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CONSEILS AUX VOYAGEURS :
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CONSEILS AUX VOYAGEURS

Dernière mise à jour : 5 décembre 2006, 16:13 HNE
Toujours valide : 9 décembre 2006, 0:42 HNE

États-Unis

1.
INTRODUCTION
2. ATTENTION
3. SÉCURITÉ
4. TRANSPORTS
5. CATASTROPHES NATURELLES ET CLIMAT
6. LOIS ET COUTUMES DU PAYS
7. AIDE OFFERTE AUX CANADIENS À L'ÉTRANGER
8. EXIGENCES D'ENTRÉE / DE SORTIE
9. L'ARGENT
10. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX
11. PROGRAMME DE MÉDECINE DES VOYAGES
12. RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES SUR LA SANTÉ
13. LE RETOUR AU CANADA
14. L'ADOPTION INTERNATIONALE
15. CONSEILS DE VOYAGE
16. ASSURANCE MALADIE ET ASSURANCE VOYAGE
17. INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES
18. ANNEXE

1. INTRODUCTION

La section 8 de ces Conseils aux voyageurs a été mise à jour.

Pour obtenir des renseignements sur la
FLORIDE, GUAM, HAWAÏ, les ÎLES MARIANNES DU NORD, PUERTO RICO et les ÎLES VIERGES AMÉRICAINES, voir la section 17 ci-dessous.

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2. ATTENTION

Pour plus de renseignements sur les nouvelles exigences d'entrée aux États-Unis à compter du 23 janvier 2007, veuillez consulter notre page Actualités.

La saison des ouragans s’étend du mois de juin jusqu’à la fin du mois de novembre. Pour des renseignements sur la saison des ouragans, voir notre page Actualités.

Le niveau de menace du gouvernement des États-Unis pour tous les vols intérieurs et internationaux demeure « très élevé » (orange). De nouvelles procédures de vérification de sécurité, comprenant l’interdiction d’apporter des liquides et des gels dans les bagages à main, sont en vigueur dans tous les aéroports américains. Le niveau de menace pour le pays et les autres secteurs demeure « élevé » (jaune).

Le niveau élevé est déclaré quand il y a un risque important d’attaque terroriste. La classification dépend de plusieurs facteurs, dont l'examen des services de renseignements et l'évaluation des menaces. Pour de plus amples renseignements sur ce plan et les nouvelles mesures de sécurité, veuillez consulter les sites du Homeland Security et du Transportation Security Administration (TSA) (en anglais seulement).

Les voyages dans les régions côtières de la Louisiane touchées par les ouragans Katrina et Rita demeurent difficiles en raison des dommages catastrophiques causés aux biens, à l'infrastructure, aux services de transport et aux systèmes de communication.


Les Canadiens devraient bien se renseigner sur la situation avant de se rendre dans les zones touchées à l'extérieur du quartier des affaires du centre-ville et du French Quarter (quartier français) de la Nouvelle-Orléans. Il est aussi conseillé de renseigner ses amis et sa famille au sujet de ses déplacements. Les Canadiens qui vivent ou qui se rendent dans la région devraient continuer à suivre les conseils des autorités locales et communiquer avec leur agent ou organisateur de voyages afin d'évaluer les conditions locales liées aux voyages.

La situation en matière d'hygiène et de sécurité dans la plupart des quartiers de la Nouvelle-Orléans demeure difficile. Les possibilités de déplacement et l'hébergement sont limitées. La prestation des services essentiels continue à poser problème et à être potentiellement dangereuse dans certains secteurs à l'extérieur du French Quarter et du centre-ville.

Certaines régions du Mississippi ont été gravement touchées par l'ouragan Katrina. Par conséquent, certains hôtels, casinos, commerces et lieux historiques, ainsi que d'autres attractions touristiques, ne sont peut-être pas en activité. Dans certaines régions, les services comme l'électricité, l'essence et les égouts sont limités. Toutefois, la majorité des régions de l'État sont ouvertes aux affaires. Vous devriez communiquer au préalable avec les établissements que vous prévoyez visiter pour veiller à ce qu'ils puissent vous recevoir.


Pour obtenir davantage de renseignements, consultez le site Web de la Federal Emergency Management Agency (en anglais seulement).


RECOMMANDATION OFFICIELLE CONCERNANT L’INSCRIPTION : Affaires étrangères et Commerce international Canada offre un service d'inscription aux Canadiens qui prévoient voyager ou résider dans un pays étranger. Les Canadiens sont incités à s’inscrire auprès du bureau du gouvernement du Canada pendant la saison des ouragans, qui s’étend du 1er juin au 30 novembre. L'inscription peut se faire en ligne ou en appelant le bureau du gouvernement du Canada à l’étranger responsable pour demander un formulaire d'inscription.

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3. SÉCURITÉ

La criminalité est fréquente dans de nombreuses villes américaines, mais généralement concentrée dans des quartiers peu fréquentés par les touristes. Cependant, les Canadiens doivent demeurer vigilants. Si la police vous arrête, nous vous recommandons de coopérer pleinement avec elle. Les crimes de rue peuvent s'étendre jusque dans les quartiers des affaires, des hôtels et des lieux de divertissement. Des émeutes surviennent à l’occasion, et sont habituellement confinées dans les quartiers pauvres des grandes villes, mais la violence peut s'étendre jusque dans les zones commerciales et hôtelières au centre de ces villes.

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4. TRANSPORTS

a) Véhicules et assurance automobile

Si vous prévoyez utiliser votre véhicule pour vous rendre aux États-Unis, renseignez-vous auprès de votre courtier d'assurances afin de vérifier si votre couverture est valide ou suffisante dans les régions où vous séjournerez et pour la durée de votre voyage. Si vous comptez demeurer au même endroit durant une longue période, demandez aux autorités locales si l'immatriculation de votre voiture et votre permis de conduire demeureront valides.

De nombreux États imposent des conditions en matière d'assurance automobile et peuvent exiger que les automobilistes détiennent une preuve d'assurance. Le service des véhicules automobiles de chaque État peut vous fournir des renseignements plus précis.
L'American Automobile Association (AAA) et l'Association canadienne des automobilistes (CAA) peuvent fournir des renseignements plus détaillés à leurs membres.

Si vous êtes aux États-Unis et que vous voulez vous rendre au Mexique au volant de votre propre véhicule, il vous faudra peut-être acheter une assurance responsabilité et une assurance automobile supplémentaire. Nous vous invitons à communiquer avec votre courtier d'assurances et avec le bureau mexicain du tourisme pour obtenir de l'information à ce sujet. Voir nos Conseils aux voyageurs sur le Mexique.

b) Auto-stoppeurs

Ne franchissez jamais une frontière avec un auto-stoppeur ni comme auto-stoppeur. Bien que vous n'ayez sans doute rien d'illégal sur vous, il n'en est peut-être pas de même pour vos compagnons et vous pourriez être impliqué.

Choisissez tout aussi judicieusement vos passagers et ce que vous transportez dans votre véhicule. En tant que conducteur, vous pourriez être tenu responsable des méfaits de vos passagers, même si vous n’êtes pas au courant ni impliqué.

