Répondre aux besoins des victimes d'actes criminels

LE CENTRE DE LA POLITIQUE CONCERNANT LES VICTIMES — QUI NOUS SOMMES

Les victimes d’actes criminels ont des préoccupations et des besoins particuliers. C’est pourquoi le Centre de la politique concernant les victimes du ministère de la Justice du Canada fait en sorte que l’on tienne compte du point de vue des victimes dans l’élaboration des lois et des politiques fédérales qui les concernent.

Les droits des victimes — Participer sans entraver est un rapport au Parlement qui énonce des recommandations en vue d’améliorer la situation des victimes au Canada, notamment par l’élaboration de la Stratégie sur les victimes d’actes criminels et la mise sur pied du Bureau pour les victimes d'actes criminels. Le ministère de la Justice a répondu à ces recommandations en mettant sur pied en 2000 le Centre de la politique concernant les victimes.

Le Centre de la politique concernant les victimes a pour mandat d’augmenter la confiance des victimes d’actes criminels dans le système de justice pénale. Ses principaux objectifs sont les suivants :

L’Énoncé canadien des principes fondamentaux de justice pour les victimes d’actes criminels, adopté conjointement par les ministres fédéral, provinciaux et territoriaux responsables de la Justice en 1988, continue d’aider à l’élaboration de politiques, de programmes et de mesures législatives s’appliquant aux victimes. L’Énoncé donne un fondement aux activités du Centre de la politique concernant les victimes.

ADMINISTRATION PARTAGÉE, RESPONSABILITÉ PARTAGÉE

Répondre aux besoins et aux préoccupations des victimes d’actes criminels est une responsabilité à partager. Le Centre de la politique concernant les victimes travaille en étroite collaboration avec les provinces et les territoires, en encourageant et en appuyant une série d’activités en partenariat.

LE CENTRE DE LA POLITIQUE CONCERNANT LES VICTIMES — SES ACTIVITÉS

Le Centre de la politique concernant les victimes participe à de nombreuses activités afin de mieux comprendre les besoins des victimes d’actes criminels et pour accroître la confiance des victimes dans le système de justice pénale. En voici quelques-unes :