(Musique)
(Graphique à l’écran – logo)
(Texte à l’écran : Conseil des Abénakis de Wôlinak)
(Images tournées dans la réserve – paysage, panneau indicateur et totem)
(Texte à l’écran : Parlons de nos maisons - Leadership Nihkanatpatimok Pm8bagnaw8gan Ylmxwm)
(Dave Bernard travaillant dans son bureau)
(Entrevue dans un bureau du conseil de bande)
Wôlinak compte environ 168 habitants.
(Texte à l’écran : Dave Bernard : directeur exécutif, Conseil de bande des Abénakis de Wôlinak)
(Images du bureau du conseil de bande; personnes travaillant dans la maison de retraite appartenant à la bande)
La gestion interne de toutes les habitations de Wôlinak est un effort concerté de tous nos services. Les gens de Wôlinak s’occupent de tout de A à Z.
(Dave devant la caméra)
À Wôlinak, nous gérons le programme relevant de l’article 95 et les programmes parallèles comme une entreprise privée.
(Le chef, Denis Landry, entre dans le bureau du conseil de bande.)
(Dave devant la caméra)
Ça veut dire que c’est important pour nous de faire un suivi sur les dépenses et le travail. Nous faisons toujours rapport du travail qui est fait.
(Images de Dave travaillant avec le chef)
(Entrevue dans le bureau du chef)
(Texte à l’écran : Denis Landry, chef, Conseil de bande des Abénakis de Wôlinak)
Le développement doit être durable. Que ce soit en construction ou en rénovation, notre parc de logements a des besoins. Maintenant, nous avons des politiques en place.
(Drapeau de la Bande, images de maisons dans la réserve.)
(Denis devant la caméra)
Ces politiques m’ont donné… nous aident à mieux gérer les affaires de la Bande, et à répondre aux normes de la SCHL.
(Artisanat régional, images de maisons dans la réserve.)
En fait, ce qu’il y a de bien à Wôlinak, c’est que nous avons réussi à dépolitiser toute la question du logement. Nous avons créé un formulaire qui fait qu’aucun nom de famille n’apparaît sur les demandes.
(Dave devant la caméra)
Je crois que ça a fait toute une différence dans la réalisation des projets.
(Une bicyclette, eau de pluie sortant d’une gouttière et maisons dans la réserve)
Dans le cas des logements collectifs, nous avons donné suite à une demande des membres. Ce sont eux qui ont exprimé le besoin d’avoir des maisons pouvant loger plusieurs familles.
(Dave devant la caméra)
L’immobilier est certainement un atout pour la communauté.
(Images du dispensaire, commerces de Wôlinak)
Aussi, le fait de pouvoir faire tout le travail dans la région signifie, au bout du compte, que ce sont nos gens qui travaillent. Alors l’argent reste dans la communauté. Il y a une intégration verticale, pas seulement en termes de main-d’œuvre, mais aussi en ce qui concerne les coûts pour les entrepreneurs.
(Dave devant la caméra)
C’est très positif pour nous et pour les gens qui vivent ici.
(Un membre de la bande, Sonia, et son fils regardent la télévision.)