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5. CATASTROPHES NATURELLES ET CLIMAT

a) Saison des ouragans

Dans le Sud-Est du pays, la saison des ouragans s’étend de juin à la fin de novembre. Cette période peut amener des crues éclair et des glissements de boue. Les transports, les services publics, les services d'urgence et les services médicaux, ainsi que l'approvisionnement en eau, en essence et en aliments, risquent d'être perturbés. Vous devriez consulter le site Web du
National Hurricane Center (en anglais seulement) afin d'obtenir des renseignements sur les conditions météorologiques. Il est conseillé aux voyageurs de contacter leur agent de voyages ou leur voyagiste avant de partir, afin de vérifier les arrangements de leur voyage.

b) Volcans et tremblements de terre

Certains volcans situés aux États-Unis sont actifs. Le volcan Augustine, qui se trouve à environ 290 km d’Anchorage, en Alaska, a montré des signes accrus d’activité et d’éruptions en janvier 2006 (http://www.avo.alaska.edu/index.php). Les États-Unis sont également exposés à une activité sismique. En cas d'urgence, les Canadiens doivent connaître l'adresse et le numéro de téléphone du bureau du gouvernement canadien le plus proche (voir ci-dessous).

On recommande aux Canadiens de se mettre en rapport avec l'ambassade ou le consulat le plus proche (voir la section 7 ci-dessous) s'ils ont besoin d'aide en cas de catastrophe naturelle.

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6. LOIS ET COUTUMES DU PAYS

Vous devez respecter les lois du pays où vous séjournez. Les délits graves peuvent entraîner l’emprisonnement. Les peines d’emprisonnement sont purgées sur place.Votre citoyenneté canadienne ne vous confère aucune immunité, aucune protection spéciale et aucun droit à un traitement préférentiel.

Les Canadiens arrêtés ou détenus ont le droit de communiquer avec le bureau du Canada (ambassade, haut-commissariat, etc.) responsable des services consulaires pour le pays concerné (voir la section 7 ci-dessous), et les agents procédant à l’arrestation doivent les aider à le faire. Les représentants consulaires du Canada peuvent fournir une liste d’avocats de la région.

Le Ministère publie le
Guide à l’intention des Canadiens emprisonnés à l’étranger, qui s’adresse aux Canadiens incarcérés à l’étranger. Son principal objectif est d’informer les détenus, leurs familles et amis, de l’aide et de l’assistance disponibles.

Les délits graves peuvent entraîner l'emprisonnement ou même la peine capitale dans certains États. Les peines d'emprisonnement sont purgées sur place. Toutefois, le Canada et les États-Unis ont signé un traité qui permet à un Canadien emprisonné aux États-Unis de demander son transfèrement au Canada pour y terminer sa peine. Le transfèrement nécessite l'accord des autorités canadiennes et américaines.

a) Drogues illicites et médicaments d’ordonnance

Les États-Unis ont une politique de « tolérance zéro » à l'égard de la possession de drogues illicites, qui est passible de lourdes peines, même pour des quantités minimes. Par ailleurs, les médicaments d'ordonnance et les seringues utilisées à des fins médicales légitimes font l'objet d'un contrôle minutieux. Ne vous chargez jamais d'un paquet ou d'une valise pour rendre service à quelqu'un, à moins d'en avoir minutieusement examiné le contenu. Pour en savoir plus à ce sujet, veuillez consulter la section « Drogue et médicaments » du site Web des Affaires consulaires ou notre publication La drogue et les voyages : un cocktail explosif.

b) Ce qu’on peut faire entrer aux États-Unis

Les États-Unis ont adopté des règlements bien précis sur ce que vous pouvez faire entrer dans leur pays. Un non-résident peut apporter en franchise des marchandises d’une valeur totale de 200 $US, à des fins personnelles ou domestiques. Si votre séjour est de 72 heures ou plus, vous avez droit à une valeur additionnelle de 100 $US de marchandises, en franchise, à titre de cadeaux pour d’autres personnes. Toutefois, certaines restrictions s’appliquent. On peut obtenir des renseignements supplémentaires en téléphonant à l’un des bureaux du Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (en anglais seulement).

c) Voyages à Cuba

Les gens qui résident aux États-Unis, quelle que soit leur citoyenneté, sont assujettis à la loi américaine concernant les voyages à Cuba, qui stipulent qu’ils ne peuvent dépenser de l'argent (quelle que soit la devise) pour faire un voyage à Cuba, à moins d'y être autorisés par le Bureau du contrôle des avoirs étrangers (Office of Foreign Assets Control — OFAC). En outre, ils peuvent se voir imposer une amende s’ils font un voyage à Cuba sans permis de l’OFAC et se font prendre. Comme les transactions relatives aux voyages à Cuba à des fins touristiques sont interdites, on ne peut obtenir une autorisation à cette fin. Pour en savoir plus sur le programme de sanctions visant Cuba, veuillez communiquer avec l'OFAC, U.S. Department of the Treasury, au (202) 622-2520 (Washington, D.C.) ou au (305) 810-5140 (Miami). On peut également utiliser le service gratuit de transmission d'information par télécopieur de l'OFAC, 24 heures par jour, sept jours par semaine, en composant le (202) 622-0077.

d) Animaux de compagnie

Lorsqu'ils sont examinés à un point d'entrée, les chats et les chiens ne doivent présenter aucun signe de maladie transmissible aux êtres humains. Si l'animal semble en mauvaise santé, on pourra prescrire un examen par un vétérinaire breveté, aux frais du propriétaire. Il n'est pas nécessaire de faire vacciner les chats contre la rage. Exception faite des chiots âgés de moins de trois mois, les chiens doivent être vaccinés contre la rage au moins 30 jours avant l'entrée aux États-Unis. Les autres animaux font également l'objet de contrôles; on peut obtenir des renseignements supplémentaires en consultant le site du Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (en anglais seulement).Lorsque vous revenez au Canada, l’Agence canadienne d’inspection des aliments exige la preuve que votre chat ou chien de plus de trois mois a été vacciné contre la rage. Si vous ne pouvez présenter cette preuve, les inspecteurs peuvent vous accorder une mainlevée conditionnelle afin que vous la présentiez à une date ultérieure. Des frais d'environ 60 $ s’appliquent. Il est donc suggéré de faire vacciner votre chat ou votre chien avant de quitter le Canada. Pour en savoir plus, veuillez communiquer avec l’Agence canadienne d’inspection des aliments.

e) Situation fiscale

Si vous vivez ou voyagez aux États-Unis, tout en conservant des liens de résidence avec le Canada, vous êtes habituellement considéré comme un résident de fait du Canada aux fins de l'impôt. Toutefois, de nombreux facteurs entrent en jeu lorsqu'il s'agit de déterminer votre situation au regard de l'impôt; vous devriez vous renseigner à ce sujet auprès de l'Agence du revenu du Canada (ARC) afin d'éviter toute surprise. La publication de l'ARC intitulée Résidents canadiens qui séjournent dans le Sud renferme des renseignements à l'intention des particuliers.Un résident canadien qui passe une partie de l'année aux États-Unis peut être considéré comme un étranger résident ou comme un étranger non résident aux fins de l'impôt américain. Les étrangers résidents doivent habituellement payer des impôts aux États-Unis sur leurs revenus provenant de partout dans le monde; les étrangers non résidents paient des impôts uniquement sur leurs revenus de sources américaines. Il est important par conséquent de déterminer votre statut en communiquant avec les autorités américaines.

