'Australie (2007-2011), le Brésil (2009-2012) et le Mexique (pas de date de fin).

Conseil de l'Arctique, Programme de surveillance et d'évaluation de l'Arctique (PSEA), Groupe d'évaluation du volet santé humaine (GESH)

Santé Canada participe au Le lien suivant vous amène à un autre site Web Programme de surveillance et d'évaluation de l'Arctique (PSEA) , l'un des cinq groupes de travail créés dans le cadre du Conseil de l'Arctique des nations circumpolaires. Un groupe d'évaluation du volet santé humaine (GESH) a été créé dans le cadre du PSEA qui établit un partenariat entre les principaux chercheurs en santé et les coordinateurs de la recherche des pays circumpolaires (Canada, Danemark/Groënland/Îles Féroé, Finlande, Islande, Norvège, Russie, Suède, États-Unis). L'un des principaux objectifs du PSEA/GESH consiste à assurer le suivi des tendances ainsi qu'à surveiller et évaluer les répercussions des polluants sur la santé des résidents de l'Arctique.

À Santé Canada, des membres de la Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs (DGSESC) et de la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGSPNI) participent depuis le début des années 90 au PSEA/GESH et coprésident actuellement le groupe avec la Norvège. Une vaste gamme de groupes au Canada participent à la recherche et à l'évaluation des contaminants de l'Arctique, et bon nombre de ces groupes contribuent au PSEA par le biais du Le lien suivant vous amène à un autre site Web Programme de lutte contre les contaminants dans le Nord (PLCN). Le travail du PSEA/GESH permet au Conseil de l'Arctique de donner des conseils scientifiques visant à appuyer les gouvernements de l'Arctique dans les mesures de redressement et de prévention qu'ils prennent relativement aux contaminants et à la santé humaine. Le PSEA/GESH a publié trois rapports d'évaluation sur la santé humaine dans l'Arctique en 1998, 2003 et 2009. L'évaluation de 2009 est disponible au site suivant : Le lien suivant vous amène à un autre site Web www.amap.no.

Centre international de recherche sur le cancer (CIRC)

Santé Canada est le ministère responsable des relations avec le Le lien suivant vous amène à un autre site Web Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) participe également au financement de l'organisation (850 376 euros en 2010). Le CIRC a été créé en mai 1965 par une résolution de la 18e Assemblée mondiale de la santé (AMS), en tant que prolongement de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à la suite d'une initiative des Français. L'un des principaux objectifs des CIRC consiste à identifier les causes du cancer de façon à ce que des mesures de prévention et de dépistage précoce puissent être adoptées contre elles. Pour y arriver, le CIRC surveille l'incidence du cancer dans le monde, identifie les causes du cancer, élucide les mécanismes de la carcinogénèse et élabore des stratégies scientifiques de lutte contre le cancer. Le caractère particulier du CIRC réside dans ses études sur le cancer et sur les relations entre les humains et l'environnement.

Le rôle du CIRC, parmi les instituts de recherche sur le cancer, se caractérise par l'intérêt qu'il porte à la prévention du cancer, l'accent qu'il met sur les études qui combinent les approches épidémiologiques et d'analyse en laboratoire ainsi que par la tribune spéciale qu'elle offre pour la collaboration internationale, la diffusion de l'information scientifique et la formation. Les publications monographiques du CIRC sont considérées comme une étude autorisée des résultats de recherche sur les substances, les produits et les processus importants qui (ausent le cancer. Santé Canada appuie le partenariat conclu par le gouvernement canadien avec le CIRC en coordonnant la délégation canadienne à l'assemblée annuelle du Conseil de direction, en participant aux groupes de travail et aux sous-comités du Conseil de direction et du Conseil scientifique et en collaborant sur divers projets de recherche du CIRC.

Centres collaborateurs de l'Organisation panaméricaine de santé (OPS) et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS)

Santé Canada favorise des partenariats en recherche sur la santé par l'appui stratégique qu'il accorde aux 24 Le lien suivant vous amène à un autre site Web centres collaborateurs nationaux de l'OPS et de l'OMS, dont deux ont leur siège à Santé Canada (*).

Les centres collaborateurs sont des institutions telles que les instituts de recherche, des facultés d'universités ou de collèges, qui sont désignées pour mener des activités à l'appui des programmes des organisations. Actuellement, les centres collaborateurs du Canada concentrent essentiellement leurs travaux dans les domaines suivants :

  • centres de toxicomanie et de santé mentale;
  • bioéthique;
  • contrôle, pathogénèse et épidémiologie de la rage chez les carnivores;
  • développement de villes et villages en santé;
  • détection, diagnostic, références er recherche concernant les maladies nouvelles et les zoonoses;
  • évaluation et surveillance des impacts sur la santé de l'environnement et du milieu de travail;
  • surveillance de la contamination des aliments*;
  • promotion de la santé;
  • éducation et pratique en matière de sciences de la santé;
  • planification et recherche sur les effectifs de la santé;
  • transfert de connaissances et évaluation des technologies de la santé en ce qui concerne la formation et les politiques reliées à l'équité de la santé et à la santé mentale;
  • politique sur les maladies non transmissibles;
  • soins infirmiers et santé mentale;
  • transition nutritionnelle et développement;
  • santé et sécurité au travail;
  • détection et intervention précoce en vue de prévenir des maladies liées au travail et à l'environnement;
  • ressources humaines en soins primaires et en santé;
  • recherche et formation en santé mentale;
  • promotion de la sécurité et prévention des traumatismes;
  • qualité de l'eau*;
  • prévention des blessures et des maladies en milieu de travail.

Initiative de recherche en santé mondiale (IRSM)

Le lien suivant vous amène à un autre site Web L'Initiative de recherche en santé mondiale (IRSM) est un partenariat de financement de recherche entre Santé Canada, l'Agence de la santé publique du Canada, le Centre de recherches pour le développement international et l'Agence canadienne de développement international. Créée en 2001, l'IRSM s'intéresse essentiellement à la recherche axée sur l'action touchant la santé des populations, les politiques sur la santé, les systèmes efficaces et l'efficacité du développement. L'IRSM finance la collaboration en matière de recherche internationale qui relie les chercheurs des pays à faible revenu et à revenu intermédiaire et les décideurs dans des modèles originaux d'équipe et de réseau pour orienter la recherche vers :

  • des interventions rentables concernant des problèmes de santé mondiaux de priorité élevée;
  • des efforts concertés pour renforcer les systèmes efficaces;
  • la capacité en recherche durable qui permet aux chercheurs locaux d'obtenir des résultats pour des solutions à long terme de problèmes locaux;
  • l'utilisation pratique et répandue des données probantes de recherche en santé dans le processus décisionnel lié aux politiques de la santé et aux systèmes de santé.

Communiquez avec nous

Pour vos questions ou pour de plus amples renseignements veuillez communiquer avec l'Unité des politiques de recherche à : RPU-URP@hc-sc.gc.ca