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7. AIDE OFFERTE AUX CANADIENS À L'ÉTRANGER

Vous pouvez obtenir une aide consulaire et de plus amples renseignements consulaires aux adresses suivantes :

États-Unis - WASHINGTON, Ambassade du Canada
Adresse : 501 Pennsylvania Avenue, N.W., Washington, D.C. 20001, États-Unis
Tél. : (202) 682-1740
Télécopieur : (202) 682-7738
Courriel :
wshdc@international.gc.ca
Internet : http://www.washington.gc.ca
Circonscription consulaire : Delaware, district fédéral de Columbia, Maryland, Virginie

États-Unis - ATLANTA, Consulat général du Canada
Adresse : 1175 Peachtree Street N.E., 100 Colony Square, Suite 1700, Atlanta, Georgia 30361-6205, États-Unis
Tél. : (404) 532-2000
Télécopieur : (404) 532-2050
Courriel : atnta@international.gc.ca
Internet : http://www.atlanta.gc.ca
Circonscription consulaire : Alabama, Géorgie, Mississippi, Caroline du Nord, Caroline du Sud, Tennessee

États-Unis - BOSTON, Consulat général du Canada
Adresse : 3 Copley Place, Suite 400, Boston, Massachusetts 02116, États-Unis.
Tél. : (617) 262-3760
Télécopieur : (617) 262-3415
Courriel : bostn@international.gc.ca
Internet : http://www.boston.gc.ca
Circonscription consulaire : Maine, Massachusetts, New Hampshire, Rhode Island, Vermont

États-Unis - BUFFALO, Consulat général du Canada
Adresse : 1 HSBC Centre, Suite 3000, Buffalo, New York 14203-2884, États-Unis
Tél. : (716) 858-9500
Télécopieur : (716) 852-4340
Courriel : bfalo@international.gc.ca
Internet : http://www.buffalo.gc.ca
Circonscription consulaire : Virginie-Occidentale, Pennsylvanie, ouest et nord-ouest de l’État de New York

États-Unis - CHICAGO, Consulat général du Canada
Adresse : Two Prudential Plaza, 180 North Stetson Avenue, Suite 2400, Chicago, Illinois 60601, États-Unis
Tél. : (312) 616-1860
Télécopieur : (312) 616-1877
Courriel : chcgo@international.gc.ca
Internet : http://www.chicago.gc.ca
Circonscription consulaire : Illinois (y compris Bettendorf et Davenport, Iowa), Indiana (comtés de Jasper, Lake, Laporte, Newton, Porter), Missouri, Wisconsin

États-Unis - DALLAS, Consulat général du Canada
Adresse : St. Paul Place, 750 North St. Paul Street, Suite 1700, Dallas, Texas 75201-3247, États-Unis
Tél. : (214) 922-9806
Télécopieur : (214) 922-9815
Courriel : dalas@international.gc.ca
Internet : http://www.dallas.gc.ca
Circonscription consulaire : Arkansas, Kansas, Louisiane, Oklahoma, Texas

États-Unis - DENVER, Consulat général du Canada
Adresse : 1625 Broadway, Suite 2600, Denver, Colorado, 80202, États-Unis
Tél. : (303) 626-0640
Télécopieur : (303) 572-1158
Courriel : denvr-g@international.gc.ca
Internet : http://www.denver.gc.ca
Circonscription consulaire : Colorado, Montana, Utah, Wyoming

États-Unis - DETROIT, Consulat général du Canada
Adresse : 600 Renaissance Center, Suite 1100, Detroit, Michigan 48243-1798, États-Unis
Tél. : (313) 446-4747
Télécopieur : (313) 567-2164
Courriel : dtrot@international.gc.ca
Internet : http://www.detroit.gc.ca
Circonscription consulaire : Indiana (sauf les comtés de Jasper, Lake, LaPorte, Newton, Porter), Kentucky, Michigan, Ohio

États-Unis - HONOLULU, Consulat général d'Australie
Adresse : Penthouse Suite, 1000 Bishop Street, Honolulu, Hawaii 96813-4299, États-Unis
Tél. : (808) 524-5050/5054
Télécopieur : (808) 531-5142

États-Unis - LOS ANGELES, Consulat général du Canada
Adresse : 550 South Hope Street, 9th Floor, Los Angeles, California 90071-2327, États-Unis
Tél. : (213) 346-2700
Télécopieur : (213) 620-8827
Courriel : lngls@international.gc.ca
Internet : http://www.losangeles.gc.ca
Circonscription consulaire : Arizona, Californie, Nevada, Nouveau-Mexique

États-Unis - MIAMI, Consulat général du Canada
Adresse : 200 South Biscayne Boulevard, Suite 1600, Miami, Florida 33131, États-Unis
Tél. : (305) 579-1600
Télécopieur : (305) 374-6774
Courriel : miami@international.gc.ca
Internet : http://www.miami.gc.ca
Circonscription consulaire : Floride, Puerto Rico, îles Vierges américaines

États-Unis - MINNEAPOLIS, Consulat général du Canada
Adresse : 701 Fourth Avenue South, Suite 900, Minneapolis, Minnesota 55415-1899, États-Unis
Tél. : (612) 333-4641
Télécopieur : (612) 332-4061
Courriel : mnpls@international.gc.ca
Internet : http://www.minneapolis.gc.ca
Circonscription consulaire : Iowa (sauf Bettendorf et Davenport, Iowa), Minnesota, Nebraska, Dakota du Nord, Dakota du Sud

États-Unis - NEW YORK, Consulat général du Canada
Adresse : 1251 Avenue of the Americas, Concourse Level, New York, New York 10020-1175, États-Unis
Tél. : (212) 596-1628
Télécopieur : (212) 596-1666/1790
Courriel : cngny@international.gc.ca
Internet : http://www.newyork.gc.ca
Circonscription consulaire : Bermudes, Connecticut, New Jersey, sud et est de l’État de New York

États-Unis - PUERTO RICO, Consulat du Canada
Adresse : Home Mortgage Plaza, 268 Ponce de Leon, Suite 802, San Juan (Hato Rey), Puerto Rico 00918, États-Unis
Tél. : (787) 759-6629
Télécopieur : (787) 294-1205


États-Unis - SAN FRANCISCO, Consulat général du Canada
Adresse : 580 California Street, 14th Floor, San Francisco, California 94104, États-Unis
Tél. : (415) 834-3180
Télécopieur : (415) 834-3189
Courriel : sfran@dfait-maeci.gc.ca
Internet : http://www.sanfrancisco.gc.ca
Circonscription consulaire : Nord de la Californie, Hawaii, Guam

États-Unis - SEATTLE, Consulat général du Canada
Adresse : 1501 4th Ave., Suite 600Seattle, Washington 98101, États-Unis
Tél. : (206) 443-1777
Télécopieur : (206) 443-9662
Courriel : seatl@international.gc.ca
Internet : http://www.seattle.gc.ca
Circonscription consulaire : Alaska, Idaho, Orégon, Washington

Pour obtenir une aide d'urgence en dehors des heures de bureau, téléphonez l'ambassade ou le consulat le plus proche et suivez les instructions qui vous seront données. Vous pouvez aussi appeler le Ministère à Ottawa en composant le numéro sans frais 1 888 949-9993 (1-866-600-0184 de Puerto Rico) ou utiliser les services de Canada Direct.

Canada Direct, service offert par les grandes sociétés de télécommunications canadiennes, permet aux voyageurs d'accéder sans frais et facilement au réseau téléphonique canadien. Aux États-Unis, les voyageurs peuvent accéder à Canada Direct en composant le 1 800 555-1111, qui les mettra en contact en tout temps avec un téléphoniste canadien. Pour obtenir de plus amples renseignements, composez le 1 800 561-8868 ou consultez le site Web de Canada Direct.


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8. EXIGENCES D'ENTRÉE / DE SORTIE

Pour plus de renseignements sur les nouvelles exigences d'entrée aux États-Unis à compter du 23 janvier 2007, veuillez consulter notre page
Actualités.

Nous avons confirmés les renseignements qui suivent sur les exigences d'entrée et de sortie auprès des autorités des États-Unis d'Amérique et, à notre connaissance, ils étaient valides le 17 mai 2006.
 Ces exigences peuvent toutefois changer.

La décision de laisser entrer les voyageurs étrangers appartient à chaque pays. Tous les pays imposent des exigences spéciales aux personnes qui prévoient résider sur leur territoire pendant une longue période (en général plus de 90 jours), y travailler, y étudier ou s’y livrer à des activités autres que le tourisme. Pour vous renseigner sur les conditions d’entrée particulières, communiquez avec la mission diplomatique ou consulaire du ou des pays où vous comptez vous rendre. Les personnes qui ne respectent pas les exigences d’entrée et de sortie établies par un pays sont passibles de peines sévères.


Le Bureau du protocole d'Affaires étrangères Canada fournit les coordonnées de l'ambassade des États-Unis d'Amérique et ses consulats où vous pouvez obtenir davantage de renseignements sur les exigences d’entrée et de sortie.

a) Enfants voyageant seuls ou accompagnés

Un adulte qui voyage avec des enfants pourrait devoir présenter des documents prouvant ses droits en tant que parent de ces enfants ou ses droits de garde de ces enfants, ou encore ses droits de visite auprès de ces enfants. Les autorités canadiennes et les autorités des pays étrangers pourraient également exiger que cet adulte présente la preuve qu’il a obtenu le consentement des parents, du tuteur légal ou d’un tribunal pour voyager avec ces enfants. Certains pays ne permettent pas à un enfant d’entrer sur leur territoire, ou dans certains cas de sortir du pays, s’il n’est pas muni des documents appropriés, comme une lettre de consentement ou une ordonnance d’un tribunal.

Les autorités américaines et canadiennes et les sociétés de transport sont de plus en plus vigilantes lorsqu'elles interrogent les personnes qui voyagent avec des enfants. Si vous prévoyez vous rendre aux États-Unis en compagnie d'un enfant, vous devriez vous munir de documents attestant votre droit de garde, surtout s'il s'agit d'un très jeune enfant. Une personne de moins de 18 ans qui voyage seule ou avec un seul de ses parents, ou avec un autre adulte, doit être munie d'une lettre de consentement certifiée attestant que ses deux parents ont autorisé le voyage.

Si vous vous rendez dans un autre pays avec votre enfant et que la garde de cet enfant risque de faire l’objet d’un conflit durant votre absence, consultez un avocat canadien avant de partir. Pour de plus amples renseignements sur les enlèvements d’enfants, veuillez consulter notre brochure intitulée Enlèvements internationaux d’enfants — Guide à l’intention des parents.

b) Vos droits lorsque vous entrez aux États-Unis

Lorsque vous tentez d’entrer aux États-Unis (à un poste frontalier ou à un aéroport) et attendez que l’on vous autorise à y entrer, vous devez savoir que, en vertu de la loi américaine, les ressortissants étrangers ne jouissent pas des mêmes droits que les citoyens américains. Pendant que les autorités américaines déterminent si vous êtes admissible, vous pourriez être retenu durant une période indéterminée. Si elles décident que vous n’êtes pas admissible, il pourrait s’écouler un certain laps de temps avant que l’on vous renvoie à votre point de départ ou dans le pays dont vous êtes citoyen.

c) Renseignements additionnels à fournir à la frontière

Les autorités américaines imposent des exigences beaucoup plus strictes en ce qui concerne l’identification des individus à leur arrivée aux États-Unis. Depuis le 4 octobre 2005, les personnes qui entrent aux États­-Unis par avion ou par bateau doivent fournir des renseignements additionnels, tels que leur adresse pendant leur séjour en territoire américain, y compris à Puerto Rico. Pour plus d’information sur ces nouvelles mesures, prière de consulter le site Web du
Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (en anglais seulement).

Pour entrer aux États-Unis ou passer par ce pays, il peut être nécessaire de présenter une preuve de résidence, d'emploi ou d'étude au Canada; une preuve que l'objectif du voyage est légitime et que sa durée sera raisonnable; et une preuve de ressources financières suffisantes pour la durée du séjour aux États-Unis. Comme ils pourraient se voir imposer de lourdes amendes s'ils transportent des passagers n'ayant pas les documents voulus, tous les transporteurs (en particulier les compagnies aériennes, mais également les sociétés ferroviaires et les compagnies d'autocars) sont devenus beaucoup plus exigeants envers leurs passagers, qui doivent désormais être munis d'une pièce d'identité démontrant qu'ils sont admissibles aux États-Unis.


d) Passeports

Pour plus de renseignements sur les nouvelles exigences d'entrée aux États-Unis à compter du 23 janvier 2007, veuillez consulter notre page
Actualités.

Lors de l’entrée aux États-Unis, la formalité la plus importante est la présentation d'une preuve de citoyenneté canadienne. Le passeport canadien constitue le meilleur moyen de prouver sa citoyenneté canadienne et son droit de retourner au Canada.

Depuis le mois d'octobre 2004, aux termes du
Programme de dispense de visa des États-Unis, les voyageurs en provenance de certains pays doivent être munis d'un passeport lisible à la machine pour passer la frontière américaine. Les citoyens canadiens ne sont pas visés par ces mesures, et ce, même si leur passeport a été délivré à l'étranger.

Les résidents permanents qui ne sont pas citoyens canadiens (y compris leurs enfants), ainsi que bon nombre d'autres visiteurs, doivent se procurer un visa de non-immigrant pour entrer aux États-Unis. Figurent notamment dans cette
liste les représentants de gouvernements étrangers, les agents et employés d'organismes internationaux, les négociants et investisseurs aux termes d'un traité ainsi que les fiancés et leurs enfants. Il est possible d'obtenir de l'information supplémentaire en s'adressant à Passeport Canada ou à l'Agence des douanes et de la protection des frontières du département de la sécurité intérieure des États-Unis
.

e) Double nationalité

Certains Canadiens pourraient aussi avoir la nationalité américaine parce qu'ils sont nés aux États-Unis, qu'ils ont été naturalisés ou que leurs parents sont Américains. Bien qu'ils ne devraient pas avoir de problèmes à voyager aux États-Unis, ils auraient quand même intérêt à bien connaître leur statut aux yeux de la loi américaine. Selon la section du site Web de l'American Citizen Information Services consacrée aux Américains ayant la double nationalité, « La plupart des citoyens américains, y compris ceux qui ont une double nationalité, doivent présenter leur passeport américain lorsqu'ils entrent aux États-Unis ou qu'ils en sortent. » Avant de voyager aux États-Unis, vérifiez auprès du consulat américain de votre région si cela s'applique à vous. Assurez-vous également d'emporter avec vous un passeport canadien en cours de validité. Ce document constitue en effet la preuve de votre citoyenneté canadienne et vous donne ainsi le droit de rentrer au Canada. Pour obtenir des renseignements sur la double citoyenneté, vous pouvez consulter la section sur la double citoyenneté du site Web de l'American Citizen Information Services ou communiquer avec le consulat américain qui s'occupe de votre région au Canada.

f) Statut d’Indien inscrit (traité Jay)

Si vous possédez le statut d'Indien inscrit au Canada, vous pouvez vous prévaloir des formalités d'immigration spéciales des États-Unis (découlant du traité Jay de 1794), qui vous permettent de vivre et de travailler aux États-Unis sans avoir à passer par les formalités d'immigration habituelles. Il est important de noter que la seule présentation du Certificat du statut d'Indien (formulaire 1A-1395) ne suffit pas toujours pour répondre aux conditions d'entrée. Aux termes de la loi américaine, les requérants doivent être d'origine amérindienne dans une proportion d'au moins 50 p. 100. En conséquence, les inspecteurs peuvent demander une preuve supplémentaire attestant le pourcentage de sang exigé, comme les dossiers de bande, un certificat de naissance ou tout autre document établissant le pourcentage de sang amérindien.

g) Retraités migrateurs (« snowbirds »)

Les retraités canadiens qui désirent passer l'hiver sous des cieux plus cléments peuvent le faire pour une période maximale de six mois. S'ils désirent rester plus longtemps, ils peuvent présenter une demande de prolongation du séjour une fois qu'ils sont arrivés aux États-Unis.

h) Précontrôle

Le Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis a des bureaux de précontrôle dans huit aéroports canadiens : Vancouver, Calgary, Edmonton, Winnipeg, Toronto, Ottawa, Montréal-Trudeau et Halifax. Vous pouvez ainsi, vous et vos bagages, passer le contrôle dans un aéroport canadien plutôt qu'au moment de votre arrivée aux États-Unis. Pour avoir le temps de remplir les formalités de précontrôle à l'un de ces aéroports, vous devriez vous présenter au comptoir du Service américain des douanes et de l'immigration au moins deux heures avant l'heure du départ.

Si vous utilisez les services de précontrôle américains dans un aéroport canadien, vous devez vous soumettre aux exigences d'admission établies par les autorités américaines. Vous devrez notamment répondre aux questions que vous posera un contrôleur américain. En vertu de la Loi sur le précontrôle du Canada, il est illégal de faire sciemment une déclaration fausse ou trompeuse à un contrôleur. Par ailleurs, les contrôleurs américains ont le droit de fouiller vos bagages et peuvent vous refuser l'entrée aux États-Unis. Tant que vous êtes dans une zone de précontrôle, vous avez des droits en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés, de la Déclaration canadienne des droits et de la Loi canadienne sur les droits de la personne, assujettis aux lois canadiennes, notamment à la Loi sur le précontrôle du Canada et au droit criminel, qui comprend entre autres les lois régissant les stupéfiants et les armes à feu. Vous pouvez en tout temps retirer votre demande d'entrée aux États-Unis et quitter les lieux, à moins qu'un contrôleur américain n'ait de bonnes raisons de croire que vous avez fait une déclaration fausse ou trompeuse ou entravé le travail d'un contrôleur américain. Ce contrôleur peut vous détenir pour violation de la loi canadienne.

i) Casier judiciaire

Si vous avez un casier judiciaire, vous n'aurez probablement pas le droit d'entrer aux États-Unis, quelles que soient la nature du délit et la date à laquelle il remonte. Vous pourriez également avoir des difficultés si vous faites escale dans un aéroport américain. En effet, en vertu des lois américaines, un pardon accordé au Canada n'est pas reconnu aux fins de l'entrée aux États-Unis. Si vous avez été condamné par un tribunal criminel, vous devez communiquer, assez longtemps avant votre départ pour les États-Unis, avec l'un des points d'entrée des services de citoyenneté et d'immigration (Citizenship and Immigration Services [USCIS]) du U.S. Department of Homeland Security. Si vous êtes interdit de séjour aux États-Unis, vous pouvez demander une dispense. Il vous faudra alors remplir le formulaire I-192 « Advance Permission to Enter the United States ». Des frais sont exigés pour le traitement de la demande, qui peut prendre plusieurs mois. Vous pouvez vous procurer une demande de dispense à n'importe quel point d'entrée aux États-Unis, à un bureau de précontrôle au Canada, à l'ambassade des États-Unis à Ottawa ou à l'un des consulats des États-Unis au Canada.

Les points d'entrée aux États-Unis sont informatisés et reliés à une base de données centrale qui permet d'avoir accès aux renseignements sur les condamnations au criminel, tant au Canada qu'aux États-Unis. Même si vous êtes déjà entré aux États-Unis sans problème dans le passé, vous pourriez éprouver des difficultés si votre dossier fait état d'une condamnation au criminel ou d'une interdiction d'entrée antérieure. Si vous essayez d'entrer aux États-Unis sans dispense, vous pourriez être mis en détention pendant plusieurs semaines dans un établissement du USCIS.

Si vous avez quitté les États-Unis pour vous soustraire au service militaire durant la guerre du Vietnam et que votre situation n'est toujours pas en règle, il existe peut-être encore un mandat d'arrêt non exécuté à votre égard ou il se peut que vous soyez interdit de séjour aux États-Unis. En cas de doute, renseignez-vous auprès du point d'entrée du USCIS le plus près de chez vous. Pour savoir comment régulariser votre situation avec l'armée américaine, communiquez avec l'ambassade des États-Unis à Ottawa, en composant le 1 800 283-4356 ou le (613) 238-5335. Choisissez « Defence Attaché's Office » dans le menu des services de l'ambassade.

j) Procédure de renvoi accéléré

Les Canadiens qui se rendent aux États-Unis doivent prendre note que la procédure de « renvoi accéléré » du Service américain de l'immigration permet aux agents d'immigration, avec l'accord de leur superviseur, d'interdire, pour une période de cinq ans, l'accès aux États-Unis à des personnes qui ne sont pas des citoyens américains, s'ils considèrent que ces personnes ont fourni de faux documents ou fait une fausse déclaration. Les Canadiens doivent savoir que le fait de mentir à un agent à la frontière constitue une infraction grave. Le renvoi accéléré constitue l'une des mesures prises dans le cadre de vastes réformes visant à contrôler l'immigration illégale. Cette procédure ne prévoit aucune possibilité d'appel officiel, mais, si vous croyez que la loi a été mal appliquée dans votre cas, vous pouvez demander une révision de votre dossier en écrivant au directeur de district du USCIS responsable du point d'entrée où la décision à été prise. Ce genre de cas devrait également être porté à l’attention de la Direction générale des affaires consulaires d’Affaires étrangères Canada, que l’on peut joindre au 1 800 267-6788 ou au (613) 944-6788 (à Ottawa), ou du bureau du gouvernement du Canada le plus proche.

k) Navigation dans les eaux américaines

Les plaisanciers qui se rendent souvent aux États-Unis à bord de bateaux de plaisance de moins de cinq tonneaux nets, pour des visites de moins de 72 heures, peuvent se procurer un permis (formulaire I-68 : « Canadian Border Boat Landing Permit ») auprès du USCIS. Ce permis n'est pas obligatoire, mais il facilite les formalités d'admission. On trouve le formulaire à l'adresse www.uscis.gov/graphics/index.htm.

l) Croisières

De nombreux Canadiens se rendent aux États-Unis dans le but d'embarquer pour une croisière vers d'autres pays. Ils doivent pour cela être en possession d'un passeport canadien valide. Certains des pays où la croisière fait escale ne laissent pas entrer les voyageurs sans passeport. Ce document est également important pour entrer de nouveau aux États-Unis une fois la croisière terminée. Pendant la croisière, les responsables du navire conservent parfois les passeports, si leurs règlements administratifs l'exigent, afin de faciliter les formalités auprès des douanes américaines. Les passagers doivent demander un reçu et le passeport doit leur être rendu à la fin de la croisière.

m) Travailler aux États-Unis

Les Canadiens qui déménagent pour occuper un emploi aux États-Unis devraient communiquer avec les organismes canadiens et américains concernés afin d'obtenir tous les renseignements nécessaires concernant leur droit à des prestations sociales, y compris à des prestations de retraite, dans l'État où ils travailleront et de déterminer s'ils peuvent continuer à participer à des régimes de pension ou s'ils peuvent toujours réclamer d'autres prestations sociales au Canada.

On peut trouver des renseignements sur l'Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) ainsi que sur l’entrée aux États-Unis et au Mexique aux termes de l’ALENA sur les sites Web suivants :

Accord de libre-échange nord-américain

Rapports personnalisés pour se rendre aux États-Unis ou au Mexique aux termes de l'ALENA

n) Étudier aux États-Unis

Les citoyens canadiens ne peuvent plus entreprendre des études aux États-Unis sans avoir au préalable rempli et fait valider un formulaire I-20 (« Certificate of Eligibility »), délivré par l'établissement d'enseignement américain et expédié directement au requérant. Ils devraient en outre être munis des pièces suivantes pour les présenter à l'agent d'immigration américain au point d'entrée :

a) preuve documentaire attestant que l'étudiant possède suffisamment d'argent pour payer les frais de déplacement, de scolarité et de séjour aux États-Unis;
b) document indiquant que le requérant a une résidence à l'extérieur des États-Unis et qu'il n'a aucune intention de l'abandonner;
c) document prouvant que l'étudiant possède les compétences scolaires et linguistiques nécessaires pour suivre le programme d'études auquel il est inscrit aux États-Unis. Pour des informations supplémentaires sur les exigences de visa pour étudiants, veuillez voir le site web du U.S. Department of State (en anglais seulement).


o) Cas spéciaux (VIH ou sida)

Les personnes chez qui on a diagnostiqué le VIH ou le sida doivent se procurer une dispense d’inadmissibilité avant de pouvoir voyager aux États-Unis. Veuillez communiquer avec le bureau le plus près de chez vous de Douanes et protection des frontières du U.S. Department of Homeland Security pour obtenir de l’information sur la demande de dispense.

Si votre situation est inhabituelle en ce qui concerne l’entrée aux États-Unis, vous devez vous adresser aux autorités américaines pour obtenir des renseignements officiels juste avant votre départ. Pour en savoir plus à ce sujet, veuillez consulter le site Web de l’ambassade des États-Unis ou celui de Douanes et protection des frontières.

p) Frais douaniers

Les agents à la frontière américaine perçoivent 6 $US par personne pour la délivrance d'un document d'arrivée ou de départ (formulaire I-94). Ce formulaire est remis aux citoyens canadiens et aux immigrants reçus des pays membres du Commonwealth et de l'Irlande qui entrent aux États-Unis pour y étudier ou y travailler ainsi qu'aux visiteurs des autres pays. Les droits ne s'appliquent pas aux citoyens canadiens et aux immigrants reçus des pays membres du Commonwealth et de l'Irlande qui entrent aux États-Unis pour un séjour temporaire à des fins de commerce ou de tourisme. Ces droits ne s'appliquent pas non plus aux voyageurs arrivant aux États-Unis en avion.

q) Politique d’immigration américaine

Pour plus de détails sur les changements apportés récemment à la politique d'immigration américaine, veuillez consulter le site du U.S. Citizenship and Immigration Services (en anglais seulement).
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Les détenteurs de passeports spéciaux et diplomatiques devraient vérifier les conditions d'entrée pour ce pays et les autres qu'ils ont l'intention de visiter, car elles peuvent différer de celles qui s'appliquent aux détenteurs de passeports ordinaires.

Une personne qui vend ou falsifie son passeport ou qui permet à une autre personne de l’utiliser commet une infraction criminelle pouvant conduire à des accusations et, si la personne est reconnue coupable, à une peine d’emprisonnement. En outre, les services de passeport pourraient lui être refusés dans l’avenir.

Bien que le mariage de conjoints de même sexe soit légal au Canada, de nombreux pays ne le reconnaissent pas. Un couple du même sexe qui se présente aux autorités frontalières d’un pays comme étant un couple marié pourrait se voir refuser l’entrée dans le pays en question. Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le bureau du gouvernement du pays concerné accrédité auprès du gouvernement du Canada.

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INFORMATION SUR LE NATIONAL SECURITY ENTRY EXIT REGISTRATION SYSTEM (NSEERS) DES ÉTATS-UNIS

http://www.amcits.com/nseers.asp (en anglais seulement)

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9. L'ARGENT

Les devises canadiennes, les chèques de voyage canadiens et les chèques personnels tirés sur une banque canadienne ne sont en général pas facilement négociables aux États-Unis. Il est donc conseillé d'acheter des chèques de voyage en dollars américains avant de partir. Les principales cartes de crédit sont acceptées partout aux États-Unis. Certains guichets automatiques acceptent les cartes bancaires canadiennes, mais seulement celles qui donnent accès à certains services (Interac, PLUS, etc.). Néanmoins, il est déconseillé de porter sur soi de grosses sommes d'argent.

Les résidents qui ne sont pas américains ne peuvent pas en général négocier des instruments monétaires (dont les traites bancaires et les mandats internationaux) sans compte bancaire américain. Pour ouvrir un compte, conformément aux règlements du Department of Homeland Security (département de la Sécurité intérieure), les demandeurs doivent posséder une adresse locale, fournir un passeport valide, donner des renseignements sur leur source de revenu et présenter des références de quatre institutions financières.

Aucun plafond ne limite les sommes d'argent que les voyageurs peuvent apporter aux États-Unis ou faire sortir de ce pays. Toutefois, si au moment d'entrer aux États-Unis ou d'en sortir, vous avez sur vous plus de 10 000 $US en effets monétaires (tels que des pièces de monnaie américaines ou étrangères, des devises, des chèques de voyage, des mandats et des titres négociables ou des valeurs de placement au porteur) ou si vous recevez une somme supérieure à 10 000 $US pendant votre séjour, vous devez présenter un rapport, le « Customs Form 4790 », aux douanes américaines. Le non-respect de ces conditions peut entraîner des sanctions au civil ou au criminel, y compris la saisie des devises ou des effets monétaires.


Renseignez-vous auprès de votre banque sur les services de guichet automatique bancaire (GAB) offerts dans d’autres pays. Vous pouvez aussi consulter la page de localisateur de GAB de VISA ou la page de localisateur de GAB de MasterCard pour obtenir l’adresse de GAB n’importe où dans le monde. Votre banque peut vous indiquer si vous avez besoin d’un nouveau numéro d’identification personnel (NIP) pour avoir accès à votre compte lorsque vous êtes à l’étranger. La prudence est cependant recommandée lorsqu’on se sert de cartes de crédit ou de cartes bancaires, en raison des risques liés à la fraude et aux autres activités criminelles. Si vous utilisez un GAB, faites-le pendant les heures de bureau et utilisez une machine à l’intérieur d’une banque, d’un supermarché ou d’un grand immeuble commercial. Par mesure de prudence, laissez vos numéros de carte à un membre de votre famille.

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10. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX



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11. PROGRAMME DE MÉDECINE DES VOYAGES

L’
Agence de santé publique du Canada et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) diffusent de l’information sur l’apparition de maladies dans diverses parties du monde. Vous trouverez les plus récents conseils de santé aux voyageurs et d’autres renseignements pertinents sur le site Web du Programme de médecine des voyages de l’Agence de santé publique du Canada.

L’Agence de santé publique du Canada recommande vivement aux voyageurs de se faire faire une évaluation de risque personnel dans les six à huit semaines précédant leur départ, en s’adressant à une clinique de santé-voyage ou à un médecin. En se fondant sur les risques pour votre santé, le médecin pourra déterminer quels vaccins et traitements préventifs prescrire, et quelles précautions vous devriez prendre pour éviter d’être malade. Les voyageurs doivent s’assurer que leurs immunisations courantes (d’enfance) (contre le tétanos, la diphtérie, la polio, la rougeole, par exemple) sont à jour.

Il est possible que les normes régissant les soins médicaux dans un autre pays ne soient pas les mêmes qu’au Canada. Les traitements peuvent être chers et il faudra peut-être payer d’avance. On conseille aux voyageurs canadiens de souscrire avant leur départ pour l’étranger à une assurance-maladie. Par ailleurs, ils devraient garder leurs médicaments d’ordonnance dans leur contenant d’origine et les transporter dans leurs bagages à main.

L’Agence de santé publique du Canada recommande également aux voyageurs qui sont souffrants ou qui tombent malades à leur retour au Canada de consulter leur médecin. Ils doivent lui dire qu’ils ont habité ou voyagé à l’étranger.

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12. RENSEIGNEMENTS SUPPLÉMENTAIRES SUR LA SANTÉ

Il est à noter que les autorités américaines peuvent assujettir les Canadiens en visite aux États-Unis aux lois et règlements américains en vigueur pour l’importation de médicaments.

En règle générale, les autorités américaines autorisent l’importation à des fins personnelles d’une quantité de médicaments suffisante pour un séjour de 90 jours (trois mois), mais seulement s’il est impossible de se procurer les médicaments en question aux États-Unis. Les fonctionnaires des douanes américaines ont assoupli leur politique sur l’importation de médicaments d’ordonnance par courrier en provenance du Canada. Néanmoins, tous les colis sont toujours soigneusement inspectés. Pour plus d’information, prière de consulter le site web du US Food and Drug Administration (en anglais seulement).

Tous les hôpitaux doivent accepter et traiter les cas urgents, même si la personne n'est pas en mesure de payer. Tous les services assurés seront toutefois portés au compte des clients. Consultez la section 16 pour obtenir davantage de renseignements sur l'assurance maladie et l'assurance voyage.

Des marées rouges se forment dans le golfe du Mexique, en général à la fin de l'été ou au début de l'automne. Elles sont plus communes près du centre et du sud-ouest des côtes de la Floride. Elles se forment aussi, de façon moins fréquente, le long de la côte Atlantique, au sud-est, allant au Nord jusqu'en Caroline du Nord. Les marées rouges sont composées de fleurs d'eau toxiques dans l'eau de mer, qui devient souvent décolorée, prenant des couleurs de rouge, de brun, de vert ou de jaune. Les personnes près des côtes pourraient souffrir de prurit oculaire et d'irritation respiratoire lorsque des organismes de marées rouges se trouvent près des côtes et les vents de la mer soufflent dans cette direction. Pour obtenir des renseignements à jour sur les marées rouges, consultez le site Web www.floridaconservation.org ou www.redtideonline.com (en anglais seulement).

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13. LE RETOUR AU CANADA

Veuillez consulter l'
Actualité sur le retour au Canada.

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14. L'ADOPTION INTERNATIONALE

Au Canada, l’adoption internationale est de compétence provinciale et territoriale. Si vous songez à adopter un enfant à l’étranger, vous devez tout d’abord obtenir de l’information sur les règlements en matière d’adoption de la province ou du territoire où résidera l’enfant. L’adoption d’un enfant relève des provinces et des territoires, mais l’entrée au Canada d’un enfant adopté relève de Citoyenneté et Immigration Canada (CIC). Sans un visa d’immigration approprié, un enfant pourrait se voir refuser l’entrée au Canada; ou, la demande de visa peut être refusée, même si l’adoption est déjà effectuée. Pour obtenir de plus amples renseignements, composez le 1 888 242-2100 (au Canada seulement), consultez le site Web de
CIC ou communiquez avec les autorités de votre province ou de votre territoire.

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15. CONSEILS DE VOYAGE

Veuillez consulter l'
Aide-mémoire du voyageur.

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16. ASSURANCE MALADIE ET ASSURANCE VOYAGE

Les voyageurs ne doivent pas compter sur leur
régime provincial d’assurance maladie pour régler la note en cas de maladie ou de blessures dans un pays étranger. Ces régimes couvrent, au mieux, une partie des frais. Il est conseillé de contracter une assurance complémentaire, dont vous devrez bien comprendre les clauses. Les détenteurs de certaines cartes de crédit bénéficient d’assurances voyage et maladie, mais il ne faut pas tenir pour acquis que cette couverture est suffisante seule. On recommande aux voyageurs d’avoir avec eux toutes les précisions concernant les assurances et d’indiquer à leur agent de voyages, à un ami ou à un parent et/ou à un compagnon de voyage comment joindre leur assureur. Avant de rentrer au Canada, demandez au médecin ou à l’hôpital de vous remettre une facture détaillée. Il faut toujours fournir les reçus originaux des ordonnances ou des services médicaux reçus à l’étranger; la plupart des compagnies d’assurance n’acceptent pas les copies ou les télécopies.

L’annulation d’un voyage déjà organisé risque d’occasionner des frais.  Avant d’annuler un déplacement à l’étranger, les voyageurs ont intérêt à en discuter avec leur agent de voyages, leur assureur ou leur compagnie aérienne. La décision d’effectuer le déplacement incombe uniquement au voyageur.

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17. INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES

FLORIDE

La Floride (capitale: Tallahassee) est située dans le sud-est des États-Unis. Les installations touristiques y sont nombreuses.

Même si les agressions contre les touristes ont diminué, les crimes avec violences demeurent préoccupants. Les malfaiteurs ont montré qu'ils pouvaient recourir à la violence sans provocation. Bon nombre d'agressions sont perpétrées dans la région de Miami, mais on en rapporte aussi ailleurs en Floride le long de routes rurales et dans les aires de repos bordant les autoroutes. Certaines aires sont surveillées du crépuscule à l'aube (ce service est toujours indiqué sur le panneau routier annonçant l'aire de repos). Il est conseillé aux Canadiens de faire preuve de prudence, en particulier après la tombée de la nuit, quand ils quittent une autoroute (y compris l'Interstate 95) pour entrer dans un grand centre urbain. De plus en plus de vols sont signalés; surtout les vols de coffres de voitures en stationnement, dans les secteurs de North Miami Beach et de South Beach, ainsi que dans les aéroports. Il faut rester vigilants; les voleurs ont recours à toute une panoplie de techniques pour réussir à s'emparer d'effets personnels.

Le Florida Tourism Office à Toronto, 512 Duplex Avenue, Toronto (Ontario) M4R 2E3 (tél. : 416-485-2573/ téléc.: 416-485-8256) peut conseiller les voyageurs sur les précautions à prendre pour assurer leur sécurité, les routes à emprunter et l'hébergement. Des brochures donnant des conseils de sécurité aux voyageurs, produites par la division du tourisme de l'État de la Floride et l'American Automobile Association, sont distribuées au Canada par les agences de voyages et les clubs automobiles. Il est aussi possible de les obtenir en téléphonant au service des renseignements aux visiteurs, Visit Florida, (tél.: 850-488-5607 ou sans frais 1-888-7-FLA-USA) ou aux centres d'accueil de la Floride situés en bordure des autoroutes 75 et 95, à la sortie de la Géorgie.


GUAM

Guam (capitale : Hagatna ou Agana) est un territoire des États-Unis d'Amérique, situé dans l'océan Pacifique Nord, entre Hawaï et les Philippines. L'infrastructure touristique est très développée. Les langues officielles sont l'anglais, le chamorro et le japonais.

Des typhons peuvent survenir sur l'île de Guam, surtout en août. La saison des pluies s'étend de juillet à décembre. Les voyageurs devraient se tenir au courant des prévisions météorologiques et planifier leurs déplacements en conséquence. Guam est aussi situé dans une zone d'activité sismique.

L'importation de stupéfiants ou d'autres drogues illicites peut faire l'objet d'une peine d'emprisonnement minimale de 10 ans.

Les autorités douanières pourraient appliquer des règlements stricts en ce qui concerne l'importation ou l'exportation temporaire de marchandises comme des fruits, des légumes, des fleurs, de la volaille, des produits de viande et du bétail. Pour obtenir de plus amples renseignements sur l'admission temporaire, l'exportation, la réglementation et les tarifs douaniers, contactez la Customs and Quarantine Agency, 1503 Central Avenue, Tiyan, Guam 96913 (indicatif du pays : 671/ tél. : 475-6202/ téléc. : 475-6227/ site Web : www.guamjustice.net).

Le Canada n'a pas de bureau responsable des services consulaires à Guam. Les Canadiens qui s'y trouvent peuvent obtenir une aide consulaire et de plus amples renseignements auprès du consulat général du Canada à San Francisco (voir ci-dessus).

Les Canadiens peuvent aussi obtenir une aide consulaire et de plus amples renseignements auprès de l'ambassade de l'Australie à Pohnpei, en Micronésie, (en vertu de l'Accord sur le partage de services consulaires entre le Canada et l'Australie) à l'adresse suivante :

H & E Enterprises Building, Kolonia, Pohnpei, Federated States of Micronesia (indicatif du pays : 691/ tél. : 320-5448/ téléc. : 320-5449/ adresse postale : P.O. Box S, Kolonia, Pohnpei, Federated States of Micronesia 96941/ courriel : australia@mail.fm/ site Web : www.australianembassy.fm).

Les Canadiens qui se rendent à Guam doivent être en possession d'un passeport canadien valide et d'un billet aller-retour ou d'un billet pour un vol de continuation. Les visiteurs qui désirent y faire des affaires devraient communiquer avec les douanes américaines, et avec l'ambassade ou un consulat des États-Unis au Canada. Les voyageurs munis de caméras devraient prendre des dispositions semblables.

Visa de touriste : non exigé
isa d'affaires : non exigé
Visa d'étudiant : exigé
Visa de travail : exigé
Visa de séjour : exigé


HAWAÏ

L'État américain de Hawaï (capitale : Honolulu, situé sur l'île Oahu) est un archipel composé d'environ 137 îles situé dans l'océan Pacifique nord et central. Les principales îles sont Oahu, Maui, Kauai, la
« Grande île » (Hawaï), Molokai et Lanai. L'infrastructure touristique est très développée. Les deux langues officielles de cet État sont le hawaïen et l'anglais.


Les Canadiens n'ont généralement aucun problème de sécurité, mais les crimes mineurs se produisent. Gardez toujours vos effets personnels en lieu sûr.

Il n'existe aucun service public de traversier entre les îles. Cependant, des paquebots de croisière et certains traversiers privés offrent leurs services. La majorité des déplacements entre les îles sont faits par voie aérienne.

ÎLES MARIANNES DU NORD

Le Commonwealth des îles Mariannes du Nord (capitale : Saipan) forme une union politique avec les États-Unis d'Amérique. Il est situé dans l'océan Pacifique Nord, entre Hawaï et les Philippines. La langue officielle est l'anglais. L'infrastructure touristique est très développée.

La plupart des voyages effectués par les Canadiens aux îles Mariannes du Nord se déroulent sans problèmes. Toutefois, il est conseillé de prendre les précautions d'usage pour protéger ses effets personnels, son passeport et tout autre document de voyage en tout temps.

La plupart des routes principales sont asphaltées, bien marquées et signalisées. À l’île Saipan, il n’y a pas de réseau d’autobus public, mais des navettes relient les principales villes. Dans les îles Mariannes du Nord, les touristes peuvent conduire trente jours avec un permis reconnu internationalement, comme l'est le permis canadien. Au-delà de ce délai, les touristes ou résidents à long terme doivent obtenir un permis local. Les déplacements d’une île à l’autre se font en avion. Plusieurs vols par jour relient Saipan, Tinian et Rota.

Des typhons peuvent survenir sur les îles Mariannes du Nord, surtout d'août à novembre, et elle cause parfois des dégâts considérables. La saison des pluies s'étend de juillet à octobre. On trouve des volcans en activité sur les îles Pagan et Agrihan. L'activité volcanique peut provoquer de légers tremblements de terre et des raz-de-marée. Les voyageurs devraient se tenir au courant des prévisions météorologiques et planifier leurs déplacements en conséquence.

Le Canada n'a pas de bureau responsable des services consulaires aux îles Mariannes du Nord. Les Canadiens qui s'y trouvent peuvent obtenir une aide consulaire et de plus amples renseignements auprès de l'ambassade de l'Australie à Pohnpei, en Micronésie (l'aide consulaire locale est accessible, en vertu de l'Accord sur le partage de services consulaires entre le Canada et l'Australie), à l'adresse suivante :

États fédérés de Micronésie - POHNPEI, Ambassade de l'Australie
Adresse : H & E Enterprises Building, Kolonia, Pohnpei, États fédérés de Micronésie
Adresse Postale : C.P. S, Kolonia, Pohnpei, États fédérés de Micronésie
Tél. : 691 320-5448
Télécopieur : 691 320-5449

Le haut-commissariat du Canada à Canberra (Australie) est chargé d'assurer les services consulaire aux îles Mariannes du Nord. L'adresse est la suivante :

Australie - CANBERRA, Haut-Commissariat du Canada
Adresse : Commonwealth Avenue, Canberra ACT 2600, Australie
Tél. : 61 (2) 6270-4000
Télécopieur : 61 (2) 6270-4081
Courriel :
cnbra@international.gc.ca
Internet : http://www.international.gc.ca/australia

Pour obtenir une aide d'urgence en dehors des heures de bureau, téléphonez au haut-commissariat du Canada à Canberra (Australie) et suivez les instructions qui vous seront données. Vous pouvez aussi appeler le Ministère à Ottawa, à frais virés, en composant le (613) 996-8885.

PUERTO RICO

L'île de Puerto Rico (capitale : San Juan) est situé dans les Antilles, à l'est de la République dominicaine. C'est un État libre associé aux États-Unis, et qui peut être considéré comme faisant partie intégrante du pays. La langue officielle est l'espagnol, mais l'anglais y est parlé couramment.

Bien que les Canadiens y rencontrent rarement des problèmes de sécurité, il est recommandé de prendre les précautions habituelles étant donné que les crimes violents y sont en hausse. Il faut veiller à mettre ses effets personnels en lieu sûr, car les délits et les vols sont fréquents.

Les Canadiens qui se trouvent au Puerto Rico peuvent obtenir une aide consulaire et de plus amples renseignements auprès du consulat général du Canada à San Juan (voir ci-dessus).  Vous pouvez aussi appeler le Ministère à Ottawa en composant le numéro sans frais 1-866-600-0184.


ÎLES VIERGES AMÉRICAINES

Les îles Vierges américaines (capitale : Charlotte Amalie) sont situées au nord-est des Antilles, et à l'est de Puerto Rico. L'anglais est la langue officielle.

Bien que les Canadiens rencontrent rarement des problèmes de sécurité, on recommande de prendre les précautions habituelles. Il faut surveiller étroitement et constamment ses objets de valeur, car les délits mineurs sont fréquents.
Les véhicules y roulent à gauche. Le Canada n'a pas de bureau responsable des services consulaires aux îles vierges américaines. Les Canadiens qui s'y trouvent peuvent obtenir une aide consulaire et de plus amples renseignements auprès du consulat général du Canada à Miami (voir ci-dessus).  Vous pouvez aussi appeler le Ministère à Ottawa en composant le numéro sans frais 1-866-600-0184.

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18. ANNEXE

S. O.

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